Lors du discours d'investiture des Républicains aux Etats Unis, Melania Trump (la femme du mec orange) devait faire un discours mais il s'est avéré que celui ci ressemblait très étrangement au discours de Michelle Obama en 2008 à près de 50%. Les Trump ont démenti le plagiat mais, selon les mots employés, il est estimé à une chance sur 300 millions que les mots tombent exactement dans le même ordre. Alors les Trump ont blâmé... Hillary Clinton, bien sûr.
Ironie du sort: le discours de 'Melania Obama' portait sur les valeurs et la morale...
Envoyé par Ced le 20 juillet 2016 à 18h45
Landru Ver au foyer
Henry_Hill Ver macht addikkkt
phil_good En réponse à Henry_Hill Ver singe (et torix)
TheMetroidPrime Verxit
Par contre quand le directeur du FBI admet qu'Hillary a commis plusieurs crimes fédéraux alors que ce dernier avait lui-même renoncé aux poursuites pour aucune raison apparente, pas un article en Europe. Pas un seul JT en a parlé.
Mais quand la femme de l'autre candidat fait un bourde, on doit le manger pendant deux jours en boucle de BFM à TV5 Monde.
Et niveau plagiat de discours, les Obama devraient se faire tout petits : https://www.you...h?v=H6pDCvXNVTE
Ptoncule En réponse à TheMetroidPrime
Après oui, sur réseau voltaire ça a l'air d'être une découverte...
TheMetroidPrime En réponse à Ptoncule Verxit
Après enquête, et un coup de pouce de la procureur générale démocrate, le FBI avait conclu qu'il y avait bien eu imprudence mais qu'il n'y avait pas lieu de poursuivre.
Les Républicains ont évidemment convoqué le directeur du FBI, qui a du répondre à leur question sous serment.
Quand le président du comité a demandé si Hillary Clinton avait donné accès à des informations confidentielles à des personnes non-autorisées, le directeur a répondu "Oui". ( https://www.you...h?v=mJ0YEchTwEc ) Lors de la même séance, l'inspecteur général du FBI expliquera que certaines de ces personnes ont effectivement lu ces e-mails (ses avocats par exemple).
D'après l'enquête, donc, Hillary Clinton est bien auteure d'un crime fédéral, passable de la même peine qui avait été infligée Bradley/Chelsea Manning. Mais elle ne sera finalement même pas inquiétée. Et la "raison" donnée par le directeur du FBI est parce que, selon lui, Clinton n'avait pas l'intention de créer un brèche de confidentialité, qu'elle ignorait juste la loi (à saluer quand même pour une secrétaire d'Etat et la personne "la plus qualifiée de tous les temps pour être président" d'après Obama).
L'enquête a finalement été réouverte, parce que le Congrès n'est pas aussi con que ça, et que c'était soit ça, soit en ouvrir une autre pour conflit d'intérêt et abus de pouvoir à l'encontre de la procureure générale et de la Maison Blanche.