Le site web de la BSA déclare sur sa première page que « Le fait de copier ou de redistribuer tout logiciel protégé par des droits d'auteur constitue un acte de piratage (...) », jetant ainsi le doute sur la légalité des logiciels libres et de leur diffusion5.
La BSA utilise des bots de recherche pour retrouver des fichiers couverts par la propriété intellectuelle, ce qui est parfois sujet à des erreurs ; ainsi, l'université de Münster s'est vu accusée de violation de droits parce qu'elle distribuait une version de OpenOffice.org.
Elle a parfois recours à des méthodes brutales: fermeture d'entreprise, incitation à la délation.
Suite aux révélations de câbles diplomatiques par WikiLeaks, il apparaît que le BSA souhaitait altérer l'article 15 de DADVSI par l'intermédiaire de la loi Hadopi : cet article oblige les éditeurs utilisant des DRM à fournir les codes sources de ceux-ci au gouvernement, bien qu'il n'ait jamais été appliqué"
Donc si j'aime pas Aldi ou Cora [ parce qu'il faut le dire, c'est des sales cons ], je profite d'une intervention technique à distance sur leurs machines, j'installe des logiciels piratés en utilisant le compte d'un de leurs employés, je les dénonce et j'empoche la prime.
Autant la délation d'un particulier qui utiliserait un logiciel dans son coin, c'est éthiquement discutable... mais pour une entreprise, je trouve que c'est différent.
Dans le domaine professionnel, si une entreprise utilise illégalement un logiciel produit par une autre sans avoir acheté de licence, c'est absolument dégueulasse d'un point de vue du business. D'autant plus que ça pose la question de savoir quels autres types "d'économies budgétaires peu légales" ladite entreprise pratique.
Du coup, quand on demande au responsable informatique pourquoi la dizaine de licence Photoshop de la boîte ne sont pas "officielles", et qu'il répond que le grand patron ne souhaite pas payer ces quelques milliers d'euros alors qu'il gagne lui-même plusieurs fois cette somme chaque mois, ça peut laisser un goût assez amer dans la bouche.
Après, c'est aussi une question de degré d'infraction... Aller dénoncer sa boîte parce qu'il y a une vieille version de WinRAR sur le PC de la secrétaire, ça mérite une baffe dans la gueule du délateur. Mais quand on passe au niveau au dessus où plusieurs milliers d'euros sont perdus par les développeurs des applications à cause de patrons peu scrupuleux, bah là je pense que la baffe doit aller dans la tronche du patron en question. Et si ça doit passer par délation anonyme, et bien ainsi soit-il.
Ced Lombrik
Nap En réponse à Ced Vermisseau
Mylo En réponse à Ced Ver correcteur
SpyMeBastards En réponse à Mylo Vermisseau
Nap En réponse à Mylo Vermisseau
desBranchies Vermisseau
https://fr.wiki...ftware_Alliance
pYranha En réponse à desBranchies Lombreek
[...]
Le site web de la BSA déclare sur sa première page que « Le fait de copier ou de redistribuer tout logiciel protégé par des droits d'auteur constitue un acte de piratage (...) », jetant ainsi le doute sur la légalité des logiciels libres et de leur diffusion5.
La BSA utilise des bots de recherche pour retrouver des fichiers couverts par la propriété intellectuelle, ce qui est parfois sujet à des erreurs ; ainsi, l'université de Münster s'est vu accusée de violation de droits parce qu'elle distribuait une version de OpenOffice.org.
Elle a parfois recours à des méthodes brutales: fermeture d'entreprise, incitation à la délation.
Suite aux révélations de câbles diplomatiques par WikiLeaks, il apparaît que le BSA souhaitait altérer l'article 15 de DADVSI par l'intermédiaire de la loi Hadopi : cet article oblige les éditeurs utilisant des DRM à fournir les codes sources de ceux-ci au gouvernement, bien qu'il n'ait jamais été appliqué"
Anéfé, c'est clairement des gens biens....
AthranZara Vermisseau
Tomate En réponse à AthranZara Vermisseau
maht En réponse à Tomate Vermisseau
Tomate En réponse à maht Vermisseau
... et ouhai tu l'avais pas vu venir celle là !
Creugneugleu En réponse à Tomate Vermisseau
Tomate En réponse à Creugneugleu Vermisseau
Orme Dresseuse de lombriks
Yay ! \o/
Zgru En réponse à Orme La voix de son ver
g012 Asticot
Warp Lombric
Dans le domaine professionnel, si une entreprise utilise illégalement un logiciel produit par une autre sans avoir acheté de licence, c'est absolument dégueulasse d'un point de vue du business. D'autant plus que ça pose la question de savoir quels autres types "d'économies budgétaires peu légales" ladite entreprise pratique.
Du coup, quand on demande au responsable informatique pourquoi la dizaine de licence Photoshop de la boîte ne sont pas "officielles", et qu'il répond que le grand patron ne souhaite pas payer ces quelques milliers d'euros alors qu'il gagne lui-même plusieurs fois cette somme chaque mois, ça peut laisser un goût assez amer dans la bouche.
Après, c'est aussi une question de degré d'infraction... Aller dénoncer sa boîte parce qu'il y a une vieille version de WinRAR sur le PC de la secrétaire, ça mérite une baffe dans la gueule du délateur. Mais quand on passe au niveau au dessus où plusieurs milliers d'euros sont perdus par les développeurs des applications à cause de patrons peu scrupuleux, bah là je pense que la baffe doit aller dans la tronche du patron en question. Et si ça doit passer par délation anonyme, et bien ainsi soit-il.
Tuveuxvoirmabique Vermisseau
(Mes logiciels sont TOUS licenciés.)
Ombreloup Lombric Shaolin