ça va, des multinationales blanchissent de l'argent mafieux et vice-versa, c'est pas un petit fichage rétinien qui nous empêchera de faire des gâches en plomberie au black ou de revendre du shit à la sauvette !
Et à part du travail au black ou de l’occasion tu pourras rien acheter avec une monnaie locale , pas de choses neuves et peu de gens peuvent fournir de la nourriture sans parler de la gestion de la valeur de la monnaie et de sa falsification
Il s'agit d'une forme poussée de contrôle visant spécifiquement les individus, pas les organisations qui opèrent déjà avec de l'argent dématérialisé. Donc ça n'empêchera en rien les magouilles des multinationales, et assez peu celles des mafias.
Au contraire, la suppression totale du cash autorisée pas ce moyen de paiement « universel » permettra de contrôler les moindres échanges d'argent entre les gens, donc de savoir précisément ce qu'ils font, et notamment d'identifier ceux qui utiliseront la monnaie dans des opérations non déclarées.
Donc, après qu'il soit devenu incontournable et obligatoire, à court terme ce portefeuille numérique sonnera le glas pour le travail au black. Entre autres choses. Car en ce qui me concerne, c'est plutôt la fin des véritables libertés individuelles qui m'inquiète.
"... sonnera le glas pour le travail au black"... et pour les SDF et toute personne qui vit grâce à nos petites pièces, c'est encore un autre glas qui sonnera.
L'horreur, d'un point de vue moral, en 2023. Mais, en fait, on va tous vers ce processus (et les chinois montrent la voie). Qu'avons-nous à y perdre ? L'individualisme, c'est sur, nos particularismes, notre intimité, etc... Mais il faut bien intégrer que tout ça c'est de la broutille (encore non négligeable pour encore quelques décennies) face à la montée de la surpopulation. L'avenir est au collectif, avec son air con et sa vue basse, la présidente de l'UE l'a bien compris; alors que l'angliche, en son for intérieur, doit être jaloux comme un rat mort. Je vous le dis : ce n'est absolument pas de gaîté de coeur qu'on va s'engager dans cette voie, mais dans 30 ou 40 ans aurons-nous vraiment le choix ?
Sauf que ce qu'on a de plus précieux à perdre est dans ton « etc. ». Et ce ne sont pas des broutilles.
C'est notamment la liberté de s'exprimer en toute sécurité (donc la liberté politique) et la capacité d'assurer ses besoins essentiels (donc sa propre survie) hors du bon vouloir de la dictature.
Quant à la surpopulation (notion par ailleurs très vague, qui dépend fortement de la façon dont on l'évalue), ça n'a pas vraiment de rapport avec le sujet (... à moins que sous ce prétexte fallacieux, le portefeuille numérique ne serve justement à liquider une partie de la population européenne, comme cela est déjà arrivé dans la première moitié du XXe siècle, ce qui ne ferait que confirmer le point précédent).
Comme le taux de fécondité dans l'UE est structurellement en berne, tu pensais peut-être au problème de l'immigration. Mais la question n'est pas là non plus, puisque la politique européenne consiste à l'organiser plutôt qu'à s'y opposer, qui plus est d'après des critères de profit pour les entreprises plutôt que pour des critères démographiques. Et c'est Von der Leyen qui l'a dit.
Rappelons aussi qu'avant de succomber aux affres de l'idéologie défendue par l'UE (dont l'individualisme fait partie), les nations occidentales avaient déjà largement donné dans le collectif, mais sans forcément toujours tomber dans le totalitarisme (stalinisme, fascisme).
Alors que le totalitarisme est la plus grande menace à laquelle nous devons faire face aujourd'hui, ce portefeuille numérique en apparaît comme l'instrument rêvé.
D'ailleurs, ce que la présidente non élue de la Commission Européenne a également dit, c'est que l'opposition à sa politique était « antidémocratique », et qu'elle ajouterait des moyens pour régler ce problème...
GruikMan Vermisseau
nimajneB LoMBriK addict !
Flaneur En réponse à nimajneB Ver TikToké
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_pepe_ En réponse à nimajneB
Au contraire, la suppression totale du cash autorisée pas ce moyen de paiement « universel » permettra de contrôler les moindres échanges d'argent entre les gens, donc de savoir précisément ce qu'ils font, et notamment d'identifier ceux qui utiliseront la monnaie dans des opérations non déclarées.
Donc, après qu'il soit devenu incontournable et obligatoire, à court terme ce portefeuille numérique sonnera le glas pour le travail au black. Entre autres choses. Car en ce qui me concerne, c'est plutôt la fin des véritables libertés individuelles qui m'inquiète.
Tandy En réponse à _pepe_ Vermisseau
manousche Vermisseau
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Jampol3
le-long-brick Longbric
_pepe_ En réponse à le-long-brick
C'est notamment la liberté de s'exprimer en toute sécurité (donc la liberté politique) et la capacité d'assurer ses besoins essentiels (donc sa propre survie) hors du bon vouloir de la dictature.
Quant à la surpopulation (notion par ailleurs très vague, qui dépend fortement de la façon dont on l'évalue), ça n'a pas vraiment de rapport avec le sujet (... à moins que sous ce prétexte fallacieux, le portefeuille numérique ne serve justement à liquider une partie de la population européenne, comme cela est déjà arrivé dans la première moitié du XXe siècle, ce qui ne ferait que confirmer le point précédent).
Comme le taux de fécondité dans l'UE est structurellement en berne, tu pensais peut-être au problème de l'immigration. Mais la question n'est pas là non plus, puisque la politique européenne consiste à l'organiser plutôt qu'à s'y opposer, qui plus est d'après des critères de profit pour les entreprises plutôt que pour des critères démographiques. Et c'est Von der Leyen qui l'a dit.
Rappelons aussi qu'avant de succomber aux affres de l'idéologie défendue par l'UE (dont l'individualisme fait partie), les nations occidentales avaient déjà largement donné dans le collectif, mais sans forcément toujours tomber dans le totalitarisme (stalinisme, fascisme).
Alors que le totalitarisme est la plus grande menace à laquelle nous devons faire face aujourd'hui, ce portefeuille numérique en apparaît comme l'instrument rêvé.
D'ailleurs, ce que la présidente non élue de la Commission Européenne a également dit, c'est que l'opposition à sa politique était « antidémocratique », et qu'elle ajouterait des moyens pour régler ce problème...