Si on se tient à Michéa... Clairement, la "vraie" gauche a disparu... depuis au au moins mai 68. Mais toujours selon Michéa, et je rajouterai, Clouscard, la "fausse" gauche, elle, est plus virulente que jamais...
La plus grande erreur est de croire qu'un média a, tel ou tel positionnement politique supposé ou avéré, est juste ou s'accorde uniquement au factuel, sans propagande, tandis que de l'autre bord, il faut absolument répudier, condamner etc. Or l'histoire l'a montré que la propagande touche TOUT les bords. Et même que c'est le fondement de notre civilisation occidentale, car rien de pire qu'une propagande qui se drape de vertus et qui même fait croire qu'on est libre de tout. Et cela, les fondements sont expliqué depuis... Edward Bernays. Vu, revu, et archi-connu. Mais faut croire qu'on assimile rien...
L'objectivité totale n'est pas de ce monde, certes. Mais il y a quand même une grosse différence entre présenter des informations au travers d'un prisme d'opinions particulier, et mentir, tromper et manipuler sciemment dans le but d'imposer des points de vue erronés ou fallacieux, ou de susciter des émotions destinées à empêcher toute réflexion.
Aujourd'hui, les « journalistes » des médias main stream violent quotidiennement près de la moitié des devoirs institués par la Charte de déontologie de Munich, et la qualité informationnelle s'est terriblement dégradée. En pratique, ils ont totalement cessé de faire du journalisme pour faire de la com'.
Mais ça n'a pas toujours été ainsi, du moins pas à ce point. Cette tendance s'est particulièrement systématisée au cours des quinze dernières années, de façon progressive, jusqu'à la disparition presque totale de la diversité éditoriale dans nos médias traditionnels.
Je me rappelle que lorsque cela a commencé en France, j'ai été forcé (ne serait-ce que pour savoir ce qui se passait près de chez moi) d'étendre mon mix informationnel habituel à des médias étrangers, majoritairement européens et francophones. Hélas, ceux-là ont également succombé au phénomène, bien plus tard, mais de façon tout aussi flagrante. Aujourd'hui, je dois aller puiser dans des solutions alternatives non conventionnelles et dans mes propres réseaux personnels d'information pour trouver matière à réflexion. (Ça ne m'empêche pas de continuer à consulter les médias mainstream, notamment pour savoir ce qu'ils souhaitent nous faire avaler ou nous cacher.)
Pour donner une idée de la dégradation de la situation, il y a encore quelques temps, quand je tombais sur des manifestations importantes (par leur motif et par leur ampleur) à Paris, nos médias se contentaient de ne pas en parler. Maintenant, ces médias en viennent à affirmer qu'elles n'ont jamais existé.
Tu as un exemple de manifestation qui a existé et d'un media mainstream qui dit qu'elle n'a pas eu lieu ?
Parce qu'il peut y avoir des impressions vraies ou fausses, mais là, tu dénonces des faits : quelqu'un qui dit qu'une chose, dont on a des preuves de l'existence, n'existe pas. Ca a, au moins, le mérite d'être quelque chose d'objectif.
Par exemple, il y a l'affaire de la vidéo de la manifestation organisée à Paris le samedi 3 septembre 2022 par le parti « Les Patriotes », que LCI avait qualifiée de fake news. Devant le tollé que cela avait suscité, la chaîne avait dû admettre publiquement son « erreur ».
glurp LoMBriK addict !
gwen Vermisseau
le-long-brick Longbric
KukuLele En réponse à le-long-brick Vermisseau
Sylfaen En réponse à le-long-brick Vermisseau
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KukuLele Vermisseau
MuletPower En réponse à KukuLele Vermisseau
_pepe_ En réponse à KukuLele
Aujourd'hui, les « journalistes » des médias main stream violent quotidiennement près de la moitié des devoirs institués par la Charte de déontologie de Munich, et la qualité informationnelle s'est terriblement dégradée. En pratique, ils ont totalement cessé de faire du journalisme pour faire de la com'.
Mais ça n'a pas toujours été ainsi, du moins pas à ce point. Cette tendance s'est particulièrement systématisée au cours des quinze dernières années, de façon progressive, jusqu'à la disparition presque totale de la diversité éditoriale dans nos médias traditionnels.
Je me rappelle que lorsque cela a commencé en France, j'ai été forcé (ne serait-ce que pour savoir ce qui se passait près de chez moi) d'étendre mon mix informationnel habituel à des médias étrangers, majoritairement européens et francophones. Hélas, ceux-là ont également succombé au phénomène, bien plus tard, mais de façon tout aussi flagrante. Aujourd'hui, je dois aller puiser dans des solutions alternatives non conventionnelles et dans mes propres réseaux personnels d'information pour trouver matière à réflexion. (Ça ne m'empêche pas de continuer à consulter les médias mainstream, notamment pour savoir ce qu'ils souhaitent nous faire avaler ou nous cacher.)
Pour donner une idée de la dégradation de la situation, il y a encore quelques temps, quand je tombais sur des manifestations importantes (par leur motif et par leur ampleur) à Paris, nos médias se contentaient de ne pas en parler. Maintenant, ces médias en viennent à affirmer qu'elles n'ont jamais existé.
Ezellar En réponse à _pepe_ Lombric Shaolin
Parce qu'il peut y avoir des impressions vraies ou fausses, mais là, tu dénonces des faits : quelqu'un qui dit qu'une chose, dont on a des preuves de l'existence, n'existe pas. Ca a, au moins, le mérite d'être quelque chose d'objectif.
_pepe_ En réponse à Ezellar
https://www.lef...lippot-20220906
J'ai le souvenir d'autres cas, notamment sur des radios, mais qui n'ont pas fait grand bruit et pour lesquels je n'ai pas retrouvé de références.
Ezellar En réponse à _pepe_ Lombric Shaolin
Ezellar Lombric Shaolin
_pepe_ En réponse à Ezellar