En 2018, heureuse et en bonne santé elle fixe son suicide assisté janvier 2020

Aux dernières nouvelles sur son blog j’ai lu qu’elle était encore vivante, elle a repoussé la date du suicide vers l’été 2020 car elle voulait revoir un printemps ...

Et puis avec le confinement, l’interdiction de se déplacer et les cliniques de suicide en Suisse qui ont fermé, si ça c’est pas un signe de Dieu.

Envoyé par Flaneur le 23 avril 2020 à 11h24

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Clansman irkblmo

c'est quoi ta merde là ? franchement ?
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Flaneur En réponse à Clansman Ver TikToké

La fin de vie est un sujet intéressant je trouve .
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Krogoth En réponse à Clansman LoMBriK addict !

La fin de vie est déllicate.
C'est quand tu vas vraiment avoir "besoin" d'un suicide que ca va t'être impossible à mettre en oeuvre. De quel droit force on quelqu'un à vivre en lui foutant des couches en le nourrisant, en essuyant sa bave?

Le respect de la dignité s'oppose au droit à la vie qui n'est plus un droit mais qui devient une obligation.
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phil_good En réponse à Krogoth Ver singe (et torix)

"De quel droit force on quelqu'un à vivre en lui foutant des couches en le nourrisant, en essuyant sa bave?" Entièrement d'accord, c'est bien pour ça que je milite pour l'éradication systématique des bébés, surtout quand on voit ce qu'ils deviennent par la suite.
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Clansman En réponse à Krogoth irkblmo

j'ai rien conte le sujet je suis pour le droit a la mort assisté !

le problème : c’est une vidéo Konbini !
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Nap Vermisseau

pas besoin d'aller jusqu'en Suisse.
suffit de sortir, de ne pas mettre de masque et de ne pas se laver les mains.
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Krogoth LoMBriK addict !

De ce que j'avais lu elle avait renoncé a son projet.
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kast_or En réponse à Krogoth Vermisseau

Ça serait sacrément ironique
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Nap En réponse à kast_or Vermisseau

"ah j'ai tout bien fait les gestes barrières et j'ai pas chopé le corona"
"bon elle est où la cabine à suicide déjà?"
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Flaneur En réponse à Krogoth Ver TikToké

Tant mieux car dans l’interview elle avait l’air pleine de vie, d’humour et d’esprit . Je me disais c’est dommage qu’elle parte comme ça même si c’est son choix. Si ça se trouve la notoriété et le buzz de ses déclarations sur le suicide assisté lui a donné une envie de continuer à vivre.
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punk80sBIS Vermisseau

sinon, y a youtube....
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BarneyGumbles Lombric Shaolin

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Flaneur En réponse à BarneyGumbles Ver TikToké

A grand coup de marteau
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Oblivionis Taret

Bordel, sur la vignette, j'ai cru que c'était la brigitte macron...
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Lampyre-des-sens Vermisseau

Selon un sondage réalisé l'année dernière, ce sont 96% des Français qui sont favorables à l'euthanasie, donc même des croyants, en grand nombre et de toutes obédiences. Restent les intégristes ultraminoritaires qui, non contents de pourrir la vie des autres, veulent aussi leur pourrir la mort. Et nos très lâches responsables politiques de refuser toute légalisation de l'euthanasie malgré une quasi unanimité.
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Machiavel En réponse à Lampyre-des-sens Vermisseau

Bah les politiques c'est compréhensible, comment veux tu cumuler 120 ans de mandat si on t'euthanasie à 80 ans. Et le long-brick voterai pour qui à Marseille après?
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phil_good En réponse à Lampyre-des-sens Ver singe (et torix)

Je pense que ton interprétation des résultats est biaisée (et la manière dont est présentée ce sondage est construite pour en biaiser la lecture).

En effet, ce sondage mélange deux approches différentes de l'euthanasie : la première est la possibilité d'arrêter les soins d'une personne atteinte de maladie incurable et provoquant des souffrances telles qu'on ne peut pas les atténuer, rendant ainsi la vie insupportable. C'est là que la décision médicale intervient pour arrêter les soins et "laisser partir" le patient, c'est une réalité qui est parfaitement encadrée légalement et dont la décision est laissée au corps médical de façon collégiale.
La seconde, ce n'est plus ni moins que le suicide encadré pour que ça se passe de manière à peu près propre. Et tu remarqueras que les partisans de cette seconde option sont minoritaires (en vert foncé dans le graphique).

Conclusion : ce sondage montre que les français souhaitant une modification de la législation sur l'euthanasie sont manifestement minoritaires.

On peut aussi le lire comme suit : 95% des français soutiennent le système tel qu'il est, et seuls 35% (à la louche) en souhaitent un élargissement.
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Lampyre-des-sens En réponse à phil_good Vermisseau

Absolument pas. Les dispositions de la loi actuelle sur la fin de vie (Leonetti) n'ont rien à voir avec une quelconque euthanasie. Il s'agit juste d'un arrêt des soins et de l'alimentation. Personne ne s'en satisfait, à part une infime minorité de personnes (en rouge). En aucun cas il ne s'agit d'une euthanasie, encore moins d'un suicide assisté.
En vert clair, ce sont ceux qui sont favorables à une véritable euthanasie (surdose de morphine) pour les personnes en stade terminal. Ce n'est donc absolument pas la loi Leonetti, qui criminalise les médecins qui le feraient.
En vert foncé, ce sont ceux qui veulent permettre à toute personne (comme indiqué dans la description du sondage), en bonne ou en mauvaise santé, de mourir quand elle le souhaite.
La loi actuelle ne satisfait presque personne (à part les bigots), parce qu'elle est cruelle et hypocrite. Mon père et mon grand-père, en phase terminale, ont été euthanasiés à l'hôpital, à leur demande. Ça s'est fait discrètement, entre les intéressés, les médecins et la famille, au mépris de la loi et en toute humanité.
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phil_good En réponse à Lampyre-des-sens Ver singe (et torix)

Définition d'euthanasie : Mort douce, de laquelle la souffrance est absente, soit naturellement, soit par l'effet d'une thérapeutique dans un sommeil provoqué.

Pour moi, arrêt des soins et de l'alimentation + antidouleur = on laisse volontairement mourir la personne en limitant au possible la souffrance, c'est de l'euthanasie et ça se pratique déjà au niveau médical dans le contexte légal actuel.
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Lampyre-des-sens En réponse à phil_good Vermisseau

Je t'invite à lire les différentes interviews de Jean Leonetti qu'on peut trouver sur internet. Il s'est toujours opposé, de manière très claire, à l'euthanasie et au suicide assisté et c'est dans cette optique qu'il a écrit la loi qui porte son nom.
De facto, ce qui tue les malades aujourd'hui, ce n'est pas la sédation (sauf dans les nombreux cas où malades, médecins et familles se mettent d'accord en toute illégalité), mais la maladie, la faim et la soif. Beaucoup continuent à souffrir. Ce n'est en aucun cas une euthanasie au sens médical du terme.
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phil_good En réponse à Lampyre-des-sens Ver singe (et torix)

Relis la définition. Oui, c’est la maladie, la faim et la soif qui tuent les malades, la souffrance est médicalement jugulée mais ça reste une euthanasie. Que Leonetti dise que ça n’en est pas une, ça ne change pas la définition du dictionnaire (ici, celle du cnrtl).
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Lampyre-des-sens En réponse à phil_good Vermisseau

Entre temps, j'ai trouvé une autre étude, réalisée en 2015 : 90% des Français souhaitaient que la loi autorise le recours à l'euthanasie ACTIVE pour les personnes en fin de vie, confirmant mon interprétation. Ce sont donc bien aujourd'hui 96% des Français qui sont favorables à l'euthanasie active, dont 60 uniquement pour les malades en phase terminale et 36 pour tout le monde.
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phil_good En réponse à Lampyre-des-sens Ver singe (et torix)

Je pense que dans le fond on n'est déjà pas d'accord sur la définition d'euthanasie et du coup sur ce que ce "droit à l'euthanasie" recouvre. Peux-tu stp répondre à la question suivante pour clarifier ça ?
Puisque tu parles de l'"euthanasie ACTIVE", es-tu d'accord que ce qui se pratique actuellement comme je l'ai décrit auparavant est de l'euthanasie passive ?

Si tu es d'accord avec cette première question et pour en revenir à ton premier sondage, les 95% de gens qui sont pour l'euthanasie (sans précision) peuvent tout à fait être d'accord que ce qui est appliqué aujourd'hui est bien et ne pas vouloir un changement de législation ?
Et si tu n'es pas d'accord, qu'est-ce que pour toi l'euthanasie passive ?

Pour ton second sondage, il montre clairement que les gens sont d'accord à ce que pour quelqu'un en fin de vie (= sur le point de mourir) et qui en fait la demande, on abrège ses souffrances médicalement avec l'administration supplémentaire d'une substance létale par rapport à ce qui se fait aujourd'hui. En bref, on abrège ses souffrances au lieu de juste les atténuer au max. Pour moi, c'est un périmètre encore différent de celui de ton premier sondage qui précisait pour le vert clair que les personnes concernées devaient être en état "grave et incurable", ce qui n'est pas la même chose qu'être en fin de vie.
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Lampyre-des-sens En réponse à phil_good Vermisseau

Essayons d'être objectifs ! (Et désolé pour le pavé !)

Dans son dictionnaire, l'Académie française donne deux définitions de l'euthanasie, avec une distinction entre euthanasie active et euthanasie passive.
1. Mort, douce et sans douleur, survenant de façon spontanée, sans autre intervention éventuelle que l’administration d’analgésiques.
2. Action destinée à donner la mort à un malade incurable qui demande ou a demandé que l’on abrège ses souffrances ou sa déchéance physiologique. Euthanasie active, administration de substances hâtant par elles-mêmes le décès. Euthanasie passive, suspension du traitement ou de la réanimation.

Dans le langage courant et dans presque tous les articles que tu pourras lire sur le sujet, le terme euthanasie désigne en réalité l'euthanasie active, tandis que l'euthanasie passive est désignée par des expressions telles que "arrêt des traitements". Tu pourras faire l'expérience par toi-même, comme je l'ai faite aujourd'hui : nulle part la loi Leonetti n'est décrite comme légalisant l'euthanasie.

Il est donc légitime et parfaitement fondé de penser que les dispositions légales actuelles relèvent de l'euthanasie passive. MAIS elle ne sont pas décrites comme étant de l'euthanasie, puisque ce terme seul - par un très probable abus de langage ou un phénomène euphémisant - désigne l'euthanasie active aussi bien chez les citoyens lambda, que chez les parlementaires (je rappelle que Leonetti lui-même refuse de parler d'euthanasie), les journalistes et les militants associatifs. Ce problème de vocabulaire ne facilite pas notre échange et c'est pourquoi j'essaie d'être le plus clair et le plus objectif possible...

Le sondage de 2015 a le grand mérite d'être sans ambiguïté sur les termes qu'il emploie, puisqu'il parle d'euthanasie active, donc de l'administration volontaire d'une substance (surdose de morphine) qui provoque la mort, par opposition à l'arrêt des soins. 90% des Français s'y déclarent favorables "pour les personnes en fin de vie". Le résultat est sans appel.

Le sondage de 2019 est moins explicite dans le choix de son vocabulaire, puisqu'il se contente de parler d'euthanasie. Mais comme je l'ai indiqué, employé seul, ce terme désigne en réalité l'euthanasie active, aussi bien dans le monde poltique que dans le monde médiatique. Comme tu l'as pertinemment remarqué, cette étude parle de "souffrances graves et incurables". Très sincèrement, si tu es de bonne de bonne foi, tu conviendras qu'il s'agit essentiellement (dans plus de 99% des cas) de la fin de vie, peut-être élargie à des cas très particuliers et très rares où le malade n'est pas à l'article de la mort, mais souffre tellement que la vie lui est devenue impossible.

Surtout, dans leurs résultats, les sondages de 2015 et 2019 sont très cohérents et montrent que les Français sont quasi unanimes sur la question de l'euthanasie active. Tu ne peux pas considérer qu'ils étaient 90% à la soutenir en 2015 et seulement 36% quatre ans plus tard. Ça n'aurait aucun sens.

L'étude de 2019 est donc à comprendre comme suit :
4% des Français sont pour un statu quo (que nous appellerons "euthanasie passive", conformément à l'Académie française, mais contre l'avis de Leonetti).
96% des Français sont pour un changement de législation afin d'autoriser (officialiser, devrais-je dire) l'euthanasie active pour les personnes qui souffrent et sont dans un état incurable (essentiellement en situation de fin de vie, mais potentiellement aussi de rares cas tels qu'une paralysie totale après un accident),
dont 36% qui soutiennent la possibilité de l'euthanasie pour une personne en bonne santé, donc une liberté totale dans le moment et la manière de mourir.
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phil_good En réponse à Lampyre-des-sens Ver singe (et torix)

Eeeeeet c'est là que je ne suis pas d'accord. :) Je te rejoins pour les définitions, mais il y a un mais... C'est que le texte de loi Leonetti dit (je cite) "en lui appliquant un traitement qui peut avoir pour effet secondaire d'abréger sa vie", on est donc déjà potentiellement ("peut avoir") dans ta définition de l'euthanasie active.
Je précise que je n'essaye pas de jouer sur les mots (ça change...) pour passer telle ou telle idée. Je constate juste que les termes employés de part et d'autres conduisent à des confusions et par là-même à des interprétations douteuses. Il y a un vieux dicton "quand c'est flou, c'est qu'il y a un loup", que je trouve particulièrement vrai en politique.
Au final, je maintiens donc ma position sur la lecture des sondages (sauf à ce que j'aie mal lu/compris tes explications) :)
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Lampyre-des-sens En réponse à phil_good Vermisseau

Chacun restera sur sa position. ;) Le sujet est d'autant plus complexe qu'il est très sensible et que tout le monde y a été ou y sera confronté un jour, pour lui-même ou pour un proche. Peut-être qu'un employé d'Ipsos passera par là et pourra nous éclairer sur la bonne manière d'interpréter les résultats...
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Petitprout En réponse à Lampyre-des-sens Vermisseau

Ça dépend aussi si on est favorable à l'euthanasie pour soi même ou pour les autres ...
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Krogoth En réponse à Lampyre-des-sens LoMBriK addict !

Le problème n'est pas tant l'autorisation de l'euthanasie mais le risque de dérive grave. Il ne faut pas oublier l'héritage derrière.
Pour des proches il est souvent facile de manipuler une personne vulnérable en fin de vie pour qu'elle demande une euthanasie; on pourrait voir augmenter le taux de maltraitance envers les parents...
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Lampyre-des-sens En réponse à Krogoth Vermisseau

Quelle dérive ? Dans tous les cas d'euthanasie réelle dont j'ai eu connaissance, les malades ont clairement indiqué leur choix à leur médecin, en pleine possession de leurs capacités intellectuelles. Pas de demande explicite et consciente, pas d'euthanasie. Les garde-fous sont faciles à mettre en place et d'autres pays civilisés y sont parvenus sans grand problème.
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Krogoth En réponse à Lampyre-des-sens LoMBriK addict !

Penser qu'il n'y aura pas de dérive c'est aller droit dans le murs. bien sur aujourd'hui c'est tellement confidentiel comme pratique que c'est fait en toute connaissance de cause et même là encore c'est parfois plutôt de l'assassinat que de l'euthanasie.
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Lampyre-des-sens En réponse à Krogoth Vermisseau

Je comprends tes inquiétudes, mais il n'y aura pas plus de dérives demain qu'aujourd'hui. Si tu veux tuer tes vieux parents grabataires, tu le fais toi-même avec un oreiller ou dans les escaliers, plutôt que de recourir à une complexe euthanasie en mêlant le corps médical, donc des témoins.
Méfiance avec cet argument des possibles dérives ! On l'entend à chaque nouveau droit et quelqu'un osait parler d'IVG de confort il y a seulement quelques années.
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Krogoth En réponse à Lampyre-des-sens LoMBriK addict !

Sans l'euthanasie => assassinat actif
Avec euthanasie => suffit de pousser la personne au "suicide" (à une demande d'euthanasie) qui est beaucoup plus complexe a évaluer d'un point de vue judiciaire.
Y avait il volonté de pousser la personne au suicide? Est-ce répréhensible de dire quelque chose de blessant mais vrai à quelqu'un?

Le sujet est beaucoup plus complexe qu'il n'y parait.
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Lampyre-des-sens En réponse à Krogoth Vermisseau

Si tu es harcelé par un conjoint ou un DRH, tu n'iras pas faire une demande administrative de suicide assisté, avec passage devant au moins un psy. Tu passeras directement à l'acte par pendaison, défenestration, coup d'accélérateur ou de fusil, saut d'une falaise, barbituriques, métro... Et souvent en laissant une lettre. Le profil psychologique et la démarche ne sont pas les mêmes. On ne parle pas de se faire livrer une corde en 30 minutes sur Uber Suicide, mais d'un processus qui permettra de contrôler tes motivations.
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Krogoth En réponse à Lampyre-des-sens LoMBriK addict !

Je parle quand même de vieux plutôt en fin de vie. Bien leur rappeller sue leur vie et derrière eux, que maintenant ils sont un poids à supporter et ceci tout les jours ca doit bien aider à prendre la décision.
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jose_cahuette Vermisseau

La vrai question c'est: pourquoi elle ne le fait pas elle même plutôt que d'aller en Suisse ?
Au pire si elle a du pognon a dépenser je lui vend une corde à prix d'or, je lui fait même le noeud et puis tchao !
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MarcusKhaine En réponse à jose_cahuette

"La façon de faire" je ne pense pas qu'elle ai des moyens à disposition pour partir sans souffrir.
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jose_cahuette En réponse à MarcusKhaine Vermisseau

partir sans souffrir?
somnifère+ alcool, tu t'endors sans jamais te réveiller, pas besoin d'aller en suisse pour ça, juste une ordonnance de ton généraliste, voilà voilà
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MarcusKhaine En réponse à jose_cahuette

Et ça marche à tous les coups? ^^
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jose_cahuette En réponse à MarcusKhaine Vermisseau

prends une table de ouija et poses directement tes questions aux intéressés ^^
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MarcusKhaine En réponse à jose_cahuette

Lol!
Putain on s'est fait moinser! :D
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trucmoi En réponse à jose_cahuette Ver d'os

1) Il y a beaucoup de gens qui se loupent (pas assez de médoc, résistance, peur de souffrir et de mourrir qui rendre les gestes imprécis toujours là ect). Le réveil inclue souvent des séquelles dont certaines empêchent les gens de pouvoir se terminer pour de bon.

2) Les gens qui retrouvent les cadavres sont forcément des proches de la personne en question ( enfant, conjoint, voisins) = risque énorme d'un traumatisme à vie pour ces personnes + peine d'emprisonnement pour non assistance à personne en danger pour ceux au courant du suicide et gros emmerdements aussi pour le médecin (sans forcément que le médecin de soit au courant de se suicide, mais ça dépend de chaque cas).

3) Entre faire le choix de mourir sereinement dans la "bienveillance" avec des véritables personnes compétentes qui ne t'infligeront aucune souffrance physique et morale et un acte d'automutilation extrêmement violant, il y a une très grosse différence. Le résultat reste le même (la mort), mais le chemin y amenant est largement beaucoup plus paisible et surtout plus raisonné (cheminé de gardes fous). D'autant plus que cela permet à certaines personnes qui seraient passées à l'acte tout seuls, de pouvoir revenir en arrière dans leur décision et d'avoir un véritable suivi psychologique permettant aux gens de continuer à vivre et à y (re)prendre gout à la vie.

Après ici ce qui dérange, c'est le fait que cette personne ait décidée de fixer une date de sa mort alors qu'elle est en pleine santé. Bizarrement je trouve ça courageux de sa part d'en parler sans tabous vu que le suicide est un sujet extrêmement délicat. Si effectivement le pays en question est libre sur le sujet (ce qui n'est pas encore notre cas), que la personne est parfaitement consentante et éclairée sur sa décision, bien entourée et que cela ne pose pas de problème au personnel médical consentant (pour moi il est plus là le gros hic), pourquoi vouloir se priver d'une belle mort sachant quelle celle-ci est irrémédiable ?
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nimajneB LoMBriK addict !

Quand la vie devient monotone et que tu penses au suiciiide,
C'est qu'il est grand temps de se mettre à gober des aciiides !

(c'est une chanson)
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Libel Vermisseau

Et puis aussi, il y a l'ADMD :
https://www.admd.net/
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