90 jours de prison pour une adolescente pour avoir avortée au Nebraska

Elle était poursuivie par la police pour avortement illégal après que des échanges privés entre elle et sa mère ont été transmis par Facebook aux autorités. Le groupe Meta est désormais sous le feu des critiques et les défenseurs du droit à l’IVG s’inquiètent que ce cas ne soit que le premier d’une longue série.

Comme l’indique Forbes dans un article publié le 8 août, Celeste Burgess, 17 ans, et jugée en tant qu’adulte avec sa mère Jessica Burgess, attend son procès devant le tribunal de district du comté de Madison pour avoir enfreint une loi du Nebraska interdisant les avortements après 20 semaines, soit quatre semaines après la date légale.

Selon Forbes, les autorités ont reçu un « tuyau » indiquant que Céleste avait fait une fausse couche en avril et enterré le fœtus en secret. Pendant leur enquête un mandat de perquisition a été délivré pour accéder aux comptes Facebook de Celeste et Jessica. Ils ont ensuite trouvé des messages entre la mère et la fille expliquant en détail comment Celeste avait subi un avortement réalisé par sa maman. Mère et fille sont ainsi accusées depuis juillet d’avoir eu recours à un avortement illégal, puis d’avoir brûlé et enterré le fœtus.

Les procureurs ont déclaré que la mère avait commandé des pilules abortives en ligne et les avait données à sa fille en avril 2022, lorsque Celeste Burgess avait 17 ans et au début du troisième trimestre de sa grossesse. Les deux ont ensuite enterré les restes fœtaux eux-mêmes, a déclaré la police.

Jessica Burgess a plaidé coupable en juillet pour avoir violé la loi sur l'avortement du Nebraska, fourni de fausses informations à un agent d'application de la loi et enlevé ou dissimulant les restes squelettiques humains. Elle risque jusqu'à cinq ans de prison lors de sa condamnation le 22 septembre, selon Joseph Smith, le principal procureur du comté de Madison, au Neb.

https://www.nytimes.com/2023/07/20/us/celeste-burgess-abortion-pill-nebraska.html

Elle était poursuivie par la police pour avortement illégal après que des échanges privés entre elle et sa mère ont été transmis par Facebook aux autorités. Le groupe Meta est désormais sous le feu des critiques et les défenseurs du droit à l’IVG s’inquiètent que ce cas ne soit que le premier d’une longue série.

Comme l’indique Forbes dans un article publié le 8 août, Celeste Burgess, 17 ans, et jugée en tant qu’adulte avec sa mère Jessica Burgess, attend son procès devant le tribunal de district du comté de Madison pour avoir enfreint une loi du Nebraska interdisant les avortements après 20 semaines, soit quatre semaines après la date légale.

Selon Forbes, les autorités ont reçu un « tuyau » indiquant que Céleste avait fait une fausse couche en avril et enterré le fœtus en secret. Pendant leur enquête un mandat de perquisition a été délivré pour accéder aux comptes Facebook de Celeste et Jessica. Ils ont ensuite trouvé des messages entre la mère et la fille expliquant en détail comment Celeste avait subi un avortement réalisé par sa maman. Mère et fille sont ainsi accusées depuis juillet d’avoir eu recours à un avortement illégal, puis d’avoir brûlé et enterré le fœtus.

Les procureurs ont déclaré que la mère avait commandé des pilules abortives en ligne et les avait données à sa fille en avril 2022, lorsque Celeste Burgess avait 17 ans et au début du troisième trimestre de sa grossesse. Les deux ont ensuite enterré les restes fœtaux eux-mêmes, a déclaré la police.

Jessica Burgess a plaidé coupable en juillet pour avoir violé la loi sur l'avortement du Nebraska, fourni de fausses informations à un agent d'application de la loi et enlevé ou dissimulant les restes squelettiques humains. Elle risque jusqu'à cinq ans de prison lors de sa condamnation le 22 septembre, selon Joseph Smith, le principal procureur du comté de Madison, au Neb.

https://www.nytimes.com/2023/07/20/us/celeste-burgess-abortion-pill-nebraska.html

Envoyé par Flaneur le 21 juillet 2023 à 11h19

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Ezellar Lombric Shaolin

Au troisième trimestre de grossesse ? Entre 6 et 9 mois.
C'est plus de l'avortement à ce moment-là même avec une législation plus cool comme en France.
+ 5 -

Flaneur En réponse à Ezellar Ver TikToké

Elle aurait avorté a 20 semaines donc 4 mois et demie
+ 4 -

MrK En réponse à Flaneur Lombric

Tu as une source pour parler de 20 semaines ? Les différents articles que j'ai trouvé parle de "début du 3eme trimestre" ou "30 semaines".

L'argument comme quoi celles qui veulent le feront dans tous les cas justifie clairement la mise en place de moyen d'avorter et de faciliter l'accès à ces moyens, mais il faut des limites... J'ai un ami qui est né a 7 mois... Je ne suis pas expert en comptage de semaines de grossesse mais je crois que ça correspond à 30 ou 32 semaines.
Des trucs illégaux ce feront toujours, ce n'est pas un argument pour tout légaliser... Je vais pas donner des exemples tout naze pour comparer les deux situations ça serait un manque de respect mais on ne peut pas tout cacher derrière "elles le feront quel qu'en soit le risque".
Si le bébé est viable c'est trop tard, et (je pense que) a 30 semaines, même si ça va pas être facile c'est un bébé viable. (ça a pas été facile pour mon ami, il a pas mal d'allergie et un système nerveux pas comme le mien... Mais si tu ne le sais pas tu ne le remarque pas et a part les allergies au printemps rien ne le gène dans sa vie, il a aussi un manque de sensibilité au chaud et au froid, il lui faut un pommeau de douche qui change de couleur avec la température... Y a pire comme gène que des allergies au pollen, et pour la température, je te parle pas des économies qu'il fait en chauffage...)

Enfin bref. Pour résumer. Je suis pour le droit a l'avortement, pour que ce soit facile d'accès, pour que le délais ne soit pas trop court. Mais je suis contre un délai trop long et je pense qu'il faut sanctionné les dépassements de délai.
Je n'ai aucune idée de ce qu'est le délai idéal a fixer, mais 30 semaines c'est trop...
Si je ne me trompe pas, en France c'est 16 SA.
En Europe les pays dit progressistes tournent entre 18 et max 24 semaines.
+ 2 -

Flaneur En réponse à MrK Ver TikToké

Dans le Huff post ils disent environs 20 semaine et dans la source la plus officiel journalstar ils disent qu’un détective aurait obtenu son dossier médical et il estime l'avortement entre 20 semaine et presque 6 mois .

https://journal...ced3001c71.html

Après oui il faut des limites 6mois c’est trop selon moi . Je suis en accord avec toi . En France c’est je crois 7 semaines de grossesse en avortement médicamenteux et 12 semaine de grossesse en chirurgical .
+ 18 -

Leyriane En réponse à MrK Vermisseau

Le problème provient que sans accès a l'avortement, bah impossible de faire un avortement dans les temps. Le problème ne vient pas de la fille mais surtout du manque d'accès: sachant qu'il faut deja un moment pour comprendre qu'on est enceint, et que le temps de trouver une solution, bah l'évolution du foetus continue, bah oui....ce genre de problématique va continuer.
Rien qu'en sachant le magnifique bizness de l'adoption et les dérives aux USA a ce sujet, le problème des enfants plaçés aux USA (ou y a quand même un sacré paquet de "tuteurs" qui ne devraient pas l'être, sans parler de la problématique liée aux abandons (USA: près de 5 millions d'enfants SDF))....c'est pas le top pour commencer dans la vie dans un des pays les plus inégalitaire au monde.

6 mois, sans aucune aide médicale, non l'enfant n'est pas viable. Je suis née a 6 mois et les problèmes qui peuvent découler dépendent de l'aide apportée justement. J'ai les sinus eclatés (ce qui entraine des saignements de nez la nuit quand trop froid), des problèmes d'equilibre (liés a l'oreille interne), et des problèmes respiratoires (les allergies c'est pas liés a la naissance prématurée). Si on rajoute le trou que j'ai au niveau du crane pour soit disant oxygener le cerveau, ce qui a entrainés un strabisme divergeant d'un de mes yeux, voila voila. Et ca c'est parce que ma mère n'as pas fait le necessaire et que ma grand mère a été réactive. Ma mère aussi voulait avorter, ma grand mère le lui a interdit....ma mère et moi n'avions pas vraiment des rapports "parents-enfants" normaux, parce qu'elle m'as trainée comme un boulet pendant toutes sa vie. Forcer quelqu'un a prendre soin d'un enfant dont il ne veux pas, c'est la porte ouverte aux agressions et a la maltraitance, par que le parent ne sera pas protecteur ou regardant a la sécurité de l'enfant. Particulièrement si l'enfant est né d'une agression sexuelle ou autres joyeuses problématiques du genre !

Concernant les avortements, la majorité des avortements, et c'est un fait, sont le dû non pas a un oubli, ca c'est la minorité, mais plutot a une protection incorrecte ou qui ne fonctionne pas. La majorité des femmes ou filles qui avortent prenaient la pillule ou ont mis la capote. Le problème c'est qu'on a quand même un gros ratio de crétins qui retire la capote en cours de route ou refuse de la mettre. Je suis désolé hein mais si dans le cas de figure ou vous refusez l'avortement aux femmes, alors je considère qu'il est OBLIGATOIRE a ces messieurs d'aider à assurer l'avenir du marmot qu'ils ont contribués a mettre au monde ! Surtout si la personne a refusé de porter une capote ou a fait son connard en la retirant a mi-parcours (ce qui est incroyablement irrespectueux de la personne). On le dit et le redit depuis des années: la pillule n'est pas fiable, parce qu'il faut du temps pour savoir quel est le bon dosage (et que certaines femmes sont hyper-fertile et d'autres ne la supporte tout simplement pas !).
+ 3 -

Flaneur En réponse à Leyriane Ver TikToké

Merci pour ton puissant et pertinent témoignage.
+ 0 -

trucmoi En réponse à Leyriane Ver d'os

Je confirme pour le retard et la prise de pilule.
J'ai appris il y a quelques années, qu'un de mes proches a été obligé de se faire avorter dans un pays étranger dont elle ne maitrisait pas la langue, alors même qu'elle avait toujours pris la pilule. Elle a continué à avoir ses règles pendant ces 3 mois de grossesse et c'était 2 jours trop tard quand elle a reçu les résultats. Sachant que ses 1er tests de grossesses étaient négatifs ou pas clairs.

En fait, elle était tombé malade et son médecin ne l'avais pas prévenu que le traitement qu'il lui avait donné, interférais avec sa pilule. De plus, elle m'a dit que c'était sur qu'il aurait été lourdement handicapé à cause de se traitement. La totale alors qu'elle était avec son conjoint qui est devenu son mari (et avec qui elle est toujours aujourd'hui).

Elle faisait ses études qu'elle payait elle même en bossant comme un chien pendant ses "vacances". Heureusement, elle a pu débourser l'équivalent de 1000 francs et réussi son diplôme malgré se "contre temps".

Pour ma part si ce proche n'avait pas pu faire ça, je ne serais pas né.
+ 0 -

MrK En réponse à Leyriane Lombric

Je pense qu'il y a une différence phénoménale entre naître a 6 mois et naître a 7 mois.

L'accès facile a l'avortement est, comme tu le dis et comme je le dis, un élément essentiel pour éviter les dérives.

Pour ce qui est de retirer la capote en cours de route, il me semble que c'est un viol.

A noter quand même que pour ce qui est des IVG avec prise de pillule le manque de rigueur dans la prise des pilules semble être une cause fréquente de leur manque d'efficacité.
Je ne dis pas ça pour culpabiliser les femmes, mais plutôt pour rassurer celles qui pourrait prendre peur de se sentir protéger a tord, et si ça incite les moins rigoureuses a faire plus attention tant mieux... (Facile à dire, je ne suis pas concerné...)
+ 0 -

Guaruda En réponse à MrK Asticot

En faite il y a tellement de paramètre et de situation à prendre en compte que même si l'idée d'un délai "pas trop court mais pas trop long non plus" semblent judicieuse, elle ne l'ai absolument pas.

Entre:
- le temps que tu finisses par comprendre que tu es enceinte, ce qui peut être très long, surtout dans des cas de grossesse invisible (qu'on appel aussi déni de grossesse),
- le temps de savoir si tu le garde ou pas,
- le temps de trouver un praticien qui veux bien le faire (oui parce qu'ils peuvent refuser, ce qui rallonge les démarches),
- le temps de faire les démarches,
- le temps d'être prise en charge,
- le temps que tu va perdre avec toutes les personnes non concernés mais qui vont te faire culpabiliser,

et bien tu peux vite arriver en fin de délai et là on parle juste d'une situation simple où une personne décide d'avorter dès qu'elle est au courant, parce que il y a encore plein d'autre type de situation qui vont ralentir et modifier ce petit parcours basique.

Du coup le mieux c'est de ne pas mettre de délai et de faire une loi qui te permette d'avorter jusqu'à la naissance. Alors certes ça fait un peu répugnant et choc, mais le nombre de personne qui vont avorter à 8 mois ou 9 mois (respectivement entre 32 et 36 semaines) vont se compter sur les doigts d'une main chaque année et il y aura de forte chance que ces décisions d'avortement aient une raison tout à fait légitime (qui ne regarde que la personne qui subit son avortement), comme la santé de la mère qui se dégrade, avec des fortes chances que les deux y passent par exemple.

Au final, c’est pas toi qui va porter, mettre au monde et possiblement élever l'enfant (oui il reste toujours l'abandon de possible au pire), donc ta vision des choses ne doit pas compter, sauf que en instaurant un délai ou d'autres contraintes via une loi que tu penses trouver légitime, tu imposes ta vision des choses à quelqu'un qui va certainement trouver ça très très injuste.
+ 1 -

Oblivionis Taret

Alors.

Pour commencer, je constate un truc intéressant Flanneur, c'est que tu a mis une source sérieuse ( c'est bien ) du fait, probléme : ta traduction est très hasardeuse, pour ne pas dire qu'elle est mauvaise ( donnant de fausse infos et sous-entendue ).

Donc, je reprend les faits tels que connue ( source principale : new-york times )

" poursuivie par la police pour avortement illégal " Concrètement, elle était poursuivie pour avortement illégal, dissimulation de preuve, destruction de cadavre et parjure.

Dans un premier temps, elle avait annoncé avoir fait une fausse-couche peu avant sa 20 éme semaine de grossesse.

Probléme : au cours de l'enquête, on s'est rendue compte qu'elle avait avorté ( donc, cause non-accidentel ) et avait largement dépassé les 20 semaines de grossesse, a savoir que les expertises et dossier médical évalue l'avortement au alentour de la 30 éme semaine. Les expertises ne sont pas sure, puisque la fille et sa mère one tenté de faire bruler le cadavre du fœtus et l'on enterré.

Il faut savoir qu'a l'heure actuel, un fœtus humain est viable a partir de 23 a 24 semaines.

La ou l'affaire un pris un tournant particulier, c'est lorsque pour les besoin de l'enquête, les flics ont au accès au conversations Facebook entre la mère et la fille.

Et c'est la que ca deviens relativement glauque.

Lors de l'échange de message, les enquêteurs ont trouvé des preuves d'un avortement médicalement provoqué, ainsi que les propos de la fille disant : "Jai hâte de retirer cette" chose "de son corps", " et avoir hâte « d'enfin pouvoir porter des jeans », ou bien de se concerté avec sa mère sur la façon dont elles allait faire disparaitre les "preuves".

EDIT : L'avortement était a l'époque légal avant 20 semaines au Nebraska ( contre 16 en France ).
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Flaneur En réponse à Oblivionis Ver TikToké

Ok merci pour ces rectifications
+ 1 -

NainPorteQui Vermisseau

Je vais parler de ma province canadienne, avec une situation probablement proche du Nebraska. Bien que le Canada ait légalisé l'avortement en 1988, le respect de la Charte canadienne des libertés et droits concernant son accessibilité reste un enjeu.

Certaines femmes vivent dans des régions éloignées où les services médicaux, y compris les avortements, sont peu disponibles voire inexistants. Cela oblige ces femmes à parcourir de longues distances pour obtenir des soins appropriés, entraînant des coûts supplémentaires et des contraintes logistiques importantes. Par exemple, dans mon cas, le centre de soins le plus proche est à 600 km...

Ensuite, il peut être difficile de bénéficier d'un suivi médical adéquat en raison du manque de personnel médical, tout simplement. Ce manque de suivi peut entraîner des complications médicales non détectées ou mal traitées, comme dans mon cas et pour environ 25% de la population qui n'a pas de médecin de famille. Cela signifie que seul le service des urgences nous offre des soins médicaux, sans suivi, seulement périodiquement avec des délais d'attente de 5-8 heures en salle d'attente.

Aussi, les délais pour obtenir un rendez-vous pour un avortement peuvent être excessivement longs, ce qui limite l'accès opportun à ce service médical. Les exigences administratives, telles que des délais d'attente obligatoires ou des consultations supplémentaires, peuvent également constituer des obstacles pour les femmes qui ont besoin de services d'avortement rapides et efficaces. Ces délais et obstacles peuvent entraîner des avortements tardifs, ce qui présente des risques accrus pour la santé des femmes concernées. La stigmatisation entourant ce choix médical persiste dans certaines communautés et institutions. Cette stigmatisation peut décourager certaines femmes d'accéder à l'avortement ou les forcer à garder leur décision secrète, rendant difficile la recherche de soutien médical et psychologique approprié.

Dans ma province, il existe des consultations obligatoires pour l'avortement, avec des agents qui parlent d'adoption ou d'autres alternatives. Le parcours pour accéder à la seule salle d'avortement existante est complexe, car elle est située dans le même bâtiment que la maternité et la pouponnière. La seule clinique privée qui existait a dû fermer à cause des manifestations continues de groupes catholiques intégristes qui l'ont saccagée à plusieurs reprises, sans compter les coupures de subventions publiques de la part du premier ministre conservateur.

Au final, les coûts liés à l'avortement peuvent représenter une lourde charge financière pour les femmes. Même si l'avortement est couvert par le système de santé au Canada, certaines femmes peuvent éprouver des difficultés à obtenir une assistance financière pour couvrir les frais indirects liés à l'avortement, tels que les frais de transport multiples, d'hébergement ou de garde d'enfants lorsqu'elles doivent se déplacer pour accéder à des services médicaux spécialisés.
+ 0 -

Flaneur En réponse à NainPorteQui Ver TikToké

Oui la taille du Canada fait que parfois certains sont loin des docteurs et autre clinique , je comprends. Merci d’avoir mis la lumière sur l’hypocrisie du système qui offre l’avortement mais n’offre pas les moyens de l’obtenir correctement.
+ 0 -

NainPorteQui En réponse à Flaneur Vermisseau

oui et non, par exemple l'hopital de ma ville offre des soins de santê et serai en messure d'offrir des avortement, mais non
+ 1 -

Shoot En réponse à Flaneur Vermisseau

L'excuse à 2 balles, ouin j'habite dans la cambrousse , donc j'avorte à 6 mois
Il y a tellement de couples en mal d'enfants,
Accouchez sous X peut-être une solution et ça fera des heureux
+ 0 -

feyfey En réponse à Shoot Lombrique girafe cougar chienne poule y dort

Et donc obliger les femmes à mener une grossesse non désirée à terme « pour faire des heureux » est donc un argument valable ?
Je comprends ce besoin de vouloir à tout pris faire subir une situation dramatique, situation pour la quelle les femmes doivent constamment se justifier, parce que d’autres en veulent. Ça revient à vouloir les traiter en pondeuses.

Je sais pas si certains se rendent compte : la gamine a 17 ans.
17ans bordel !
Et elle est pointée du doigt comme la dernière des sorcières à brûler.
Mais absolument personne ne pose la question du père ?
Pourquoi il ne serait pas mis en cause lui aussi, après tout.
+ 0 -

Oblivionis En réponse à feyfey Taret

Alors, pour répondre a ta question :

A ce jour, officiellement, personne ne sait qui était le père. Il y a bien un jeune homme de 22 ans qui aurait aidé a la planification de tout ça, mais il est décrit comme " un amis de la famille ".

Autre questions : Sachant que l'avortement est légal au Nebraska ( jusqu'à 20 semaine au moment des fait ), sachant que la mère a pu acheter sans difficulté les médicaments permettant d'avorter. Pourquoi avoir attendue 30 SEMAINES avant d'avorter ? Je suis bien conscient que l'on peut très bien ne pas connaitre son fonctionnement biologique, et en de rare cas, faire un dénie de grossesse, mais dans ce cas la, rien de tout cela n'a été mis sur le tapis en guise de défense.

Du coup, sachant qu'on ne retrouve aucune traces a l'heure actuel d'une demande de prise en charge médical pour un avortement, ni quoi que ce soit du genre, est ce normal d'attendre si longtemps ?
+ 14 -

nimajneB LoMBriK addict !

- Ici au Nebraska on est pour la peine de mort, mais contre l'avortement...
- WTF dude, seriously ... !
+ 0 -

Knout Vermisseau

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