Est-ce que vous voulez mettre un terme à la mixité dans les écoles ?
Parce que c'est comme ça qu'on met un terme à la mixité dans les écoles...
Personnellement je n'ai rien contre les femmes nues dans les rues si elles le souhaitent, mais dans un lieu d'enseignement rempli de puceaux excités à la vue d'une cheville ça me paraît une distraction inopportune.
Il ne s'agit pas de se balader nue dans les rues, il s'agit de pouvoir porter un vetement couvrant sans que le fait de ne pas voir de bretelles de soutien-gorge ne te fasse passer pour une fille facile/de mauvais genre/pute (rayer la mention inutile).
On touche du doigt le seul et unique combat proprement féministe légitime à mes yeux.
La pudibonderie concernant les bewbs engendre la seule inégalité de droit restante entre hommes et femmes.
Si au moins on pouvait permettre aux mères d'allaiter leurs nourrissons sans être emmerdées...
Le seul combat légitime du féminisme? Et essayer de changer les mentalités pour qu'une nana et jupe et talon se fasse pas insulter de pute dans la rue? Le point de vue des recruteurs lors des entretien d'embauche concernant les envies de maternité des jeunes candidates? Les femmes violés qui pensent que c'est de leur faute?...
Heureusement que le féminisme ne se résume pas à ça, sinon il n'y aurait rien à sauver.
Ce problème d'insultes de rue, c'est bidon. Il n'y a aucune enquête sérieuse qui pointe que ce soit un problème alarmant, mis à part peut-être une ou deux enquêtes de victimisation réalisées par des assoc féministes (donc biaisées) avec une méthodologie douteuse. Quand aux femmes violées qui pensent que c'est de leur faute, rien n'indique ni que ce soit systématique, ni que ce soit un problème culturel. Quand dans un accident grave il y a un seul survivant il se sent aussi souvent rongé de culpabilité, pourtant personne ne lui a appris. Le seul point sérieux de tes exemples c'est la question de la maternité, non pas parce que le jugement subjectif des employeurs pose davantage problème dans ce cas − c'est parfaitement rationnel qu'un employeur prenne quelqu'un sur qui il peut compter pour faire le boulot, ce qui ne sera pas le cas d'une femme en congé maternité ou de quelqu'un qui va dire vouloir quitter la région dans les 3 mois qui suivent (ou autre...) mais parce que les femmes sont globalement désavantagées par le fait d'être enceinte, alors même que la question de la natalité concerne l'ensemble de la société.
Sylfaen Vermisseau
Bobbybat Vermisseau
glurp LoMBriK addict !
Parce que c'est comme ça qu'on met un terme à la mixité dans les écoles...
Personnellement je n'ai rien contre les femmes nues dans les rues si elles le souhaitent, mais dans un lieu d'enseignement rempli de puceaux excités à la vue d'une cheville ça me paraît une distraction inopportune.
Tabernakos En réponse à glurp Vermisseau
GuyKet En réponse à glurp Vermisseau
TheMetroidPrime Verxit
La pudibonderie concernant les bewbs engendre la seule inégalité de droit restante entre hommes et femmes.
Si au moins on pouvait permettre aux mères d'allaiter leurs nourrissons sans être emmerdées...
gloupi En réponse à TheMetroidPrime Lombric Shaolin
john5 En réponse à gloupi
Ce problème d'insultes de rue, c'est bidon. Il n'y a aucune enquête sérieuse qui pointe que ce soit un problème alarmant, mis à part peut-être une ou deux enquêtes de victimisation réalisées par des assoc féministes (donc biaisées) avec une méthodologie douteuse. Quand aux femmes violées qui pensent que c'est de leur faute, rien n'indique ni que ce soit systématique, ni que ce soit un problème culturel. Quand dans un accident grave il y a un seul survivant il se sent aussi souvent rongé de culpabilité, pourtant personne ne lui a appris. Le seul point sérieux de tes exemples c'est la question de la maternité, non pas parce que le jugement subjectif des employeurs pose davantage problème dans ce cas − c'est parfaitement rationnel qu'un employeur prenne quelqu'un sur qui il peut compter pour faire le boulot, ce qui ne sera pas le cas d'une femme en congé maternité ou de quelqu'un qui va dire vouloir quitter la région dans les 3 mois qui suivent (ou autre...) mais parce que les femmes sont globalement désavantagées par le fait d'être enceinte, alors même que la question de la natalité concerne l'ensemble de la société.