Attention le système français les pensions... c'est finit depuis longtemps. Il n'y a que pension alimentaire à l'ex femme ou l'ex mari en fonction de sa perte de revenu et pension si jamais c'est pas une garde 50/50 pour les enfants.
La meuf qui se barre avec tout c'est juste un mythe des grande stars de cinéma au divorce à l'Américaine.
Sauf que la langue utilisée dans la BD laisse suggère que cela ne déroule pas en France. En France, c'est le juge qui va statuer sur la répartition des biens, si les ex-epoux ne sont pas en accord sur cette répartition. Je suppose qu'il va apporter un regard humain, mais y a de grande chance pour qu'il donne à la personne qui aura la garde des enfants, les moyens d'élever ces enfants.
En France la garde des enfants c'est du 50/50 sauf si il y a des problèmes à concilier et dans ce cas le parent qui fait moins de garde doit un montant à celui qui en fait plus pour couvrir les frais supplémentaires du premier parent. Frais qui doivent être réajuster dès qu'il y a des changements de revenus....
Du coup non en aucun cas en France il n'y aura ce genre de souci.
cela dépend sous quel régime on est marié, par contre dans 90% des cas c'est la femme qui a la garde et c'est aussi elle qui empoche la pension, et comparé au homme elle peut bénéficier de l'aide au logement femme isolée qui lui paye son loyer entièrement si elle ne travaille pas.
C'est exacte. Dans 10% des cas, le père a la garde, 20% garde partagée, 70% la garde revient à la mère. Donc dans 70% des cas, le juge devra s'assurer que la mère sera, financièrement capable, d'élever ses enfants. Donc je pense qu'il va largement favoriser la femme dans le calcule de la répartition des biens acquis pendant le mariage, ainsi que pour déterminer la pension alimentaire.
Si je ne m'abuse ici la femme a trompé son mari et c'est explicitement dit, dans ce cas en France on va plutôt trancher en faveur du mari, s'il apporte la preuve que le divorce est entièrement de sa faute.
Ca fait longtemps que l'adultère n'est plus considéré comme une faute. Déjà, il faut fournir une batterie de preuves. Mais en plus, il faut montrer que l'écart de conduite a eu de forte répercussion sur la vie de famille. Il arrive que le juge "excuse" l'adultère pour certaines raisons, comme la détresse sentimentale, ou l'absence répété du mari.
En pratique, grâce au féminisme moderne, à la lenteur de la Justice (multiplication des recours et des délais) et au sabotage des procédures de divorce et de liquidation par les différents intervenant (JAF – majoritairement des femmes –, avocats et notaires), lesquels interprètent le droit comme bon leur semble (ou l'ignorent intentionnellement), les « meufs » parviennent encore assez souvent à tout garder et obtenir encore plus.
Presque systématiquement elles se voient confier la garde des enfants, ainsi que les biens du ménage (maison, meubles, voiture, etc.) qu'elles peuvent ensuite conservent en faisant s'éterniser cette situation provisoire. Elles peuvent par ailleurs espérer toucher plus que le barème « conseillé » pour la pension alimentaire, et prétendre à des aides sociales, tout en continuant à mettre les ex à contribution pour des frais qui ne devraient normalement plus les concerner (remboursements de prêts, taxes, charges, dépenses déjà prévues dans la pension, ...), parfois même s'ils n'en ont plus les moyens.
Je ne compte plus les « pauvres » divorcées qui ont pu racheter la totalité de la maison du ménage avec les économies ainsi réalisées sur plusieurs années, tandis que leurs ex ont fini locataires de petits studios.
Quand 3 mariages sur 5 aboutissent à un divorce dans le 2 à 5 ans, que les gens ne se marient plus QUE pour le Meilleur, alors oui en effet, nous sommes dans une époque ou il vaut mieux ne pas se marier ! (Perso, hormis le côté administratif actuel statut légal du conjoint statut des gosses... OK !, j'ai toujours vu le mariage comme un truc d'un autre siècle où il était d'avantage un droit légal de propriété qu'un homme obtenait sur une femme), mais bon... il y a aussi des mariages heureux et plein d'amour, mais c'est si rare que c'en est presque anecdotique... Il y a tellement de gens coincés dans des mariages qui font naufrage qu'il vaut mieux rester libre, ça n'empêche pas d'aimer très fort, c'est juste que quand c'est mort, bien c'est "salut, au revoir et bonne continuation..." c'est tellement plus simple !
« les gens ne ne marient que pour le meilleur ». Ben en même temps, qui veut se marier pour le pire ? Le divorce ne devrait pas forcément être un synonyme d'échec. Ce n'est plus une fatalité de divorcer aujourd'hui dans la mesure ou dans la plupart des couples, les deux partenaires ont un emploi. La monogamie a subsisté longtemps parce que c'était un impératif socio-économique, mais on vit à une période ou on peut s'émanciper de ce modèle contraignant. La réalité c'est que la plupart des gens s'aiment puis se lassent de leur partenaire plusieurs fois dans leur vie. On a besoin de changement et d'aventure, ça fait partie de la nature humaine. Autrefois on restait ensemble, quitte à se tromper ou à être malheureux, aujourd'hui on divorce et on peut refaire sa vie. Est-ce vraiment pire ? Je ne trouve pas. Non, la seule chose qui est vraiment insupportable, c'est que la procédure soit aussi complexe, coûteuse et parfois (souvent ?) injuste pour l'un ou l'autre des partenaires. Il faudrait simplifier la procédure pour pouvoir se séparer plus simplement et plus sereinement, comme pour le PACS. D'ailleurs, c'est une des principales raisons pour laquelle ma copine et moi avons préféré le PACS au mariage.
Beaucoup semblent hélas avoir oublié qu'en principe on ne se marie pas juste pour avoir un(e) partenaire sexuel(le) sous la main, mais dans le but d'assumer un rôle social essentiel, à savoir fonder une famille et pourvoir aux besoins matériels et psycho-affectifs de ses membres, notamment au travers d'une entraide et d'une mutualisation des moyens prévues par la loi, et recevoir en retour des avantages et une protection de l'État et de la nation. En général, les conjoints ont des enfants, les élèvent, les éduquent et leur assurent un patrimoine, mais on peut aussi envisager une famille sans enfant reposant sur les mêmes engagements, droits et obligations.
Je conseille vivement à ceux qui ne seraient pas d'accord avec cet énoncé de relire le code civil !!!
Donc a priori, si l'on se marie, c'est surtout « pour le pire », puisque l'intérêt principal du mariage est de contraindre les conjoints à continuer de remplir ces devoirs lorsqu'ils n'y trouvent plus de motivation personnelle.
Malheureusement, au cours de ces dernières décennies, en même temps que nos concitoyens perdaient le sens des responsabilités et gagnaient en « individualisme » (euphémisme pour « égoïsme »), il est devenu de plus en plus facile de divorcer. Aujourd'hui on peut, plus que jamais, mettre facilement fin au mariage quand l'un des partenaires n'a plus envie d'« honorer » l'autre ou n'obtient plus de lui les avantages matériels initialement escomptés. Et qu'importe si les gamins trinquent ou si le reste de la société doit payer les pots cassés ! (Pour rappel, il y a en France 5,3 millions de personnes en famille monoparentale – majoritairement aidée – et dont plus du tiers vit au-dessous du seuil de pauvreté.)
Ce qui est intolérable, c'est donc plutôt que les divorces ne soient pas plus difficiles, et que le reniement des engagements pris devant M. le maire et ses conséquences vis-à-vis des tiers (enfants, contribuables, ...) ne soit pas durement sanctionnés.
Car enfin, puisque les mœurs semblent s'être libérées, il ne devrait plus y avoir d'intérêt à convoler juste pour donner un cours provisoire à des histoires de c*l contraceptisées. D'autre part, quand on conçoit des enfants, il faut les assumer jusqu'au bout, et ne pas prétendre pouvoir leur « recomposer une famille » à chaque nouvelle démangeaison à l'entrejambe ou au porte-feuille.
Vider ainsi le mariage de son sens, c'est un peu comme réduire le rôle de l'épouse à celui d'une p*te en contrat d'exclusivité à durée indéterminée, et le rôle de l'époux à celui de pigeon (l'inverse est aussi envisageable). En tout cas, c'est participer activement à la déliquescence de notre civilisation, dont la famille représentait il y a encore peu le seul ciment à peu près pertinent et durable... On n'est pas des lapins, que diable !
Ouahou. T'as vraiment une vision archaïque et hyper-utilitariste de la famille et de la société.
Si je résume ton point de vue, il faut mieux rester avec quelqu'un qu'on peut plus blairer quitte à se taper dessus devant les gniards juste pour... Quoi au juste ? Parce que pour les gosses tu es hors- sujet vue que les devoirs envers les enfants ne cessent en aucun cas avec le divorce. Quand à la pauvreté, elle s'en passe très bien aussi. Mais bon peut-être que ton modèle de société idéale c'est à l'orientale avec les mariages arrangés et les dots... Effectivement au niveau "patrimoine" les familles y tirent leur épingle du jeu mais alors, bonjour la vie de merde.
Mais la famille, le mariage et la société sont justement fort utiles, voire indispensables. S'ils n'existent, c'est parce qu'ils maintient des liens essentiels entre les individus, sur la durée et bien au-delà de leur volonté inconstante, et assurent la transmission des valeurs matérielles et morales. Si les gens ne faisaient que ce qu'ils ont envie de faire sur le moment, sans avoir à tenir leurs engagements passés ni s'imposer d'entretenir des relations privilégiées, il n'y aurait pas de société (l'humanité ne serait peut-être même pas en mesure de survivre).
Et non, ce ne sont pas des « archaïsmes », mais les éléments centraux d'un système qui a fonctionné durant des millénaires et qui a rendu possible l'essor de notre civilisation, en lui imposant une cohésion et une continuité.
Je déplore qu'aujourd'hui, avec la mode de l'obsolescente programmée (biens, idées, institutions, tout devient obsolète après quelques années) et de l'individualisme, on s'autorise à jeter son compagnon comme un vulgaire objet au lieu de s'efforcer à entretenir une relation de cohabitation et de collaboration acceptable, comme on le ferait normalement avec n'importe quel autre humain. [ Mais ça doit être difficile à comprendre, pour quelqu'un qui pense que le mariage ne sert qu'à b**ser, et qui ne voit pas d'alternative à taper sur ceux qu'on refuse de supporter... ;-) ].
Le divorce devrait n'être réservé qu'à des cas extrêmes et exceptionnels, car en tout état de cause rien ne justifie que le taux de divorce soit supérieur à 50% en France... sinon que les gens ont perdu leur conscience sociale et le sens des responsabilités, qu'ils ne savent plus vivre ensemble, et qu'ils se sont résignés à enchaîner des situations précaires. Je crains qu'à force de vouloir profiter de la société sans vraiment s'efforcer de contribuer à ce qui en fait son essence, on ne fasse qu'accélérer son état de délabrement, qui est actuel déjà bien avancé.
S'agissant des devoirs envers les enfants (qui ne se limitent pas à les loger et à les nourrir), tu oublies qu'ils sont en pratique majoritairement réduits du fait de l'éclatement de la famille et de ses conséquences financières et matérielles... Il serait par exemple idiot de prétendre que l'absence ne constitue pas un obstacle au soutien et à l'éducation de sa progéniture. Quant à la pauvreté, les chiffres parlent d'eux-mêmes : taux de pauvreté trois fois plus élevé après divorce.
Le mariage n'est certainement pas parfait, mais il reste indubitablement l'institution qui a le mieux marché et a été la plus bénéfique à l'humanité. Mais puisque tu parles de « vie de merde », tu as déjà arrêté une date de séparation avec ta copine, et tes gosses n'y voient pas d'inconvénient (... à moins que ce ne soit déjà pas les tiens) ? ;-)
On a fonctionné aussi pendant des millénaires sans électricité. Ce n'est pas un argument valable. Le monde change, très vite depuis quelques décennies et pas forcément pour le pire contrairement à ce qu'on dit. La médecine et le niveau de vie se développement à toute vitesse donc que ça puisse être lié à des bouleversements sociaux n'est pas très étonnant, cela ne les rend pas nécessairement nuisibles. Que la société et la famille soient nécessaire, je suis d'accord, mais pas le mariage. Le lien social s'en passe très bien, tout comme le désir de convoler.
« Le mariage ne sert qu'à baiser »... Ça doit être la phrase la plus absurde de tout ton argumentaire. Le mariage, c'est précisément la chose dont on se tient bien loin quand on veut baiser !
« rien ne justifie que le taux de divorce soit supérieur à 50% en France... » Ben.... Si. Le fait de vouloir vivre heureux, tout simplement. Faut vraiment avoir un pète au casque pour y voir une simple question de cul. Par ailleurs, divorcer ne signifie pas cesser «jeter l'autre» comme tu dis, surtout si il y a des enfants. J'ai l'impression que le problème avec ta vision des choses c'est que tu ne considères pas qu'il puisse avoir une forme de lien social et familial en dehors de la vision monolithique du couple monogame, ce qui est complètement absurde. J'en sais quelque chose, je suis issu d'une famille dans laquelle "divorce" est le maître mot. Mes parents sont divorcés, mes grands-parents, mes tantes... Et pourtant ma famille est hyper-soudée. Récemment ma chérie et moi avons fêté notre pacs et tout le monde était réuni, chacun avec son conjoint. Je ne comprends même pas comment on peut ne pas voir l'absurdité de s'acharner à faire marcher artificiellement une relation fondamentalement dysfonctionnelle, à moins de considérer les individus comme des sortes d'objets sans émotions.
Et je ne n'adhère pas davantage à ta vision cynique (mais populaire, je le reconnais) de la modernité où progrès serait fatalement synonyme de déchéance morale.
L'argument est parfaitement valable, car on est précisément dans la situation inverse : on a vécu durant des millénaires AVEC le mariage (et en partie grâce à lui), mais SANS électricité. Et quand on considère ce que les deux ont apporté à notre civilisation, suggérer qu'il faudrait SUPPRIMER l'un ou de l'autre pour des raisons de (soi-disant) modernité apparaîtrait comme carrément déraisonnable.
Alors, oui, le monde change. Mais pas en bien. Le délabrement du modèle familial a déjà nettement montré son côté nuisible (pauvreté, étiolement du tissu social, perte des repères, etc.). Il ne s'agit pas d'une création comme dans le cas du progrès médical, mais de la démolition d'une institution essentielle qui n'a toujours pas trouvé de remplaçant dans tous ses aspects.
N'avoir un partenaire que pour « baiser » était une sortie volontairement réductrice, mais elle résume assez bien ta vision qui consiste à considérer que le mariage ne serait qu'une question d'AGRÉMENT personnel auquel on doit mettre fin dès qu'on est lassé.
Si l'on avait pour seul mot d'ordre de mettre systématiquement fin aux situations personnellement contrariantes sous prétexte de « vivre heureux », alors on ne serait plus gouverné que par l'égoïsme, et cela aurait des conséquences sociales et individuelles désastreuses. Fort heureusement, nous ne faisons pas toujours ce que nous voulons, ce qui permet à la communauté humaine de trouver les moyens d'exister. Et ça n'implique pas pour autant de vivre malheureux.
Pour vivre ensemble on doit faire l'effort de s'adapter, de prendre sur soi et de positiver. C'est grâce à cela que, ces derniers millénaires, les couples ont pu durer. Et contrairement à ce que tu peux croire, les gens n'ont pas attendu que le nombre de divorces explose pour vivre heureux.
Car vivre heureux ne résulte pas tant du choix personnel de ses actes que du choix de ses sentiments vis-à-vis des situations vécues. Et il n'y a rien d'artificiel là-dedans, juste de l'intelligence. Penser mener une « vie de merde » dénote généralement une incapable à s'adapter, à gérer ses émotions ou à tirer des jugements personnels positifs... ou parfois l'influence nocive d'un tiers (on dit que le divorce est contagieux).
Mais puisque tu dis être issu d'une famille de divorcés, je comprends mieux que tu ne puisses pas envisager le type de relations nécessaires à un couple pour continuer de remplir ses engagements au-delà de la durée de ses « envies naturelles » (lesquelles s'estompent après quelques années). Ta famille et toi-même perpétuez certainement ce handicap qui vous empêche de tisser et de maintenir des liens aussi poussés que ceux résultant d'un mariage durable. Si elle était aussi soudée que tu le prétends, ta famille n'aurait pas connu de séparations, avec les conséquences dont tu ne sembles pas avoir pris conscience ou que tu ne parviens pas à admettre. (J'espère juste que ta chérie du moment a conscience qu'avec toi, elle est d'emblée placée sur un siège éjectable...).
Pour ma part, j'ai suffisamment servi de confident aux mariés, divorcés et familles recomposées pour m'être fait une opinion sur la qualité réelle des liens sociaux sous-jacent, et des coûts humains et matériels qu'entraînent ces deux dernières situations, notamment chez ceux qui n'avaient rien demandé. D'ailleurs, pour moi la modernité actuelle en matière de [fin du] mariage serait plutôt le synonyme d'une régression sociétale, objectivement confirmée par les indicateurs socio-économiques traitant spécifiquement de ces questions (contrairement à la déchéance morale, qui reste très subjective, et dont je ne vois pas l'intérêt de parler ici).
non, la solution reside ailleurs, 70% des couples libertins ne divorcent pas (stat à la con :D mais j'ai aucune idée d'ou vous sortez vos chiffres alors j'en profite) bref j'ai sais rien mais un couple plus ouvert, qui se parle qui pense au bonheur partagé et pas à sa petite gueule sans sort en général mieux.
Il n"y as rien de pire que de tomber dans l'habitude. chaque jour j'ai la confirmation de ce proverbe, osez l'exotisme osez la sodo... je m'égare mais le premier facteur clé c'est le dialogue franc sincère et une écoute doublé de ces critères
Il est évident que sans Facebook, aucune autre rencontre n'aurait pu avoir lieu. Meme les sites spécialisés (adopte-un-picto.com) sont marginaux par rapport cette enclave numérique. Et l'adultère inter-racial (une photo couleur avec une picto noir ?! Non mais allo !) devrait être puni de banissement de portes de toilettes.
Et je remarque dans notre plus grande honte que personne ne parle du manque de toilettes pour enfants, chien, toboggan, et maison.
ShakaSama LoMBriK addict !
Offerus En réponse à ShakaSama Ne pas prendre au sérieux
ShakaSama En réponse à Offerus LoMBriK addict !
La meuf qui se barre avec tout c'est juste un mythe des grande stars de cinéma au divorce à l'Américaine.
Tk je connais le droit de la famille français.
Pilleriik En réponse à ShakaSama Vermisseau
ShakaSama En réponse à Pilleriik LoMBriK addict !
Du coup non en aucun cas en France il n'y aura ce genre de souci.
R3dSkiN En réponse à ShakaSama Asticot
Pilleriik En réponse à R3dSkiN Vermisseau
Imourra En réponse à Pilleriik Vermisseau
Pilleriik En réponse à Imourra Vermisseau
_pepe_ En réponse à ShakaSama
En pratique, grâce au féminisme moderne, à la lenteur de la Justice (multiplication des recours et des délais) et au sabotage des procédures de divorce et de liquidation par les différents intervenant (JAF – majoritairement des femmes –, avocats et notaires), lesquels interprètent le droit comme bon leur semble (ou l'ignorent intentionnellement), les « meufs » parviennent encore assez souvent à tout garder et obtenir encore plus.
Presque systématiquement elles se voient confier la garde des enfants, ainsi que les biens du ménage (maison, meubles, voiture, etc.) qu'elles peuvent ensuite conservent en faisant s'éterniser cette situation provisoire. Elles peuvent par ailleurs espérer toucher plus que le barème « conseillé » pour la pension alimentaire, et prétendre à des aides sociales, tout en continuant à mettre les ex à contribution pour des frais qui ne devraient normalement plus les concerner (remboursements de prêts, taxes, charges, dépenses déjà prévues dans la pension, ...), parfois même s'ils n'en ont plus les moyens.
Je ne compte plus les « pauvres » divorcées qui ont pu racheter la totalité de la maison du ménage avec les économies ainsi réalisées sur plusieurs années, tandis que leurs ex ont fini locataires de petits studios.
Imourra En réponse à ShakaSama Vermisseau
sandrine65100 En réponse à Offerus
Super_King Lombric Shaolin
majin Lombric Shaolin
Ça me semble faisable
OuicheLorraine En réponse à majin Vermisseau
hokardjo Lombric Shaolin
Zebulon Man Faye Gang Bang Addict
john5 En réponse à Zebulon
_pepe_ En réponse à john5
Je conseille vivement à ceux qui ne seraient pas d'accord avec cet énoncé de relire le code civil !!!
Donc a priori, si l'on se marie, c'est surtout « pour le pire », puisque l'intérêt principal du mariage est de contraindre les conjoints à continuer de remplir ces devoirs lorsqu'ils n'y trouvent plus de motivation personnelle.
Malheureusement, au cours de ces dernières décennies, en même temps que nos concitoyens perdaient le sens des responsabilités et gagnaient en « individualisme » (euphémisme pour « égoïsme »), il est devenu de plus en plus facile de divorcer. Aujourd'hui on peut, plus que jamais, mettre facilement fin au mariage quand l'un des partenaires n'a plus envie d'« honorer » l'autre ou n'obtient plus de lui les avantages matériels initialement escomptés. Et qu'importe si les gamins trinquent ou si le reste de la société doit payer les pots cassés ! (Pour rappel, il y a en France 5,3 millions de personnes en famille monoparentale – majoritairement aidée – et dont plus du tiers vit au-dessous du seuil de pauvreté.)
Ce qui est intolérable, c'est donc plutôt que les divorces ne soient pas plus difficiles, et que le reniement des engagements pris devant M. le maire et ses conséquences vis-à-vis des tiers (enfants, contribuables, ...) ne soit pas durement sanctionnés.
Car enfin, puisque les mœurs semblent s'être libérées, il ne devrait plus y avoir d'intérêt à convoler juste pour donner un cours provisoire à des histoires de c*l contraceptisées. D'autre part, quand on conçoit des enfants, il faut les assumer jusqu'au bout, et ne pas prétendre pouvoir leur « recomposer une famille » à chaque nouvelle démangeaison à l'entrejambe ou au porte-feuille.
Vider ainsi le mariage de son sens, c'est un peu comme réduire le rôle de l'épouse à celui d'une p*te en contrat d'exclusivité à durée indéterminée, et le rôle de l'époux à celui de pigeon (l'inverse est aussi envisageable). En tout cas, c'est participer activement à la déliquescence de notre civilisation, dont la famille représentait il y a encore peu le seul ciment à peu près pertinent et durable... On n'est pas des lapins, que diable !
john5 En réponse à _pepe_
Si je résume ton point de vue, il faut mieux rester avec quelqu'un qu'on peut plus blairer quitte à se taper dessus devant les gniards juste pour... Quoi au juste ? Parce que pour les gosses tu es hors- sujet vue que les devoirs envers les enfants ne cessent en aucun cas avec le divorce. Quand à la pauvreté, elle s'en passe très bien aussi. Mais bon peut-être que ton modèle de société idéale c'est à l'orientale avec les mariages arrangés et les dots... Effectivement au niveau "patrimoine" les familles y tirent leur épingle du jeu mais alors, bonjour la vie de merde.
_pepe_ En réponse à john5
Et non, ce ne sont pas des « archaïsmes », mais les éléments centraux d'un système qui a fonctionné durant des millénaires et qui a rendu possible l'essor de notre civilisation, en lui imposant une cohésion et une continuité.
Je déplore qu'aujourd'hui, avec la mode de l'obsolescente programmée (biens, idées, institutions, tout devient obsolète après quelques années) et de l'individualisme, on s'autorise à jeter son compagnon comme un vulgaire objet au lieu de s'efforcer à entretenir une relation de cohabitation et de collaboration acceptable, comme on le ferait normalement avec n'importe quel autre humain. [ Mais ça doit être difficile à comprendre, pour quelqu'un qui pense que le mariage ne sert qu'à b**ser, et qui ne voit pas d'alternative à taper sur ceux qu'on refuse de supporter... ;-) ].
Le divorce devrait n'être réservé qu'à des cas extrêmes et exceptionnels, car en tout état de cause rien ne justifie que le taux de divorce soit supérieur à 50% en France... sinon que les gens ont perdu leur conscience sociale et le sens des responsabilités, qu'ils ne savent plus vivre ensemble, et qu'ils se sont résignés à enchaîner des situations précaires. Je crains qu'à force de vouloir profiter de la société sans vraiment s'efforcer de contribuer à ce qui en fait son essence, on ne fasse qu'accélérer son état de délabrement, qui est actuel déjà bien avancé.
S'agissant des devoirs envers les enfants (qui ne se limitent pas à les loger et à les nourrir), tu oublies qu'ils sont en pratique majoritairement réduits du fait de l'éclatement de la famille et de ses conséquences financières et matérielles... Il serait par exemple idiot de prétendre que l'absence ne constitue pas un obstacle au soutien et à l'éducation de sa progéniture. Quant à la pauvreté, les chiffres parlent d'eux-mêmes : taux de pauvreté trois fois plus élevé après divorce.
Le mariage n'est certainement pas parfait, mais il reste indubitablement l'institution qui a le mieux marché et a été la plus bénéfique à l'humanité. Mais puisque tu parles de « vie de merde », tu as déjà arrêté une date de séparation avec ta copine, et tes gosses n'y voient pas d'inconvénient (... à moins que ce ne soit déjà pas les tiens) ? ;-)
john5 En réponse à _pepe_
« Le mariage ne sert qu'à baiser »... Ça doit être la phrase la plus absurde de tout ton argumentaire. Le mariage, c'est précisément la chose dont on se tient bien loin quand on veut baiser !
« rien ne justifie que le taux de divorce soit supérieur à 50% en France... » Ben.... Si. Le fait de vouloir vivre heureux, tout simplement. Faut vraiment avoir un pète au casque pour y voir une simple question de cul. Par ailleurs, divorcer ne signifie pas cesser «jeter l'autre» comme tu dis, surtout si il y a des enfants. J'ai l'impression que le problème avec ta vision des choses c'est que tu ne considères pas qu'il puisse avoir une forme de lien social et familial en dehors de la vision monolithique du couple monogame, ce qui est complètement absurde. J'en sais quelque chose, je suis issu d'une famille dans laquelle "divorce" est le maître mot. Mes parents sont divorcés, mes grands-parents, mes tantes... Et pourtant ma famille est hyper-soudée. Récemment ma chérie et moi avons fêté notre pacs et tout le monde était réuni, chacun avec son conjoint. Je ne comprends même pas comment on peut ne pas voir l'absurdité de s'acharner à faire marcher artificiellement une relation fondamentalement dysfonctionnelle, à moins de considérer les individus comme des sortes d'objets sans émotions.
Et je ne n'adhère pas davantage à ta vision cynique (mais populaire, je le reconnais) de la modernité où progrès serait fatalement synonyme de déchéance morale.
_pepe_ En réponse à john5
Alors, oui, le monde change. Mais pas en bien. Le délabrement du modèle familial a déjà nettement montré son côté nuisible (pauvreté, étiolement du tissu social, perte des repères, etc.). Il ne s'agit pas d'une création comme dans le cas du progrès médical, mais de la démolition d'une institution essentielle qui n'a toujours pas trouvé de remplaçant dans tous ses aspects.
N'avoir un partenaire que pour « baiser » était une sortie volontairement réductrice, mais elle résume assez bien ta vision qui consiste à considérer que le mariage ne serait qu'une question d'AGRÉMENT personnel auquel on doit mettre fin dès qu'on est lassé.
Si l'on avait pour seul mot d'ordre de mettre systématiquement fin aux situations personnellement contrariantes sous prétexte de « vivre heureux », alors on ne serait plus gouverné que par l'égoïsme, et cela aurait des conséquences sociales et individuelles désastreuses. Fort heureusement, nous ne faisons pas toujours ce que nous voulons, ce qui permet à la communauté humaine de trouver les moyens d'exister. Et ça n'implique pas pour autant de vivre malheureux.
Pour vivre ensemble on doit faire l'effort de s'adapter, de prendre sur soi et de positiver. C'est grâce à cela que, ces derniers millénaires, les couples ont pu durer. Et contrairement à ce que tu peux croire, les gens n'ont pas attendu que le nombre de divorces explose pour vivre heureux.
Car vivre heureux ne résulte pas tant du choix personnel de ses actes que du choix de ses sentiments vis-à-vis des situations vécues. Et il n'y a rien d'artificiel là-dedans, juste de l'intelligence. Penser mener une « vie de merde » dénote généralement une incapable à s'adapter, à gérer ses émotions ou à tirer des jugements personnels positifs... ou parfois l'influence nocive d'un tiers (on dit que le divorce est contagieux).
Mais puisque tu dis être issu d'une famille de divorcés, je comprends mieux que tu ne puisses pas envisager le type de relations nécessaires à un couple pour continuer de remplir ses engagements au-delà de la durée de ses « envies naturelles » (lesquelles s'estompent après quelques années). Ta famille et toi-même perpétuez certainement ce handicap qui vous empêche de tisser et de maintenir des liens aussi poussés que ceux résultant d'un mariage durable. Si elle était aussi soudée que tu le prétends, ta famille n'aurait pas connu de séparations, avec les conséquences dont tu ne sembles pas avoir pris conscience ou que tu ne parviens pas à admettre. (J'espère juste que ta chérie du moment a conscience qu'avec toi, elle est d'emblée placée sur un siège éjectable...).
Pour ma part, j'ai suffisamment servi de confident aux mariés, divorcés et familles recomposées pour m'être fait une opinion sur la qualité réelle des liens sociaux sous-jacent, et des coûts humains et matériels qu'entraînent ces deux dernières situations, notamment chez ceux qui n'avaient rien demandé. D'ailleurs, pour moi la modernité actuelle en matière de [fin du] mariage serait plutôt le synonyme d'une régression sociétale, objectivement confirmée par les indicateurs socio-économiques traitant spécifiquement de ces questions (contrairement à la déchéance morale, qui reste très subjective, et dont je ne vois pas l'intérêt de parler ici).
john5 En réponse à _pepe_
Mais en fait t'es vraiment un beau salaud. Écoute, on va arrêter là ça vaut mieux.
Peewee Vermisseau
elfy Ver de vases
On crache souvent sur une institution, alors qu'en fait, c'est la personne qui fait un mauvais choix de partenaire.
vYse59 Lombric Shaolin
Il n"y as rien de pire que de tomber dans l'habitude. chaque jour j'ai la confirmation de ce proverbe, osez l'exotisme osez la sodo... je m'égare mais le premier facteur clé c'est le dialogue franc sincère et une écoute doublé de ces critères
jbsan Vermisseau
Voilà pourquoi je suis contre Facebook !
Il est évident que sans Facebook, aucune autre rencontre n'aurait pu avoir lieu. Meme les sites spécialisés (adopte-un-picto.com) sont marginaux par rapport cette enclave numérique. Et l'adultère inter-racial (une photo couleur avec une picto noir ?! Non mais allo !) devrait être puni de banissement de portes de toilettes.
Et je remarque dans notre plus grande honte que personne ne parle du manque de toilettes pour enfants, chien, toboggan, et maison.