Oui bah le blabla habituel sur "c'est une mode" et tout quoi...
Les gens changent pas de sexe pour le plaisir, vu le bordel administratif que c'est (psychologue, référent, etc)
"Mais oui mais y en a plus qu'avant" oui car c'est accepté, même principe qu'avec les gauchers qui représentaient 1% de la population quand on les maltraitait pour qu'ils soient droitiers. Maintenant c'est 10%. Attendez 50 ans, la courbe se sera applatie pour les LGBT, tout pareil, vous en faites pas. C'est pas pour autant qu'ils existaient pas avant.
"Je pense que toute personne qui collabore à une intrusion dans le corps et l'esprit d'un enfant en développement est coupable de maltraitance d'enfants..." bah cool, on arrête les pratiques religieuses du coup ? On est d'accord ? L'indoctrination complète + les actes physiques faits sur enfants ? Tiens bizarre je pensais que l'argument allait là-dessus mais non.
(sinon on peut même englober l'éducation en entière dans cette définition. Mais bon, c'est quand c'est les idées qui nous dérangent)
Ça se voit que cette personne n'a jamais parlé à de personnes trans. Parce que, pour la plupart, leur parcours ressemble à du "ça va pas, mais je sais pas d'où ça vient. Non c'est pas ça, voyons, ça serait abusé. Ouais mais, et si ? Oh la vache quand j'essaye ça va bien. Mais non. C'est surement un hasard. Et si..?" bref, c'est pas un parcours où on vous sert l'idée d'être trans dès le début. C'est un truc qui se découvre, qui prend du temps, et bien souvent plus personnel qu'autre chose.
Bon pis après catastrophisme habituel, "c'est la décandaaaance" bref.
On est soucieux pour les jeunes ? Demandez aux gens qui ont transitionné après leur majorité car on leur a dit non avant et que les bloqueurs d'hormones n'étaient pas autorisés. Demandez leur, comment c'était, de voir leur corps se transformer en quelque chose qu'ils détestaient, de façon irréversible. Bizaremment, ça, on l'évoque pas. Cette personne ne pense pas à leur bien. Elle pense à ce que elle, elle estime être la normalité. Bref.
Comme un militaire qui perd ses jambes, et qui doit voir un psy pour apprendre a accepter son corps, ils/elles devraient faire pareil, ca vient du fait de ne pas s accepter le probleme, changer de sexe ne changera rien a son mal-être.
Autoriser le changement de sexe a un jeune c est de la folie...
Oui ils changent pas de sexe pour le plaisir, mais le probleme est d ordre psy, pas physique.
Heh ben pourtant, les personnes trans que j'ai rencontré se sentent bien mieux une fois fait. Y compris sur les moyen-long termes (8 ans actuellement pour la plus vieille que je connais) Même un simple coming-out peut être soulageant, s'il est bien accepté.
Il faudra aller loin pour me faire avaler que mon élève qui a fondu en larmes quand je l'ai genré correctement a un problème qui vient d'ailleurs, d'un mal être, et que ça ne partira pas.
Le fait que ton eleve pleur parce que tu l as genré correctement, ca me fait penser a la technique qu utilises les macs pour garder les filles sous leur contrôle (j avais lu ca sur un article mediapart)
Le mac dit a une fille qui est mal dans sa peau et en manque d affection qu il l aime et elle tombe éperdument amoureuse (pleurer de joie etc) au point de pouvoir se faire taper par ce type et faire la pute pour lui par ce qu elle considere comme de l amour, se faire offrir des cadeaux avec l argent qu elle lui donne grace a ses passes et en etre heureuse
Meme quand le mac en question se fait arrêter et est en taule (avec toutes les preuves possible), certaine fille sont toujours amoureuse de ce mec pensent que c est une erreur de justice...
Ton eleve en a pleuré de joie mais lui faire changer de sexe ne lui fera pas supprimer son mal-etre tout comme ces filles qui se croient heureuse a faire les putes pour leur mac qu elle considere comme leur mec
J espere me planter en totalité dans mon raisonnement, mais je pense quand meme qu un trans heureux c est exactement comme une de ces filles heureuse, la joie n est pas fausse pour autant (c est ca le plus horrible) mais elle est complètement biaisee
Je comprends l'argument, mais tu oublies un détail : Personne n'a forcé cet élève. Ni ses parents, ni ses camarades, ni moi. Personne ne l'a convaincu que c'était la solution. Il était juste content qu'un adulte utilise son vrai prénom. Reconnaisse ce qu'il est. Parce que sinon, à ce stade, si ton enfant pleur de joie, moi aussi je peux te dire que tu l'as manipulé mentalement. (ce que je ne dis pas tkt, mais juste, ce qui importe dans ta comparaison c'est le contexte, qui ne marche pas vraiment)
Et je veux être clair, je ne nies pas qu'il pourrait y avoir des abus. Mais comme toujours dès qu'on parle d'enfants, en fait. On a pas attendu la transidentité pour ça.
L'abus est-il d'interdire à des enfants une solution à leur malêtre, qui pousse parfois au suicide, sous le prétexte que ça pourrait venir d'ailleurs/ qu'ils aient été influencés à tord ? Ou de l'autoriser, au risque que ça soit une mauvaise décision ?
C'est du psychologique, et bien sûr qu'il y aura des cas où c'était pas ça. Y a bien des gens qui se découvrent homo ou hétéro après 40 ans. Mais est-ce une majorité ? Dans ce que j'ai vu, ben, non (pour les trans qui regrettent je veux dire).
Et de toute façon, chaque transition est accompagnée par un suivi psy. Je vois pas ce qu'on peut faire de plus pour essayer de trancher. La question de l'âge se pose aussi, évidemment. Quand je parle d'ado, c'est plus souvent après 13 ans car c'est ceux que je côtoie au travail.
On te répondra que ça vient d'une non-acceptation du reste de la société.
J'ai plus le chiffre exacte en tête, mais on est à environ 2-5% de regret pour les opérations de transitions. C'est moins que pour une opération du genoux (c'est l'exemple qui était pris dans l'article que j'ai lu). Et parmi ce % infime, environ 70% (de tête encore une fois, j'peux me gourer, mais bref, >50%) indique que leur désir de détransition vient du regard des autres et de leur non-acceptation par la société. De la à penser que ceux qui se suicident le font pour les mêmes raisons, il n'y a qu'un pas.
Parler du taux de suicide de ceux qui n'ont pas osé faire leur coming out à cause des pressions externes, ça, on ne pourra pas, hélas.
Dans l’ensemble je suis d’accord avec toi. Par contre sur la partie des jeunes je la rejoins. Tu évoques le mal être mais n’importe quel ado n’est pas à l’aise dans sa peau. Tu évoques les changements mais c’est justement le principe de l’adolescence. C’est la fête du slip chez les hormones, comment veux-tu distinguer ce qui est inhérent à ce passage de l’organisme d’une vraie décision qui changera le cours de sa vie. Même eux ne savent pas ! Je veux dire qui ici n’a pas expérimenté toute sorte de chose à l’adolescence ?
C’est cette période où nous aide à découvrir nos goûts, nos envies etc…
Mais une décision aussi radicale ne devrait pas se prendre pendant une période sujette à une certaine versatilité d’humeur.
Ça n’empêche pas que, lorsque c’est identifié, les gamins devraient être soutenus par leur entourage, y compris en se faisant l’avocat du diable ou l’accompagnant aux divers rendez-vous.
Et je suis bien d'accord avec une bonne partie de ton message. Mais je pense qu'il faut arrêter d'infantiliser à tout va. On ne sait pas tout quand on est ado, ça ne veut pas dire qu'on ne sait rien. Les ados qui se découvrent homosexuels, on va pas leur dire "ouais mais tu sais jamais, va avec quelqu'un de l'autre sexe". On sait qu'ils sont suffisamment conscient d'eux pour y réfléchir, et pour déterminer ça eux-même. (quitte à laisser ça en suspend dans leur tête eux-même, se disant "bah je verrais bien avec le temps")
Si on considère que ce n'est pas une mode pour eux (et pour les côtoyer au quotidien, je ne peux pas reconnaître cet argument, qui n'a aucune base) alors ils n'ont aucune pression extérieure pour le faire. (et c'est même souvent l'inverse)
C'est pas comme fumer un joint ou chopper une bouteille. C'est pas pour faire cool. Donc d'où vient cette envie ? Ils ne sont pas idiots, ils savent ce que ça implique. Et ils ne franchiront le pas que s'ils en sont sûrs. Pour une grande majorité. A mon sens.
Au delà de ton avis sur les lgbt, tu penses pas qu'il y a en effet une levée de bouclier dès qu'on remet quoi que ce soit en question dans la pensée sur les trans en occident ?
Et que cette levée de bouclier systématique est parfois à côté de la plaque ?
j'ai parlé avec des trans, et de façon individuelle, oui la transition a beaucoup aidé dans la plupart des cas. Ce qui me semble largement critiquable par contre, c'est :
- Tout l 'establishment idéologique derrière les mouvements trans et en particulier ceux qui financent et militent.
- L'influence idéologique des parents et des enseignants sur les jeunes + le manque de contrôle de cette éducation par peur d'être taxé de transphobe.
- La façon systématique dont les militants traitent ou souhaitent éduquer les enfants sur les questions de genre. On parle quand même de *théories* de *sociologie* créées récemment, c'est un peu léger pour avoir la prétention de changer le paradigme d'une société entière, en plus sans son consentement.
- Le ratissage politique aux USA. Les libéraux plutôt que de répondre aux problèmes globaux ou vraiment urgents, préfèrent détourner l'attention sur des combats tels que les luttes antiracistes, féministes et lgbt. Il ne s'agit que de radicaliser un électorat pour que ceux qui ne votent pas bien ne soient plus des concitoyens qui pensent différemment, mais deviennent des ennemis. En Europe on reprend énormément les mêmes arguments et les mêmes études de socio sur ces questions. On voit les Américains aller dans le mur et on fait pareil...
- La façon dont on impose ça à la société entière. ça me pose un problème parce que toutes ces luttes émanent de milieux politiques ultra toxiques avant d'être des milieux qui veulent sincèrement aider la population.
- L'impossibilité totale de pointer du doigt les dérives idéologiques car la moindre remise en question est mise au rang de la transphobie bas du front.
Pour le côté déchéance de la société, la dame me semble à côté de la plaque étant donné que les comportements homosexuels ont été présents à peu près partout et tout le temps, même s'ils n'étaient pas socialement acceptables. Et ces comportements n'ont nullement mené à une chute idéologique et sociétale face aux "barbares bien virils".
Actuellement on a bel et bien des petits bureaucrates fragiles et "pacifiques" qui foutent la merde dans l'UE avec leurs décisions à la con depuis des décennies. Je pense qu'on peut inclure les trans dans la société et les prendre en charge de façon adaptée sans pour autant devoir accepter toutes les propagandes sous-jacentes. Les crises qu'on se tape et celles qui vont arriver seraient les mêmes avec ou sans lgbt.
[ Attendez 50 ans, la courbe se sera applatie pour les LGBT, tout pareil, vous en faites pas. C'est pas pour autant qu'ils existaient pas avant.]
Peut-être mais faut voir comment les transitions se font, et surtout, quels effets ça aura sur l'ensemble de la société. Si on continue sur cette lancée, on va juste voir une levée de bouclier radicalement (violemment ?) opposée aux lgbt. Je comprends que tu fasses le parallèle avec d'autres groupes, mais pour les trans par contre les questions me semblent différentes parce qu'on parle pas uniquement d'accepter l'attirance sexuelle de qqun et de lui foutre la paix. Pour les trans on parle de diagnostics, on parle de traitements hormonaux super lourds, souvent des opérations
de réassignation... tout ça en visant de jeunes, souvent des mineurs. Et tout ça en plus avec un bien fondé discutable.
Et pour finir, accepter les trans qui ont bel et bien une pathologie c'est une chose, accepter la théorie du genre c'en est une autre.
(j'suis crevé ce soir mais j'essaye de te répondre demain, j'ai déjà beaucoup écrit dans mes réponses. Hésite pas à me le rappeler si j'oublie. Message intéressant en tout cas)
hokardjo Lombric Shaolin
Les gens changent pas de sexe pour le plaisir, vu le bordel administratif que c'est (psychologue, référent, etc)
"Mais oui mais y en a plus qu'avant" oui car c'est accepté, même principe qu'avec les gauchers qui représentaient 1% de la population quand on les maltraitait pour qu'ils soient droitiers. Maintenant c'est 10%. Attendez 50 ans, la courbe se sera applatie pour les LGBT, tout pareil, vous en faites pas. C'est pas pour autant qu'ils existaient pas avant.
"Je pense que toute personne qui collabore à une intrusion dans le corps et l'esprit d'un enfant en développement est coupable de maltraitance d'enfants..." bah cool, on arrête les pratiques religieuses du coup ? On est d'accord ? L'indoctrination complète + les actes physiques faits sur enfants ? Tiens bizarre je pensais que l'argument allait là-dessus mais non.
(sinon on peut même englober l'éducation en entière dans cette définition. Mais bon, c'est quand c'est les idées qui nous dérangent)
Ça se voit que cette personne n'a jamais parlé à de personnes trans. Parce que, pour la plupart, leur parcours ressemble à du "ça va pas, mais je sais pas d'où ça vient. Non c'est pas ça, voyons, ça serait abusé. Ouais mais, et si ? Oh la vache quand j'essaye ça va bien. Mais non. C'est surement un hasard. Et si..?" bref, c'est pas un parcours où on vous sert l'idée d'être trans dès le début. C'est un truc qui se découvre, qui prend du temps, et bien souvent plus personnel qu'autre chose.
Bon pis après catastrophisme habituel, "c'est la décandaaaance" bref.
On est soucieux pour les jeunes ? Demandez aux gens qui ont transitionné après leur majorité car on leur a dit non avant et que les bloqueurs d'hormones n'étaient pas autorisés. Demandez leur, comment c'était, de voir leur corps se transformer en quelque chose qu'ils détestaient, de façon irréversible. Bizaremment, ça, on l'évoque pas. Cette personne ne pense pas à leur bien. Elle pense à ce que elle, elle estime être la normalité. Bref.
Toto51 En réponse à hokardjo Vermisseau
Autoriser le changement de sexe a un jeune c est de la folie...
Oui ils changent pas de sexe pour le plaisir, mais le probleme est d ordre psy, pas physique.
hokardjo En réponse à Toto51 Lombric Shaolin
Il faudra aller loin pour me faire avaler que mon élève qui a fondu en larmes quand je l'ai genré correctement a un problème qui vient d'ailleurs, d'un mal être, et que ça ne partira pas.
Toto51 En réponse à hokardjo Vermisseau
Le mac dit a une fille qui est mal dans sa peau et en manque d affection qu il l aime et elle tombe éperdument amoureuse (pleurer de joie etc) au point de pouvoir se faire taper par ce type et faire la pute pour lui par ce qu elle considere comme de l amour, se faire offrir des cadeaux avec l argent qu elle lui donne grace a ses passes et en etre heureuse
Meme quand le mac en question se fait arrêter et est en taule (avec toutes les preuves possible), certaine fille sont toujours amoureuse de ce mec pensent que c est une erreur de justice...
Ton eleve en a pleuré de joie mais lui faire changer de sexe ne lui fera pas supprimer son mal-etre tout comme ces filles qui se croient heureuse a faire les putes pour leur mac qu elle considere comme leur mec
J espere me planter en totalité dans mon raisonnement, mais je pense quand meme qu un trans heureux c est exactement comme une de ces filles heureuse, la joie n est pas fausse pour autant (c est ca le plus horrible) mais elle est complètement biaisee
hokardjo En réponse à Toto51 Lombric Shaolin
Et je veux être clair, je ne nies pas qu'il pourrait y avoir des abus. Mais comme toujours dès qu'on parle d'enfants, en fait. On a pas attendu la transidentité pour ça.
L'abus est-il d'interdire à des enfants une solution à leur malêtre, qui pousse parfois au suicide, sous le prétexte que ça pourrait venir d'ailleurs/ qu'ils aient été influencés à tord ? Ou de l'autoriser, au risque que ça soit une mauvaise décision ?
C'est du psychologique, et bien sûr qu'il y aura des cas où c'était pas ça. Y a bien des gens qui se découvrent homo ou hétéro après 40 ans. Mais est-ce une majorité ? Dans ce que j'ai vu, ben, non (pour les trans qui regrettent je veux dire).
Et de toute façon, chaque transition est accompagnée par un suivi psy. Je vois pas ce qu'on peut faire de plus pour essayer de trancher. La question de l'âge se pose aussi, évidemment. Quand je parle d'ado, c'est plus souvent après 13 ans car c'est ceux que je côtoie au travail.
Tzeenchy En réponse à hokardjo Fen Lombrik
Stankey_Lubrick En réponse à hokardjo Vermisseau
Mini-Cube En réponse à hokardjo Lombric surgelé
hokardjo En réponse à Mini-Cube Lombric Shaolin
J'ai plus le chiffre exacte en tête, mais on est à environ 2-5% de regret pour les opérations de transitions. C'est moins que pour une opération du genoux (c'est l'exemple qui était pris dans l'article que j'ai lu). Et parmi ce % infime, environ 70% (de tête encore une fois, j'peux me gourer, mais bref, >50%) indique que leur désir de détransition vient du regard des autres et de leur non-acceptation par la société. De la à penser que ceux qui se suicident le font pour les mêmes raisons, il n'y a qu'un pas.
Parler du taux de suicide de ceux qui n'ont pas osé faire leur coming out à cause des pressions externes, ça, on ne pourra pas, hélas.
feyfey En réponse à hokardjo Lombrique girafe cougar chienne poule y dort
C’est cette période où nous aide à découvrir nos goûts, nos envies etc…
Mais une décision aussi radicale ne devrait pas se prendre pendant une période sujette à une certaine versatilité d’humeur.
Ça n’empêche pas que, lorsque c’est identifié, les gamins devraient être soutenus par leur entourage, y compris en se faisant l’avocat du diable ou l’accompagnant aux divers rendez-vous.
hokardjo En réponse à feyfey Lombric Shaolin
Si on considère que ce n'est pas une mode pour eux (et pour les côtoyer au quotidien, je ne peux pas reconnaître cet argument, qui n'a aucune base) alors ils n'ont aucune pression extérieure pour le faire. (et c'est même souvent l'inverse)
C'est pas comme fumer un joint ou chopper une bouteille. C'est pas pour faire cool. Donc d'où vient cette envie ? Ils ne sont pas idiots, ils savent ce que ça implique. Et ils ne franchiront le pas que s'ils en sont sûrs. Pour une grande majorité. A mon sens.
JeanEude Vermisseau
Cette personne est trans
Bon pour le reste, t'es en plein délire, délicat d'échanger.
hokardjo En réponse à JeanEude Lombric Shaolin
Pour le reste, tu me dis que je suis en plein délire, difficile d'échanger :)
Peevee LoMBriK addict !
punk80sBIS Vermisseau
Tzeenchy Fen Lombrik
Et que cette levée de bouclier systématique est parfois à côté de la plaque ?
j'ai parlé avec des trans, et de façon individuelle, oui la transition a beaucoup aidé dans la plupart des cas. Ce qui me semble largement critiquable par contre, c'est :
- Tout l 'establishment idéologique derrière les mouvements trans et en particulier ceux qui financent et militent.
- L'influence idéologique des parents et des enseignants sur les jeunes + le manque de contrôle de cette éducation par peur d'être taxé de transphobe.
- La façon systématique dont les militants traitent ou souhaitent éduquer les enfants sur les questions de genre. On parle quand même de *théories* de *sociologie* créées récemment, c'est un peu léger pour avoir la prétention de changer le paradigme d'une société entière, en plus sans son consentement.
- Le ratissage politique aux USA. Les libéraux plutôt que de répondre aux problèmes globaux ou vraiment urgents, préfèrent détourner l'attention sur des combats tels que les luttes antiracistes, féministes et lgbt. Il ne s'agit que de radicaliser un électorat pour que ceux qui ne votent pas bien ne soient plus des concitoyens qui pensent différemment, mais deviennent des ennemis. En Europe on reprend énormément les mêmes arguments et les mêmes études de socio sur ces questions. On voit les Américains aller dans le mur et on fait pareil...
- La façon dont on impose ça à la société entière. ça me pose un problème parce que toutes ces luttes émanent de milieux politiques ultra toxiques avant d'être des milieux qui veulent sincèrement aider la population.
- L'impossibilité totale de pointer du doigt les dérives idéologiques car la moindre remise en question est mise au rang de la transphobie bas du front.
Pour le côté déchéance de la société, la dame me semble à côté de la plaque étant donné que les comportements homosexuels ont été présents à peu près partout et tout le temps, même s'ils n'étaient pas socialement acceptables. Et ces comportements n'ont nullement mené à une chute idéologique et sociétale face aux "barbares bien virils".
Actuellement on a bel et bien des petits bureaucrates fragiles et "pacifiques" qui foutent la merde dans l'UE avec leurs décisions à la con depuis des décennies. Je pense qu'on peut inclure les trans dans la société et les prendre en charge de façon adaptée sans pour autant devoir accepter toutes les propagandes sous-jacentes. Les crises qu'on se tape et celles qui vont arriver seraient les mêmes avec ou sans lgbt.
[ Attendez 50 ans, la courbe se sera applatie pour les LGBT, tout pareil, vous en faites pas. C'est pas pour autant qu'ils existaient pas avant.]
Peut-être mais faut voir comment les transitions se font, et surtout, quels effets ça aura sur l'ensemble de la société. Si on continue sur cette lancée, on va juste voir une levée de bouclier radicalement (violemment ?) opposée aux lgbt. Je comprends que tu fasses le parallèle avec d'autres groupes, mais pour les trans par contre les questions me semblent différentes parce qu'on parle pas uniquement d'accepter l'attirance sexuelle de qqun et de lui foutre la paix. Pour les trans on parle de diagnostics, on parle de traitements hormonaux super lourds, souvent des opérations
de réassignation... tout ça en visant de jeunes, souvent des mineurs. Et tout ça en plus avec un bien fondé discutable.
Et pour finir, accepter les trans qui ont bel et bien une pathologie c'est une chose, accepter la théorie du genre c'en est une autre.
hokardjo En réponse à Tzeenchy Lombric Shaolin
le-long-brick Longbric
Ced En réponse à le-long-brick Lombrik
Cham Lombric