La fin du monde est proche

Dans un billet de blog, une professeure de français raconte une formation dispensée par des inspecteurs de l'Éducation nationale. Selon son récit, ils ont planché sur une interview de Kev Adams ainsi que sur de nouvelles règles de grammaire.

Envoyé par Henry_Hill le 10 janvier 2017 à 00h34

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eyhtern

mes yeux ont brulé en lisant la page twitter contenant l'extrait de kev adams
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Swarmadd En réponse à eyhtern LoMBriK addict !

C'est comme un un un boxeur.
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CJC Asticot

Je dirais même plus : elle n'a jamais été aussi proche.
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Chaque_Jirac Mervisseau

Non mais ça ne peut-être qu'un fake, sérieusement. C'est pas possible autrement. Quelqu'un a pu vérifier ?
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g012 Asticot

Et la perle de l'article :
"en langue tout est négociable". Ainsi, si un élève fait une faute de grammaire mais qu'il peut la justifier même en ayant tort, "alors nous devons considérer qu'il a raison".

Je penche aussi pour le fake, c'est trop gros.
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Ced Lombrik

Sinon, le mot 'professeur' est invariable.
: sifflote :
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Ced En réponse à Mylo Lombrik

http://www.laro...rofesseur/64155

Je te laisse vérifier dans le Petit Robert aussi, même si je sais que tu les préfères gros et musclés! ;-)
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Ced En réponse à Mylo Lombrik

"L’Académie française ne reconnaît pas l’usage du mot."
Après, venant de vieux séniles...

Mais je trouve ça rigolo venant d'une personne s'employant à descendre systématiquement toute part de féminisme sociétal et reprendre un mot qui n'est officiellement pas reconnu et donc pas français. ^^
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Mylo En réponse à Ced Ver correcteur

Pas encore...
Sinon, "Je te conseille de lire l'article que tu cites en entier."

Quant à la "personne s'employant à descendre systématiquement toute part de féminisme sociétal", j'imagine qu'il s'agit d'Henry_Hill, mais c'est moi qui me suis permis de modifier le titre.
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Ced En réponse à Mylo Lombrik

Marqué 'nom masculin' et sans e dans le lien du Larousse.

Personnellement, je suis plutôt pour la féminisation des noms. Mais par ta petite pique (et ton image fausse sur un autre lien), doit-on conclure que tu choisis un camps définitif, Mylo? Allons bon... ;)
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Mylo En réponse à Ced Ver correcteur

Je suis également pour la féminisation des noms, d'autant, pour avoir fait un passage dans le sport féminin, j'ai pu en noter le développement.
Pour la "pique", c'est juste pour te signaler que ce serait bien de suivre les conseils que tu donnes.
Je m'oppose à la création de camps.
À bon entendeur.
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Ced En réponse à Mylo Lombrik

Je cite donc toujours le Larousse:
'Dans l'expression soignée, professeur est employé au masculin, même pour désigner une femme : Mme Jeanne-Thérèse Demorel, professeur agrégé de médecine. Martine Balto est un excellent professeur. Lorsqu'il est nécessaire de préciser que le professeur appartient au sexe féminin, on dit ou on écrit femme professeur (ou professeur femme). - Dans l'expression orale courante, professeur s'emploie au féminin pour désigner une femme : une professeur d'anglais, de lettres'

Donc, et si je suis bien, 'professeur' ne prend donc pas de e, comme cela est dans la description actuellement. Puisqu'il est question de médias et d'enseignement de la langue française ici... ;)
Image de Ced
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wizzz En réponse à Ced Jeune asticot

T'as oublié de citer l'auteure...
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Henry_Hill En réponse à Ced Ver macht addikkkt

"venant d'une personne s'employant à descendre systématiquement toute part de féminisme sociétal et reprendre un mot qui n'est officiellement pas reconnu et donc pas français"
Image de Henry_Hill
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CJC En réponse à Ced Asticot

Bah vous disez pas la Maitreisse?
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BarneyGumbles Lombric Shaolin

En langues, les fautes de grammaires d'aujourd'hui sont les règles grammaticales de demain. C'est peut être triste mais c'est comme ca.
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JesusOmega En réponse à BarneyGumbles Vermisseau

C'est pas vraiment triste, la langue est un outil, pas un but.
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magnussoren En réponse à JesusOmega Ver (re-)cyclable

sauf qu'un outil quand il evolue, c'est pour se perfectionner, gagner en efficacité...L'orthographe..admettons, mais la syntaxe ..Y'a des chances qu'avec une mauvaise syntaxe, le discours, puis ensuite la pensée soient pauvres...
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Chaque_Jirac En réponse à BarneyGumbles Mervisseau

Ouai, enfin. La langue n'évolue pas que par les erreurs d'une époque. C'est une excuse qu'on entend trop souvent pour autoriser des dérapages syntaxiques assez atroces.
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BarneyGumbles En réponse à Chaque_Jirac Lombric Shaolin

Oh que si, les erreurs qui deviennent répandues à un moment donné ont une chance devenir une norme, c'est même le combustible de l'évolution des langues. Bien sûr cela se fait par petites touches, mais rien ne peut empêcher le processus de se dérouler, et même les réticences des institutions linguistiques (académie française) n'y peut rien.
Notre français académique d’aujourd’hui n'était qu'un français vulgaire d'il y a 3 siècles.
Je saigne moi même des yeux quand je vois une règle bien amochées mais c'est parce que je me suis habitué à ces règles depuis l'enfance et il m'est difficile d'admettre de nouvelles, mais les beaucoup plus jeunes auront beaucoup moins de mal.
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Chaque_Jirac En réponse à BarneyGumbles Mervisseau

Je dis pas que c'est faux, je dis juste que c'est une petite partie des changements. Par exemple, "au temps pour moi" qui est aujourd'hui admis avec "autant pour moi". Mais la langue, généralement, évolue avec des néologismes et en suivant une certaine logique. Lorsqu'on écrit "sa" plutôt que "ça", il n'y a aucune logique et ça ne fera pas évoluer la langue en ce sens (heureusementttttttttttttttttt ! FAUT TOUS LES BRULER CES SALOPARDS !!!).
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