j'ai pas assez l'oreille musicale pour juger de ce fait, en fait c'est juste techniquement que j'en parle et que pour de la musique qui n'est pas enregistrée électroniquement ^^
un son d'instrument est analogique, le vinyle aussi.
si on met sur cd ou mp3, le son analogique est traité numériquement est sera fatalement traduit par es 0 et des 1 :p http://blog.vin...ar-rapport.html
si le maillage de 1 et de 0 est assez fin l'oreille humaine a peu de chance de les déceler un peu comme un téléviseur 4 k voir les pixel a distance raisonnable (pas a 2 cm bande de petit malin )
est mission impossible et c'est souvent la plateforme d’écoute(ampli +enceintes+ lecteur) qui pèche le plus vite.
Pour réaliser la compression numérique, le codage MP3 élimine les informations les moins importantes du point de vue psycho-acoustique. Idéalement, ces informations correspondent à des sons que l'auditeur lambda ne devrait pas percevoir.
Mais en pratique, des sons audibles et importants pour le rendu musical sont parfois éliminés, même à des taux de compression très faibles. Et d'autres pertes et dégradations peuvent apparaître si le taux de compression imposé est trop important.
Par ailleurs, la plupart des logiciels de décodage MP3 ne restituent pas très fidèlement la partie théoriquement conservée.
Et cela s'ajoute aux éventuels défauts de la chaîne analogique, lesquels produisent des effets différents.
En ce qui me concerne, j'ai arrêté de considérer le MP3 comme un moyen d'enregistrement acceptable pour la HI-Fi le jour où j'ai redécouvert des détails subtils d'orchestration dans un enregistrement analogique dont j'avais pris l'habitude d'écouter la version en MP3 à haut débit. Depuis, cette expérience s'est reproduite en plusieurs occasions.
À partir du moment ou t'as un sampling rate au-dessus de 40 kHz (L'oreille humaine ne percevant rien au-dessus de 20 kHz) et une compression lossless, je vois mal comment il serait physiquement possible de faire la différence avec du purement analogique.
Mais l'inconvénient du FLAC, c'est que le taux de compression est variable, et reste en moyenne assez modéré. Pour certains types de musiques qui ne se prêtent pas bien à la prédiction linéaire, il est carrément exécrable. Par ailleurs, c'est un codage qui, encore aujourd'hui et contrairement au MP3, n'est pas supporté par de nombreux appareils. Mais ça s'améliore.
Concernant la fréquence d'échantillonnage, il est souvent préférable de monter bien au-delà de 40 kHz, afin de laisser une marge suffisante pour la réalisation du filtrage anti-repliement (qui doit agir entre 20 kHz et la moitié de cette fréquence d'échantillonnage). Une marge trop faible nécessite un filtrage complexe, et aboutit à une coupure abrupte avec des fluctuations du gain et des erreurs de phase. Un auditeur jeune peut les percevoir quand il y a de l'inter-modulation, et elles peuvent être gênantes pour certaines applications non-musicales. Aujourd'hui, il n'est plus rare de trouver du matériel qui autorise à travailler à 96 kHz ou 192 kHz...
Il ne faut pas abuser non plus. C'est très simple d'obtenir du bon MP3 toujours moins lourd que du Waw, faut juste pas faire n'importe quoi avec la fréquence d'échantillonage et le taux de compression.
M'enfin la blague reste drôle pour ceux qui mouillent un peu dans ce domaine ^^
Comme quoi quand on télécharge des MP3 c'est tellement de la mauvaise qualité que ça ne devrai pas être compté pour du piratage. Le piratage ne devrai considérer que les musique de bonne qualité.
yosegaman Jeune lombric
JeanGuyLeClassieux En réponse à yosegaman Ver-sace
yosegaman En réponse à JeanGuyLeClassieux Jeune lombric
un son d'instrument est analogique, le vinyle aussi.
si on met sur cd ou mp3, le son analogique est traité numériquement est sera fatalement traduit par es 0 et des 1 :p
http://blog.vin...ar-rapport.html
gneeeh En réponse à yosegaman Vermisseau
est mission impossible et c'est souvent la plateforme d’écoute(ampli +enceintes+ lecteur) qui pèche le plus vite.
_pepe_ En réponse à gneeeh
Pour réaliser la compression numérique, le codage MP3 élimine les informations les moins importantes du point de vue psycho-acoustique. Idéalement, ces informations correspondent à des sons que l'auditeur lambda ne devrait pas percevoir.
Mais en pratique, des sons audibles et importants pour le rendu musical sont parfois éliminés, même à des taux de compression très faibles. Et d'autres pertes et dégradations peuvent apparaître si le taux de compression imposé est trop important.
Par ailleurs, la plupart des logiciels de décodage MP3 ne restituent pas très fidèlement la partie théoriquement conservée.
Et cela s'ajoute aux éventuels défauts de la chaîne analogique, lesquels produisent des effets différents.
En ce qui me concerne, j'ai arrêté de considérer le MP3 comme un moyen d'enregistrement acceptable pour la HI-Fi le jour où j'ai redécouvert des détails subtils d'orchestration dans un enregistrement analogique dont j'avais pris l'habitude d'écouter la version en MP3 à haut débit. Depuis, cette expérience s'est reproduite en plusieurs occasions.
pYranha En réponse à _pepe_ Lombreek
À partir du moment ou t'as un sampling rate au-dessus de 40 kHz (L'oreille humaine ne percevant rien au-dessus de 20 kHz) et une compression lossless, je vois mal comment il serait physiquement possible de faire la différence avec du purement analogique.
_pepe_ En réponse à pYranha
Mais l'inconvénient du FLAC, c'est que le taux de compression est variable, et reste en moyenne assez modéré. Pour certains types de musiques qui ne se prêtent pas bien à la prédiction linéaire, il est carrément exécrable. Par ailleurs, c'est un codage qui, encore aujourd'hui et contrairement au MP3, n'est pas supporté par de nombreux appareils. Mais ça s'améliore.
Concernant la fréquence d'échantillonnage, il est souvent préférable de monter bien au-delà de 40 kHz, afin de laisser une marge suffisante pour la réalisation du filtrage anti-repliement (qui doit agir entre 20 kHz et la moitié de cette fréquence d'échantillonnage). Une marge trop faible nécessite un filtrage complexe, et aboutit à une coupure abrupte avec des fluctuations du gain et des erreurs de phase. Un auditeur jeune peut les percevoir quand il y a de l'inter-modulation, et elles peuvent être gênantes pour certaines applications non-musicales. Aujourd'hui, il n'est plus rare de trouver du matériel qui autorise à travailler à 96 kHz ou 192 kHz...
hokardjo Lombric Shaolin
M'enfin la blague reste drôle pour ceux qui mouillent un peu dans ce domaine ^^
gneeeh Vermisseau
afturgugluck Vermisseau
Narf LoMBriK addict !
Bellus