Les eaux de l’Estero de Vitas sont recouvertes de plastique, de jacinthes d’eau et de déchets qui se déverseront dans la baie de Manille, à quelques kilomètres de là, puis dans la mer de Chine méridionale.
Une photographie signée James Whitlow Delano, à découvrir dans l'expo "Une planète noyée dans le plastique" au couvent des Minimes, Perpignan, du 29 août au 27 septembre 2020.
Envoyé par Lampyre-des-sens le 28 août 2020 à 14h30
Maurice Versus
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Oblivionis Taret
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Un exemple tout con, on me retire les pailles plastiques, ok... J'en utilise combien ? 4/5 par ans. A coté de ca, le moindre truc alimentaire comme un paquet de gâteaux est sur emballé. Tu a l'emballage carton, le truc en plastique pour les maintenir en place, un plastique autour pour maintenir le tout, et/ou parfois même un emballage individuel... rien qu'un paquet de gâteaux va produire plus de 10 fois plus de plastique que ma consommation de paille à l'année. Tu voit ce que je veut dire ?
Lampyre-des-sens En réponse à Oblivionis Vermisseau
Leur interdiction + celle des sacs plastiques + celle de la vaisselle jetable en plastique + celle des coton-tiges + celle des melangeurs en plastique + celle des emballages alimentaires en polystyrène + celle en 2023 de la vaisselle jetable dans les fast-foods = une première avancée loin d'être négligeable.
Elle n'exonère en rien la nécessité de résoudre les trois autres problèmes majeurs que sont les emballages plastiques à usage unique (interdiction prévue en 2040 par manque de volonté politique et immobilisme des industriels), les bouteilles en plastique et le fléau environnemental des matériels de pêche abandonnés.
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