Twitter et le free speech
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29 commentaires
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Boozy LoMBriK addict !
GruikMan En réponse à Boozy Vermisseau
Actarus Vermisseau
jirouette Col-ver
34good En réponse à jirouette Vermisseau
Libel En réponse à jirouette Vermisseau
jirouette En réponse à Libel Col-ver
tu fais un fichier discussion, tu parles de la liberté d'expression dans le cas de trump, ceux qui veulent en causer réagissent, hop
là j'ai juste l'impression que tu nous prends pour des cons à faire du pseudo sarcasme pour finalement juste faire passer tes idées
Libel En réponse à jirouette Vermisseau
Mais j'entends la critique.
Après il faut savoir coller à l'actu aussi, c'est plus difficile...
Et puis tu peux poster aussi ! :)
34good Vermisseau
Cham En réponse à 34good Lombric
Un tel outil (ou lieu) ne peut donc plus, selon moi, être administré par un règlement intérieur décidé par l'administration de Twitter. C'est devenu une question de liberté d'expression.
Bannir Trump de Twitter c'est comme l'interdire d'envoyer des courriers postaux
34good En réponse à Cham Vermisseau
C'est la même chose en dehors de Twitter. La loi par exemple t'interdit de tenir des propos négationiste, si tu ne le fais pas tu peux te faire banir de la société (1an de prison + 45.000€ d'amende).
Ensuite, Twitter est une entreprise, ce n'est pas une institution d'état. Elle respecte les règles des entreprises avec ses libertés et ses contraintes.
_pepe_ En réponse à 34good
On arrive ainsi à trouver des auteurs et des contenus qui violent manifestement les « standards » édictés en toute impunité, tandis que d'autres abonnés sont censurés ou virés sans raison apparente (sinon qu'ils n'appartiennent visiblement pas au même camp politique que les tenants de ces firmes).
john5 En réponse à Cham
Cham En réponse à john5 Lombric
En effet Trump était comme un pionnier, à mon avis il a déclenché le processus et les autres (ceux qui sont pas bannis :P) vont enchaîner.
GruikMan En réponse à Cham Vermisseau
Bien la pareil, il y a eu d'autres (white power) de banni avant Trump, il y en aura d'autres après.
Trump peut toujours s'acheter un PC, le mettre en réseau chez lui et ouvrir son site web.
_pepe_ En réponse à GruikMan
Orange, Bouygues et Free sont aussi des entreprises privées qui suivent des logiques commerciales. Pourtant, si ton abonnement était annulé arbitrairement par l'un de ces opérateurs, on ne te répondrait pas que « tu n'as qu'à acheter le matériel nécessaire puis tirer des fils ou de la fibre optique, ou planter des pylônes avec des antennes radio dessus ».
Ensuite, ce n'est pas parce qu'une entreprise est privée, étrangère ou indépendante de l'État qu'elle ne réalise pas une activité de service public. Surtout depuis que le dogme politique en vigueur tend à privatiser et à mettre en concurrence tout ce qui peut l'être, ce n'est pas le statut de l'entreprise mais le type de service rendu qui détermine sa nature et les règles à appliquer. D'ailleurs, aujourd'hui certaines de nos administrations en sont arrivées à imposer au public l'utilisation de services en ligne fournis par des sociétés privées américaines. Il existe donc chez nous des règles imposées aux fournisseurs de ces services pour garantir leur accès à la population.
De fait, tu pourras par exemple lire dans ses pages officielles en français que Facebook est soumis au Code des communications électroniques européen qui, entre autres choses, définit la notion de service de communications électroniques (notamment les services de communications interpersonnelles) et vise à assurer la protection des consommateurs au travers de règles harmonisées.
Donc, en principe, ces réseaux sociaux ne sont pas censés pouvoir faire tout ce qu'ils veulent (notamment en fixant des clauses abusives ou des règles imprécises qu'ils s'arrogent le droit d'interpréter variablement comme bon leur semble). En tout cas pas chez nous.
Malheureusement, comme je le rappelais par ailleurs, toute la difficulté est de forcer les firmes étrangères qui mènent leurs activités commerciales sur notre territoire à se conformer à notre législation, surtout quand nos propres autorités ne prennent pas de mesures réellement contraignantes et manquent de motivation.
GruikMan En réponse à _pepe_ Vermisseau
D'ailleurs depuis qu'il faut remplir en ligne sa déclaration d’impôts, est ce que l’abonnement internet est taxée à 4.5% comme le pain ?
Plus récemment, beaucoup de sites à controverses ont fermés quand Visa/Mastercard ont retiré leur business avec leur système de payement en ligne, et aujourd'hui c'est Parler qui disparaît avec le retrait d’Amazon AWS cloud...Ces grosses compagnies font ce que les actionnaires veulent...
TheMetroidPrime En réponse à 34good Verxit
Les Barrons Voleurs, c'est devenu sympa tout d'un coup tant qu'ils s'en prennent à ceux qu'on aime pas.
Ça sera drôle le jour où la gauche un peu trop anticapitaliste commencera à se voir bannie pour non-respect de conditions d'utilisations ad hoc dès lors qu'elle deviendra un peu trop gênante pour eux.
34good En réponse à TheMetroidPrime Vermisseau
Kudsak En réponse à 34good Vermisseau
BonPublic Vermisseau
Il y a d'autre RS sur lequel il peut s'exprimer.
Si LLB m'interdit de poster on pourra appeler ça de la censure ?
_pepe_ En réponse à BonPublic
Sinon, aux dernières nouvelles, Trump s'est aussi fait dégager de Twitch, Discord, Reddit, YouTube et Parler.
Après, le problème n'est pas vraiment ce qui arrive à Trump, mais plutôt le fonctionnement général de ces réseaux sociaux.
34good En réponse à _pepe_ Vermisseau
_pepe_ En réponse à 34good
Frauder, ne pas payer son abonnement ou ne pas accepter une modification des conditions contractuelles constituent des causes réelles et sérieuses de résiliation.
A contrario, les causes qui relèvent de la seule interprétation personnelle de la situation par le fournisseur du service (surtout lorsque celle-ci conduit à priver le client du service sans même que ce dernier ne soit entendu ni prévenu, et que les différences de traitement démontrent une discrimination patente) n'en sont assurément pas.
En effet, ce qu'on constate, c'est que les principes énoncés dans les conditions d'utilisation de ces réseaux sociaux sont relativement imprécis et qu'ils ne sont pas interprétés de la même manière pour tous.
Ce n'est pas parce que des conditions d'utilisation sont en vigueur qu'elles sont licites dans les pays où l'entreprise opère. Il faut parfois du temps pour corriger la situation par des voies juridiques (e.g. la condamnation de Google pour les conditions d'utilisation abusives du service Google+, au terme de plus de cinq ans de procédure), d'autant plus quand les autorités de ces pays ont intérêt à ce qu'elle perdure et/ou quand le montant des amendes infligées n'est pas contraignant.
BonPublic En réponse à _pepe_ Vermisseau
La censure c'est quelque chose d'organisé et lié à un pouvoir d'état ou de gouvernement ou une religion.
_pepe_ En réponse à BonPublic
Mais là, je parle de la résiliation d'un abonnement par le fournisseur de service de communication pour des raisons politiques.
Ce ne sont pas les événements qui caractérisent la censure, mais la volonté qui les suscite, en l'occurrence celle de faire taire la personne visée.
Libel Vermisseau
Mahathir Mohamad, compte toujours actif :
https://twitter.com/chedetofficial
C'est pas rien un génocide quand même. Ou je me trompe ?
Cham En réponse à Libel Lombric
Libel En réponse à Cham Vermisseau