Pour le gros FAF du site

et ouais mec, on a plus de coeur pour aimer

et ouais mec, on a plus de coeur pour aimer

Envoyé par lPZ Hier à 11h12

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daPookie Lombric Exclu

T'es malade ?
Tu t'es fais piraté ton compte ?
Tu as besoin d'aide ?
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Ombreloup En réponse à daPookie Lombric Shaolin

Nop, y'a un petit malin qui viens de créer un compte avec un L minuscule au lieu de son i majuscule XD
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jeanbb En réponse à Ombreloup Vermisseau

J'aime bien, bien vu
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IPZ En réponse à daPookie Vermisseau

C'est pas mon compte, il a un petit "L", alors que j'ai un grand "i", chacun est monté avec ce qu'il peut
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gloupi Lombric Shaolin

Y'a du coeur mais toujours pas de cerveau
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Flaneur Ver TikToké

Un fasciste est quelqu’un qui pense qu’un pays doit être dirigé par un chef unique et très autoritaire, c’est-à-dire que le pouvoir est concentré entre les mains d’un seul homme ou d’un petit groupe, sans accepter la critique, la discussion ou l’opposition. Dans un régime fasciste, si un citoyen ose parler librement dans un café pour critiquer le gouvernement, il peut être surveillé par la police secrète, arrêté, frappé, torturé ou envoyé dans un camp de travail sans procès équitable, comme cela s’est vu dans l’ancienne Union soviétique sous Staline, où la moindre critique pouvait mener au goulag. À la mairie, s’il ose contester une décision ou protester, il risque d’être immédiatement arrêté, battu ou réduit au silence par peur d’être emprisonné, comme cela arrive aujourd'hui encore en Corée du Nord. Lors des élections, soit elles n’existent plus, soit elles sont totalement truquées ; voter contre le pouvoir peut entraîner la disparition, comme cela est fréquent en Iran où les opposants sont arrêtés après des élections contestées. Un gréviste qui refuse de travailler pour réclamer de meilleures conditions est vu comme un ennemi de l’État ; en Chine, par exemple, des ouvriers grévistes sont parfois arrêtés, mis en prison ou soumis à des mauvais traitements, et les chefs syndicaux indépendants disparaissent. Une femme agressée dans un tel régime n’a pratiquement aucun recours si son agresseur est lié au pouvoir ; en Iran, des femmes qui dénoncent des violences policières sont arrêtées, battues, ou condamnées à de lourdes peines de prison. Un entrepreneur qui ne soutient pas ouvertement le gouvernement risque de voir son entreprise fermée de force, ses biens saisis, voire de subir des extorsions ou de la torture pour lui arracher des aveux ou le pousser à collaborer, comme cela s’est produit dans de nombreux régimes autoritaires d’Asie du Sud-Est.

La torture est utilisée pour briser les opposants : cela peut aller des coups, aux électrochocs, aux privations de sommeil, jusqu'à des violences sexuelles, des humiliations publiques ou des simulacres d’exécution. En Corée du Nord, par exemple, des prisonniers politiques sont affamés, battus quotidiennement et forcés à des travaux forcés épuisants. En Iran, les opposants emprisonnés subissent des interrogatoires violents, parfois suspendus au plafond, battus avec des câbles électriques ou menacés contre leurs familles pour les forcer à se taire. Dans l’ancienne Roumanie de Ceaușescu, des dissidents étaient enfermés dans des hôpitaux psychiatriques pour les briser mentalement.

Les exemples historiques les plus connus de régimes fascistes sont Benito Mussolini en Italie dans les années 1920-1940 et Adolf Hitler en Allemagne dans les années 1930-1945. Mussolini a interdit les partis d’opposition, contrôlé les médias, supprimé les syndicats, et fait emprisonner ou tuer ses opposants. Hitler a poussé cette logique encore plus loin en imposant une dictature totale, en déclenchant la Seconde Guerre mondiale, et en organisant des massacres de masse, notamment contre les Juifs et d'autres minorités. Dans un régime fasciste ou fortement autoritaire, la peur, la violence, la surveillance et la répression remplacent la liberté, la justice et la démocratie.

Aujourd’hui, dans un pays comme la France où il existe encore la liberté d’expression, certains individus se revendiquent ouvertement comme "fachos" ou "fascistes" sans comprendre pleinement ce que cela signifie. Ils utilisent ce mot pour exprimer un rejet de certaines idées modernes ou pour se donner une image de force, sans réaliser que dans un vrai régime fasciste, ils perdraient eux-mêmes la majorité de leurs droits : ils ne pourraient plus manifester, plus s’exprimer librement, plus contester quoi que ce soit sans risquer la prison, la torture ou la mort. Ils oublient que dans l’histoire et encore aujourd'hui dans certains pays, le fascisme n’est pas une simple posture provocatrice, mais une machine brutale qui détruit des vies, étouffe toute liberté et installe la peur dans chaque geste du quotidien.
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PEM1977 En réponse à Flaneur Vermisseau

C'est bizarre que des fascistes de "gauche", pas un mot sur les dictatures en Grèce, Argentine, Chilie, etc... Un oubli hein, hormis un rappel sur son origine italienne
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Flaneur En réponse à PEM1977 Ver TikToké

Perso je pense qu’on peut être fachiste de droite comme de gauche , les deux dans l’histoire ont montré que c’était au final que des régime autoritaires violent
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Bellus En réponse à Flaneur

Dans un régime fasciste ce qui distingue si ils sont de droite ou de gauche c'est quand ils appliquent un racisme ou pas. Mais dans tous les cas si t'es contre le pouvoir tu vas en prison.
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Tandy En réponse à Flaneur Vermisseau

Le fascisme est bien défini sur Wikipedia (https://fr.wiki...wiki/Fascisme). Ce que tu décris dans le 1er paragraphe est finalement commun à tous les régimes dictatoriaux.
Je ne suis en revanche pas d'accord avec le début : "un fasciste est quelqu'un qui pense... etc". Je dirais en forme de boutade qu'être fasciste et doté de facultés intellectuelles amenant à une pensées humaniste, complexe, réflexive, empathique, critique, constructive, etc... me semble assez opposé à l'action même de "penser" comme un fasciste. Il n'y a qu'à lire les posts et commentaires d'IPZ. Lui qui, en bon extrême-droitard, qualifie de bien-pensants celles et ceux qu'il veut dévaloriser. Novlangue, quand tu nous tiens !
Mais, là n'est pas selon moi la question. Le facho de base adhère pour des raisons résultant, de mon point de vue, plus d'un ressenti perverti, de frustrations, de désespérance, de souffrance. Que cela soit ajouté au fait qu'il ou elle est plus ou moins un.e parfait.e abruti n'excuse pas les paroles et les actes qui découlent de son adhésion.
Pour moi, le facho de base est un pantin, une marionnette hélas ignorante de sa condition et qui ne compte pas pour l'élite qu'il croit servir dans le but de faire advenir un "bien commun" qui serait réduit essentiellement à quelques critères sans valeurs intrinsèques : blanc, catho, hétéro, patriote et autres qualificatifs servant essentiellement à établir une prétendue hiérarchie dans notre humanité.
Il est ainsi, de façon proportionnelle à ce qu'il pense important dans la mission dont il se croit investi : faire chier le monde sur LeLombrik, cracher successivement et en boucle sur les gauchiasses, les arabes et les juifs, le femmes, les bénéficiaires du RSA et d'autres secours, les écolos, etc... au café du commerce, invectiver sur CNews, tabasser des étrangers, des LGBTQ+... liste non exhaustive.
Je trouve que le petit panneau illustrant ce post d'un autre IPZ (très drôle !) est finalement assez représentatif. En tous cas, on en a une illustration conforme avec IPZ.
Quant à fondre dans un même creuset totalitaire fascisme et gauchisme, pas d'accord. Si des gens de gauche ont les mains sales voire tachées de sang (parce que ce sont des humains comme d'autres) par désir d'exercer une domination et un pouvoir hégémoniques, la pensée humaniste et sociale de gauche ne porte en rien les ferments d'un régime nationaliste, autoritaire reposant sur le rejet et la discrimination comme le fait l'extrême-droite.
Si seulement il y avait des modos, un admin qui, comme sur beaucoup de forums, posent et font appliquer des limites préservant l'essence de leur site...
Qui ne laisseraient pas quelqu'un parler de "vermine" en accolant à ce qualificatif et dans la même phrase le pseudo d'un membre historique...
Ça devient lourd.
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punk80sBIS Vermisseau

ça me semblait trop intelligent pour etre lui....
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ZPI Vermisseau

Hahaha bien joué !
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Tandy En réponse à ZPI Vermisseau

Inscrit il y a 12 jours, aucun fichier, aucun commentaire. Et un compte de plus un !
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ZPI En réponse à Tandy Vermisseau

Ben si y'a un commentaire !
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IPZ Vermisseau

S'agissant des Fachistes, le post est assez juste. Je vais même allez un petit peu plus loin, ils n'aiment pas tout ce qui n'est pas fasciste. Et sincèrement, m'assimiler a ces gens est hors sujet..

Pour ce qui est des antifas (ne te sens pas visé, je ne crois pas que tu le sois) c'est la même, ils détestes tous ce qui ce qui n'est pas de gauche... et encore, de leur gauche.

Je note aussi que les antifa ont la haine commune du juif, ca converge, lentement mais bon....
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Black Lombric

L'islamisme est il une sorte de fascisme ?
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yosegaman En réponse à Black Jeune lombric

j'en suis sûr à 100% vu que les islamistes veulent la charia
La charia (littéralement « la voie ») est la loi islamique codifiant l'ensemble des droits et des devoirs tant individuels que collectifs des musulmans. Elle dicte le statut personnel et familial, le droit pénal et public. Pour faire plus clair : la charia, c'est la constitution de l'Islam
ils veulent la mort de tout les gens qui n'aiment pas l'islam et / ou le critiquent et si on insulte Allah, alors là...
LFI qui soutient en permanence les islamistes, le hamas et compagnie sont des fascistes donc vu qu'ils veulent un pays submergé par des musulmans d'une culture autre qu'occidentale ce qui à terme aménerait la France à la charia...
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