En quoi faire baisser les moyens financiers des parents, ce qui au choix précarisera d'autant plus la situation familiale ou forcera à faire plus d'heures (donc moins de présence pour surveiller les mômes) arrangerait la situation?
Parce que la situation est pas nouvelle et que ces mômes désœuvrés deviennent les parents qui ne peuvent pas transmettre une éducation du savoir vivre en société qu'ils n'ont pas reçu. Et si les parents n'y arrivent pas, cette mission devrait revenir à des gens qui en auraient la mission et les moyens (donc pas l'école actuelle qui tient plus lieu d'une garderie instructive qu'un lieu d'éducation).
ben, les allocs sont un peu une exception française, tout comme les cantines scolaire, les maternelles des 3 ans..peut être que de supprimer tout cela serait une sorte de responsabilisation des parents..
Déjà, les aides sociales existent dans plein de pays (Allemagne, UK, Espagne, Irlande, Norvège, Suède, etc, etc...) mais, même si cela n'était pas le cas, je ne comprends pas l'argument qui voudrait faire en sorte que le progrès est de niveler vers le bas. Ce n'est pas parce que les aides, qui montrent quand même un avancement sociétal important, n'existent pas ailleurs que ailleurs c'est mieux qu'à l'endroit où elles existent - ou alors, si tel est le cas, pourquoi tout simplement ne pas aller ailleurs puisque c'est mieux?
Oui et ceux qui n'ont pas de cancer ne devraient pas payer pour ceux qui en ont, pareil pour ceux qui se pètent une jambe au ski ou ailleurs ou qui ont une maladie orpheline.
C'est vrai quoi, société de merde qui prend soin de son prochain...
C'est la faute de la société et des Français, oui. Comme si franchement les Vrais Français (haha) renvoyaient une image de peuple de sagesse, d'intelligence et maturité sur leurs zones défavorisés, comme si ils pouvaient servir de modèles (HAHA). Comme si on vivait dans un siècle des Lumières franchement....
De vraies raisons, il y en déjà beaucoup :
- Le désœuvrement intellectuel de notre époque dans un pays où la culture n'a jamais été aussi disponible (internet comme médiathèque pas chère, voire gratuite pour les chômeurs). La faute à une scolarité ridiculement rébarbative qui ne récompense jamais les qualités, qui aboutit à une indépendance à l'age adulte où il suffit d'un contrat, de fric, de libertééé et de confoooort (et qui ramollit la cerveeeelle \o/)
(Voyez d'ailleurs ce reportage de France2 sur les écoles maternelles du Danemark : https://www.you...h?v=sBGnJ8Jl53k , la différence entre le tempérament de nouille trop cuite des Français et d'autres pays)
- La télé poubelle, vraiment besoin d'en dire plus ? J'ai fait un boycott de 5 ans de télé, avant d'être forcé à y revenir, le contraste est très très marqué, c'est violent. Ça éructe littéralement : "Cède à tes pulsions de gamins, choisis toujours le confort, les problèmes ne devraient pas exister, ils sont contre-nature (avec les challenges qui vont avec et qui font se sortir les doigts du cul, c'est pas dans un hamac mental qu'on se dépasse), on est tous victime de quelque chose et on mérite tous compensation, etc, etc..."
- Les valeurs de liberté aveugle et de tolérance aveugle (corrélation avec la foi aveugle du moyen-âge) depuis les années 2000 et surtout depuis les attentats. Dans l'absolu, un gars qui prend toutes les libertés qu'il veut et qui s'attend à tout se faire tolérer, ça s'appelle un sociopathe, je crois non ? J'étais en coloc avec un rescapé du Bataclan, après 6 mois de victimisation de la part de son entourage et des médias, le mec était à la limite de la psychopathie, il se comportait avec les gens comme avec des objets, terminée la maturité, terminé le respect.
Il y a beaucoup d'autres raisons encore, mais le problème se situe à la racine sur les Français, les cités ne sont qu'une conséquence logique... (Je dis pas qu'ils n'en tiennent pas une couche non plus hein :D ). Alors les allocs hein... Bwarf....
La France n'a jamais été aussi riche, tu peux t'en faire une idée ici: https://fr.wiki...nts_(milliards)
Et il n'y a jamais eu autant de millionnaires et de milliardaires dans ce pays. Donc bon, l'argument est quand même un peu osé en disant qu'il n'y a plus d'argent.
Mais c'est vrai que ça demande moins de courage de s'en prendre aux précaires, en collant tout le monde dans le même panier au passage (rien à foutre, ils habitent ailleurs!), plutôt qu'à essayer de redistribuer les richesses équitablement...
Putain, c'est devenu d'un niveau les discussions sur ce site, parfois...
Celui qui crache et insulte les meuf a l'arret de bus il sont fautifs d'incivilité cumulé au quotidiens et a cause de ses racailles on devient raciste. il font partit du problème a court terme, mais a l'origine ya Soros qui nous en envoie a coup de charter et qui veut nous faire gober le féminisme et le multi genre.
on ne va pas commencer une étude sociologique ici mais ce qui rend raciste, c'est la méconnaissance des répartitions, jusqu'à preuve du contraire, il y a des racailles de toutes les origines et une intolérance envers une seule.
et de l'autre côté de la caste sociale, il y a des milliers de chrétiens pétés de thunes, égoïstes et on accuse les juifs.
Responsabiliser, oui, très certainement. Et ça passe par la répression (tout est déjà dans la loi depuis très longtemps, il suffirait d'oser l'appliquer en s'en donnant les moyens et) et par l'éducation (celle des parents comme celle des enfants).
Supprimer les allocs, ça ne toucherait que les plus pauvres. Au lieu de régler le problème, ça exacerberait la criminalité liée à cette pauvreté, et ça n'aurait aucun effet sur ceux qui sont suffisamment aisés.
"Supprimer les allocs, ça ne toucherait que les plus pauvres "--> ça toucherait surtout ceux qui sont responsables de la délinquance, nuance, qu'ils soient pauvres ou non n'a pas d'importance. La répression appliquée n'est pas une solution en soit mais malheureusement nécessaire. (Il vaut mieux empêcher, (en dernier recours), un vol par la menace de finir au taule, plutôt que d'accepter le vol).
L'Etat a déjà investi des millions de ces quartiers, bien plus qu'ailleurs et surtout que dans d'autres zones (notamment rurales) qui manquent cruellement, eux de moyen (et ils ne brulent pas les bibliothèques, ne caillassent pas flics, etc).
Mdr, rappel moi qui a crée ces endroits ? (foutre plein de gens de culture différentes, au même endroit, sans les intégrer (ils n'en ont pas envie remarque))? Les gens comme toi (j'évite de nommer, tu comprendras).
(D'ailleurs, je ne vois aucun rapport avec mon commentaire, remarque, avec toi, j'ai pris le réflexe de ne plus réfléchir sur tes commentaires.)
Aller ciao.
Je ne sais pas ce que tu entends par des gens comme lui, qui est une expression réductrice et dénuée de sens.
Ceux qui ont crées les banlieues sont des urbanistes qui voulaient densifier les villes mais surtout permettre aux habitants des zones rurales de trouver une habitation accessible et de supprimer les bidonvilles, alors, oui, peut être des gens comme Ced, mais en soi ça a marché et ça a boosté les grandes villes.
Ceux qui ont transformés ces zones en zone de merde sont les petits bourgeois et les commerçants, les copains ou héritiers moraux de Poujade ou les conservateurs des campagnes (pas des gens comme Ced) qui ne voulaient pas voir de moricauds (par ignorance souvent ou peur de l'inconnu) dans leur beau village ou centre ville et refusaient de leur louer ou de leur vendre, en somme ont refusé de les intégrer dans leur pays, ce qui a amené ces gens à aller là ou ils pouvaient, les nouveaux quartiers : les banlieues.
Là les investisseurs (pas des gens comme Ced) s'en branlaient tant que l'argent rentrait, mais bon pourquoi investir pour des étranger, on ne répare pas, on laisse pourrir, les blancs sont de toute façons minoritaires désormais, puis quand ça merde vite demandons à l'état de les gérer.
Donc accuser les "gens comme Ced" alors que finalement c'est le refus de prévention lié aux idéaux identitaires et les intérêts financiers personnels : l’égoïsme et l'ignorance qui ont précipités cette situation, une somme d’intérêts personnels qui ont généré un refus d’intégrer les autres et cet égoïsme cherche à rejeter la responsabilité.
En soi le problème de fond c'est justement les raccourcis comme la dénomination des "gens comme lui", comme si Ced ou même toi pouvaient être réduit à un modèle strict sans compromis, comme si finalement un mec raciste ne pouvait pas être membre de médecins du monde, qu'un mec pété de thune ne pouvait pas trouver ça normal d'en reverser une grosse partie, en gros que ces pseudo-modèles ou groupes ne sont qu'une façon comme une autre de diriger les masses et que regarder le monde par ce prisme c'est se faire manipuler en se privant d'une réflexion un peu plus profonde que cette surface stérile.
J'ai arrêté au premier paragraphe, à la première contradiction.
Si je te suis, ces zones ont étés construites puis les personnes (immigrés + français d'origines) sont venus y habiter mais ... les français d'origines n'ont pas voulu se mélanger ? Les français sont partis après en vivant la réalité du -multi-culturalisme- que personne ne veut vivre (français d'origines ou non, en France ou ailleurs). D'ailleurs, il en reste, comme des personnes âgées (d'origine françaises) qui n'ont plus la possibilité de fuir et subissent donc.
Suffit, pour exemple à Paris, de constater (à configuration/bâtiment identique) le résultat entre un quartier multi-culturel et un homogène. Je te laisse te renseigner.
Quand à tes propos sur la manière dont je défini Ced, du blabla, je préfère la réalité.
Quand à tes idées (zones abandonnées), c'est totalement faux. Les zones rurales sont abandonnées, pas ces quartiers. On peut cependant comprendre qu'à chaque fois qu'un mec de ces quartiers se fait arrêter et donc que les bâtiments publiques brûlent, les flics et pompiers se font caillasser, etc, on arrête à force d'investir, un minimum de logique. Sans parler des écoles, il y a un manque de moyen, mais il est moins important que dans les zones rurales, l'état investi beaucoup plus dans ces quartiers que dans les villages où les écoles ferment.
Tu pars du principe qu'il n'y a que les pauvres qui sont responsables de la délinquance (juvénile, dans le cas présent), et que les appauvrir encore plus ou menacer de le faire mettra fin à cette délinquance.
D'une part, la délinquance est également le fait d'enfants de gens aisés (dont les allocs sont faibles et qui n'en ont pas vraiment besoin) et d'enfants uniques (qui n'ont pas droit aux allocs). En coupant les allocs, on ne s'en prend finalement qu'à la catégorie la plus défavorisée de la population, ce qui peut créer un sentiment de persécution propre à susciter encore plus de comportements anti-sociaux.
D'autre part, la délinquance est, dans de nombreux cas, incitée par la tentation d'améliorer sa situation économique, dans des proportions bien supérieures à ce que les allocs peuvent rapporter aux parents. Couper les allocs aux familles nécessiteuses d'ados qui commencent à faire des bêtises pour diverses raisons, c'est créer les conditions pour que ces derniers finissent par verser sérieusement dans le vol, le racket, la prostitution ou le trafic de drogue, par pure nécessité.
La principale conséquence d'une telle "solution" serait donc de rajouter de bonnes raisons pour que cette délinquance empire.
Quant à la répression et à l'éducation, le problème est juste qu'elles ne sont pas appliquées comme il le faudrait. Cela ne sert plus à grand chose d'envoyer la police après avoir attendu que les quartiers sont déjà en feu.
Je suis assez d'accord sur la deuxième partie de ton commentaire mais en ce qui concerne la répression, je ne pense pas que cela résolve le problème sinon ça se saurait déjà. La police de proximité, par exemple, les travailleurs sociaux aussi, donnaient plus de résultats que des compagnies de CRS simplement parce que la paix sociale ne s'achète pas à coup de matraque. C'est le modèle social en entier qui est à revoir.
Je ne sais pas si tu connais mais, si oui, trouves-tu qu'il soit facile de vivre entasser dans des zones abandonnées, souvent loin de tout service public ? Personnellement, j'y ai vécu et j'ai toujours eu des difficultés là-dessus à constater ces inégalités.
Je ne sais pas, de ce que je vois, la, paix sociale, depuis quarante ans on l'achète davantage à coup de plans banlieues en milliards d'euros, d'emplois jeunes qui servent à rien, et de concessions sans fin. Ca n'a pas empêché les blancs de quitter ces quartiers, ça n'a pas empêché la montée de l'incivilité et de la violence. Avec, en sortie de course, la même sempiternelle rengaine: "cé la faute à la société!". Je suppose que ça évite de se remettre en question.
Penser directement à la matraque de CRS quand on parle de répression symbolise tout-à-fait le vide laissé durant toutes ces années entre le laxisme total et cette forme de réponse tardive et inefficace.
La répression, ça devrait commencer dès la première incivilité, dès le « premier carreau cassé » (pour reprendre une expression new-yorkaise), et consister en des dispositions proportionnées et graduelles. Rappelons qu'un passage au poste de police, le simple remboursement des dommages occasionnés, le paiement d'une amende ou la condamnation à des travaux d'intérêt général sont des exemples de réponses répressives déjà susceptibles de remettre sur le droit chemin des individus qui s'en écartent, notamment par manque d'éducation ou de sens moral. Les peines de prison prévues par la loi seraient bien plus incitatives si l'on ne remettait pas dehors les coupables de délits plus graves quelques heures après leur arrestation, et si le chaos des prisons n'entretenait pas le cercle vicieux de la délinquance en servant d'école de la criminalité.
Bref, c'est à mon sens principalement le manque d'éducation civique et morale et de répression adaptées qui a abouti à la situation actuelle. Les responsables sont autant les politiques que les intellectuels qui ont prôné l'abolition de ces bases de notre vie en société, et l'on réalisée, les premiers matériellement, les seconds dans les esprits.
Il se trouve que j'ai vécu, étant jeune, dans une grande cité de banlieue avec beaucoup de gens pauvres, un fort taux d'immigrés et des jeunes désœuvrés, révoltés et souvent difficiles à canaliser. Beaucoup peuvent témoigner qu'à cette époque, pour eux la vie était dure. Malgré cela, durant des années cette cité est restée parfaitement vivable, car on a su y régler les nombreux problèmes sociaux et les questions de délinquance locale dès qu'ils apparaissaient.
Les choses ont dégénéré lorsqu'on a commencé à « laisser faire », à accepter de plus en plus les incivilités (parce que c'était dans l'air du temps), puis progressivement à voir disparaître la police (sauf quand l'irréparable était commis), les bandes rivales s'affronter et les voitures brûler.
Le résultat, c'est que la cité est actuellement aux mains de caïds et de chefs religieux (ce sont parfois les mêmes), souvent étrangers, qui dictent leurs propres lois, en totale contradiction avec celles de la République. Autant dire qu'il ne fait pas bon s'y aventurer, même en plein jour.
Les jeunes qui y habitent maintenant s'estiment malaimés, délaissés, et trouvent normal de casser ou d'agresser quand (comme dans la vidéo) ils s'ennuient, dehors, à trois heures du matin (au lieu de dormir) ! Et pour nombre d'entre eux, la criminalité fait office de lettres de noblesse. Or, tout bien considéré, ils n'ont rien à envier aux jeunes de la cité de mon époque. La différence, c'est que ces derniers savaient mieux se tenir et étaient plus respectueux des autres et de l'ordre républicain, parce que les adultes (parents et concitoyens) les éduquaient et s'en occupaient sans attendre que la mairie ou l'État s'en chargent pour eux.
Exactement, sur les allocs. Et je suis d'accord avec Ced sur le fait que la France n'a jamais été aussi aisée. Dès qu'on dépasse la classe sociale précaire, on peut se payer à peu près ce qu'on veut. 90% des trentenaires de classe moyenne inférieure que je connais ont déjà 1-2 gosses, sont propriétaires, ont fait un gros mariage de fifou, voire se permettent déjà de divorcer et de se coltiner les frais d'avocat en prime :D
Mais la répression, ça dépend de quel style. Responsabiliser des parents dans un pays dont la sociologie forme avant tout une majorité d'adulescents depuis plusieurs décennies, à force de miser sur une éducation à la capacité de travail plutôt qu'à la maturité (et ça passe par une répression du manque d'intelligence et d'honneur au quotidien, plutôt qu'une simple répression policière et judiciaire sur ce qui n'est que des conséquences de la stupidité ambiante. Mais bon, ça passe par du jugement de valeur dans un pays de tolérance aveugle où c'est pô bien de juger les autres, donc là on coince). Faudrait déjà être franc sur le fait que les gens doivent désapprendre la politique de l'autruche, doivent apprendre à avoir les couilles de se regarder dans un miroir et d'exiger mieux d'eux-mêmes, et putain d'arrêter de se servir du gouvernement comme d'un défouloir continuel de leurs misères. Un gouvernement naît toujours au sein de son peuple : un gouvernement de branleurs pour un peuple de branleurs (Et puis, ça ne les excuse pas non plus, mais euh... à force de se faire chier dessus quotidiennement depuis des décennies, trainer dans la boue, caricaturer à longueur de temps, ils doivent se sentir vachement impliqués pour améliorer notre quotidien, ouhlala... Ce sont nos chefs, on doit vachement les faire se sentir nos chefs, zélés et fiers d'administrer un peuple mature et classe hohoho)
Après tout pourquoi pas? Puis ce qu'il y a de bien, c'est que du coup, la diversité, ce sera moi. Puis je pourrais aller boire du thé à la menthe en bas des immeubles, avec Tarik et Abd-el-Wahab, comme tu le fais si souvent.
Il en faudrait combien, tu penses, pour qu'on arrête de dire que l'Etat abandonne ces quartiers? Et sinon, ils en ont des gymnases, des piscines et des city-stades dans la Nièvre?
La belle rhétorique... Je constate que des villes plus petites sont pourvue de plus de gymnases d'infrastructures. Tu parles de Nevers, qui est une agglomération d'environ 34 000 habitants environ. Mieux qu'un long discours, tu peux comparer : https://www.nev...tions-sportives
Enfin, je constate aussi que l'argumentaire de droite extrême "oui mais ils ont de quoi faire du sport" pour acheter la paix sociale est toujours aussi caduque et sclérosé. Enfin, c'est bien, ça vous fait parler...
c'est bien le probleme.....c'est juste pas de la rhétorique, offérus te met a chaque fois le nez dedans....le pourcentage d"argent public / au nombre d'habitant? la proximité des bibliothèques? des cinéma? des centre culturels? et rout cela sans metro ni rer....
A Nevers il y a 7 stades pour 34 000 habitants, dans le 19 ème il y a 10 stades pour 186 000 habitants.
Je ne vais pas plus loin mais par moi l'argument d'offerus qui est "ça sert à rien de leur donner de l'argent public pour le sport, ils en ont déjà plein !" n'est pas bon.
Que le sport ne soit pas LA solution, on s'en doute. Mais penser que supprimer toute environnement et aide sociale est une solution...
Pour info dans une ville à côté de chez moi dans un "quartier où les loyers sont bas", il a été demandé à faire quelque chose pour que les jeunes arrêtent de traîner dans les hall et sur les bancs publics. La ville a construit un terrain de street basket/foot. Des jeunes vont donc jouer 3 ou 4 fois par mois dedans.
Cela à t'il résolu le sentiment d'insécurité de mamie quand elle croise un mec en survet sur son portable sur un bans public en bas de chez elle ? Non, elle a toujours peur des jeunes.
La mairie à fait ce qu'elle croyait le plus efficace, construire un terrain de sport de jeunes, pour qu' ils ne traînent plus sur les bancs et se bougent un peu.
Et politiquement les mecs comme Offerus pointent du doigt les dépenses en disant que c'est inutile. Ce n'est pas faux mais il faut pousser plus loin en se disant que la mairie ne peux pas faire beaucoup mieux avec les moyens qu'elle a, et que comme ced pense le mal est plus compliqué et que le plus simple c'est que mamie n'ai plus peur d'un jeune sur un banc public.
J'ai travaillé dans le social pendant des années (CAF, MSA...)
Le soucis c'est qu'aujourd'hui on a une generation qui est née de parents n'ayant connu que les allocations.
Le problème c'est que celle-ci pense que tout lui est dû.
Elle est complètement en décalage avec la réalité.
2018 ! Et dans le match du nouveau siècle qui oppose encore la poignée de fortuné face aux millions de sans futur, la classe moyenne avec sa petitesse d'esprit, a encore tranché ! les riches vainqueurs par KO !
Je donne plus volontiers à un filou de quartier, il me prendra moins qu'un filou de ministre.
j'ai été militaire pendant 17a et...j'ai fais moulte vigipirate/sentinel et...pour l avoir vécu je vous affirme que de tenter d'aider un jeune en galère et comme ce mettre soit même sous la guillotine juste pour voir...les jeunes des citées sont des pleurnichars feniant, vous galérez, bin l'armée recrute...seul contrainte, ce lever le matin et exécuter les ordres.
ps: en 2000 j'étais encore un galériun des citées de BORDEAUX perdu dans la société, j ai tenté l armée et aujourd'hui à seulement 36a je suis à la retraite
magnussoren Ver (re-)cyclable
Libel En réponse à magnussoren Vermisseau
... moins d'allocs peut-être ?
Boozy En réponse à Libel LoMBriK addict !
Parce que la situation est pas nouvelle et que ces mômes désœuvrés deviennent les parents qui ne peuvent pas transmettre une éducation du savoir vivre en société qu'ils n'ont pas reçu. Et si les parents n'y arrivent pas, cette mission devrait revenir à des gens qui en auraient la mission et les moyens (donc pas l'école actuelle qui tient plus lieu d'une garderie instructive qu'un lieu d'éducation).
magnussoren En réponse à Boozy Ver (re-)cyclable
Ced En réponse à magnussoren Lombrik
AchkaeL En réponse à Ced Vermisseau
Procrastinateur En réponse à AchkaeL Vermisseau
C'est vrai quoi, société de merde qui prend soin de son prochain...
Whismerhil En réponse à AchkaeL Vermisseau
Vostok En réponse à magnussoren Vermisseau
De vraies raisons, il y en déjà beaucoup :
- Le désœuvrement intellectuel de notre époque dans un pays où la culture n'a jamais été aussi disponible (internet comme médiathèque pas chère, voire gratuite pour les chômeurs). La faute à une scolarité ridiculement rébarbative qui ne récompense jamais les qualités, qui aboutit à une indépendance à l'age adulte où il suffit d'un contrat, de fric, de libertééé et de confoooort (et qui ramollit la cerveeeelle \o/)
(Voyez d'ailleurs ce reportage de France2 sur les écoles maternelles du Danemark : https://www.you...h?v=sBGnJ8Jl53k , la différence entre le tempérament de nouille trop cuite des Français et d'autres pays)
- La télé poubelle, vraiment besoin d'en dire plus ? J'ai fait un boycott de 5 ans de télé, avant d'être forcé à y revenir, le contraste est très très marqué, c'est violent. Ça éructe littéralement : "Cède à tes pulsions de gamins, choisis toujours le confort, les problèmes ne devraient pas exister, ils sont contre-nature (avec les challenges qui vont avec et qui font se sortir les doigts du cul, c'est pas dans un hamac mental qu'on se dépasse), on est tous victime de quelque chose et on mérite tous compensation, etc, etc..."
- Les valeurs de liberté aveugle et de tolérance aveugle (corrélation avec la foi aveugle du moyen-âge) depuis les années 2000 et surtout depuis les attentats. Dans l'absolu, un gars qui prend toutes les libertés qu'il veut et qui s'attend à tout se faire tolérer, ça s'appelle un sociopathe, je crois non ? J'étais en coloc avec un rescapé du Bataclan, après 6 mois de victimisation de la part de son entourage et des médias, le mec était à la limite de la psychopathie, il se comportait avec les gens comme avec des objets, terminée la maturité, terminé le respect.
Il y a beaucoup d'autres raisons encore, mais le problème se situe à la racine sur les Français, les cités ne sont qu'une conséquence logique... (Je dis pas qu'ils n'en tiennent pas une couche non plus hein :D ). Alors les allocs hein... Bwarf....
Libel En réponse à Boozy Vermisseau
La République n'a plus le sous.
L'argent n'est pas gratuit.
Celui qui casse paie.
...
Ou bien on réforme la Justice des mineurs et à la poubelle l'ordonnance de 1945 (primauté de l’éducatif sur le répressif) ?
Ced En réponse à Libel Lombrik
Et il n'y a jamais eu autant de millionnaires et de milliardaires dans ce pays. Donc bon, l'argument est quand même un peu osé en disant qu'il n'y a plus d'argent.
Mais c'est vrai que ça demande moins de courage de s'en prendre aux précaires, en collant tout le monde dans le même panier au passage (rien à foutre, ils habitent ailleurs!), plutôt qu'à essayer de redistribuer les richesses équitablement...
Putain, c'est devenu d'un niveau les discussions sur ce site, parfois...
Offerus En réponse à Ced Ne pas prendre au sérieux
AchkaeL En réponse à Ced Vermisseau
Procrastinateur En réponse à AchkaeL Vermisseau
AchkaeL En réponse à Procrastinateur Vermisseau
Procrastinateur En réponse à AchkaeL Vermisseau
et de l'autre côté de la caste sociale, il y a des milliers de chrétiens pétés de thunes, égoïstes et on accuse les juifs.
_pepe_ En réponse à Libel
Supprimer les allocs, ça ne toucherait que les plus pauvres. Au lieu de régler le problème, ça exacerberait la criminalité liée à cette pauvreté, et ça n'aurait aucun effet sur ceux qui sont suffisamment aisés.
xzat En réponse à _pepe_ Jeune lombric
L'Etat a déjà investi des millions de ces quartiers, bien plus qu'ailleurs et surtout que dans d'autres zones (notamment rurales) qui manquent cruellement, eux de moyen (et ils ne brulent pas les bibliothèques, ne caillassent pas flics, etc).
mlamla En réponse à xzat Vermisseau
xzat En réponse à mlamla Jeune lombric
Ced En réponse à xzat Lombrik
xzat En réponse à Ced Jeune lombric
Ced En réponse à xzat Lombrik
Sinon, tu peux aussi apprendre les saisons en lisant, par exemple, ce manuel :
xzat En réponse à Ced Jeune lombric
(D'ailleurs, je ne vois aucun rapport avec mon commentaire, remarque, avec toi, j'ai pris le réflexe de ne plus réfléchir sur tes commentaires.)
Aller ciao.
Procrastinateur En réponse à xzat Vermisseau
Ceux qui ont crées les banlieues sont des urbanistes qui voulaient densifier les villes mais surtout permettre aux habitants des zones rurales de trouver une habitation accessible et de supprimer les bidonvilles, alors, oui, peut être des gens comme Ced, mais en soi ça a marché et ça a boosté les grandes villes.
Ceux qui ont transformés ces zones en zone de merde sont les petits bourgeois et les commerçants, les copains ou héritiers moraux de Poujade ou les conservateurs des campagnes (pas des gens comme Ced) qui ne voulaient pas voir de moricauds (par ignorance souvent ou peur de l'inconnu) dans leur beau village ou centre ville et refusaient de leur louer ou de leur vendre, en somme ont refusé de les intégrer dans leur pays, ce qui a amené ces gens à aller là ou ils pouvaient, les nouveaux quartiers : les banlieues.
Là les investisseurs (pas des gens comme Ced) s'en branlaient tant que l'argent rentrait, mais bon pourquoi investir pour des étranger, on ne répare pas, on laisse pourrir, les blancs sont de toute façons minoritaires désormais, puis quand ça merde vite demandons à l'état de les gérer.
Donc accuser les "gens comme Ced" alors que finalement c'est le refus de prévention lié aux idéaux identitaires et les intérêts financiers personnels : l’égoïsme et l'ignorance qui ont précipités cette situation, une somme d’intérêts personnels qui ont généré un refus d’intégrer les autres et cet égoïsme cherche à rejeter la responsabilité.
En soi le problème de fond c'est justement les raccourcis comme la dénomination des "gens comme lui", comme si Ced ou même toi pouvaient être réduit à un modèle strict sans compromis, comme si finalement un mec raciste ne pouvait pas être membre de médecins du monde, qu'un mec pété de thune ne pouvait pas trouver ça normal d'en reverser une grosse partie, en gros que ces pseudo-modèles ou groupes ne sont qu'une façon comme une autre de diriger les masses et que regarder le monde par ce prisme c'est se faire manipuler en se privant d'une réflexion un peu plus profonde que cette surface stérile.
xzat En réponse à Procrastinateur Jeune lombric
Si je te suis, ces zones ont étés construites puis les personnes (immigrés + français d'origines) sont venus y habiter mais ... les français d'origines n'ont pas voulu se mélanger ? Les français sont partis après en vivant la réalité du -multi-culturalisme- que personne ne veut vivre (français d'origines ou non, en France ou ailleurs). D'ailleurs, il en reste, comme des personnes âgées (d'origine françaises) qui n'ont plus la possibilité de fuir et subissent donc.
Suffit, pour exemple à Paris, de constater (à configuration/bâtiment identique) le résultat entre un quartier multi-culturel et un homogène. Je te laisse te renseigner.
Quand à tes propos sur la manière dont je défini Ced, du blabla, je préfère la réalité.
Quand à tes idées (zones abandonnées), c'est totalement faux. Les zones rurales sont abandonnées, pas ces quartiers. On peut cependant comprendre qu'à chaque fois qu'un mec de ces quartiers se fait arrêter et donc que les bâtiments publiques brûlent, les flics et pompiers se font caillasser, etc, on arrête à force d'investir, un minimum de logique. Sans parler des écoles, il y a un manque de moyen, mais il est moins important que dans les zones rurales, l'état investi beaucoup plus dans ces quartiers que dans les villages où les écoles ferment.
_pepe_ En réponse à xzat
D'une part, la délinquance est également le fait d'enfants de gens aisés (dont les allocs sont faibles et qui n'en ont pas vraiment besoin) et d'enfants uniques (qui n'ont pas droit aux allocs). En coupant les allocs, on ne s'en prend finalement qu'à la catégorie la plus défavorisée de la population, ce qui peut créer un sentiment de persécution propre à susciter encore plus de comportements anti-sociaux.
D'autre part, la délinquance est, dans de nombreux cas, incitée par la tentation d'améliorer sa situation économique, dans des proportions bien supérieures à ce que les allocs peuvent rapporter aux parents. Couper les allocs aux familles nécessiteuses d'ados qui commencent à faire des bêtises pour diverses raisons, c'est créer les conditions pour que ces derniers finissent par verser sérieusement dans le vol, le racket, la prostitution ou le trafic de drogue, par pure nécessité.
La principale conséquence d'une telle "solution" serait donc de rajouter de bonnes raisons pour que cette délinquance empire.
Quant à la répression et à l'éducation, le problème est juste qu'elles ne sont pas appliquées comme il le faudrait. Cela ne sert plus à grand chose d'envoyer la police après avoir attendu que les quartiers sont déjà en feu.
Ced En réponse à _pepe_ Lombrik
Je ne sais pas si tu connais mais, si oui, trouves-tu qu'il soit facile de vivre entasser dans des zones abandonnées, souvent loin de tout service public ? Personnellement, j'y ai vécu et j'ai toujours eu des difficultés là-dessus à constater ces inégalités.
Offerus En réponse à Ced Ne pas prendre au sérieux
Allez, écoutons un peu le vieux sage. https://www.you...h?v=AlS2vyUQ3t8
AchkaeL En réponse à Offerus Vermisseau
_pepe_ En réponse à Ced
La répression, ça devrait commencer dès la première incivilité, dès le « premier carreau cassé » (pour reprendre une expression new-yorkaise), et consister en des dispositions proportionnées et graduelles. Rappelons qu'un passage au poste de police, le simple remboursement des dommages occasionnés, le paiement d'une amende ou la condamnation à des travaux d'intérêt général sont des exemples de réponses répressives déjà susceptibles de remettre sur le droit chemin des individus qui s'en écartent, notamment par manque d'éducation ou de sens moral. Les peines de prison prévues par la loi seraient bien plus incitatives si l'on ne remettait pas dehors les coupables de délits plus graves quelques heures après leur arrestation, et si le chaos des prisons n'entretenait pas le cercle vicieux de la délinquance en servant d'école de la criminalité.
Bref, c'est à mon sens principalement le manque d'éducation civique et morale et de répression adaptées qui a abouti à la situation actuelle. Les responsables sont autant les politiques que les intellectuels qui ont prôné l'abolition de ces bases de notre vie en société, et l'on réalisée, les premiers matériellement, les seconds dans les esprits.
Il se trouve que j'ai vécu, étant jeune, dans une grande cité de banlieue avec beaucoup de gens pauvres, un fort taux d'immigrés et des jeunes désœuvrés, révoltés et souvent difficiles à canaliser. Beaucoup peuvent témoigner qu'à cette époque, pour eux la vie était dure. Malgré cela, durant des années cette cité est restée parfaitement vivable, car on a su y régler les nombreux problèmes sociaux et les questions de délinquance locale dès qu'ils apparaissaient.
Les choses ont dégénéré lorsqu'on a commencé à « laisser faire », à accepter de plus en plus les incivilités (parce que c'était dans l'air du temps), puis progressivement à voir disparaître la police (sauf quand l'irréparable était commis), les bandes rivales s'affronter et les voitures brûler.
Le résultat, c'est que la cité est actuellement aux mains de caïds et de chefs religieux (ce sont parfois les mêmes), souvent étrangers, qui dictent leurs propres lois, en totale contradiction avec celles de la République. Autant dire qu'il ne fait pas bon s'y aventurer, même en plein jour.
Les jeunes qui y habitent maintenant s'estiment malaimés, délaissés, et trouvent normal de casser ou d'agresser quand (comme dans la vidéo) ils s'ennuient, dehors, à trois heures du matin (au lieu de dormir) ! Et pour nombre d'entre eux, la criminalité fait office de lettres de noblesse. Or, tout bien considéré, ils n'ont rien à envier aux jeunes de la cité de mon époque. La différence, c'est que ces derniers savaient mieux se tenir et étaient plus respectueux des autres et de l'ordre républicain, parce que les adultes (parents et concitoyens) les éduquaient et s'en occupaient sans attendre que la mairie ou l'État s'en chargent pour eux.
Vostok En réponse à _pepe_ Vermisseau
Mais la répression, ça dépend de quel style. Responsabiliser des parents dans un pays dont la sociologie forme avant tout une majorité d'adulescents depuis plusieurs décennies, à force de miser sur une éducation à la capacité de travail plutôt qu'à la maturité (et ça passe par une répression du manque d'intelligence et d'honneur au quotidien, plutôt qu'une simple répression policière et judiciaire sur ce qui n'est que des conséquences de la stupidité ambiante. Mais bon, ça passe par du jugement de valeur dans un pays de tolérance aveugle où c'est pô bien de juger les autres, donc là on coince). Faudrait déjà être franc sur le fait que les gens doivent désapprendre la politique de l'autruche, doivent apprendre à avoir les couilles de se regarder dans un miroir et d'exiger mieux d'eux-mêmes, et putain d'arrêter de se servir du gouvernement comme d'un défouloir continuel de leurs misères. Un gouvernement naît toujours au sein de son peuple : un gouvernement de branleurs pour un peuple de branleurs (Et puis, ça ne les excuse pas non plus, mais euh... à force de se faire chier dessus quotidiennement depuis des décennies, trainer dans la boue, caricaturer à longueur de temps, ils doivent se sentir vachement impliqués pour améliorer notre quotidien, ouhlala... Ce sont nos chefs, on doit vachement les faire se sentir nos chefs, zélés et fiers d'administrer un peuple mature et classe hohoho)
Guaruda En réponse à magnussoren Asticot
Ou le système de Starship Troopers, c'est bien ça aussi.
Bellus
JeanGuyLeClassieux Ver-sace
(je le reposte, me suis trompé de doublon)
Jean-Rachid Vermisseau
Procrastinateur En réponse à Jean-Rachid Vermisseau
Jean-Rachid En réponse à Procrastinateur Vermisseau
Offerus Ne pas prendre au sérieux
Ah au fait, la liste des équipements sportifs du XIXème arrondissement. On sent bien l'abandon.
Ced En réponse à Offerus Lombrik
Mais puisque ça a l'air si cool, toi aussi tu devrais y aller!
Offerus En réponse à Ced Ne pas prendre au sérieux
Il en faudrait combien, tu penses, pour qu'on arrête de dire que l'Etat abandonne ces quartiers? Et sinon, ils en ont des gymnases, des piscines et des city-stades dans la Nièvre?
Ced En réponse à Offerus Lombrik
Enfin, je constate aussi que l'argumentaire de droite extrême "oui mais ils ont de quoi faire du sport" pour acheter la paix sociale est toujours aussi caduque et sclérosé. Enfin, c'est bien, ça vous fait parler...
magnussoren En réponse à Ced Ver (re-)cyclable
Ced En réponse à magnussoren Lombrik
C'est bien, l'espoir fait vivre.
Les sectes aussi, d'ailleurs.
gwen En réponse à magnussoren Vermisseau
Je ne vais pas plus loin mais par moi l'argument d'offerus qui est "ça sert à rien de leur donner de l'argent public pour le sport, ils en ont déjà plein !" n'est pas bon.
Que le sport ne soit pas LA solution, on s'en doute. Mais penser que supprimer toute environnement et aide sociale est une solution...
Pour info dans une ville à côté de chez moi dans un "quartier où les loyers sont bas", il a été demandé à faire quelque chose pour que les jeunes arrêtent de traîner dans les hall et sur les bancs publics. La ville a construit un terrain de street basket/foot. Des jeunes vont donc jouer 3 ou 4 fois par mois dedans.
Cela à t'il résolu le sentiment d'insécurité de mamie quand elle croise un mec en survet sur son portable sur un bans public en bas de chez elle ? Non, elle a toujours peur des jeunes.
La mairie à fait ce qu'elle croyait le plus efficace, construire un terrain de sport de jeunes, pour qu' ils ne traînent plus sur les bancs et se bougent un peu.
Et politiquement les mecs comme Offerus pointent du doigt les dépenses en disant que c'est inutile. Ce n'est pas faux mais il faut pousser plus loin en se disant que la mairie ne peux pas faire beaucoup mieux avec les moyens qu'elle a, et que comme ced pense le mal est plus compliqué et que le plus simple c'est que mamie n'ai plus peur d'un jeune sur un banc public.
https://youtu.be/ML3QbTy7qxY
Kim-Jong-un En réponse à Ced Vermisseau
Ced En réponse à Kim-Jong-un Lombrik
Kim-Jong-un En réponse à Ced Vermisseau
Rap-tout Vermisseau
Le soucis c'est qu'aujourd'hui on a une generation qui est née de parents n'ayant connu que les allocations.
Le problème c'est que celle-ci pense que tout lui est dû.
Elle est complètement en décalage avec la réalité.
hoodoo Vermisseau
Je donne plus volontiers à un filou de quartier, il me prendra moins qu'un filou de ministre.
lapelleatarte Vermisseau
popi Vermisseau
ps: en 2000 j'étais encore un galériun des citées de BORDEAUX perdu dans la société, j ai tenté l armée et aujourd'hui à seulement 36a je suis à la retraite