Accepteriez-vous de mourir pour votre pays ?

Bon ce sont des stats US

Bon ce sont des stats US

Envoyé par Shoot le 7 octobre 2023 à 00h38

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Spekkio Lombric Shaolin

Facile à dire tant qu'on est pas au pied du mur.

A titre personnel, aucune chance que je m'engage "pour mourir pour mon pays".

L'état est là pour nous servir, non l'inverse.
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john5 En réponse à Spekkio

Pourquoi tu parles de l'état ? On te parle de mourir pour son pays.
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Toto51 En réponse à john5 Vermisseau

mourir pour son pays, ca veux pas dire mourir pour l etat? Car c est l etat qui dirige le pays, et c est donc l etat qui est responsable de la guerre

Perso leur jeux de pouvoir j en ai rien a secouer, qu il s entretuent entre chef d etats ce serait tellement mieux, plus rapide et moins meurtrier
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john5 En réponse à Toto51

Réponse typique que j’attendais et qui trahis l’infantilisation générale de la société française. L’état fort (qui est pourtant une valeur de gauche) a progressivement amené les français dans un mode de relation au monde et à leur pays qui ne peut se faire qu’à travers leur rapport avec l’État. Comme le commentaire de Spekkio l’a très bien montré, beaucoup de gens confondent État avec Nation. Infantilisation, parce que l’État en France représente l’autorité parentale avec laquelle il n’y a que deux modes de relation possible, l’assentiment enfantine ou la rébellion adolescente. La conséquence étant la compréhension généralisée du patriotisme comme une forme de soumission à l’autorité. Un paradoxe avec notre chauvinisme par ailleurs marqué... Pourtant, d’une part il suffit d’avoir un peu voyagé et s’être intéressé à d’autres cultures pour constater que cette façon de voir les choses est typiquement française (et de gauche) et d’autre part, un conflit comme celui de l’Ukraine nous a rappelé que quand on est du côté du peuple envahi, se battre "pour son pays" revient très pragmatiquement à se battre simplement pour protéger sa maison et sa vie. De façon plus générale, le rejet massif du patriotisme démontre le triomphe de la morale individuelle sur l’intérêt collectif, d’une façon qui, contrairement à ce que voudraient suggérer ceux qui s’en targuent, ne va pas de soi. Des valeurs qui affirment que "tuer c’est mal donc il vaut mieux fuir". Très bien, donc si tu fuis, tu as sauvé ton âme... mais tu as sacrifié tout le reste : tes biens, tes valeurs, ta culture, ta terre, ta maison, tes voisins, toutes les choses dont tu te glorifies en temps de paix. Comme je disais, l’intérêt collectif sacrifié pour l’intérêt individuel. Il y a aussi dans cette posture une forme de déni de réalité et notamment un aveuglement devant le fait pourtant simple à comprendre que le monde est fait de rapports de force inévitables et que le résultat de l’équation dépend essentiellement du caractère actif ou passif de notre attitude lorsqu’on y est pris malgré nous. Tout ce pavé non pas pour faire la morale ou dire qu’il vaut mieux faire ci ou mieux faire ça mais pour rappeler que ceux qui se drapent dans leur cape de vertu peuvent réfléchir au fait qu’ils n’embrassent pas LA morale universelle mais UNE morale qui peut tout à fait être mise en perspective, surtout au vu des conséquences sur le monde et les gens autour d’eux auxquelles aboutiraient leurs choix.
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Jampol3 En réponse à john5

Je ne sais pas ce qui m'énerve le plus, ton argumentaire ou ta condescendance...
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Nioa En réponse à Jampol3 Vermisseau

Moi c’est plus la longueur du message
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krondor En réponse à john5 Vermisseau

Dans ce cas, il faut définir "La Nation". Perso, "La Nation" n'est pas une valeur et ne défend pas ou ne représente pas une valeur morale.
Les Communalistes de Paris avaient quelle représentation de la Nation ? La question aussi est mal formulée. "Die fighting for America" mourir au combat pour l'Amérique. Quelle représentation de l’Amérique ? C'est aussi sujet à interprétation pour chaque personne qui définie selon son prisme l’Amérique.Est-ce que la question est vraiment de mourir au combat pour une nation ou pour des idéaux symbolisés par une représentation d'une forme de Nation ?

Si la question est mourir au combat pour la liberté occidentale, ou plus généralement la vie en société à l'occidentale, là, il y a déjà plus de matière à projeter la raison de "mourir au combat". Mais on peut aussi retourner la question autrement qui n'en serait pas fausse pour autant : Etes-vous prêts à mourir au combat pour que les lâches vivent en paix ? Il est aussi question de valeur, et de manière de vivre, de jugement, de morale et bien des choses encore.

Et pourquoi ne pas poser cette question aussi : Etes-vous prêt à mourir pour que les démocrates vivent ?
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john5 En réponse à krondor

On peut s’amuser à essayer de le définir mais ce qu’on peut dans tous les cas constater avec cette enquête (si tant soit est qu’elle soient authentique) et qui personnellement me frappe, c’est que malgré l’ampleur des tensions sociales qui divisent l’amérique actuellement il existe une forme d’idéal abstrait qui, quelle que soit sa définition, unit l’ensemble de la population indifféremment de son origine ethnique, son milieu social, son âge ou ses convictions politiques. Donc à un certain niveau et malgré des projets et des valeurs antagonistes , la population reconnaît un patrimoine commun qu’elle valorise. Même si ce patrimoine est davantage fantasmé que tangible (le "rêve américain"), ça reste un point d’achoppement commun. Je me demande si il existe un équivalent pour la france, un idéal ou une valeur qui unit tout le monde. (quand on voit que même pour sur le nom du pain au chocolat on s’écharpe, on peut se poser la question...)
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krondor En réponse à john5 Vermisseau

Oui, mais sur une base idéologique. le 15 novembre en a été l'expérience pour la France, comme L'attaque du métro de Londres pour les Anglais ou Anders Behring Breivik en Norvège. Le problème c'est que cela vaut pour tout les styles de vie. Chine, Congo, Suisse, France, Allemagne, Russie, Chili, Pérou, et tout les autres. Et qu'a l'intérieur de ces sociétés il y a des images idéalisées. Il n'y a pas vraiment de valeur patriotique, il y a des identités.

Ces identités sont manipulées pour servir des idéologies ou des intérêts individuels. Ce qui en fait forcément des armes idéologiques. Mais on ne meurt pas pour son pays. On meurt pour des valeurs et des idéologies. Militaire pour certains, comme l'honneur du soldat, ou la cause politique. En aucun cas pour un pays. Un pays n'est qu'une représentation géographique administrative qui ne créer rien et ne construit rien, ce que possède un pays, c'est ce que n'a pas un autre pays. C'est un ensemble cohérent d'identités variées et d'expériences historiques. La France peut aussi être un exemple très illustratif. Qu'est ce que c'est qu'être Français ? N'importe qui vous dira ce qu'il pense selon son prisme local et son expérience de vie. Une personne n'est pas française par l'identité administrative, mais par son vécu dans un espace géographique. Le droit de faire grève sur un point d'autoroute pour les uns, le droit d'enfermer des dealers ou autres pour les autres. La liberté économique ? Les bistrots ? La pétanque ? Le ricars ? La cuisine ? Ce sont les gens qui engendrent la valeur morale et idéologique, les gens et leurs expériences. Un expat français aura-t-il la même vision de la France en ayant habité 30 ans au Vietnam ? Être "français unifié" est idéologique et un fantasme. Qu'est-ce qu'être français pour les personnes d'outre-mer ?

Votre problème à vous français, dans l'identité, est aussi d'ordre politique. Des politiciens ont voulu créer de façon factice une identité française avec les livres d'histoires. Le fameux "récit national". Cela a causé plus de mal, car cela a détruit des identités françaises et les valeurs historiques crées par les populations locales. Au lieu de partager des valeurs idéologiques communes... Mais te leurres pas, les français sont comme les allemands et les anglais... en vacances, ils se déplacent en groupe et sont tout aussi chiant... pourquoi les groupes de touristes partent en groupes à l'étranger et se sentent mieux, en sécurité ? Parce qu'ils partagent les même valeurs. L'enseignement, les codes sociaux, les valeurs économiques et sociales et même les même gênent, ou la même histoire...

Donc la question "qui est prêt à mourir pour l'Amérique" n'est pas une question de valeur, mais de propagande, qui sert une valeur idéologique. Celle de l'homme blanc, actif, patriarcat, républicain, identitaire (fasciste, oui le fasciste est international, non ce n'est pas "que" italien", mais c'est un autre débat). Une idéologie identitaire très spécifique, exclusive et fantasmée... Donc forcément, qui sert un point de vue idéalisé.

C'est mon opinion.
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KukuLele En réponse à john5 Vermisseau

Wow john5 en fait c'est un putain d'intellectuel. Qui a comme faiblesse les boobs, naturels, gros mais pas trop. Je note...
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john5 En réponse à KukuLele

C’est ça ton argumentation ? Une attaque sur mes préférences sexuelles ?
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KukuLele En réponse à john5 Vermisseau

Wow faut se calmer... je sais pas ce que tu as compris de travers... je suis d'accord avec ce que tu as dit, c'est bien argumenté et c'est très juste... ta "préférence sexuelle" c'était juste pour te taquiner...
C'est le week-end il faut se détendre...
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john5 En réponse à KukuLele

Désolé, le ton d’un commentaire n’est pas si évident à percevoir par écrit et j’ai l’habitude d’être pris à la gorge dès que je donne mon avis alors... Ça aurait pas été la première fois que quelqu’un réagisse par une attaque personnelle. Pas que ça m’atteigne mais je trouve malgré tout que c’est un coup bas assez naze.
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KukuLele En réponse à john5 Vermisseau

Je ne t'en veux pas d'être à cran, moi aussi je trouve que ce sont souvent les mêmes qui emploient l'invective et l'insulte.
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OSEA En réponse à john5 Vermisseau

Et quand t'as autant de gamins à gérer l'infanticide est totalement légitime ... Beaucoup d'idéologies et de concept du coup très peu factuel comme propos selon moi ;) ça sort d'où le concept de "l’état fort qui est pourtant une "valeur" de gauche" ?
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john5 En réponse à OSEA

J’ai utilisé l’expression "état fort" plutôt que "état providence" que je trouvais un peu trop restrictive mais oui, les politiques d’état interventionnistes notamment au niveau économique et social, par divers moyens comme la collecte des impôts et taxes, la redistribution, les privatisations/nationalisation, la régulation des marchés, de l’emploi et de l’activité des entreprise, les différentes techniques de protectionnisme, taxes à l’import ou toutes autres forme de dumping économique sont généralement plutôt opposées au libéralisme économique ce qui en fait des politiques en général plutôt associées à la gauche en effet. Par état fort je faisais aussi allusion à la forte centralisation contrairement à des pays comme l’Allemagne ou les USA justement.
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KukuLele En réponse à john5 Vermisseau

La gauche a été transformée et n'est plus "l'idéal" qu'elle est censée être et que tu soulèves. Il suffit de lire d'abord Jean-Claude Michéa et ensuite Michel Clouscard pour le comprendre et mettre les mots dessus.
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OSEA En réponse à john5 Vermisseau

BUG DANS LA MATRICE LLB
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Cyclomore En réponse à john5 Vermisseau

Ton beau raisonnement s'appuie sur des prémisses complètement faux:

"Tuer ou fuir": ce n'est clairement pas une alternative. Il y a de nombreux exemples de combats menés depuis l'exil, et il y à de nombreuses manières non léthales de combattre.

"Se battre pour protéger sa vie": En fait, se battre, c'est une manière très efficace de ne pas protéger sa vie. Vas voir un peu l'ossuaire de Douaumont, c'est plein de gens qui avaient été "gentiment invités à se battre". Ca ne les à pas trop protégé. Et les victimes civiles des conflits armés, elles ne meurent pas qu' elles ne se battent pas. Elles meurent parce que d'autres on été "gentiment invités" à se battre.

"monde fait de rapports de force inévitable". En fait, une part importante de l'activité humaine consiste à éviter les rapport de force. Développement du langage, commerce, mariage, organisation en société... Même dans un contexte guerrier, éviter le rapport de force est une base de la stratégie. Si tu bosse un peu les échecs, tu verra que le moment ou la tactique s'exprime et ou les pièces maitresses commencent à s'échanger marque souvent l'issue de la partie, le moment ou justement, les joueurs n'arrivent plus à l'éviter. Note que dans cet exemple, ils ont tous deux fait le choix d'aller jusqu'au bout, à tout prix. Il ne s'agit pas d'une fatalité. Dans le monde réel, des belligérants peuvent à tout instant choisir de mettre fin à un conflit, pour en limiter le prix humain et matériel, ce qui constitue là encore une manière d'éviter un rapport de force.

A quoi bon bâtir des raisonnement brillants sur des fondations bancales? L'ensemble de l'édifice sera bancal.
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wizzz En réponse à Spekkio Jeune asticot

C'est aussi facile à dire pour les républicains que pour les démocrates ou que les indépendants.
Donc à la limite on pourrait en conclure que les democrates sont moins faux culs quand on leur pose cette question.
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Orme Dresseuse de lombriks

Je préfère que l'ennemi meure pour le sien.
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Bigbuddy En réponse à Orme Vermisseau

Sinon, les 101% de femmes autres de 50-64 ans et les 99% de 18-29 ans, FAITES UN EFFORT !
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le-long-brick En réponse à Bigbuddy Longbric

Les "other" à 101% sont pas mal non plus.
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Shoot En réponse à le-long-brick Vermisseau

C'est le pb des arrondis,
tu préfères 6 chiffres après la virgule ?
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Bigbuddy Vermisseau

Queuuue? Wa !? Seulement 46% des surmulots de présentation sont prêts à mourir pour leur pays ?

Par contre bigup! aux mâles hispaniques républicains de + de 65 ans ...
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anykeyh Vieil asticot

Moi tout ce que je vois c'est qu'on a enfin trouvé un moyen de se débarrasser des séniors.
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PEM1977 Vermisseau

Nadine Morano a déclaré sur les réfugiés qui fuient leur pays à cause de la guerre doivent rester pour se battre.
Ses gosses doivent être adultes maintenant (ceux avec qui elle faisait semblant de jouer à GTA pour dénoncer la violence des jeux vidéos); on verra si elle sera d'accord pour qu'ils partent faire la guerre pour la France;
+ 4 -

PanicPurple Vermisseau

Je trouve la question bien mal posé, en réalité, il aurait été plus pertinent de demander si on est prêt à se battre pour notre pays (après tout dépend ce que l'auteur du sondage voulais "prouver". Après il y a une question de contexte, êtes vous d'accord à défendre votre pays en cas d'attaque ou êtes vous prêt à attaquer un pays pour x raisons ? Il est rassurant quelque part de ce dire qu'une large minorité refuse ou ne sais pas, cela tend à prouver que les personnes sont plutôt libre de penser. De mon point de vu, aller faire la guerre est l'une des pires chose qu'il puisse arriver à quelqu'un, on en sort pas indemne des combats même si on n'est pas touché et n'oubliez pas que ceux qui décident de faire la guerre ne sont pas les personnes qui vont au front.
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TiKeuj Vermisseau

C'est tout de même assez confondant de bêtise ces "sondages" américains hors sol et leurs diffusions sur des réseaux du genre de LLB...
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Shoot Vermisseau

30% des plus jeunes veulent se rendre !
Ils comptent sur les boomers, qu'ils critiquent souvent, pour les sauver.
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Flaneur Ver TikToké

Les catégories qui disent le plus oui sont les hommes républicains de plus 65 ans parce qu’ils savent que c’est pas eux qui iront c’est les jeunes pauvres en majorité qui iront mourrir pour le pays .

Perso imaginons qu’un autre pays genre la Russie nous annexe sans difficulté et que son président déclare on ne sait pas pourquoi que la France sera libre qu’ils s’en vont sans aucune condition à la seule condition que moi flaneur je sois tué sans douleur par eux . Franchement je crois pas que j’accepterais surtout si l’occupation se passe sans trop de violence .

Autre cas un pays nous envahit et tirent sur les civils quand ils arrivent en ville . La France dépose des armes dans les centre ville pour ceux qui veulent résister la oui dans le soucis de me défendre , défendre mes proches et mes voisins je prendrais des armes . Mais arrivé à la croisée des chemins au point où je serais encerclé sur le point d’être battu et que l’ennemi me dit de me rendre ou mourrir , ben je pense que je me rendrais et survivrais.
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KukuLele En réponse à Flaneur Vermisseau

C'est surtout n'importe quoi de faire des catégories qui peuvent s'inclure entre elles, du coup ce sondage vaut cacahuète... en tout cas présenté comme cela.
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BonPublic Vermisseau

C'est quoi des demorats ?
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