Et un et deux et trois et quatre et cinq zéro
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GruikMan Vermisseau
Flaneur En réponse à GruikMan Ver TikToké
GruikMan En réponse à Flaneur Vermisseau
Bellus En réponse à GruikMan
GruikMan En réponse à Bellus Vermisseau
Bellus En réponse à GruikMan
Arrêtes de croire que ceux qui font des connerie les font parce qu'ils n'ont pas reçu de branlée. Je suis sur qu'ils en ont reçu pas mal, et ils n'ont pas peur d'en reprendre d'autres car ils vivent dans le monde de la lois du plus fort. On les a éduqué en leur montrant que celui qui est plus fort il peux frapper celui qui est plus faible. Et quand ils ont en position de force c'est ce qu'ils font.
GruikMan En réponse à Bellus Vermisseau
Bellus En réponse à GruikMan
Je ne défend pas les gens qui font n'importe quoi cassent tout etc... J'explique juste que ce qu'il font n'est pas lié à un éventuel manque de violence éducative. Et que même la violence éducative encourage ce genre de débordement.
GruikMan En réponse à Bellus Vermisseau
Bellus En réponse à GruikMan
Flaneur En réponse à GruikMan Ver TikToké
gloupi En réponse à Flaneur Lombric Shaolin
Attention avec chatgpt, il raconte beaucoup (et même majoritairement) de connerie, d'où l'importance de vérifier ce qu'il raconte.
GruikMan En réponse à Flaneur Vermisseau
1- voler des biens (on casse aux champs Elisée)
2- fouttre sa zone genre affirmation tribale de type gang.
3 - casser pour casser violence gratuite.. toujours le tribal... Autant phacochère que racaille de banlieue .
Flaneur En réponse à GruikMan Ver TikToké
Le tableau en photo:
Ce tableau s’intitule « La Charge », peint par Jean Béraud en 1899. Il représente une scène de répression d’une manifestation sur les grands boulevards parisiens à la fin du XIXᵉ siècle, probablement lors d’une des nombreuses émeutes ou grèves qui ont secoué Paris à cette époque. On y voit une charge de police montée dispersant une foule dense, sous la lumière électrique naissante, au cœur de la ville moderne. L’œuvre illustre la tension sociale de la Belle Époque, marquée par la montée du mouvement ouvrier, les revendications sociales et la réponse souvent brutale des forces de l’ordre. Par son point de vue en hauteur et son atmosphère nocturne, le tableau capte à la fois la modernité urbaine et la violence des affrontements collectifs, témoignant d’une époque où Paris était fréquemment le théâtre de luttes sociales spectaculaires.
gloupi En réponse à Flaneur Lombric Shaolin
Flaneur En réponse à gloupi Ver TikToké
gloupi En réponse à Flaneur Lombric Shaolin
Flaneur En réponse à gloupi Ver TikToké
La France a une longue tradition de révoltes et de soulèvements populaires, bien ancrée dans son histoire depuis le Moyen Âge. Déjà à cette époque, les tensions entre les classes sociales provoquaient des jacqueries, révoltes paysannes brutales causées par la misère et les abus féodaux. Ces mouvements se poursuivent avec des émeutes de la faim, des révoltes antifiscales ou antireligieuses, et culminent au XVIIIe siècle avec la Révolution française. Ces colères collectives ont toujours été une manière d’exprimer un ras-le-bol face à l’injustice, souvent en dehors des cadres institutionnels.
Durant l’Ancien Régime, les rassemblements populaires dégénéraient régulièrement. Il pouvait s’agir de fêtes religieuses, de processions, de marchés ou de jours de liesse. Ces moments de foule étaient souvent les seuls où les classes populaires pouvaient se réunir massivement. La moindre étincelle, un manque de pain ou une rumeur sur un complot des élites, suffisait à faire éclater des émeutes. Ce n’était pas exceptionnel. À Paris, comme dans d’autres grandes villes, les autorités s’attendaient à ce que des débordements surviennent lors de ces grands rassemblements.
La prise de la Bastille, le 14 juillet 1789, n’a pas commencé comme un acte de guerre organisé. Elle est partie d’une tension populaire latente, nourrie par la peur d’une répression, l’inaction du roi, la faim et la colère. Ce jour-là, un grand rassemblement a eu lieu, comme il y en avait eu plusieurs les jours précédents, et la situation a dégénéré. Le peuple armé a fini par prendre d’assaut la forteresse, après plusieurs heures d’affrontements. Ce type de dérapage d’un rassemblement en une action violente n’était pas inhabituel, mais cette fois, la conjoncture l’a rendu révolutionnaire.
Ces mouvements populaires violents ne sont pas uniques à cette période. On en retrouve régulièrement dans les décennies suivantes, parfois de façon annuelle ou décennale. Depuis 1900, chaque décennie a connu au moins un ou plusieurs épisodes de grande tension sociale ou politique : grèves massives, manifestations réprimées, insurrections ouvrières, émeutes de banlieue. Par exemple, les grandes grèves de 1906 dans le nord ont mené à l’envoi de l’armée, qui a tiré sur les mineurs. En 1936, des millions d’ouvriers ont occupé leurs usines lors du Front populaire. En 1968, étudiants et travailleurs ont fait vaciller le pouvoir dans un mouvement qui a touché tout le pays.
La période 1900–1910 est particulièrement marquée par les luttes sociales. De très nombreuses grèves, parfois insurrectionnelles, touchent le pays. Les mineurs, les cheminots, les dockers manifestent et occupent leurs lieux de travail. L’État répond souvent par la violence. Les cortèges sont surveillés, les meneurs arrêtés, ce qui provoque parfois la colère de la foule. Les manifestations du 1er mai sont fréquemment interdites ou réprimées dans le sang.
Durant cette même période, les grands rassemblements festifs ou sportifs peuvent aussi dégénérer. Le sport de masse n’existe pas encore vraiment, mais les fêtes communales, les foires et les bals de village attirent des foules nombreuses. Il arrive que des tensions éclatent, souvent sous l’effet de l’alcool, de rivalités locales ou de motifs politiques. Si les affrontements n’étaient pas systématiques, ils étaient assez courants pour que les autorités s’en méfient.
Il est vrai qu’à l’époque, les débordements étaient plus fréquents qu’aujourd’hui. Il n’y avait pas de forces spécialisées comme les CRS, ni de cadre légal aussi structuré pour encadrer les rassemblements. L’armée intervenait souvent en dernier recours, avec des conséquences parfois mortelles. On notait donc une fréquence élevée de révoltes, d’émeutes et de violences de rue, bien plus qu’à notre époque.
On pourrait être tenté de comparer cela aux débordements autour des matchs de football aujourd’hui. Dans les deux cas, de jeunes gens, souvent issus de milieux populaires, se greffent à une foule pour exprimer une frustration ou simplement pour se défouler. Mais à la différence du hooliganisme contemporain, les révoltes du passé étaient presque toujours liées à des questions économiques, politiques ou sociales directes, et pas seulement à une excitation collective.
Oui, les rassemblements à l’époque dégénéraient plus souvent qu’aujourd’hui. Le contrôle social était moindre, les attentes politiques plus fortes, la répression plus brutale. Le peuple avait peu d’autres moyens pour faire entendre sa voix. Les grands rassemblements, qu’ils soient politiques ou festifs, représentaient un moment crucial pour la contestation.
Cette culture de la révolte et du soulèvement est bel et bien une caractéristique de l’histoire française. Elle n’est pas exclusive à la France, mais elle y est particulièrement marquée, répétée, transmise. Elle a pris des formes différentes selon les époques : barricades, grèves générales, manifestations massives ou émeutes de banlieue.
Les anciens parlaient souvent de "soulèvements", "troubles", "émeutes", "jacqueries", "attroupements séditieux" ou "désordres publics". Ces termes étaient parfois employés pour criminaliser la protestation, parfois pour en souligner la légitimité.
Enfin, si l’on compare la violence d’hier à celle d’aujourd’hui, les mouvements du passé étaient souvent plus nombreux et plus sanglants. Les émeutes contemporaines sont parfois plus visibles, mais elles restent plus rares et davantage contrôlées. Le risque de mort ou d’insurrection nationale était beaucoup plus
Bobbybat En réponse à Flaneur Vermisseau
gloupi Lombric Shaolin
Flaneur En réponse à gloupi Ver TikToké
gloupi En réponse à Flaneur Lombric Shaolin
GruikMan En réponse à gloupi Vermisseau
yosegaman En réponse à gloupi Jeune lombric
le-long-brick En réponse à gloupi Longbric
.
.
..
A part ça, je suis marseillais, et personnellement heureux du succès des parisiens. Beaucoup de phocéens sectaires ont critiqué un match de très bonne qualité, pas moi.
GruikMan En réponse à le-long-brick Vermisseau
caribou240 En réponse à gloupi Vermisseau
BlueBell Vermisseau
Flaneur En réponse à BlueBell Ver TikToké
Kourath
Avec un étoile, leur maillot se rapprochera encore plus de leur propriétaire.
Manque plus que la lune... avec une matraque dedans de préférence!
Ascaris Vermisseau
"Champion mon frère !" - E.Macron le 31/05/25.
Olili En réponse à Ascaris Vermisseau
le-long-brick En réponse à Ascaris Longbric
ladentduchat Asticot
C'était vraiment un très bon jeu....
Et quand je vois tout ça, il y peut être quelques idées à prendre.
Lanceleau Vermisseau
Novacreat En réponse à Lanceleau Lombric
Dire a un meurtrier qu'il est un meurtrier n'est pas une insulte
dire a des kassos qu'ils ne sont pas éduqué est un fait.