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Robe télécommandable

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Pilotage de drone depuis une falaise

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Le réparateur au bout du fil

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Hillary Clinton phoqued !

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Kan la journée est bonne

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Prochain concert des Rolling stones

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Cherchez le coupable

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Le Gras c'est la vie !!!

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Extrait d'une lettre de la duchesse d'Orléans

Elisabeth-Charlotte de Bavière, princesse palatine et belle-soeur de Louis XIV, à sa tante, Sophie de Bohême, princesse-électrice de Hanovre.

« Vous êtes bien heureuse d’aller chier quand vous voulez ; chiez donc tout votre chien de soûl.
Nous n’en sommes pas de même ici, où je suis obligée de garder mon étron pour le soir ; il n’y a point de frottoir aux maisons du côté de la forêt.

J’ai le malheur d’en habiter une, et par conséquent le chagrin d’aller chier dehors, ce qui me fâche, parce que j’aime chier à mon aise, et je ne chie pas à mon aise quand mon cul ne porte sur rien.

Item, tout le monde nous voit chier ; il y passe des hommes, des femmes, des filles, des garçons, des abbés et des Suisses.
Vous voyez par là que nul plaisir sans peine, et que, si on ne chiait point, je serais à Fontainebleau comme le poisson dans l’eau.

Il est très chagrinant que mes plaisirs soient traversés par des étrons.
Je voudrais que celui qui a le premier inventé de chier ne pût chier, lui et toute sa race, qu’à coups de bâton!
Comment, mordi ! qu’il faille qu’on ne puisse vivre sans chier ?

Soyez à table avec la meilleure compagnie du monde ; qu’il vous prenne envie de chier, il faut aller chier.
Soyez avec une jolie fille ou femme qui vous plaise ; qu’il vous prenne envie de chier, il faut aller chier ou crever.
Ah ! maudit chier !
Je ne sache point de plus vilaine chose que de chier.

Voyez passer une jolie personne, bien mignonne, bien propre ; vous vous récriez : « Ah ! que cela serait joli si cela ne chiait pas ! »

Je le pardonne à des crocheteurs, à des soldats aux gardes, à des porteurs de chaise et à des gens de ce calibre-là.

Mais les empereurs chient, les impératrices chient, les rois chient, les reines chient, le pape chie, les cardinaux chient, les princes chient, les archevêques et les évêques chient, les généraux d’ordre chient, les curés et les vicaires chient.

Avouez donc que le monde est rempli de vilaines gens !
Car enfin, on chie en l’air, on chie sur la terre, on chie dans la mer.
Tout l’univers est rempli de chieurs, et les rues de Fontainebleau de merde, principalement de la merde de Suisse, car ils font des étrons gros comme vous, Madame.

Si vous croyez baiser une belle petite bouche avec des dents bien blanches, vous baisez un moulin à merde.
Tous les mets les plus délicieux, les biscuits, les pâtés, les tourtes, les farcis, les jambons, les perdrix, les faisans, etc., le tout n’est que pour faire de la merde mâchée, etc.
»

Réponse de ladite tante :

« C’est un plaisant raisonnement de merde que celui que vous faites sur le sujet de chier, et il paraît bien que vous ne connaissez guère les plaisirs, puisque vous ignorez celui qu’il y a à chier ; c’est le plus grand de vos malheurs.

  Il faut n’avoir chié de sa vie, pour n’avoir senti le plaisir qu’il y a de chier ; car l’on peut dire que de toutes les nécessités à quoi la nature nous a assujettis, celle de chier est la plus agréable.

  On voit peu de personnes qui chient qui ne trouvent que leur étron sent bon; la plupart des maladies ne nous viennent que par faute de chier, et les médecins ne nous guérissent qu’à force de nous faire chier, et qui mieux chie plutôt guérit.

  On peut dire même qu’on ne mange que pour chier, et tout de même qu’on ne chie que pour manger, et si la viande fait la merde, il est vrai de dire que la merde fait la viande, puisque les cochons les plus délicats sont ceux qui mangent le plus de merde. […]

  Les boudins, les andouilles et les saucisses ne sont-ce pas des ragoûts dans des sacs à merde ?

  La terre ne deviendrait-elle pas stérile si on ne chiait pas ne produisant les mets les plus nécessaires et les plus délicats qu’à force d’étrons et de merde ? […]

  Les beaux teints ne s’entretiennent que par de fréquents lavements qui font chier; c’est donc à la merde que nous avons l’obligation de la beauté. […] Sans la merde des fouines, des civettes et des autres animaux, ne serions nous pas privés des plus fortes et meilleures odeurs ? […]

  Demeurez donc d’accord que chier est la plus belle, la plus utile et la plus agréable chose du monde. […]

  Vous étiez de bien mauvaise humeur quand vous avez tant déclamé contre le chier; je n’en saurais donner la raison, sinon qu’assurément votre aiguillette s’étant nouée à deux nœuds, vous aviez chié dans vos chausses.[…]

  J’espère qu’à présent vous vous dédirez d’avoir voulu mettre le chier en si mauvaise odeur, et que vous demeurerez d’accord qu’on aimerait autant ne point vivre que ne point chier »


La princesse palatine, dotée d'un caractère aussi solide qu'entier, avouait :  Je suis trop franche pour écrire autrement que je ne pense ». Également prolixe, elle rédigea une correspondance de quelques 60 000 lettres, dont seul un dixième nous est parvenu. 

Vous pourrez en trouver une partie ici : https://books.google.fr/books?id=Ao4aAAAAYAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false

Ah bon ? ils ne font pas que boire les Russes !?!

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Technique roumaine

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Le caisson insonore

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Mc Hive

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