Pendant ce temps-là, au Japon

ChatGPT a dit :
Le yen s’effondre depuis plusieurs années car la Banque du Japon maintient des taux d’intérêt très bas alors que l’Europe et les États-Unis rémunèrent bien davantage l’épargne, ce qui pousse les investisseurs à vendre du yen pour acheter des devises plus rentables, amplifiant la chute par des opérations de carry trade, le tout aggravé par un déficit commercial lié aux importations d’énergie et de matières premières. En septembre 2025, avec plus de 170 yens pour un euro, on constate aussi que l’euro a été globalement bien géré par la Banque centrale européenne et les gouvernements de l’Union, ce qui en fait aujourd’hui une monnaie puissante, parfois même perçue comme plus solide que le dollar. Pour les Européens, cela représente un avantage direct : voyager à l’étranger coûte moins cher, les importations en provenance de pays à monnaie affaiblie comme le Japon deviennent plus abordables et le pouvoir d’achat international est renforcé. Concrètement, au Japon, une nuit d’hôtel de milieu de gamme qui revenait à 90 euros quand l’euro valait 130 yens tombe aujourd’hui à environ 65 euros, une chambre dans un hôtel capsule qui coûtait 35 euros n’en coûte plus que 25, un repas complet dans un bon restaurant passe de 25 euros à 15, un bol de ramen qui revenait à 8 euros se trouve à 5, une location de voiture à la journée qui valait 55 euros est descendue à 38, un billet de Shinkansen Tokyo–Kyoto qui revenait à 110 euros se trouve autour de 80, un ticket de métro qui coûtait 1,50 euro équivaut désormais à 1 euro, une entrée dans un grand musée qui revenait à 12 euros ne coûte plus que 8, un ticket pour Tokyo Disneyland qui valait 65 euros tombe à un peu plus de 45, et même les achats high-tech deviennent attractifs : une console de jeux qui coûtait 400 euros se négocie à 280, un appareil photo reflex vendu 1 200 euros est désormais accessible autour de 850. Pour les Européens, le Japon est devenu une destination où le budget permet plus de confort, plus de loisirs et plus d’achats, alors qu’à l’inverse, les Japonais voient leur pouvoir d’achat se réduire à cause du renchérissement des produits importés et de l’énergie, et comme les salaires stagnent, ils doivent restreindre leurs dépenses de loisirs et d’achats étrangers, subissant directement les effets de cette monnaie affaiblie.

ChatGPT a dit :
Le yen s’effondre depuis plusieurs années car la Banque du Japon maintient des taux d’intérêt très bas alors que l’Europe et les États-Unis rémunèrent bien davantage l’épargne, ce qui pousse les investisseurs à vendre du yen pour acheter des devises plus rentables, amplifiant la chute par des opérations de carry trade, le tout aggravé par un déficit commercial lié aux importations d’énergie et de matières premières. En septembre 2025, avec plus de 170 yens pour un euro, on constate aussi que l’euro a été globalement bien géré par la Banque centrale européenne et les gouvernements de l’Union, ce qui en fait aujourd’hui une monnaie puissante, parfois même perçue comme plus solide que le dollar. Pour les Européens, cela représente un avantage direct : voyager à l’étranger coûte moins cher, les importations en provenance de pays à monnaie affaiblie comme le Japon deviennent plus abordables et le pouvoir d’achat international est renforcé. Concrètement, au Japon, une nuit d’hôtel de milieu de gamme qui revenait à 90 euros quand l’euro valait 130 yens tombe aujourd’hui à environ 65 euros, une chambre dans un hôtel capsule qui coûtait 35 euros n’en coûte plus que 25, un repas complet dans un bon restaurant passe de 25 euros à 15, un bol de ramen qui revenait à 8 euros se trouve à 5, une location de voiture à la journée qui valait 55 euros est descendue à 38, un billet de Shinkansen Tokyo–Kyoto qui revenait à 110 euros se trouve autour de 80, un ticket de métro qui coûtait 1,50 euro équivaut désormais à 1 euro, une entrée dans un grand musée qui revenait à 12 euros ne coûte plus que 8, un ticket pour Tokyo Disneyland qui valait 65 euros tombe à un peu plus de 45, et même les achats high-tech deviennent attractifs : une console de jeux qui coûtait 400 euros se négocie à 280, un appareil photo reflex vendu 1 200 euros est désormais accessible autour de 850. Pour les Européens, le Japon est devenu une destination où le budget permet plus de confort, plus de loisirs et plus d’achats, alors qu’à l’inverse, les Japonais voient leur pouvoir d’achat se réduire à cause du renchérissement des produits importés et de l’énergie, et comme les salaires stagnent, ils doivent restreindre leurs dépenses de loisirs et d’achats étrangers, subissant directement les effets de cette monnaie affaiblie.

Envoyé par Flaneur Aujourd'hui à 08h10

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Flaneur Ver TikToké

La photo datant de mai c’est peut-être mieux comme ça
Image de Flaneur
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Moossman LoMBriK addict !

Ah, c'est marrant, les 3 dernières lignes me concernent aussi alors que je suis en France.
Trop fort ce chatGPT!
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Flaneur En réponse à Moossman Ver TikToké

Les japonais vivant au japon . Mais que penses tu de ces baisses ? C’est peut-être le moment d’acheter une maison au pays?
+ 1 -

jbsan En réponse à Flaneur Vermisseau

Non. Au japon les maisons c'est du jetable: ça ne dure pas longtemps. A la rigueur profites-en pour visiter tu auras le change en ta faveur.
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Flaneur En réponse à jbsan Ver TikToké

Et un appart dans Tokyo ? C’est du solide et durable non ?
+ 1 -

jbsan En réponse à Flaneur Vermisseau

Un peu mieux, mais je n'investirai pas forcément en immobilier dans un endroit où la population est en chute libre avec un marché spéculatif porté par l'investissement étranger. Il y a pas mal de logement déjà libre, tu peux voir sur Suumo une idée de l'offre : https://suumo.jp/
+ 1 -

BBZ Vermisseau

Je crois que le mot effondrement est très mal choisi. Regarde les monnaies sud américaine qui passe de 1:1 a 6:1 ou plus et je te parle même pas du cas le plus connu d'effondrement qui est au Venezuela.
Image de BBZ
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Flaneur En réponse à BBZ Ver TikToké

Oui La Banque du Japon maintient volontairement des taux d’intérêt très bas depuis des décennies afin de stimuler l’économie, lutter contre la déflation persistante et encourager les ménages et les entreprises à consommer et investir plutôt qu’à épargner, tout en soutenant l’État face à une dette publique très élevée. Cette politique permet également de maintenir la compétitivité des exportations japonaises en gardant le yen relativement faible et de compenser le faible dynamisme de l’économie lié au vieillissement de la population. En somme, ces taux bas ne sont pas une contrainte subie, mais un choix stratégique de la BoJ pour relancer la croissance et stabiliser le marché intérieur.
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Flaneur Ver TikToké

.
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le-long-brick Longbric

Ah ces hyènes, quelle engeance ! ...Quoi ? C'est pas pareil ? OK, je sors !
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Bellus

ça va c'est pas l'année 90 non plus.
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