En effet un élève de 6ème est capable de comprendre ça.
J'espère que c'est une erreur d'inattention car sinon c'est grave de donner le droit de vote a des analphabètes.
Le covid a des effets secondaire à long terme, ce n'est pas du "peut etre". Il y a toutes les séquelles lourdes et irréversible et de probable effet neurologique également. Alzeihmer, parkinson précoce...
C'est quand même grave d'être suffisamment con pour ne pas savoir peser le bénéfice/risque correctement.
Malheureusement pas personnel justement. Pour une couverture vaccinale efficace il faut que tous ceux qui peuvent se fassent vacciner. Le rapport benefice risque a déjà été évalué par des instances compétentes et si ce vaccin est proposé c'est que le bénéfice et nettement supérieur au risque...en douter est totalement absurde, il suffit de regarder quelques chiffres, ca prend 10 minutes et si on est pas crétin c'est une évidence.
Tout le monde est libre de ce faire vacciner ou non. Par contre, le bénéfice/risque est positif pour la majorité de la population (excepté le petit pourcentage qui fait des chocs anaphylactiques).
Expérimental? Ces vaccins, n'ont rien d'expérimentaux, ils ont été développé dans les règles de l'art.
Certain d'offusque que " eh ben, c'est allé bien vite quand même!".
Bah oui, quand on file un budget quasi illimité aux experts en développement de vaccin, plus des facilités administratives pour faire les études/test, ça va vite.
On passera également sur le fait que la famille des coronavirus est une famille que l'on connais bien, c'est pas comme ci on devait partir de quedalle.
Je parle ici pour Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Astrazeneca.
Je ne sais pas encore pour Spoutnik V, j'ai pas trouvé suffisamment de données
Philosophiquement je suis d'accord avec le fait que l'on doit pas forcer les gens à se faire injecter un truc contre leur volonté, jusque là on est d'accord.
Dommage cependant que beaucoup ont perdu confiance en la science, merci aux médias et leur mises en scènes dégueulasses de faux débats scientifiques.
Parce que la science, c'est pas comme cela que ça marche, c'est pas des mecs qui se réunissent et qui décident de ce qui marche ou non, pourtant, c'est ce que véhicule indirectement les médias.
sur le site de l'ANSM: l'autorisation de mise sur le marché donné par l'EU. Vaccins toujours en cours d'évaluation, en phase 3. https://ansm.sa...che-des-vaccins
Cette source montre que les vaccins n'ont pas été lâché random dans la nature, mais qu'ils sont surveillés avec attention dans une évaluation continue des données.
Ducoup, ils sont toujours en évaluation...
Il était plus pertinent, d'un point de vue bénéfice/risque d'écourter les essais clinique et de faire une surveillance renforcée (qui au passage ne montre qu'il n'y a pas plus d'effet secondaire avec ces vaccins qu'avec ceux de la grippe).
Pouvez vous me dire en quoi la source que vous citez étayent vos propos, et dément les miens?
Dans mon esprit, je vois l'inverse. qu'ai je raté?
Oui ils sont effectivement expérimentaux d'un point de vue pharmaceutique du terme. Etant donné qu'ils sont en évaluation continue...
Je pensais que vous utilisez la définition usuelle du terme.
Encore que là, on pourrait discuter de la définition pharmaceutique parce qu'avec ces vaccins on ne rentre pas tout à fait dans les cas qu'elle défini.
... Point de vue qui permettrait également de conclure que le vaccin à ARNm n'aurait plus d'effet après 48h, et donc de se demander pourquoi on se vaccine.
Pour simplifier le fonctionnement à l'extrême, c'est comme si tu imprimais une recette de cuisine, que tu l'apprenais, et que tu bazardais la recette à la poubelle une fois mémorisée.
Il reste donc la recette. C'est elle qui permet plus tard de combattre le virus. Mais de la même façon, il est possible qu'elle soit responsable d'effets indésirés sur le long terme.
On ne peut donc pas utiliser l'argument d'une disparition rapide du produit injecté pour nier la possibilité de conséquences futures.
Tout ce qui reste après, ce sont les anticorps. Il n'y a pas, à ma connaissance, d'anticorps qui posent problèmes sur le long terme. Et puis ce sont les mêmes que ceux produits lors d'une infection au virus donc le choix est vite fait entre une vaccination ou l'attente d'une infection.
Ça, c'est seulement ce qu'escomptent et promettent ceux qui croient qu'il ne saurait y avoir de souci.
Sauf que le développement médical ne fonctionne pas et n'a jamais fonctionné comme cela. Comme dans tous les domaines scientifiques, c'est l'observation des résultats, et notamment sur le long terme, qui peut faire ressortir les éventuels problèmes. Or, en l'occurrence, nous n'avons pas beaucoup de recul, ni sur les vaccins à ARNm actuels, ni plus généralement sur ce type de thérapie génique appliquée à l'homme.
Entre autres effets qu'on peut craindre, on peut citer par exemple une surréaction à l'infection virale, une sorte d'emballement immunitaire qui, durant la pandémie, pourrait avoir causé le décès de personnes bien après la disparition de leur charge virale.
Quoi qu'il en soit, l'ARNm laisse bien une trace dans le fonctionnement de nos cellules, au moins sur le moyen terme. Il n'est donc pas pertinent de prétendre que son injection n'aurait plus d'action après 48h, ni de jurer que cette action se limitera forcément juste à ce qu'on en attend. Non, ce qu'on peut faire, c'est observer sur la durée, et étudier les effets possiblement attribuables au vaccin, comme on le fait pour n'importe quel autre médicament. On conclura avec le temps.
Alors juste pour préciser une chose : la recherche d'effets secondaires longs termes n'est qu'effectuée pour les médicament prise sur une longue durée. Ce qui n'est pas le cas des vaccins.
Pour les vaccins, ce qu'on étudie sur le long terme, c'est la protection face à une maladie. Donc pour un vaccin, si il n'y a pas d'effet après quelques mois, il n'y aura pas d'effet après plusieurs années.
Non, en principe on n'étudie pas seulement les conséquences possibles survenant immédiatement après la prise de médicaments. On s'intéresse également aux effets susceptibles de survenir longtemps après, concernant par exemple leur influence sur l'apparition de cancers, de troubles de la fécondité, de malformations congénitales ou de troubles du développement chez la descendance, ou de maladies dégénératives comme Parkinson, les AVC, la sclérose en plaques, les démences, etc. .
On sait parfaitement que des conséquences insignifiantes plusieurs mois après l'arrêt de la prise d'une substance n'empêchent pas l'apparition de conséquences plus lourdes après plusieurs années. C'est la raison pour laquelle les substances utilisées dans le domaine médical sont réévaluée de façon continue et sur le long terme.
Sauf à vouloir conclure comme le faisaient les études financées par les cigarettiers, il n'y aucune raison qu'un vaccin soit écarté a priori de ce type d'étude. Bien au contraire.
Ton affirmation selon laquelle le vaccin dont on parle ne pourrait avoir d'effet après plusieurs années s'il n'en a pas eu après quelques mois ne repose sur aucun argument scientifique valable. On ne sera capable de se faire une idée sur l’innocuité à long terme de ce vaccin, et plus généralement de la nouvelle technologie qu'il met en œuvre, qu'après avoir *effectivement* étudié sur la durée son incidence sur la santé des populations.
Sachant que 30% des personnes qui attrapent la forme grave du covid se retrouve avec une neuropathie chronique, je propose qu'on aille infecter Libel pour régler deux problèmes d'une pierre deux coups.
Whis Vermisseau
Bhaalrog En réponse à Whis Lombric
bannik Jeune asticot
ZeFab Vermisseau
BarneyGumbles En réponse à ZeFab Lombric Shaolin
rendu En réponse à ZeFab Lombric
Dr_house En réponse à ZeFab Jeune lombric
J'espère que c'est une erreur d'inattention car sinon c'est grave de donner le droit de vote a des analphabètes.
Flaneur Ver TikToké
Krogoth LoMBriK addict !
C'est quand même grave d'être suffisamment con pour ne pas savoir peser le bénéfice/risque correctement.
schmerwurst En réponse à Krogoth Vermisseau
Krogoth En réponse à schmerwurst LoMBriK addict !
schmerwurst En réponse à Krogoth Vermisseau
Agamemnon En réponse à schmerwurst Jeune asticot
Methrelda En réponse à schmerwurst Vermisseau
Certain d'offusque que " eh ben, c'est allé bien vite quand même!".
Bah oui, quand on file un budget quasi illimité aux experts en développement de vaccin, plus des facilités administratives pour faire les études/test, ça va vite.
On passera également sur le fait que la famille des coronavirus est une famille que l'on connais bien, c'est pas comme ci on devait partir de quedalle.
Je parle ici pour Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Astrazeneca.
Je ne sais pas encore pour Spoutnik V, j'ai pas trouvé suffisamment de données
Philosophiquement je suis d'accord avec le fait que l'on doit pas forcer les gens à se faire injecter un truc contre leur volonté, jusque là on est d'accord.
Dommage cependant que beaucoup ont perdu confiance en la science, merci aux médias et leur mises en scènes dégueulasses de faux débats scientifiques.
Parce que la science, c'est pas comme cela que ça marche, c'est pas des mecs qui se réunissent et qui décident de ce qui marche ou non, pourtant, c'est ce que véhicule indirectement les médias.
schmerwurst En réponse à Methrelda Vermisseau
https://ansm.sa...che-des-vaccins
Methrelda En réponse à schmerwurst Vermisseau
Ducoup, ils sont toujours en évaluation...
Il était plus pertinent, d'un point de vue bénéfice/risque d'écourter les essais clinique et de faire une surveillance renforcée (qui au passage ne montre qu'il n'y a pas plus d'effet secondaire avec ces vaccins qu'avec ceux de la grippe).
Pouvez vous me dire en quoi la source que vous citez étayent vos propos, et dément les miens?
Dans mon esprit, je vois l'inverse. qu'ai je raté?
schmerwurst En réponse à Methrelda Vermisseau
https://toolbox...mental/?lang=fr
Methrelda En réponse à schmerwurst Vermisseau
Je pensais que vous utilisez la définition usuelle du terme.
Encore que là, on pourrait discuter de la définition pharmaceutique parce qu'avec ces vaccins on ne rentre pas tout à fait dans les cas qu'elle défini.
Oblivionis Taret
Agamemnon Jeune asticot
_pepe_ En réponse à Agamemnon
:-)
Zankor En réponse à _pepe_ Vermisseau
_pepe_ En réponse à Zankor
On ne peut donc pas utiliser l'argument d'une disparition rapide du produit injecté pour nier la possibilité de conséquences futures.
Agamemnon En réponse à _pepe_ Jeune asticot
_pepe_ En réponse à Agamemnon
Sauf que le développement médical ne fonctionne pas et n'a jamais fonctionné comme cela. Comme dans tous les domaines scientifiques, c'est l'observation des résultats, et notamment sur le long terme, qui peut faire ressortir les éventuels problèmes. Or, en l'occurrence, nous n'avons pas beaucoup de recul, ni sur les vaccins à ARNm actuels, ni plus généralement sur ce type de thérapie génique appliquée à l'homme.
Entre autres effets qu'on peut craindre, on peut citer par exemple une surréaction à l'infection virale, une sorte d'emballement immunitaire qui, durant la pandémie, pourrait avoir causé le décès de personnes bien après la disparition de leur charge virale.
Quoi qu'il en soit, l'ARNm laisse bien une trace dans le fonctionnement de nos cellules, au moins sur le moyen terme. Il n'est donc pas pertinent de prétendre que son injection n'aurait plus d'action après 48h, ni de jurer que cette action se limitera forcément juste à ce qu'on en attend. Non, ce qu'on peut faire, c'est observer sur la durée, et étudier les effets possiblement attribuables au vaccin, comme on le fait pour n'importe quel autre médicament. On conclura avec le temps.
Agamemnon En réponse à _pepe_ Jeune asticot
Pour les vaccins, ce qu'on étudie sur le long terme, c'est la protection face à une maladie. Donc pour un vaccin, si il n'y a pas d'effet après quelques mois, il n'y aura pas d'effet après plusieurs années.
_pepe_ En réponse à Agamemnon
On sait parfaitement que des conséquences insignifiantes plusieurs mois après l'arrêt de la prise d'une substance n'empêchent pas l'apparition de conséquences plus lourdes après plusieurs années. C'est la raison pour laquelle les substances utilisées dans le domaine médical sont réévaluée de façon continue et sur le long terme.
Sauf à vouloir conclure comme le faisaient les études financées par les cigarettiers, il n'y aucune raison qu'un vaccin soit écarté a priori de ce type d'étude. Bien au contraire.
Ton affirmation selon laquelle le vaccin dont on parle ne pourrait avoir d'effet après plusieurs années s'il n'en a pas eu après quelques mois ne repose sur aucun argument scientifique valable. On ne sera capable de se faire une idée sur l’innocuité à long terme de ce vaccin, et plus généralement de la nouvelle technologie qu'il met en œuvre, qu'après avoir *effectivement* étudié sur la durée son incidence sur la santé des populations.
Liebe Vermisseau
Weng-Weng En réponse à Liebe Lombrico de la Cruz
Liebe En réponse à Weng-Weng Vermisseau
timo Vermisseau
Cyclomore Vermisseau
Orme Dresseuse de lombriks
Narf En réponse à Orme LoMBriK addict !
Ok mais zéro moins 20% ça fait toujours zéro.
Problème non résolu.