Grosse fatigue et épidémie de flemme

Article transmis par mon permanent Setca. Je le trouve très intéressant et je m'y retrouve totalement dans la perte de sens au travail avec toutes les procédures et réglementations qui changent ou qui se créent toutes les semaines.
Et je rencontre également beaucoup de travailleurs en burnout pour lesquels je ne détecte pas vraiment une incapacité totale à travailler mais plutôt une incapacité à rester chez son employeur actuel.

Envoyé par Astre_radieux le 13 mars 2023 à 08h52

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BarneyGumbles Lombric Shaolin

pffff j'ai la flemme de lire l'article
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yosegaman Jeune lombric

3615mylife (oh ! le vieux ! )
perso, j'ai travaillé non-stop pendant tout les confinements, le plus pénible pour moi étant porteur de lunettes, c'était le port du masque, surtout dans la manutention (préparateur dans des entrepôts) où c'est important de pouvoir bien respirer !
j'ai eu le covid vers avril 2022, j'avais juste eu le nez qui coule et une toux, (j'avais les 3 doses) en fait j'ai eu une grippe 2 ans avant, j’étais bien plus mal (genre, je tenais à peine debout ! ) qu'avec le covid !
là, ça va, je suis en forme ^^
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KukuLele Vermisseau

Parfait article pour bien commencer la semaine... ou pas.
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BonPublic Vermisseau

Image de BonPublic
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Ced En réponse à BonPublic Lombrik

After de finale de coupe du monde de rugby en 2011 : j'ai essayé, bourré, dans le pub d'un cousin en Irlande. Mon crâne s'en souvient encore...
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feyfey Lombrique girafe cougar chienne poule y dort

Peut-être est-ce dû au fait que le confinement fut un arrêt brutal absolu et suffisamment long pour que l’on ait le temps d’apprécier ce ralentissement général ( oui oui je sais beaucoup ne se sont pas arrêter, je parle d’une généralité ).
Et là, ô surprise, on découvre les joies de la lenteur ! Et surtout on se rend compte que tout ce temps nous étions perclus de pression sociale : voir des gens, dire bonjour, faire la bise, être aimable, se maquiller, faire un effort,etc…
Du coup les hyper sociaux se sont retrouvés tout perdus alors que les asociaux on s’est retrouvé dans notre élément.
Et à la reprise il y avait une perte de rythme pour certains, un refus de se plier de nouveau aux normes pour les autres.
Sans compter que reprendre un rythme d’un boulot dont on s’est rendu compte que souvent on avait rien a en attendre en retour, un manque de reconnaissance, de simples remerciement etc et sans parler salaire, c’est pas spécialement motivant.
Du coup il y a eu une espèce de 2ème effet kiss cool : un refus grandissant de frustration. Professionnellement Il a fallut accélérer les réponses, dire oui à tout, ne pas vexer, ne pas refuser, ne pas dire non. Par un étrange retour de bâton les gens refusent le refus, ne comprennent pas que tout n’est pas immédiat et surtout ne correspond pas forcément à ce qu’ils veulent.
Au final les gens sont démotivés mais se stressent mutuellement donc se démotivent encore plus. C’est sans fin.
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KukuLele En réponse à feyfey Vermisseau

Se sentir "hyper-social" c'est un peu comme l'intelligence...
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Orme Dresseuse de lombriks

On appelle ça le brown-out et/ou syndrome de Sisyphe: perte totale de motivation devant l'absurdité des tâches à accomplir.
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BonPublic En réponse à Orme Vermisseau

Sauf devant un bon commentaire à écrire.
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Orme En réponse à BonPublic Dresseuse de lombriks

Ça me permet de souffler un peu devant l'absurdité répétitive des tâches que j'accomplis :D


( Sérieusement, j'ai beaucoup trop de clients idiots qui ne font pas le différence entre l'informatique et le Vaudoun -_- )
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Mabritte En réponse à Orme Vermisseau

et c'est bien normal car plus de la moitié des empois sont des "bullshit jobs" 'c'est à dire inutiles voire nuisibles ...
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Limou Vermisseau

C'est instructif en tout cas.
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