Bac philo 2024

Deux sujets au choix (filière générale)

- La science peut-elle satisfaire notre besoin de vérité?

La j’aurais fais ça comme plan :

Après avoir défini science et vérité j’explique pourquoi la question se pose ( complotisme , ect )

I) La science est fiable et tres evolué

II) les limites de la science 

III) les autres sources d’infos , la vérité scientifique a un moment donné





- L’État nous doit-il quelque chose?

I) le rôle de l’état envers nous

II) les limites de l’état 


III) synthèse et perspective (les futurs obligations ou désengagement )

Deux sujets au choix (filière générale)

- La science peut-elle satisfaire notre besoin de vérité?

La j’aurais fais ça comme plan :

Après avoir défini science et vérité j’explique pourquoi la question se pose ( complotisme , ect )

I) La science est fiable et tres evolué

II) les limites de la science

III) les autres sources d’infos , la vérité scientifique a un moment donné





- L’État nous doit-il quelque chose?

I) le rôle de l’état envers nous

II) les limites de l’état


III) synthèse et perspective (les futurs obligations ou désengagement )

Envoyé par Flaneur le 18 juin 2024 à 16h26

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Trucusation Vermisseau

J'ajouterai : Le rôle du citoyen envers l'état
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Flaneur En réponse à Trucusation Ver TikToké

Ne risque tu pas le hors sujet ?
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gloupi Lombric Shaolin

J'ai l'impression que tes plans ont la forme "thèse - antithèse - synthèse". Quand j'étais au lycée, y'a 15 ans (ouch) mes profs rajoutaient "foutaise" après et nous expliquait que ce genre de plan valait maximum la moyenne quand ils étaient de bonne humeur.
Ma prof de philo à confirmé en précisant qu'elle était jamais de bonne humeur quand elle corrigeait les copies de bac et qu'elle espérait qu'on ferait mieux que ça vu ce qu'elle nous avait donné pendant 2 ans.
Ma nièce qui l'a passé y'a 2-3 ans me dit qu'elle à jamais entendu parler de ce genre de plan et que c'est pas malin de traiter un sujet de philo de la même manière qu'un sujet de géo ou de français.

Tout ça pour dire que je crois t'es un vieux flaneur!
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Flaneur En réponse à gloupi Ver TikToké

C’est vrai à l’époque c’était thèse antithèse synthèse
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gloupi En réponse à Flaneur Lombric Shaolin

Au collège c'est ce que j'avais appris ^^ Je te cache pas qu'en terminal on était nombreux à déchanté.
+ 5 -

Potiche En réponse à gloupi Super vilain

J'ai passé mon BAC en 2002 et on me disait ça aussi "Si votre plan c'est thèse - anti-thèse - synthèse, vous pouvez considérer que votre notre est d'office divisé par deux"

D'façon j'ai compris un truc avec la philo au niveau lycée (j'espère que ça change pour ceux qui font des études littéraires dans le supérieur...) on te demande pas de réfléchir à un sujet. On te demande de réciter par cœur l'opinion que les philosophes au programme ont sur ce sujet.

Quand j'ai compris ça ma moyenne en philo est passé de 5~8 à 13~15 et au BAC de philo j'ai choisi un sujet uniquement parce que c'était celui sur lequel j'étais capable de citer le plus de philosophes du programme et j'ai aboutit à une conclusion qui ne correspondait absolument pas à mon opinion mais qui était celle que je pouvais appuyer avec le plus de citations. J'ai eu 16/20. Je crois me souvenir que j'avais choisi le sujet "la politique est-elle un art ?"
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Flaneur En réponse à Potiche Ver TikToké

Donc en fait faut faire

Thèse

Limite de la these

Synthèse qui ouvre le sujet sur des perpective

C’est ce que j’ai fait
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NainPorteQui En réponse à Flaneur Vermisseau

Regarde ici, c’est parfaitement expliqué
https://www.lep...UZTDC2IQR6A.php

N’oublie jamais de définir les termes du sujet.
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Oblivionis En réponse à Potiche Taret

Perso, j'ai un une prof de français qui m'a donné un conseil très simple lorsque l'on passe devant un jury ( concours par exemple ) ou pour des diplômes, ou sur les rédactions écrite ( surtout explication de texte, philo et toussa toussa ), il est assez simple :

L'objectif n'est pas de montrer ses connaissances, si son intelligence, ou une bonne réflexion. Si on veut réussir l'examen, il faut dire ce que le jury veut lire/entendre. Même si c'est complétement con.

Un bon exemple est l'anecdote de Hervé Cristiani au sujet de la chanson "il est libre max ".

Pour résumé, sa nièce a un jour eu un devoir sur la chanson ( interprétation de texte ), comme c'est lui qui l'a écrit, il s'est dit que ca pourrait aidé la gamine de lui faire son devoir. Il l'a donc fait lui-même. Il a eu 8/20 et en note du prof un truc du genre " N'a pas compris la pensé de l'auteur ".
+ 0 -

Bidon85 En réponse à Oblivionis Vermisseau

Pour les profs qui trouvent des sens que l'auteur n'avait pas prété au texte et qui se sont fait recadré par l'auteur lui-même, c'est assez fréquent.
+ 1 -

le-long-brick Longbric

"- L’État nous doit-il quelque chose?
I) le rôle de l’état envers nous
II) les limites de l’état" :
Certes, certes, mais tu ne parles alors que de tes droits sur l'Etat, n'aurions-nous pas aussi quelques devoirs (ex : Payer des impôts pour qu'ils profitent _ en général _ à la communauté; l'Etat-Providence, ça n'existe vraiment que dans les contes de fée)?
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Autre chose concernant l'illustration : L'eau, je veux bien, mais le coca, kan il n'est pas frais... beurk !
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Flaneur En réponse à le-long-brick Ver TikToké

Mais à t’on des devoirs envers l’état je dirais pas vraiment et on peut inclure ceci dans la dissertation mais attention a au HS , bref on a des devoirs envers la nation oui mais l’état n’est qu’un outils juridiques qu’on a créé pour administré notre pays , l’état nous demande des comptes au nom de la nation , autrement dis du peuple .
+ 10 -

glurp LoMBriK addict !

On confond souvent la science et la technologie.

La science est une méthode qui se base sur l'observation.
Observer quelque chose pour mieux la connaitre, personnellement je ne vois pas de meilleur moyen.

La technologie est utile quand elle est au service de la science, mais une technologie n'apporte pas la vérité quand ce n'est pas son but.
+ 1 -

Flaneur En réponse à glurp Ver TikToké

Le mot clé est selon moi connaissance. La science c’est les connaissances humaines à un moment donné de notre histoire , c’est ce qu’on pense être vrai selon ce qu’on a observé et conclu par les élites officielles de chaque science .
+ 0 -

TiKeuj En réponse à glurp Vermisseau

"La science est une méthode qui se base sur l'observation."
C'est assez faux en fait : ce qui fait la science moderne ce sont les expériences de pensées et les expériences plutôt que sur l'observation.

C'est justement la démonstration de Galilée qui explique que la plume et la bille de plomb tombent à la même vitesse (dans le vide) alors que l'observation (pas dans le vide) démontre le contraire et est communément admis. L'expérience de pensée avait menée à des incohérences telles ("une feuille attachée à un boulet aurait dû tomber ET plus vite ET plus lentement". Je vous la fais courte).

Du coup il a dût construire une autre théorie, que ses expériences de pensées ont validé, et qu'une autre expérience plus tard (la chute des corps dans le vide) peut mettre en évidement assez facilement de nos jour.
+ 1 -

_pepe_ En réponse à TiKeuj

Les sciences physiques reposent bien sur l'observation. Il faut juste ne pas faire l'erreur d'interpréter cette proposition dans un sens où ces sciences ne seraient que des descriptions simples et directes de ce qu'on peut observer.

En réalité, le progrès scientifique est beaucoup plus complexe et nécessite de nombreuses étapes intellectuelles entre les observations, l'énoncé d'une loi et sa validation.

Il est évident que la loi sur la chute des corps dans le vide n'a pas pour origine la seule observation de la chute des corps dans l'air, puisque celle-ci semble la contredire. Mais l'expérience de pensée qui l'a produite en a tenu compte et s'est appuyée sur d'autres considérations qui résultaient également, directement ou indirectement, de l'observation du monde réel (e.g. perception du poids, de la résistance au déplacement dans l'air, d'effets qui y sont associés).

Une théorie qui découle exclusivement d'une expérience de pensée et pour laquelle les faits n'ont encore fourni ni preuve scientifique* ni indice direct ou indirect observable, ce n'est pas encore de la science. C'est au mieux une loi scientifique en devenir, au pire une théorie fumeuse.

Par exemple, des expériences de pensée ont conduit à déposer le brevet d'une machine à voyager dans le temps, notamment dans le passé, qui met en œuvre des trous noirs. Je te laisse juge du caractère « scientifique » de cette démarche...


* en sciences physiques, la preuve scientifique réside dans l'accumulation sans faille d'observations concordantes. Ces « preuves » ne disent pas que la théorie est vraie, mais juste que, jusqu'à preuve du contraire, on peut raisonnablement considérer qu'elle n'est pas fausse et qu'on peut l'utiliser. En effet, dans ce domaine, les seules véritables preuves (en tant qu'éléments concluants) sont les contre-exemples qui invalident une théorie, laquelle doit alors être considérée comme fausse dans les conditions des expériences considérées, ce qui conduit généralement à la compléter en basant la réflexion sur ces observations discordantes.
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TiKeuj En réponse à _pepe_ Vermisseau

"Les sciences physiques reposent bien sur l'observation."
C'est très discutable. Mais nous en discutons justement. :)

"En réalité, le progrès scientifique est beaucoup plus complexe et nécessite de nombreuses étapes intellectuelles entre les observations, l'énoncé d'une loi et sa validation."
Ca aussi c'est très discutable. Déjà, il vaudrait mieux parler de "méthode scientifique" que de "progrès scientifique".

"Une théorie qui découle exclusivement d'une expérience de pensée et pour laquelle les faits n'ont encore fourni ni preuve scientifique* ni indice direct ou indirect observable, ce n'est pas encore de la science."
C'est déjà de la science. A plein pot. Même si ce n'est pas encore "une loi qui fasse consensus dans la communauté scientifique".
La méthode scientifique c'est de partir d'hypothèses (théorie gravité quantique à boucle? phénomène émergent? théorie des cordes?). De pouvoir les confronter à ce qu'on sait déjà (non : théoriquement, les théories des cordes ne peuvent fonctionner à 10, 11 ou 26 dimensions mais par à 3 ou 4). Et puis évidement de laisser la communauté scientifique. C'est déjà de la science ! (spoiler alert : "on" n'a pas trancher la question)
Ensuite "Les théoriciens" vont challenger le raisonnement ; et les expérimentateurs vont chercher à valider ou invalider ce raisonnement. Par exemple : l'expérience d'Alain aspect n'aurait pas été imaginée dans les inégalités de Bell, elles même découlant des réflexions d'Heisenberg que lui a eu après avoir échangé avec Einstein, Planck, Paoli, Bohr et les autres.
Et tu as raison, c'est généralement cette dernière observation (l'Expérience d'Alain Aspect par exemple même si ce n'est pas ici ce qui a permis de trancher la question) qui permet de valider une théorie aux yeux de la communauté.
L'expérience, l'observation permet en revanche d'invalider une théorie fait loi (après que les mesures et leur méthode de mesure soient validées par la communauté etc. Cas pratique : ce qui se passe avec la constant de Hubble dont il est admis depuis peu qu'on ne la connait pas et qu'elle ne serait finalement pas constante).


Et une loi reconnue comme telle par la communauté scientifique peut l'être dans un domaine ; jusqu'à ce qu'on trouve un domaine dans laquelle elle ne s'applique plus, ce qui oblige à compléter la théorie avec une autre et on recommence. (Un cas emblématique : la théorie de Newton fonctionne très bien. On envoi des gens sur la lune avec elle. Mais au voisinage des très fortes gravités (trou noir), ou au voisinage de la vitesse de la lumière, elle ne suffit pas. Ex. : Il existait petites différences dans le périhélie de Mercure entre les trajectoires prévues par la théorie de Newton et les observations et que la théorie d'Einstein a permis d'expliquer).
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_pepe_ En réponse à TiKeuj

Par définition, la science, c'est l'ensemble des connaissances, établies de façon méthodique, qui permettent de rendre compte de phénomènes directement ou indirectement observables du monde réel ; les supputations n'en font pas partie, même si elles sont proférées par nombre de scientifiques éminents, et même si elles s'avèrent ultérieurement exactes.

La science n'est pas la méthode scientifique, mais les produits finaux de cette méthode.

La recherche a pour but d'étendre ces connaissances, à en préciser les limites, voire à les remettre en cause. J'ai donc pris soin de parler de « progrès » scientifique afin d'éviter la confusion entre les connaissances scientifiques produites (i.e. « prouvées » scientifiquement) et les étapes intermédiaires, hypothétiques, de la méthode scientifique.

En effet, cette méthode consiste (en résumé) :
- à partir d'observations (de phénomènes constitutifs de l'objet de la recherche ou qui y sont liés) qui sont problématiques au regard des connaissances existantes (connaissances insuffisantes, modèles peu pratiques, voire violation de lois établies) ;
- à formuler des hypothèses ;
- à tester ces hypothèses, principalement au moyen d'observations ou d'expérimentations (i.e. observations de phénomènes provoqués) ;
- par un raisonnement logique et argumenté, à bâtir un modèle théorique, basé sur les hypothèses confirmées par ces tests ;
- à éprouver ce modèle à l'usage, au travers d'expériences et d'observations (éventuellement indirectes) reproductibles.


Certes, on peut considérer que formuler des hypothèses de travail et bâtir des modèles théoriques, quelque part « c'est de la science », mais seulement dans le sens où cela fait partie de la démarche.

A priori, ni ces hypothèses ni ces modèles ne sont constitutifs de connaissances scientifiques (et donc, par définition, de science) puisque l'obtention de ces dernières impose d'avoir déroulé la méthode scientifique jusqu'à son terme.

L'absence de consensus dans la communauté scientifique à propos de bon nombre de théories (comme notamment en cosmologie) provient du fait qu'elles en sont toujours au stade d'hypothèses pas ou peu vérifiées scientifiquement.


Le fait qu'une loi scientifique ne soit valable que dans des limites déterminées est tout-à-fait courant et parfaitement accepté. Tu as cité la loi de Newton, mais la loi d'Ohm, la loi des gaz parfaits ou la règle de Klechkowski en sont d'autres exemples. Bien que la science ait contredit leur universalité, ces lois n'ont rien perdu de leur intérêt parce qu'elles continuent d'être valides, et donc exploitables, dans les contextes expérimentaux initialement prévus.

À mon sens, cela démontre bien la nécessité absolue d'éprouver la validité des lois par l'observation, et le danger de considérer que les expériences de pensée non confirmées par des observations variées et répétées feraient science.
+ 1 -

Bidon85 En réponse à TiKeuj Vermisseau

"science" signifie simplement "savoir, connaissance".

Ce n'est ni une méthode, ni une philosophie. Juste un qualificatif du même type que opinion ou croyance.

"la Science" en tant que nom propre représente une philosophie d'acquisition de ces connaissances qui utilise une méthodologie que l'on qualifiera de "méthode scientifique".


Tout les mots qui termines par "logos" sont lié normalement des sciences issue de la logique même si le temps à montré qu'il y avait de belles erreurs telle que l'astrologie.
+ 3 -

Zobilamouch En réponse à glurp Vermisseau

On confond aussi souvent les clémentines avec les mandarines mais c'est quand même moins gênant.
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MuletPower Vermisseau

Pour moi, ce sera une Suze "On the rock " ;)
Merci Michel !
+ 0 -

KukuLele Vermisseau

Mauvais plan : la question n'est pas "l'Etat nous doit-il quelque chose ?" Mais "comment l'Etat fait croire qu'il se range du côté de la science". Il est là le problème, nul part ailleurs.
Après, je n'ai pas envie de débattre sur ce qu'est la "science" (mais je vois avec toi, très bien où tu veux en venir), tant de nombreuses personnes ne savent toujours pas voir les biais de toutes les individus qui se cachent derrière ce "sceau d'autorité"...
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Flaneur En réponse à KukuLele Ver TikToké

Tu risque d’être fiché S quand tu vas rendre ta copie .
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Guaruda Asticot

J'ai trouvé ça très con de noter cette matière.
Se rendre compte de la qualité d'un raisonnement pourquoi pas, mais c'est tellement dépendant de l'expérience et du vécu de la personne. Sans oublier le facteur humain de la personne qui évalue et qui pourrait ne pas être d'accord et ne pas bien noter.
+ 1 -

john5

J’aurais répondu qu’il y a une différence entre vérité et réalité. La vérité est une abstraction par définition réductrice puisque binaire (vrai ou faux). En revanche, la science nous donne une méthode pour comprendre la réalité, et plus intéressant, permet d’anticiper un résultat en connaissant des prémisses et en appliquant des règles. Le concept de vérité n’est qu’un outil en science qui entre en jeu dans le domaine de la logique qui est sous-jacent à toute démarche scientifique et donc pas une finalité.

Mais bon, en ce qui concerne le bac, les profs n’en ont rien à carrer de ton avis si tu es infoutu de déballer toute ta culture philosophique. Il faut juste prouver que tu es capable de le régurgiter de façon méthodique et organisée.
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