La connerie
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Weng-Weng Lombrico de la Cruz
magnussoren En réponse à Weng-Weng Ver (re-)cyclable
fwan6 En réponse à magnussoren cabwL
Chinois11 En réponse à Weng-Weng Ténia koué
Pour usage personnel, ou pour faire une blague à un collègue.
fwan6 En réponse à Weng-Weng cabwL
hoodoo Vermisseau
Néanmoins c'est un vision pleine d'intérêt.
Zoubdi En réponse à hoodoo Vermisseau
Sinon, quelle démonstration d'intelligence et de lucidité ! Après, en termes de prospective, ça reste à voir...
magnussoren En réponse à hoodoo Ver (re-)cyclable
Zoubdi En réponse à magnussoren Vermisseau
hoodoo En réponse à magnussoren Vermisseau
Henry_Hill En réponse à magnussoren Ver macht addikkkt
feyfey En réponse à magnussoren Lombrique girafe cougar chienne poule y dort
Zoubdi Vermisseau
hoodoo Vermisseau
Blague à part, le bon sens mal lavé, sans les excès, a relativement plus de bon sens qu'un 'trois pièces, sourire et matraque qui marche pour l'intérêt du pognon'... Alors un offerus perdu dans ses pensées obscures ou un zadiste mal lavé ou un crss ou un banquier, tout ce qui est sous notre société 'ombrelle' à matière à exister... Mais chacun peut se sauver lui même de son incohérence et de ses peurs. Et j'espère qu'il t'aura lu ;)
magnussoren En réponse à hoodoo Ver (re-)cyclable
Offerus Ne pas prendre au sérieux
Je te remercie de cette vidéo et de ton commentaire. C'est un beau compliment que tu m'adresses et il me fait chaud au cœur. Ce que dit Romain Gary est vraiment intéressant, même si j'émets plus de réserves (et sans doute, toi aussi) pour son enthousiasme envers le retour du tribalisme et la télévision. Peut-être connais-tu déjà les interview de Brel et de Céline sur le même sujet.
Je ne sais pas vraiment si je suis profondément de droite, ou quoi que ce soit. Je suis réactionnaire, c'est sûr. Monarchiste de cœur. Fasciste, par esprit baroque. Mais j'essaye de ne rien prendre au sérieux, et de tout prendre au tragique. Du reste, si l'on devait réellement me prendre au sérieux, les auteurs qui me « parlent » réellement à l'heure actuelle sont Michéa, Debord, Pasolini, Orwell.
On peut rajouter, côté « droite » Nicolas Gomez Davila et Ortega y Gasset. Mais je ne suis même pas sûr que la ligne de démarcation ait à se faire entre droite et gauche. Enfin, au niveau politique, c'est une évidence que ces mots n'ont plus de sens. Je parle sur le plan individuel. La fracture n'est pas là. La réelle différence se fait entre les gens droits et les traîtres. Et ceux là viennent de bords très variables. D'ailleurs, on est rarement seulement l'un ou l'autre, il a souvent un peu des deux en nous. Je ne sais pas du tout à quelle catégorie me rattacher. Mais par tes commentaires, nos échanges et par ton dernier post sur ton engagement associatif, j'ai une idée assez claire de la tienne.
Ce que tu dis des zadistes est vrai. Et m'évoque un aphorisme de Nicolas Gomez Davila : « certaines idées nous semblent défendable jusqu'à ce qu'on voit les individus qui les défendent ».