Mais plutôt de maintenir un perpétuel endettement renouvelable ?
J’ai lu que la France remboursé chaque annee 50 milliards d’intérêts de la dette et elle rembourse le principal de la dette 200 milliards par an mais pas avec son argent mais avec de nouvelles dettes . Cela garder l’argent pour les gros investissements, aussi comme on rembourse les taux intérêts sont bas , l’argent est pas cher. Le marché a confiance en la France , du coup les capitaux affluent pour acheter de la dette , ect
la dette peut être roulée indéfiniment sans causer de problème majeur.
Envoyé par Flaneur le 7 juin 2024 à 21h42
hoodoo Vermisseau
Flaneur En réponse à hoodoo Ver TikToké
_pepe_ En réponse à Flaneur
Il n'en reste pas moins que Macron nous pique déjà beaucoup de notre argent (tout comme ses prédécesseurs, mais en pire), y compris celui qu'on n'a pas encore gagné au travers de l'explosion de la dette. S'il n'est pas question de rembourser totalement cette dette (ni même de la réduire, ce qui est beaucoup plus contestable), il nous faut a minima continuer d'en payer les intérêts, qui augmentent.
Par ailleurs, ce n'est pas dans l'État français que ses créanciers ont confiance (ils jugent même sa gestion catastrophique, ce qui justifie la dégradation continuelle de la France par les agences de notation), mais dans les richesses du pays, publiques et privées, car ils savent qu'ils pourraient procéder eux-mêmes à leur saisie, en dernier recours, si les intérêts n'étaient pas payés (cela n'a rien d'une menace en l'air, puisque les Grecs et les Chypriotes en ont déjà fait les frais).
Il est un fait que l'État a besoin d'augmenter ses rentrées d'argent pour pouvoir continuer à le jeter par les fenêtre, payer les créanciers et continuer à emprunter. C'est dans ce cadre qu'ont lieu actuellement des discussions sur les moyens de taper directement dans l'épargne des citoyens (entre autres, étant entendu que l'idéologie actuelle interdit de s'en prendre aux plus riches et aux grosses entreprises). Et le moyen exposé dans ce fichier est probablement le moins brutal et le plus indolore de ceux dont l'éventualité a été envisagée.
Tout cela est donc on ne peut plus sérieux, et l'on doit s'attendre à des mesures une fois les élections passées. À celles du gouvernement pourraient bien s'ajouter celles de l'UE, qui voit d'un mauvais œil la trajectoire de la France.
MuletPower En réponse à _pepe_ Vermisseau
Bob_Bob Vermisseau
Flaneur En réponse à Bob_Bob Ver TikToké
Conseiller en stratégie des entreprises
Necropaf En réponse à Bob_Bob LoMBriK addict !
Les contenus de TV Libertés sont généralement classés à l'Extrême droite et le concept de "réinformation" est employé pour promouvoir ses idées. La chaîne se définit elle-même comme une télévision « libérée du politiquement correct ». (cf wikipédia).
romou Vermisseau
KukuLele En réponse à romou Vermisseau
_pepe_ En réponse à romou
Et s'il est possible de réduire notablement le mille-feuille administratif sans toucher aux services qui nous sont essentiels (lesquels subissent au contraire une diète de plus en plus sévère sous prétexte de réduire les dépenses), la part principale des recettes de l'État disparaît dans des transferts financiers au privé qui, au final, profitent bien peu à la croissance et au re-développement du pays.
Mais ça ne signifie pas qu'il faille se foutre de la dette, notamment parce que si l'on ne la rembourse pas, il faut quand même en payer les intérêts.
Il s'agit de sommes qui, au fur et à mesure qu'elles augmentent (au rythme du montant de la dette et des taux d'intérêt), nous privent d'une part croissante des recettes de l'État qui nous seraient nécessaires pour nous en sortir, y compris dans l'hypothèse de dépenses publiques et d'une gestion budgétaire redevenues raisonnables (on peut toujours rêver).
La seule augmentation de ces intérêts (étant entendu qu'ils ne sont pas le seul poste de dépense qui augmente) justifie que l'État doive trouver toujours plus d'argent pour les rembourser. Il doit le trouver là où il y en a, mais il ne le prendra que là où l'idéologie qu'il sert le pousse à chercher, c'est-à-dire encore dans la dette (notamment auprès d'une part d'acteurs étrangers avec des arrière-pensées qui augmente au fur et à mesure que la confiance dans la solvabilité du pays diminue), dans la vente des biens de l'État, dans l'épargne des Français et dans leurs biens privés (surtaxation, ou saisie en cas d'impossibilité de payer).
Le sujet du fichier n'évoque donc qu'un des moyens, qualifié d'indolore, de s'en prendre à l'épargne. Mais on sait que d'autres façons de procéder sont également à l'étude, et hélas, il faut s'attendre à tout de la part de gouvernements qui ont déjà prouvé leur inconséquence. Par ailleurs, les cas de Chypre et de Grèce ont déjà démontré qu'il n'y avait aucun tabou en la matière.
Boozy LoMBriK addict !