Et un et deux et trois et quatre et cinq zéro

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Goal celebrations FX Goal celebrations FX

Envoyé par Flaneur le 1 juin 2025 à 17h43

+ 25 -

GruikMan Vermisseau

Et un gros tas d'abrutis...
+ -11 -

Flaneur En réponse à GruikMan Ver TikToké

En fait, si y avait que des supporters il y aurait pas de destruction ou autre émeute, mais le football est tellement populaire dans le monde que plein de gens qui calcule rien au football, qui n’ont t’ai jamais vu un match vienne comme dans les manifestations des gilets jaunes ou autre, ils viennent se coller au au supporter et il casse tout, juste par trait pour la Violence, ils aiment les émeutes, ils aiment l’insurrection, ils aiment se révolter pour se révolter? y’a pas plus français que ça.
+ 17 -

GruikMan En réponse à Flaneur Vermisseau

Tout péter pour ne rien avoir au final... Ce n'est pas cartésien... Un paquet de branleurs qui n'ont pas assez pris de coups de pieds au cul pour être remis en place... Je ne vois rien de Français là dedans..
+ -14 -

Bellus En réponse à GruikMan

Ce sont justement des branleurs qui ont pris beaucoup trop de pieds au cul et qui n'ont compris qu'une chose. Dans la vie il n'y a que la violence qui vaille.
+ 7 -

GruikMan En réponse à Bellus Vermisseau

Toujours la même rengaine sur les pauvres Bisounours qui n'ont pas reçu une éducation bourgeoise... Mes parents étaient ouvriers, école publique, calotte dans la gueule si je faisais des conneries, ensuite élève boursier dans le supérieur. Mes parents avec juste un certificat d'études ne pouvait pas vraiment m'aider a faire les devoirs après le primaire ...
+ -4 -

Bellus En réponse à GruikMan

Et si tu n'avais pas été frappé par tes parents tu serai devenu une mauvaise personne ? Peut être que si il t'avaient frappé encore plus fort tu aurait été une bien meilleur personne.
Arrêtes de croire que ceux qui font des connerie les font parce qu'ils n'ont pas reçu de branlée. Je suis sur qu'ils en ont reçu pas mal, et ils n'ont pas peur d'en reprendre d'autres car ils vivent dans le monde de la lois du plus fort. On les a éduqué en leur montrant que celui qui est plus fort il peux frapper celui qui est plus faible. Et quand ils ont en position de force c'est ce qu'ils font.
+ 3 -

GruikMan En réponse à Bellus Vermisseau

Quand je recevais une branlée on m'expliquait pourquoi.... Après si tes parents n'en n'ont rien à fouttre du pays qui leur file de l'aide sociale ben t'es mal barré. Après c'est Darwin et l'école républicaine qui t'aide a te sortir si tu en as vraiment envie....
+ 0 -

Bellus En réponse à GruikMan

Mais parents n'ont jamais reçu d'aide sociale et ne m'en jamais mis de branlée non plus. Penser que la violence éduque c'est illusoire.
Je ne défend pas les gens qui font n'importe quoi cassent tout etc... J'explique juste que ce qu'il font n'est pas lié à un éventuel manque de violence éducative. Et que même la violence éducative encourage ce genre de débordement.
+ 0 -

GruikMan En réponse à Bellus Vermisseau

Je ne parlais pas forcément de tes parents, c'était généraliste... Pavlov, ça marche aussi avec les humains. Je ne dis pas non plus que tabasser son gamin lui permettra d'aller à polytechnique.
+ 0 -

Bellus En réponse à GruikMan

J'essaie juste de te faire comprendre que ce n'est pas les enfants qui sont éduqué avec violence qui donne des adultes respectueux. Que c'est justement l'inverse. Si la seule chose qui retiens une personne de faire n'importe quoi c'est la peur de s'en prendre une il arrivera forcément un jour ou il n'aura pas cette peur et il ne se privera pas de faire n'importe quoi. L'éducation par l'empathie est ce qui marche le mieux.
+ -1 -

Flaneur En réponse à GruikMan Ver TikToké

Pourtant créer des émeutes pendant un moment festif comme un match ou politique , comme une manifestation ou un rassemblement, c’est une tradition très très française qui remonte à aussi loin qu’on a commencé à écrire l’histoire on peut pas être plus français que ça . Y’a même moins d’émeutes qu’avant et elles sont beaucoup moins violente qu’avant .
+ 2 -

gloupi En réponse à Flaneur Lombric Shaolin

Quand on a commencé à écrire l'histoire, y'avait pas de "France" (que ce soit royaume, empire ou république) et c'est vrai que le mot "hooligan" est complètement français. D'ailleurs il vient du latin ou du grec ?

Attention avec chatgpt, il raconte beaucoup (et même majoritairement) de connerie, d'où l'importance de vérifier ce qu'il raconte.
+ 1 -

GruikMan En réponse à Flaneur Vermisseau

Ne pas confondre révoltes sociales, qui avaient des causes, des meneurs et des fois des réussites (mais souvent réprimées) et ce depuis les gaulois...et tout casser pour:
1- voler des biens (on casse aux champs Elisée)
2- fouttre sa zone genre affirmation tribale de type gang.
3 - casser pour casser violence gratuite.. toujours le tribal... Autant phacochère que racaille de banlieue .
+ -1 -

Flaneur En réponse à GruikMan Ver TikToké

Avant ce qu’on appelé aujourd’hui les banlieu c’est à à dire avant la guerre de 39’45 y’avait déjà des émeutes après des fêtes nationale ect et aujourd’hui comme hier, les émeutes urbaines sont profondément enracinées dans des causes sociales, économiques et politiques, mais elles s’accompagnent aussi de comportements opportunistes et d’une violence parfois déconnectée d’un projet collectif explicite, c’est le reflet d’une crise plus large de la représentation et du lien social


Le tableau en photo:

Ce tableau s’intitule « La Charge », peint par Jean Béraud en 1899. Il représente une scène de répression d’une manifestation sur les grands boulevards parisiens à la fin du XIXᵉ siècle, probablement lors d’une des nombreuses émeutes ou grèves qui ont secoué Paris à cette époque. On y voit une charge de police montée dispersant une foule dense, sous la lumière électrique naissante, au cœur de la ville moderne. L’œuvre illustre la tension sociale de la Belle Époque, marquée par la montée du mouvement ouvrier, les revendications sociales et la réponse souvent brutale des forces de l’ordre. Par son point de vue en hauteur et son atmosphère nocturne, le tableau capte à la fois la modernité urbaine et la violence des affrontements collectifs, témoignant d’une époque où Paris était fréquemment le théâtre de luttes sociales spectaculaires.
Image de Flaneur
+ -3 -

gloupi En réponse à Flaneur Lombric Shaolin

Tu développe un argumentaire qui peut s'entendre tout ça mais tu finis avec une pique raciste ? Je sais pas si t'es français mais simpliste c'est certain.
+ 1 -

Flaneur En réponse à gloupi Ver TikToké

J’ai beaucoup développé mais là j’ai fini ma garde je répondrai à mon retour chez moi . Aussi grâce aux ia t’imagine pas qulmel point je pousse les réflexion et trouve des réponses . Ça a changé ma vie
+ -3 -

gloupi En réponse à Flaneur Lombric Shaolin

Tu as trouvé un truc qui réfléchit pour toi. C'est super !
+ -1 -

Flaneur En réponse à gloupi Ver TikToké

C’est un échange je pose des questions il me répond , tout est vérifiable . Voici le résultat de notre échange .

La France a une longue tradition de révoltes et de soulèvements populaires, bien ancrée dans son histoire depuis le Moyen Âge. Déjà à cette époque, les tensions entre les classes sociales provoquaient des jacqueries, révoltes paysannes brutales causées par la misère et les abus féodaux. Ces mouvements se poursuivent avec des émeutes de la faim, des révoltes antifiscales ou antireligieuses, et culminent au XVIIIe siècle avec la Révolution française. Ces colères collectives ont toujours été une manière d’exprimer un ras-le-bol face à l’injustice, souvent en dehors des cadres institutionnels.

Durant l’Ancien Régime, les rassemblements populaires dégénéraient régulièrement. Il pouvait s’agir de fêtes religieuses, de processions, de marchés ou de jours de liesse. Ces moments de foule étaient souvent les seuls où les classes populaires pouvaient se réunir massivement. La moindre étincelle, un manque de pain ou une rumeur sur un complot des élites, suffisait à faire éclater des émeutes. Ce n’était pas exceptionnel. À Paris, comme dans d’autres grandes villes, les autorités s’attendaient à ce que des débordements surviennent lors de ces grands rassemblements.

La prise de la Bastille, le 14 juillet 1789, n’a pas commencé comme un acte de guerre organisé. Elle est partie d’une tension populaire latente, nourrie par la peur d’une répression, l’inaction du roi, la faim et la colère. Ce jour-là, un grand rassemblement a eu lieu, comme il y en avait eu plusieurs les jours précédents, et la situation a dégénéré. Le peuple armé a fini par prendre d’assaut la forteresse, après plusieurs heures d’affrontements. Ce type de dérapage d’un rassemblement en une action violente n’était pas inhabituel, mais cette fois, la conjoncture l’a rendu révolutionnaire.

Ces mouvements populaires violents ne sont pas uniques à cette période. On en retrouve régulièrement dans les décennies suivantes, parfois de façon annuelle ou décennale. Depuis 1900, chaque décennie a connu au moins un ou plusieurs épisodes de grande tension sociale ou politique : grèves massives, manifestations réprimées, insurrections ouvrières, émeutes de banlieue. Par exemple, les grandes grèves de 1906 dans le nord ont mené à l’envoi de l’armée, qui a tiré sur les mineurs. En 1936, des millions d’ouvriers ont occupé leurs usines lors du Front populaire. En 1968, étudiants et travailleurs ont fait vaciller le pouvoir dans un mouvement qui a touché tout le pays.

La période 1900–1910 est particulièrement marquée par les luttes sociales. De très nombreuses grèves, parfois insurrectionnelles, touchent le pays. Les mineurs, les cheminots, les dockers manifestent et occupent leurs lieux de travail. L’État répond souvent par la violence. Les cortèges sont surveillés, les meneurs arrêtés, ce qui provoque parfois la colère de la foule. Les manifestations du 1er mai sont fréquemment interdites ou réprimées dans le sang.

Durant cette même période, les grands rassemblements festifs ou sportifs peuvent aussi dégénérer. Le sport de masse n’existe pas encore vraiment, mais les fêtes communales, les foires et les bals de village attirent des foules nombreuses. Il arrive que des tensions éclatent, souvent sous l’effet de l’alcool, de rivalités locales ou de motifs politiques. Si les affrontements n’étaient pas systématiques, ils étaient assez courants pour que les autorités s’en méfient.

Il est vrai qu’à l’époque, les débordements étaient plus fréquents qu’aujourd’hui. Il n’y avait pas de forces spécialisées comme les CRS, ni de cadre légal aussi structuré pour encadrer les rassemblements. L’armée intervenait souvent en dernier recours, avec des conséquences parfois mortelles. On notait donc une fréquence élevée de révoltes, d’émeutes et de violences de rue, bien plus qu’à notre époque.

On pourrait être tenté de comparer cela aux débordements autour des matchs de football aujourd’hui. Dans les deux cas, de jeunes gens, souvent issus de milieux populaires, se greffent à une foule pour exprimer une frustration ou simplement pour se défouler. Mais à la différence du hooliganisme contemporain, les révoltes du passé étaient presque toujours liées à des questions économiques, politiques ou sociales directes, et pas seulement à une excitation collective.

Oui, les rassemblements à l’époque dégénéraient plus souvent qu’aujourd’hui. Le contrôle social était moindre, les attentes politiques plus fortes, la répression plus brutale. Le peuple avait peu d’autres moyens pour faire entendre sa voix. Les grands rassemblements, qu’ils soient politiques ou festifs, représentaient un moment crucial pour la contestation.

Cette culture de la révolte et du soulèvement est bel et bien une caractéristique de l’histoire française. Elle n’est pas exclusive à la France, mais elle y est particulièrement marquée, répétée, transmise. Elle a pris des formes différentes selon les époques : barricades, grèves générales, manifestations massives ou émeutes de banlieue.

Les anciens parlaient souvent de "soulèvements", "troubles", "émeutes", "jacqueries", "attroupements séditieux" ou "désordres publics". Ces termes étaient parfois employés pour criminaliser la protestation, parfois pour en souligner la légitimité.

Enfin, si l’on compare la violence d’hier à celle d’aujourd’hui, les mouvements du passé étaient souvent plus nombreux et plus sanglants. Les émeutes contemporaines sont parfois plus visibles, mais elles restent plus rares et davantage contrôlées. Le risque de mort ou d’insurrection nationale était beaucoup plus
+ 3 -

Bobbybat En réponse à Flaneur Vermisseau

Faut que t'arrêtes avec chatgpt
+ 13 -

gloupi Lombric Shaolin

C'est l'équipe du qatar qui à gagné ?
+ 0 -

Flaneur En réponse à gloupi Ver TikToké

Techniquement oui
+ 0 -

gloupi En réponse à Flaneur Lombric Shaolin

D'un autre côté, y'a t-il un truc ou les qatari ne gagnent pas ?
+ 16 -

GruikMan En réponse à gloupi Vermisseau

Des prix Nobel..
+ 1 -

yosegaman En réponse à gloupi Jeune lombric

oui, le Paris Saint Qatar :)
+ 3 -

le-long-brick En réponse à gloupi Longbric

Non, j'ai vu un truc palestinien, le rapport avec cette finale de foot est difficile à comprendre. De la même façon, sur une photo avec le joueurs à Munich, un drapeau marocain était en bonne place. Va comprendre Charles !
.
.
..
A part ça, je suis marseillais, et personnellement heureux du succès des parisiens. Beaucoup de phocéens sectaires ont critiqué un match de très bonne qualité, pas moi.
+ 1 -

GruikMan En réponse à le-long-brick Vermisseau

Pas d'Hamal game.....
+ 2 -

caribou240 En réponse à gloupi Vermisseau

Il n'y a pas grand chose à comprendre, le foot est un business... Le PSG est un club privé pour lequel jouent des footballeurs mercenaires payés avec l'argent du Qatar... Le président invite l'équipe et le staff à l'Elysée, il souligne le magnifique succès de Paris et de la France, histoire de tirer un peu la couverture médiatique et de faire oublier la situation politique et économique du pays, ... dans l'euphorie, il serait encore capable de leur décerner la Légion d'Honneur.
+ 0 -

BlueBell Vermisseau

Force aux policiers, certes pas toujours exemplaires, mais qui, vu l'époque, font quand même un sacré boulot de merde. Dommage, parce que c'est un beau métier.
+ 0 -

Flaneur En réponse à BlueBell Ver TikToké

Je connais un pote flic il attend ces nuits avec impatience mais force aux blessés Parmis eux
+ 4 -

Kourath

30ans pour en arriver là.

Avec un étoile, leur maillot se rapprochera encore plus de leur propriétaire.
Manque plus que la lune... avec une matraque dedans de préférence!
+ 4 -

Ascaris Vermisseau

Les joueurs reçus à l'Élysée.
"Champion mon frère !" - E.Macron le 31/05/25.
Image de Ascaris
+ 0 -

ladentduchat Asticot

Quand j'étais pas vieux, j'avais un jeu sur Amiga qui s'appelait Syndicate.
C'était vraiment un très bon jeu....
Et quand je vois tout ça, il y peut être quelques idées à prendre.
+ 0 -

Lanceleau Vermisseau

C'est toujours raciste de dire sale race ?
+ 2 -

Novacreat En réponse à Lanceleau Lombric

Problème d'attitude, pas de race. Zero racisme.
Dire a un meurtrier qu'il est un meurtrier n'est pas une insulte
dire a des kassos qu'ils ne sont pas éduqué est un fait.
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