Ni Bastamag ...
(Si tu ne connais pas je te conseille. Site d'excellent journalisme, poursuivi en diffamation plusieurs fois par Bolloré pour leurs reportages sur ses affaires africaines (sur le principe du "procès baillon") , toujours blanchi.)
On appelle ça la bourgeoisie, qui défend ses intérêts dans la lutte des classes par le contrôle des moyens de propagande massifs.
Le CNR (conseil national de la resistance, dont le programme est à l'origine de la sécu, des retraites, etc.) ne s'y était pas trompé, et réclamait que la presse soit indépendante des intérêts économiques, me semble-t-il.
N'oubliez pas non plus qu'un journal qui n'appartient pas à un milliardaire n'est pas forcément "indépendant" ou "neutre".
Exemple : Minute et L'Humanité.
J'en sais rien. Je ne sais même pas si c'est possible.
Depuis un an ou deux, deux journalistes sont systématiquement dénigrés pour leur militantisme (Glanz et Bouhaf). Par contre, quand c'est Elkrief ou Calvi, ça passe tranquille. Étrange, non?
Le problème n'est pas le manque d'indépendance ni de neutralité des médias français (ce qui, en pratique, n'a jamais vraiment existé), mais leur manque patent de pluralité et d'honnêteté intellectuelle.
Aujourd'hui, les titres de presse et les chaînes de télé œuvrent dans leur quasi-totalité à la même propagande, au profit d'une même politique et d'une même classe sociale dominante. Non seulement ces médias sont partiels et partiaux pris individuellement, mais ils le sont également dans leur globalité. On n'y trouve que très difficilement des points de vue contradictoires, et un grand nombre de sujets importants y sont carrément passés sous silence.
Dans cette situation, il est devenu plus difficile de recouper l'information et de se faire sa propre opinion, sauf à trouver et consulter les quelques titres dissonants encore disponibles et la presse étrangère, qui sont eux aussi partiaux, sous influence et pas toujours honnêtes, mais qui offrent dans leur ensemble une diversité plus importante de sources et de points de vue.
Après il ne faut pas oublier que ce "contrôle" se fait plutôt sous la forme d'autocensure de la part des rédactions. Les propriétaires doivent rarement prendre le risque d'ordonner la censure explicitement dans le cas où cela fuiterait.
Et ce n'est pas la seule influence des rédactions. On a vu par exemple pour le traitement de la crise des gilets jaunes que le fait que les médias à portée nationale soient constitués majoritairement de parisiens intra-muros était beaucoup plus déterminant que la propriété du média.
Un autre exemple de ces biais culturels, le fait que Le Monde soit devenu un porte parole du lobby cycliste.
C'est très insultant pour les journalistes, qui, majoritairement, suivent les règles de déontologie du journalisme.
A ce jour, le gros problème du journalisme, c'est que, pour faire le "Buzz ", sortir le "Scoop", ils vont chercher des infos sur le web et ce font le relais de fakenews.... Ils s’aperçoivent de leur connerie, reviennent toujours sur leurs propos quand ils se font griller mais trop tard , le mal est fait.
Si on ajoute à cela les pseudos journalistes sur le web qui veulent défendre leur cause, qui n'ont pas de carte presse mais jouent au petits reporters engagés, et transmettent des opinions et non des faits avérés ; résultat : ce n'est pas du journalisme mais de la propagande ( quelque soit le camp, extreme gauche-extreme droite ).
Si on ajoute à cela les politiques qui tirent à boulet rouges sur les journalistes lorsqu'ils sont lanceurs d'alertes, les politiciens d’extrême gauche ou droite qui font leurs victimes en annonçant que les médias ne les laisse pas s'exprimer mais sont tous les jours sur BFM, Cnews, LCI,France Info ( tous déjà vu Mélenchon ou Lepen tenir ces propos )...
Les politiciens de gauches ou droites qui ce sont fait prendre la main dans le sac mais qui annonce qu'il s'agit d'un acharnement médiatique ( du style: Fillon, Balkany, Cahuzac, StraussKahn...on en connait tous...)
Et il y a encore d'autres facteurs mais le bilan et là : LES GENS N'ONT PLUS CONFIANCE.
Et, je rappelle, qu'il incombe à chacun de multiplier ses sources pour avoir une infos fiables, mais,les gens, majoritairement ( et soyez honnête avec vous même), soit les gens ne sont pas éduquer à avoir un esprit critique indépendant (et oui, on a pas tous la même éducation...) soit ne sont pas assez curieux, soit sont trop fainéants pour le faire, c'est bien plus simple de gueuler.....
Donc pas de solution sans l'action de ceux qui consomment les médias.
A l'heure du web où les gens posts tout et n'importe quoi, des faits, des opinions, des fakes news, Il est nécessaire d'avoir conscience de ce problème et d'être vigilant en multipliant ses sources, et en ayant un esprit critique pour l'ensemble des sources.
Si les gens pensent qu'ils vont bénéficier d'informations objectives sans faire l'effort d'avoir un esprit critique, c'est mort.
Toi, qui crie sur les toits :" ce qui croient les médias sont des moutons", sache que il n'y a pas plus mouton que celui qui écoute aveuglement qu'une seule source.
Je vous aime !
Bisous!
Vive la France !
Tout d'abord, on peut difficile qualifier de véritable journaliste quelqu'un qui irait chercher ses informations sur les sites concurrents ou parmi les ragots publiés sur les réseaux sociaux, et qui les publierait sans les vérifier.
Ensuite, pour l'essentiel, aujourd'hui leur travail ne consiste plus à faire un exposé un tant soit peu objectif et complet de l'information, mais à prendre celle-ci comme prétexte pour asséner des jugements de valeur dans le but d'imposer une opinion. Et lorsqu'une information relève d'une véritable enquête journalistique personnelle, bien souvent cette enquête vise juste à étayer une conclusion (souvent faussée) et un niveau d'intérêt déjà décidés par leur employeur.
Sur Paris, je connais de nombreux bons journalistes... mais ils sont tous au chômage, ou participent pour une part insignifiante à l'information finalement délivrée.
On peut critiquer avec raison ceux qui, sur le web, jouent aux reporters engagés lorsqu'ils colportent de fausses informations ou des opinions infondées. Or, on constate que c'est également ce que fait la majorité des « vrais » journalistes qui travaillent pour les médias mainstream !
Cela n'empêche pas de trouver par ailleurs sur le web bon nombre de reporters amateurs qui relatent de véritables informations et en font des analyses très pertinentes, et dont la probité devrait faire pâlir la plupart des professionnels cités précédemment. On trouve également des sites qui relayent des sources d'information alternatives offrant des points de vue variés, dont notamment des traductions en français d'articles de presse étrangère, dans le but de rétablir un minimum de diversité (généralement, ces sites rappellent que les contenus proposés ne doivent pas être pris pour argent comptant, mais doivent donc être considérés de façon critique dans le cadre d'une réflexion personnelle).
Malheureusement, depuis que la grande majorité des médias est tombée aux mains d'une caste défendant les mêmes intérêts, il est devenu très difficile pour les lecteurs et les téléspectateurs lambda de trouver des sources d'informations diversifiées et contradictoires, à défaut d'être fiables. La plupart des gens pensent s'être informés en consultant moins d'une dizaine de médias qui parlent tous de la même voix, et rejettent les médias minoritaires, surtout depuis que les premiers s'emploient à en torpiller la réputation (cf. Décodex et consort). La baisse de leur niveau d'éducation et d'instruction durant ces dernières décennies complète le tableau.
Alors, oui, compte tenu de l'état déontologique déplorable de la profession journalistiques en exercice, les gens devraient faire preuve d'esprit critique, mais tout autant à propos du contenu des médias soi-disant « sérieux » (lesquels constituent en fait la première source de propagande et de désinformation de la population) que de celui des sources d'information alternatives, notamment celles du web (qu'ils ne devraient pas rejeter a priori, mais juste considérer avec la même circonspection).
Quand j’entends des mec comme toi, je trouve que ça pue la propagande....
Je crois que les gens se monte beaucoup le bourrichon sur les réseaux sociaux..... RN, FI, GJ....
puisque ce genre de propos sont les mêmes sur leurs supports.........
Encore une fois , quand tu as conscience de la chose et si tu sais faire le trie, tout va bien.....
Alors tu ne dois pas bien te rendre compte du niveau de propagande officielle dans laquelle tu baignes tous les jours.
Nul besoin d'aller sur les réseaux sociaux ni d'écouter les discours de tel ou tel parti politique dit « d'opposition » pour s'en rendre compte. Ce qu'on y trouve d'ailleurs, ce n'est pas la source de ce qui suggèrerait à tort ou à raison son existence, mais juste l'une de ses conséquences. (Les partis d'opposition et tout un paquet de personnes y font aussi assurément leur propagande, mais c'est une autre affaire).
La propagande, c'est ce que je vois tous les jours quand j'allume la télé ou quand j'ouvre un journal national.
Me tenant informé par d'autres moyens (notamment en lisant les publications des institutions officielles, la presse technique spécialisée et la presse main stream étrangère), je la ressens chaque fois que je m'aperçois que des informations importantes pour les citoyens sont totalement passées sous silence ou que les conclusions (qui résultent souvent d'analyses journalistiques manifestement biaisées ou relevant d'une profonde incompétence) sont clairement illogiques ou d'une mauvaise foi patente. Et cela m'arrive plus d'une dizaine de fois par jour.
Le jeu médiatique est évident. Son rôle n'est pas d'informer le citoyen, mais au contraire de le divertir. Il ne lui donne pas matière à mener des raisonnements personnels, mais cherche à susciter en lui des émotions afin de diriger ses opinions et ses actions. Et pour ce faire il n'hésite pas à lui cacher la vérité, à l'induire en erreur, voire à lui mentir.
Et « quand j’entends des mecs comme toi », je ne sais pas si, ayant succombé à ce système, tu le défends juste par naïveté et conviction, ou si tu y participes en toute connaissance de cause (puisqu'aujourd'hui, à défaut de pouvoir imposer une censure, des personnes sont *très officiellement* payées par nos institutions pour faire ce travail sur les réseaux sociaux, les forums, les sites d'information et les sites de partage).
Si les rédactions se permettent de dire toute la vérité sur les autres milliardaire sauf celui qui les possède le public se retrouve quand même informé puisque aucun ne les possède tous.
Non, parce que le public ne reçoit que le seul le point de vue des milliardaires.
Si l'on a aujourd'hui un « président des riches » à la tête du pays, c'est précisément parce que, contrairement à l'époque où ils passaient encore leur temps à se tirer dans les pattes, les milliardaires sont tombés d'accord pour défendre prioritairement leurs intérêts communs, lesquels sont assurément différents de ceux de la grande majorité du public.
Spekkio Lombric Shaolin
Personne
Bob_Bob Vermisseau
tomteub En réponse à Bob_Bob Vermisseau
(Si tu ne connais pas je te conseille. Site d'excellent journalisme, poursuivi en diffamation plusieurs fois par Bolloré pour leurs reportages sur ses affaires africaines (sur le principe du "procès baillon") , toujours blanchi.)
afturgugluck Vermisseau
OuicheLorraine Vermisseau
tomteub En réponse à OuicheLorraine Vermisseau
edit : et le monde diplo, pardon, pas assez regardé l'image ...
tomteub Vermisseau
Le CNR (conseil national de la resistance, dont le programme est à l'origine de la sécu, des retraites, etc.) ne s'y était pas trompé, et réclamait que la presse soit indépendante des intérêts économiques, me semble-t-il.
Zgru La voix de son ver
Exemple : Minute et L'Humanité.
alextazy0 En réponse à Zgru Asticot
Zgru En réponse à alextazy0 La voix de son ver
Depuis un an ou deux, deux journalistes sont systématiquement dénigrés pour leur militantisme (Glanz et Bouhaf). Par contre, quand c'est Elkrief ou Calvi, ça passe tranquille. Étrange, non?
_pepe_ En réponse à Zgru
Aujourd'hui, les titres de presse et les chaînes de télé œuvrent dans leur quasi-totalité à la même propagande, au profit d'une même politique et d'une même classe sociale dominante. Non seulement ces médias sont partiels et partiaux pris individuellement, mais ils le sont également dans leur globalité. On n'y trouve que très difficilement des points de vue contradictoires, et un grand nombre de sujets importants y sont carrément passés sous silence.
Dans cette situation, il est devenu plus difficile de recouper l'information et de se faire sa propre opinion, sauf à trouver et consulter les quelques titres dissonants encore disponibles et la presse étrangère, qui sont eux aussi partiaux, sous influence et pas toujours honnêtes, mais qui offrent dans leur ensemble une diversité plus importante de sources et de points de vue.
TrueDuck Vermisseau
SuperBiskouaz En réponse à TrueDuck Vermisseau
Gring Lombric Shaolin
Et ce n'est pas la seule influence des rédactions. On a vu par exemple pour le traitement de la crise des gilets jaunes que le fait que les médias à portée nationale soient constitués majoritairement de parisiens intra-muros était beaucoup plus déterminant que la propriété du média.
Un autre exemple de ces biais culturels, le fait que Le Monde soit devenu un porte parole du lobby cycliste.
histoiredapprendre2 Vermisseau
MuletPower Vermisseau
A ce jour, le gros problème du journalisme, c'est que, pour faire le "Buzz ", sortir le "Scoop", ils vont chercher des infos sur le web et ce font le relais de fakenews.... Ils s’aperçoivent de leur connerie, reviennent toujours sur leurs propos quand ils se font griller mais trop tard , le mal est fait.
Si on ajoute à cela les pseudos journalistes sur le web qui veulent défendre leur cause, qui n'ont pas de carte presse mais jouent au petits reporters engagés, et transmettent des opinions et non des faits avérés ; résultat : ce n'est pas du journalisme mais de la propagande ( quelque soit le camp, extreme gauche-extreme droite ).
Si on ajoute à cela les politiques qui tirent à boulet rouges sur les journalistes lorsqu'ils sont lanceurs d'alertes, les politiciens d’extrême gauche ou droite qui font leurs victimes en annonçant que les médias ne les laisse pas s'exprimer mais sont tous les jours sur BFM, Cnews, LCI,France Info ( tous déjà vu Mélenchon ou Lepen tenir ces propos )...
Les politiciens de gauches ou droites qui ce sont fait prendre la main dans le sac mais qui annonce qu'il s'agit d'un acharnement médiatique ( du style: Fillon, Balkany, Cahuzac, StraussKahn...on en connait tous...)
Et il y a encore d'autres facteurs mais le bilan et là : LES GENS N'ONT PLUS CONFIANCE.
Et, je rappelle, qu'il incombe à chacun de multiplier ses sources pour avoir une infos fiables, mais,les gens, majoritairement ( et soyez honnête avec vous même), soit les gens ne sont pas éduquer à avoir un esprit critique indépendant (et oui, on a pas tous la même éducation...) soit ne sont pas assez curieux, soit sont trop fainéants pour le faire, c'est bien plus simple de gueuler.....
Donc pas de solution sans l'action de ceux qui consomment les médias.
A l'heure du web où les gens posts tout et n'importe quoi, des faits, des opinions, des fakes news, Il est nécessaire d'avoir conscience de ce problème et d'être vigilant en multipliant ses sources, et en ayant un esprit critique pour l'ensemble des sources.
Si les gens pensent qu'ils vont bénéficier d'informations objectives sans faire l'effort d'avoir un esprit critique, c'est mort.
Toi, qui crie sur les toits :" ce qui croient les médias sont des moutons", sache que il n'y a pas plus mouton que celui qui écoute aveuglement qu'une seule source.
Je vous aime !
Bisous!
Vive la France !
Batmangouste En réponse à MuletPower Vermisseau
_pepe_ En réponse à MuletPower
Ensuite, pour l'essentiel, aujourd'hui leur travail ne consiste plus à faire un exposé un tant soit peu objectif et complet de l'information, mais à prendre celle-ci comme prétexte pour asséner des jugements de valeur dans le but d'imposer une opinion. Et lorsqu'une information relève d'une véritable enquête journalistique personnelle, bien souvent cette enquête vise juste à étayer une conclusion (souvent faussée) et un niveau d'intérêt déjà décidés par leur employeur.
Sur Paris, je connais de nombreux bons journalistes... mais ils sont tous au chômage, ou participent pour une part insignifiante à l'information finalement délivrée.
On peut critiquer avec raison ceux qui, sur le web, jouent aux reporters engagés lorsqu'ils colportent de fausses informations ou des opinions infondées. Or, on constate que c'est également ce que fait la majorité des « vrais » journalistes qui travaillent pour les médias mainstream !
Cela n'empêche pas de trouver par ailleurs sur le web bon nombre de reporters amateurs qui relatent de véritables informations et en font des analyses très pertinentes, et dont la probité devrait faire pâlir la plupart des professionnels cités précédemment. On trouve également des sites qui relayent des sources d'information alternatives offrant des points de vue variés, dont notamment des traductions en français d'articles de presse étrangère, dans le but de rétablir un minimum de diversité (généralement, ces sites rappellent que les contenus proposés ne doivent pas être pris pour argent comptant, mais doivent donc être considérés de façon critique dans le cadre d'une réflexion personnelle).
Malheureusement, depuis que la grande majorité des médias est tombée aux mains d'une caste défendant les mêmes intérêts, il est devenu très difficile pour les lecteurs et les téléspectateurs lambda de trouver des sources d'informations diversifiées et contradictoires, à défaut d'être fiables. La plupart des gens pensent s'être informés en consultant moins d'une dizaine de médias qui parlent tous de la même voix, et rejettent les médias minoritaires, surtout depuis que les premiers s'emploient à en torpiller la réputation (cf. Décodex et consort). La baisse de leur niveau d'éducation et d'instruction durant ces dernières décennies complète le tableau.
Alors, oui, compte tenu de l'état déontologique déplorable de la profession journalistiques en exercice, les gens devraient faire preuve d'esprit critique, mais tout autant à propos du contenu des médias soi-disant « sérieux » (lesquels constituent en fait la première source de propagande et de désinformation de la population) que de celui des sources d'information alternatives, notamment celles du web (qu'ils ne devraient pas rejeter a priori, mais juste considérer avec la même circonspection).
MuletPower En réponse à _pepe_ Vermisseau
Je crois que les gens se monte beaucoup le bourrichon sur les réseaux sociaux..... RN, FI, GJ....
puisque ce genre de propos sont les mêmes sur leurs supports.........
Encore une fois , quand tu as conscience de la chose et si tu sais faire le trie, tout va bien.....
_pepe_ En réponse à MuletPower
Nul besoin d'aller sur les réseaux sociaux ni d'écouter les discours de tel ou tel parti politique dit « d'opposition » pour s'en rendre compte. Ce qu'on y trouve d'ailleurs, ce n'est pas la source de ce qui suggèrerait à tort ou à raison son existence, mais juste l'une de ses conséquences. (Les partis d'opposition et tout un paquet de personnes y font aussi assurément leur propagande, mais c'est une autre affaire).
La propagande, c'est ce que je vois tous les jours quand j'allume la télé ou quand j'ouvre un journal national.
Me tenant informé par d'autres moyens (notamment en lisant les publications des institutions officielles, la presse technique spécialisée et la presse main stream étrangère), je la ressens chaque fois que je m'aperçois que des informations importantes pour les citoyens sont totalement passées sous silence ou que les conclusions (qui résultent souvent d'analyses journalistiques manifestement biaisées ou relevant d'une profonde incompétence) sont clairement illogiques ou d'une mauvaise foi patente. Et cela m'arrive plus d'une dizaine de fois par jour.
Le jeu médiatique est évident. Son rôle n'est pas d'informer le citoyen, mais au contraire de le divertir. Il ne lui donne pas matière à mener des raisonnements personnels, mais cherche à susciter en lui des émotions afin de diriger ses opinions et ses actions. Et pour ce faire il n'hésite pas à lui cacher la vérité, à l'induire en erreur, voire à lui mentir.
Et « quand j’entends des mecs comme toi », je ne sais pas si, ayant succombé à ce système, tu le défends juste par naïveté et conviction, ou si tu y participes en toute connaissance de cause (puisqu'aujourd'hui, à défaut de pouvoir imposer une censure, des personnes sont *très officiellement* payées par nos institutions pour faire ce travail sur les réseaux sociaux, les forums, les sites d'information et les sites de partage).
TheMetroidPrime Verxit
magnussoren En réponse à TheMetroidPrime Ver (re-)cyclable
TheMetroidPrime En réponse à magnussoren Verxit
MuletPower Vermisseau
LeMoineau Vermisseau
Mephisto En réponse à LeMoineau Jeune lombric
Stefjeubs Vermisseau
Bellus
Batmangouste En réponse à Bellus Vermisseau
_pepe_ En réponse à Bellus
Si l'on a aujourd'hui un « président des riches » à la tête du pays, c'est précisément parce que, contrairement à l'époque où ils passaient encore leur temps à se tirer dans les pattes, les milliardaires sont tombés d'accord pour défendre prioritairement leurs intérêts communs, lesquels sont assurément différents de ceux de la grande majorité du public.
Batmangouste Vermisseau
MuletPower Vermisseau