Sur Instagram, l’artiste américaine Giulia, aka Scientwehst, s’amuse à contourner la censure avec des collages hautement suggestifs, mélangeant des corps et des photographies d’architecture. Une rencontre étonnante entre la chair et le béton, entre l’organique et le minéral, qui nous fait découvrir une facette séduisante de la paréidolie tout en dénonçant les politiques strictes de censure des réseaux sociaux : La société des médias sociaux n’est pas un espace public et démocratique, alors nous devons cesser de le traiter comme tel.
Envoyé par Dvil38 le 4 octobre 2017 à 11h13
Maurice Versus
Gazelle En réponse à Maurice Vermisseau
Popaul En réponse à Maurice Jeune lombric
Maurice En réponse à Popaul Versus
Djeez Vermisseau
2.Descendre à la cave ?
3.Déguiser le drap de lit en chapiteau de cirque ?
4.La porte secrète ?
Thiche Colonel Chat-Ver
le_freeman En réponse à Thiche
hellsfangs Vermisseau
kolamye Lombric
Sous prétexte qu'internet est "libre" il ne devrait pas y avoir de censure, du moins pour la pornographie ? Quant bien même ses même cite sont fréquenté par des enfants ?
Et qu'on ne disent pas que c'est aux parents de s'en occuper, la moitié d'entre eux ne savent même pas comment ce servir correctement d'internet.
Dvil38 En réponse à kolamye Asticot
kolamye En réponse à Dvil38 Lombric