Ça tombe bien, la tienne ne m'intéresse pas non plus. Donc si je pouvais me passer de la lire dans les commentaires, ce serait bien aimable. Par ailleurs, je n'ai - me semble-t-il - jamais montrer signe que j'étais ton amie.
Désolé, je ne vais pas m'autocensurer pour tes beaux yeux. Si tu n'aimes pas mes commentaires, ne les lis pas. Et si tu tiens absolument à me faire connaître ta désapprobation, je te conseille d'utiliser le petit bouton ( - ) comme ça tu pourras économiser cinq minutes de ta vie sans pour autant te priver de la petite satisfaction mesquine − mais ô combien délicieuse, je le conçois − d'avoir rendu justice sur le web en combattant la vulgarité et l'oppression.
Tu ne mérites décidément pas l'avatar de Good guy Greg...
Et je fais remarquer que ton argumentaire à deux ronds "si tu n'aimes pas mes commentaires, ne les lis pas", n'est pas unilatéral. Ce serait dommage que tu perdes ton précieux temps à me répondre. Et tu seras gentil de ne pas m'imputer des "petites satisfactions mesquines" qui, en réalité, n'ont pas motivé mon premier commentaire. Ce serait plutôt l'envie de te faire fermer ta tronche à coup de coupette. De chagrin, hein.
C'est comme ça, on ne peut pas plaire à tout le monde. Mais si il en faut si peu pour te dépiter, il faut rester loin d'internet, parce que des gens qui pensent différemment, qui ont un autre humour ou une autre culture, qui sont mesquins, raciste, trolls, méchants ou tout simplement stupides... il y en aura toujours. C'est un peu le revers de la liberté d'expression. Pas tant un revers que ça à mon avis, à la condition néanmoins d'avoir un minimum de recul et de tolérance.
« L'enfer, c'est les autres ».
Au fait, même si je le devine bien, tu n'as toujours pas dis un mot de ce qui te posais problème, je n'ai eu le droit qu'à une agression gratuite (et accessoirement une menace de mort...rien que ça).
Tu peux donc te draper à loisir dans ta parure de vertu, cela augure malgré tout d'intentions bien moins nobles que l'image que tu veux te donner. Pour ma part, je ne suis nullement dépité, ça fait bien longtemps que j'ai compris que l'insulte et l'agression étaient les arguments des gens qui n'ont rien à dire.
Oh pinaise... Par où commencer ?! Bon, dans l'ordre :
- Je te remercie, mais je ne vais surtout pas rester loin d'Internet parce que j'y rencontre des opinions différentes des miennes. Et toi, tu ferais bien, si tu veux suivre tes propres conseils, de ne pas demander à celles et ceux avec qui tu n'es pas d'accord d'arrêter de parler.
- La tolérance elle est où quand tu traites les femmes de "bande de cochonne" ? Et je souligne le fait que, n'ayant pas signalé ton premier commentaire, mais y ayant simplement répondu, je t'ai "toléré".
- Ensuite, Sartre vraiment ? La tarte à la crème de la philosophie de comptoir ? Avec une phrase sortie de son contexte argumentatif, juste parce que ça rehausse ton petit ego ? Tu te sens intelligent quand tu mets des guillemets autour d'une phrase que tu ne comprends pas ?
- Si, jusqu'à ce commentaire, je n'avais pipé mot de la raison pour laquelle je t'ai gentiment demandé de fermer ta mouille, c'est parce que toi non-plus. Vu qu'on est parti direct dans l'échange de fion, j'ai joyeusement continué parce que ça défoule. :)
- Donc ce qui m'a agacée c'est ta façon de traiter les femmes de cochonnes, que je trouve être une insulte particulièrement pernicieuse parce que anodine (plus que salope, mais au fond, ça veut dire la même chose). Alors, je vois venir le "c'est de l'humour", donc j'y réponds tout de suite : "tu es un crétin décérébré, avec le QI d'un mollusque, et qui en plus, pète plus haut que son cul." Mais LOL c'est de l'humour, 'faut pas le prendre mal, sinon c'est que t'es pas drôle.
- Je ne t'ai pas "agressé gratuitement", j'ai répondu vivement.
- UNE MENACE DE MORT ????? VRAIMENT ??????!!!!!! Le coup de la coupette, c'était une référence à Kaamelott - Livre I, scène avec Arthur et Perceval. Ce qui n'empêche pas, je l'admets volontiers, que, pendant une seconde ou deux, je me suis plu à imaginer un objet contondant t'atterrissant dans le pif. MAIS, ce n'est pas pour autant que je vais m'y employer : j'ai suffisamment de contrôle sur moi-même pour que, à chaque fois que quelqu'un m'énerve et me prend l'envie de lui coller mon pain dans la tronche, je ne le fasse pas.
- Je ne me drape dans aucune vertu, je ne me considère pas comme quelqu'un de moral. Et d'ailleurs j'emmerde la moralité, si tu veux tout savoir. Des arguments, des choses à dire, j'en ai. Je n'avais juste pas pris la peine de te les confier parce que, si tu veux tout savoir, tu m'énerves souvent dans tes commentaires, je te trouve sexiste, raciste et pas très sympathique. Et je ne prends jamais la peine de te répondre, parce que je vois dans quels méandres ça va nous amener : précisément ceux dans lesquels nous sommes actuellement.
- Dernière précision, je devance une éventuelle question : pourquoi là je ponds un pavé, et pourquoi je ne lâche pas le morceau ? Tout simplement parce que je ne veux pas te laisser le dernier mot.
Eh bien, on dirait que j'ai touché un point sensible. :)
Ce qui est drôle c'est que ma vanne était du second degré, chose que tout le monde a compris sauf toi. Je passe sur les nouvelles accusations et l'agressivité gratuite, ça n'engage que toi.
« j'ai joyeusement continué parce que ça défoule. » Ne t'inquiète pas j'avais très bien compris.
Tu n'as que faire de ma moralité ou ma bonne conduite. Tu te prétends être morale, mais apparemment une morale souple et relative qui ne fais pas de cas verser ton fiel sans vergogne sur un inconnu fièrement cachée derrière ton clavier. Aller, je vais te faire une faveur : je vais en rester sur ce dernier message et te laisser le plaisir que tu étais venu chercher, non seulement d'avoir rabattu son caquet à un affreux misogyne du web mais aussi d'avoir eu le dernier mot. Défoule-toi bien ;)
bo2ni Jeune asticot
john5
Arsayne En réponse à john5 Jeune asticot
john5 En réponse à Arsayne
Arsayne En réponse à john5 Jeune asticot
john5 En réponse à Arsayne
Arsayne En réponse à john5 Jeune asticot
Et je fais remarquer que ton argumentaire à deux ronds "si tu n'aimes pas mes commentaires, ne les lis pas", n'est pas unilatéral. Ce serait dommage que tu perdes ton précieux temps à me répondre. Et tu seras gentil de ne pas m'imputer des "petites satisfactions mesquines" qui, en réalité, n'ont pas motivé mon premier commentaire. Ce serait plutôt l'envie de te faire fermer ta tronche à coup de coupette. De chagrin, hein.
john5 En réponse à Arsayne
Arsayne En réponse à john5 Jeune asticot
john5 En réponse à Arsayne
« L'enfer, c'est les autres ».
Au fait, même si je le devine bien, tu n'as toujours pas dis un mot de ce qui te posais problème, je n'ai eu le droit qu'à une agression gratuite (et accessoirement une menace de mort...rien que ça).
Tu peux donc te draper à loisir dans ta parure de vertu, cela augure malgré tout d'intentions bien moins nobles que l'image que tu veux te donner. Pour ma part, je ne suis nullement dépité, ça fait bien longtemps que j'ai compris que l'insulte et l'agression étaient les arguments des gens qui n'ont rien à dire.
Arsayne En réponse à john5 Jeune asticot
- Je te remercie, mais je ne vais surtout pas rester loin d'Internet parce que j'y rencontre des opinions différentes des miennes. Et toi, tu ferais bien, si tu veux suivre tes propres conseils, de ne pas demander à celles et ceux avec qui tu n'es pas d'accord d'arrêter de parler.
- La tolérance elle est où quand tu traites les femmes de "bande de cochonne" ? Et je souligne le fait que, n'ayant pas signalé ton premier commentaire, mais y ayant simplement répondu, je t'ai "toléré".
- Ensuite, Sartre vraiment ? La tarte à la crème de la philosophie de comptoir ? Avec une phrase sortie de son contexte argumentatif, juste parce que ça rehausse ton petit ego ? Tu te sens intelligent quand tu mets des guillemets autour d'une phrase que tu ne comprends pas ?
- Si, jusqu'à ce commentaire, je n'avais pipé mot de la raison pour laquelle je t'ai gentiment demandé de fermer ta mouille, c'est parce que toi non-plus. Vu qu'on est parti direct dans l'échange de fion, j'ai joyeusement continué parce que ça défoule. :)
- Donc ce qui m'a agacée c'est ta façon de traiter les femmes de cochonnes, que je trouve être une insulte particulièrement pernicieuse parce que anodine (plus que salope, mais au fond, ça veut dire la même chose). Alors, je vois venir le "c'est de l'humour", donc j'y réponds tout de suite : "tu es un crétin décérébré, avec le QI d'un mollusque, et qui en plus, pète plus haut que son cul." Mais LOL c'est de l'humour, 'faut pas le prendre mal, sinon c'est que t'es pas drôle.
- Je ne t'ai pas "agressé gratuitement", j'ai répondu vivement.
- UNE MENACE DE MORT ????? VRAIMENT ??????!!!!!! Le coup de la coupette, c'était une référence à Kaamelott - Livre I, scène avec Arthur et Perceval. Ce qui n'empêche pas, je l'admets volontiers, que, pendant une seconde ou deux, je me suis plu à imaginer un objet contondant t'atterrissant dans le pif. MAIS, ce n'est pas pour autant que je vais m'y employer : j'ai suffisamment de contrôle sur moi-même pour que, à chaque fois que quelqu'un m'énerve et me prend l'envie de lui coller mon pain dans la tronche, je ne le fasse pas.
- Je ne me drape dans aucune vertu, je ne me considère pas comme quelqu'un de moral. Et d'ailleurs j'emmerde la moralité, si tu veux tout savoir. Des arguments, des choses à dire, j'en ai. Je n'avais juste pas pris la peine de te les confier parce que, si tu veux tout savoir, tu m'énerves souvent dans tes commentaires, je te trouve sexiste, raciste et pas très sympathique. Et je ne prends jamais la peine de te répondre, parce que je vois dans quels méandres ça va nous amener : précisément ceux dans lesquels nous sommes actuellement.
- Dernière précision, je devance une éventuelle question : pourquoi là je ponds un pavé, et pourquoi je ne lâche pas le morceau ? Tout simplement parce que je ne veux pas te laisser le dernier mot.
john5 En réponse à Arsayne
Ce qui est drôle c'est que ma vanne était du second degré, chose que tout le monde a compris sauf toi. Je passe sur les nouvelles accusations et l'agressivité gratuite, ça n'engage que toi.
« j'ai joyeusement continué parce que ça défoule. » Ne t'inquiète pas j'avais très bien compris.
Tu n'as que faire de ma moralité ou ma bonne conduite. Tu te prétends être morale, mais apparemment une morale souple et relative qui ne fais pas de cas verser ton fiel sans vergogne sur un inconnu fièrement cachée derrière ton clavier. Aller, je vais te faire une faveur : je vais en rester sur ce dernier message et te laisser le plaisir que tu étais venu chercher, non seulement d'avoir rabattu son caquet à un affreux misogyne du web mais aussi d'avoir eu le dernier mot. Défoule-toi bien ;)
Arsayne En réponse à john5 Jeune asticot
phil_good Ver singe (et torix)
modul Vermisseau