Ouep, m'enfin, si l'étoile est judéo-chrétienne, pour noël...dis-donc Lelombrik, tu as de drôles d'utilisateurs. M'enfin, jte comprend, les jeter les conforteraient...
@Boozy: C'est l'Allemagne et l'Angleterre qui importent leurs produits dans l'Europe, m'est d'avis que ce sont les autres pays qui devront se pencher en avant les premiers, si 'les chinois' tiennent tant que ça à annihiler l'économie des cons qui achètent leurs merdes.
@Ixidor30: il m'est d'avis que pour faire avaler de la m··de à quelqu'un contre son gré, il faut précisément le tenir fermement.
Aujourd'hui, la m··de chinoise est encore bon marché, alors les européens l'avalent sans trop de réticence. Ils avalent aussi la m··de américaine hors de prix, mais c'est parce que ce sont les États-Unis qui les tiennent, et parce qu'ils sont souvent trop couillons pour se rendre compte par eux-mêmes que, finalement, c'en est aussi, de la m··de !
Par ailleurs, américaine ou chinoise, les puissances étrangères ont tout intérêt à épuiser l'économie européenne, parce que dans un premier temps son pillage leur rapporte énormément, et parce qu'au bout du compte sa soumission totale sera assurée quand elle aura perdu ce qui lui reste de puissance. Autrement dit, demain quand nous serons ruinés, c'est nous qui fabriquerons de la m··de à bas coût pour les Chinois et les Américains.
Il faudra déjà qu'ils nous réapprennent comment fabriquer quoique ce soit, pour ça. Déjà qu'on n'a pas l'envie, et que le savoir-faire, on préfère l'enseigner à ceux qui coûtent pas plus que la balle dans la chambre du fusil dont on appose la bouche du canon sur la nuque pour le forcer à bosser dans le 'pays du Peuple'... ;-)
Les gens de ma génération possèdent encore les connaissances, le savoir-faire et le tour de main pour fabriquer tout ça chez nous, de manière relativement automatisée et rentable. Et ce n'est pas l'envie qui nous manque, ni nos salaires français soi-disant élevés qui posent problème.
Le soucis c'est plutôt les freins imposés principalement par le système financier actuel et par toute la mafia qui trouve son intérêt dans ce système mortifère.
Aujourd'hui, le coût du capital présente un surcoût injustifié de plus de 50% imposé par les normes financières. Un entrepreneur ne peut pas espérer continuer bien loin, ni même démarrer son activité, si celle-ci ne rapporte pas au minimum 15% des sommes prêtées par les banques et autres investisseurs (lesquels, souvent, mériteraient plutôt d'être qualifiés de spéculateurs). On en est arrivé à un point où ce sont le prêteurs qui décident à la place du patron de ce que l'entreprise va faire, comment, et dans quel but (généralement, juste pour rapporter le maximum de fric en un minimum de temps, en sacrifiant au passage l'avenir de l'entreprise et de ses salariés).
Quant à ceux qui tentent l'aventure en dépit de ces obstacles (en optant pour un financement propre, par exemple), ils en trouvent d'autres qui se mettent en travers de leur chemin. Ne pas appartenir à la classe sociale implicitement autorisée à entreprendre représente déjà un sérieux écueil ; tenter de faire de l'ombre à des concurrents de taille, même étrangers (ils le sont la plupart du temps), est suicidaire ; et réussir, malgré tout cela, suscite de telles convoitises qu'on risque un rachat forcé ou une destruction, souvent au terme d'un épuisement financier, commercial ou juridique orchestré par des concurrents qui ont les moyens et le bras long.
Bref, continuer à avoir chez nous une industrie qui réponde à nos envies et à nos besoins serait encore possible. Mais tous ceux (financiers, politiques, décideurs, commerçants ou consommateurs irresponsables) qui trouvent un intérêt personnel à sa délocalisation ou à son anéantissement s'y opposent, d'une manière ou d'une autre.
gobes Jeune asticot
...
Allez-y, lynchez-moi, j'aime ça.
Ptilupus Lombric Shaolin
JoW En réponse à Ptilupus Vermisseau
darkangell Vermisseau
eyhtern En réponse à darkangell
(va revoir ta grammaire)
darkangell En réponse à eyhtern Vermisseau
doenhoj En réponse à darkangell Vergeture
Boozy LoMBriK addict !
Hinhinhin.
Ixidor30
_pepe_ En réponse à Ixidor30
Aujourd'hui, la m··de chinoise est encore bon marché, alors les européens l'avalent sans trop de réticence. Ils avalent aussi la m··de américaine hors de prix, mais c'est parce que ce sont les États-Unis qui les tiennent, et parce qu'ils sont souvent trop couillons pour se rendre compte par eux-mêmes que, finalement, c'en est aussi, de la m··de !
Par ailleurs, américaine ou chinoise, les puissances étrangères ont tout intérêt à épuiser l'économie européenne, parce que dans un premier temps son pillage leur rapporte énormément, et parce qu'au bout du compte sa soumission totale sera assurée quand elle aura perdu ce qui lui reste de puissance. Autrement dit, demain quand nous serons ruinés, c'est nous qui fabriquerons de la m··de à bas coût pour les Chinois et les Américains.
Ixidor30 En réponse à _pepe_
_pepe_ En réponse à Ixidor30
Le soucis c'est plutôt les freins imposés principalement par le système financier actuel et par toute la mafia qui trouve son intérêt dans ce système mortifère.
Aujourd'hui, le coût du capital présente un surcoût injustifié de plus de 50% imposé par les normes financières. Un entrepreneur ne peut pas espérer continuer bien loin, ni même démarrer son activité, si celle-ci ne rapporte pas au minimum 15% des sommes prêtées par les banques et autres investisseurs (lesquels, souvent, mériteraient plutôt d'être qualifiés de spéculateurs). On en est arrivé à un point où ce sont le prêteurs qui décident à la place du patron de ce que l'entreprise va faire, comment, et dans quel but (généralement, juste pour rapporter le maximum de fric en un minimum de temps, en sacrifiant au passage l'avenir de l'entreprise et de ses salariés).
Quant à ceux qui tentent l'aventure en dépit de ces obstacles (en optant pour un financement propre, par exemple), ils en trouvent d'autres qui se mettent en travers de leur chemin. Ne pas appartenir à la classe sociale implicitement autorisée à entreprendre représente déjà un sérieux écueil ; tenter de faire de l'ombre à des concurrents de taille, même étrangers (ils le sont la plupart du temps), est suicidaire ; et réussir, malgré tout cela, suscite de telles convoitises qu'on risque un rachat forcé ou une destruction, souvent au terme d'un épuisement financier, commercial ou juridique orchestré par des concurrents qui ont les moyens et le bras long.
Bref, continuer à avoir chez nous une industrie qui réponde à nos envies et à nos besoins serait encore possible. Mais tous ceux (financiers, politiques, décideurs, commerçants ou consommateurs irresponsables) qui trouvent un intérêt personnel à sa délocalisation ou à son anéantissement s'y opposent, d'une manière ou d'une autre.
Offerus Ne pas prendre au sérieux