et la majeur partie de la biodiversité. Mais sans parlé des impact sur notre survie, est-ce important ? Est-ce qu'on en a qqch à branler que la moitié des espèces disparaissent ?
Des espèces disparaissent depuis toujours, avec ou sous les humains. C'est juste pus rapide et conséquent. Puis d'autres apparaîtront surement après notre extinction.
J'arrive pas à savoir si je dois pleurer sur autre chose que notre sort.
Il faut appeler un chat un chat, l'écologie c'est avant tout la conservation d'un climat qui convient bien à l'être humain.
La planète elle s'en fout, elle a déjà connu pas mal d'extinctions massives et des biosphères bien différentes.
Voici quelques graphiques qui montrent l'évolution des espèces à travers les grands bouleversements
Bon, les graphiques ne sont pas tout à fait exacts, mais ils donnent une idée globale du phénomène d'extinction de masse. Le concept d'extinction est une chose en elle-même; et, dans cette chose, il y a un paramètre que beaucoup de personnes oublient, à l'exception des géoscientifiques qui travaillent dessus : la cinétique du phénomène. C'est surtout cela qui est très inquiétant en ce moment.
Alors oui, l'écologie (au sens politique) s'occupe avant tout de l'homme, mais c'est surtout le courant véhiculé médiatiquement. Il y a tout le reste, pourtant dominant, et où un grand nombre de pensée est basée sur l'écologie scientifique, c'est à dire sur un retour à la nature - la décroissance, par exemple, en fait partie. A mon avis, c'est philosophiquement et humainement plus viable.
"philosophiquement et humainement plus viable"
C'est exactement ce que je dis, c'est uniquement centré sur nous, notre ère, ça n'a rien à voir avec la planète ou la nature (qui, elle, ne fait pas de philosophie).
Je ne suis pas anti-écologie, mais sans doute anti-écologiste, qui humanisent la terre et la nature (cf. principe de "terre malade", "mère nature", etc.).
A mon avis, une campagne expliquant que c'est dans NOTRE intérêt de prendre soin des conditions nécessaires à NOTRE survie serait bien plus efficace que tous ces slogans à 2 francs "sauvons la terre".
Mais du coup, les efforts à consentir de devraient en aucun cas nous nuire (une "décroissance" serait catastrophique et engendrerait sans aucun doute des millions de morts).
La nature est cruelle, les vies animales sont fragiles...
Alors oui je préfère respirer de l'air pur, mais le comble c'est que même si on finit par trouver la solution parfaite, ça ne nous empêchera pas de crever dans un prochain cataclysme (éruption, astéroïdes ou virus, choisis ta méthode).
Vous pensez vraiment que l'Homme est menacé ? On est arrivé à un niveau de technologie tel que ça ne serait pas difficile de s'en sortir quelle que soit la situation non ?
Ça impliquerait qu'une partie de la population humaine soit rayée de la surface de la Terre en cas de gros pépin, mais l'Homme survivra à tout vu comme c'est parti (les mecs qui décident de l'avenir du monde, ils ont leur place dans leur abri anti-atomique, ils sont sereins).
En revanche le reste de la biodiversité va avoir du mal à reprendre du poils de la bête si l'on ne change pas notre rapport au monde. On ne peut pas juste dire "les espèces, ça va, ça vient, c'est normal" en présence d'une espèce comme l'Homme qui ne se plie pas aux lois de la nature. Enfin, c'est mon impression.
L'idée à défendre est justement "si la biodiversité disparait, nous disparaissons aussi".
Tu espères que 10 milliards d'êtres humains vont tomber d'accord par pur altruisme pour sauver une espèce rare de papillon d'Asie du Sud-est alors qu'on est déjà pas foutu de se mettre d'accord à 10 dans une pièce pour savoir ce qu'on va manger ce soir ?
Un petit pays comme la Belgique n'arrive pas à mettre ses 2 régions d'accord pour lutter contre le réchauffement, et ça ne représente que 10 millions de personnes...
Et il n'y a pas beaucoup plus d'unité en France ou ailleurs.
Bref, je me répète de peur de ne pas être compris : l'écologie c'est le confort de vie (voir la survie) de l'espèce humaine, sinon à quoi bon ?
Je pense que l'Humanité est un géant de papier, à savoir qu'on est là et bien là, certains de notre pouvoir sur les choses, et tellement certains qu'on s'en est auto-convaincus, mais qu'il faudrait très peu de choses pour que l'équilibre soit bouleversé et que tout s'écroule comme un château de cartes, regarde, aujourd'hui, tout autour de toi est électrique, qu'est-ce qu'il se passerait si une simple grosse tempête solaire, plus grosse que d'habitude faisait péter tous les transformateurs sur Terre, ou sur un continent entier ou deux ? Je pense que ce serait un truc, non mortel dans un premier temps mais très grave en terme de conséquences et qui pourrait nous précipiter vers une très grave crise pour notre Société, voire notre espèce. Plus d'alimentation électrique = plus d'alimentation du tout pour les gens (bouffe), et là... bonjour les dégâts... (et c'est sans parler de catastrophes graves comme les météorites, les guerres mondiales, etc... Juste une coupure de jus de dimension mondiale ou quasi mondiale)... Après un truc comme ça je doute que l'on soit encore à compter en milliards si ça devait durer des années ou s'il nous était impossible de réparer...
Je suis d'accord avec vous deux, mais j'me rends compte que mon message n'était pas très clair.
Ce que je veux dire, c'est que :
- Y'a 20 ans, on se préoccupaient de la survie de ces espèces autres que la nôtre. Aujourd’hui elles sont en train de disparaître (de part l'activité de l'homme, ce qui n'est pas un phénomène naturel) et on commence à se dire avec fatalité que c'est la vie et qu'on devrait plutôt se préoccuper de l'Homme.
- Dans 20 ans, quand les pays pauvres vont venir frapper à notre porte parce que ce sera la famine chez eux, va-t-on aussi se dire que c'est une fatalité et qu'on devrait plutôt se préoccuper de notre pomme ?
Parce que le gros pépin style tempête solaire ou météorite, ok tout le monde morfle, mais il est peu probable que ça arrive. Alors que les changement qui s'annoncent, ils vont surtout faire des ravages dans des pays où personne n'en aura rien à faire (c'est déjà le cas).
Ne pas se préoccuper de la survie des autres espèces, c'est le début du chacun pour soi permis à toutes les échelles. Et puis si l'on cherche à sauver ces espèces, on se sauve au passage.
Pourquoi tu divises les humains en 2 groupes, riches et pauvres ?
Je n'ai jamais fait cette distinction dans aucun de mes commentaires et j'ai toujours parlé d'espèce humaine en général.
C'est donc toi qui devrait te méfier des raccourcis que tu penses dénoncer.
Je suis plutôt un bisounours moi tu sais, je n'aime pas ce genre de division.
Mais en ce moment, il y a déjà des gens qui sont devant chez nous et à qui on ferme nos portes avec l'approbation de la moitié de la population. J'ai pas l'impression de délirer quand je pense qu'on va laisser des gens crever après avoir laissé des espèces disparaître, parce que c'est dans le même état d'esprit individualiste.
Là, au niveau de l'écologie, on en est au stade où l'on sacrifie les animaux et un peu les pauvres. T'as pas l'impression que l'état d'esprit a beaucoup changé en 20 ans et que ça craint pour la suite ?
Si sauver l'homme (au sens éviter des milliers de victimes) est la nouvelle priorité, quelle sera la prochaine priorité quand on sera passé à côté de celle-là ? Fabriquer des villes-dômes où tout le monde ne pourra pas se payer une place ?
On devrait revoir nos exigences à la hausse. Sauver la biodiversité, c'est se sauver au passage de la meilleure façon qui soit, en trouvant un nouvel équilibre de vie qui fonctionne pour tous les êtres-vivants et surtout pour tous les hommes.
99 % des espèces ayant existé un jour ont disparu...
C'est peut-être bientôt notre tour, mais l'ironie du sort est que si la majorité des espèces disparues ont pour cause un manque d'adaptabilité ou une carence quelconque vis à vis de leur environnement devenu hostile ou face à des prédateurs trop efficace, nous ce serait plutôt l'inverse, on a "trop bien" réussi et nous sommes devenus des super-prédateurs incapables de s'auto-gérer.
Le mieux est l'ennemi du bien, nous en sommes la preuve, nous croulerons sous notre nombre et nous emporterons avec nous nombres espèces et la qualité de l'environnement naturel pour un bon bout de temps...
Cela dit, si nous disparaissions dans les décennies à venir, il est estimé que la Nature mettrait quelques 10 à 15 000 ans pour gommer quasiment toutes traces de notre société de la surface de la Terre (hors déchets nucléaires bien-sûr), les océans ne mettraient eux que quelques années pour reconstituer leurs bio-masses...
Donc... Pas de soucis, la Terre peut, là encore selon les estimations, héberger la vie dans des conditions encore très acceptable pendant environ 500 millions d'années, puis entre 500 et 750 millions d'années, notre soleil va commencer à chauffer de plus en plus la Terre, et ce phénomène va devenir un réel problème entre 750 millions et 1 milliard d'années, période à laquelle la vie telle que nous la connaissons deviendra graduellement impossible sur notre planète...
Pour relativiser, 1 milliard d'années, ça représente quand même 4 fois la période qui nous sépare de la plus grande des extinctions de masse recensée dans l'Histoire de la Terre, celle du Permien (≈ 90% des espèces vivantes avaient disparu... Out les Trilobites !).
Ça laisse encore donc beaucoup de place à la vie, et à de nombreux biotopes et ce, plusieurs fois d'affilée, et aussi à de futures autres extinctions et à d'autres renouveaux et pourquoi pas aussi à d'autres formes d'intelligences dite "supérieures ou évoluées" que la notre, pourquoi pas ?
Et oui... Là où la plupart des espèces ont réussi (ou raté) c'est qu'elles devaient s'adapter à leur environnement. Et ça à plutôt bien marché puisque la vie se développe depuis 3-4 milliard d'années sans disparaitre totalement. L'homme lui, essaye d'adapter l'environnement à ses besoins. Faut avouer que ces 150 dernières années, on à quand même plutôt merdé.
Petite consolation, rien ne dit qu'avant ou après nous, la vie ne se développe pas ailleurs...
On ne peut jurer de rien, il suffit de regarder la gueule des premiers mammifères qui vivaient à l'époque des dinosaures, on peine à imaginer qu'après quelques millions d'années, il aient donné naissance aux primates puis à nous ! C'était loin d'être joué d'avance !
Donc, pour la prochaine espèce dite "intelligente", les paris sont ouverts et tout est possible (y compris qu'il n'y en n'ait jamais d'autre, car l'intelligence ne semble pas être un trait évolutif plus déterminant que tout autre dans l'évolution, c'est juste un moyen comme un autre d'essayer d'assurer sa survie et de maintenir toute l'espèce en vie durablement dans le temps, le plus pérennement possible, d'autres espèces ont opté pour une progéniture nombreuse, d'autre pour des armes de prédateurs (dents, griffes, puissance musculaire, venin...)).
glurp LoMBriK addict !
Ceux qui risquent de crever, c'est nous !
nevaram En réponse à glurp Jeune asticot
Des espèces disparaissent depuis toujours, avec ou sous les humains. C'est juste pus rapide et conséquent. Puis d'autres apparaîtront surement après notre extinction.
J'arrive pas à savoir si je dois pleurer sur autre chose que notre sort.
glurp En réponse à nevaram LoMBriK addict !
La planète elle s'en fout, elle a déjà connu pas mal d'extinctions massives et des biosphères bien différentes.
Voici quelques graphiques qui montrent l'évolution des espèces à travers les grands bouleversements
Ced En réponse à glurp Lombrik
Alors oui, l'écologie (au sens politique) s'occupe avant tout de l'homme, mais c'est surtout le courant véhiculé médiatiquement. Il y a tout le reste, pourtant dominant, et où un grand nombre de pensée est basée sur l'écologie scientifique, c'est à dire sur un retour à la nature - la décroissance, par exemple, en fait partie. A mon avis, c'est philosophiquement et humainement plus viable.
glurp En réponse à Ced LoMBriK addict !
C'est exactement ce que je dis, c'est uniquement centré sur nous, notre ère, ça n'a rien à voir avec la planète ou la nature (qui, elle, ne fait pas de philosophie).
Je ne suis pas anti-écologie, mais sans doute anti-écologiste, qui humanisent la terre et la nature (cf. principe de "terre malade", "mère nature", etc.).
A mon avis, une campagne expliquant que c'est dans NOTRE intérêt de prendre soin des conditions nécessaires à NOTRE survie serait bien plus efficace que tous ces slogans à 2 francs "sauvons la terre".
Mais du coup, les efforts à consentir de devraient en aucun cas nous nuire (une "décroissance" serait catastrophique et engendrerait sans aucun doute des millions de morts).
La nature est cruelle, les vies animales sont fragiles...
Alors oui je préfère respirer de l'air pur, mais le comble c'est que même si on finit par trouver la solution parfaite, ça ne nous empêchera pas de crever dans un prochain cataclysme (éruption, astéroïdes ou virus, choisis ta méthode).
Chaisedejardin En réponse à glurp Vermisseau
Ça impliquerait qu'une partie de la population humaine soit rayée de la surface de la Terre en cas de gros pépin, mais l'Homme survivra à tout vu comme c'est parti (les mecs qui décident de l'avenir du monde, ils ont leur place dans leur abri anti-atomique, ils sont sereins).
En revanche le reste de la biodiversité va avoir du mal à reprendre du poils de la bête si l'on ne change pas notre rapport au monde. On ne peut pas juste dire "les espèces, ça va, ça vient, c'est normal" en présence d'une espèce comme l'Homme qui ne se plie pas aux lois de la nature. Enfin, c'est mon impression.
glurp En réponse à Chaisedejardin LoMBriK addict !
Tu espères que 10 milliards d'êtres humains vont tomber d'accord par pur altruisme pour sauver une espèce rare de papillon d'Asie du Sud-est alors qu'on est déjà pas foutu de se mettre d'accord à 10 dans une pièce pour savoir ce qu'on va manger ce soir ?
Un petit pays comme la Belgique n'arrive pas à mettre ses 2 régions d'accord pour lutter contre le réchauffement, et ça ne représente que 10 millions de personnes...
Et il n'y a pas beaucoup plus d'unité en France ou ailleurs.
Bref, je me répète de peur de ne pas être compris : l'écologie c'est le confort de vie (voir la survie) de l'espèce humaine, sinon à quoi bon ?
Zebulon En réponse à Chaisedejardin Man Faye Gang Bang Addict
Chaisedejardin En réponse à Zebulon Vermisseau
Ce que je veux dire, c'est que :
- Y'a 20 ans, on se préoccupaient de la survie de ces espèces autres que la nôtre. Aujourd’hui elles sont en train de disparaître (de part l'activité de l'homme, ce qui n'est pas un phénomène naturel) et on commence à se dire avec fatalité que c'est la vie et qu'on devrait plutôt se préoccuper de l'Homme.
- Dans 20 ans, quand les pays pauvres vont venir frapper à notre porte parce que ce sera la famine chez eux, va-t-on aussi se dire que c'est une fatalité et qu'on devrait plutôt se préoccuper de notre pomme ?
Parce que le gros pépin style tempête solaire ou météorite, ok tout le monde morfle, mais il est peu probable que ça arrive. Alors que les changement qui s'annoncent, ils vont surtout faire des ravages dans des pays où personne n'en aura rien à faire (c'est déjà le cas).
Ne pas se préoccuper de la survie des autres espèces, c'est le début du chacun pour soi permis à toutes les échelles. Et puis si l'on cherche à sauver ces espèces, on se sauve au passage.
glurp En réponse à Chaisedejardin LoMBriK addict !
Je n'ai jamais fait cette distinction dans aucun de mes commentaires et j'ai toujours parlé d'espèce humaine en général.
C'est donc toi qui devrait te méfier des raccourcis que tu penses dénoncer.
Chaisedejardin En réponse à glurp Vermisseau
Mais en ce moment, il y a déjà des gens qui sont devant chez nous et à qui on ferme nos portes avec l'approbation de la moitié de la population. J'ai pas l'impression de délirer quand je pense qu'on va laisser des gens crever après avoir laissé des espèces disparaître, parce que c'est dans le même état d'esprit individualiste.
Là, au niveau de l'écologie, on en est au stade où l'on sacrifie les animaux et un peu les pauvres. T'as pas l'impression que l'état d'esprit a beaucoup changé en 20 ans et que ça craint pour la suite ?
Si sauver l'homme (au sens éviter des milliers de victimes) est la nouvelle priorité, quelle sera la prochaine priorité quand on sera passé à côté de celle-là ? Fabriquer des villes-dômes où tout le monde ne pourra pas se payer une place ?
On devrait revoir nos exigences à la hausse. Sauver la biodiversité, c'est se sauver au passage de la meilleure façon qui soit, en trouvant un nouvel équilibre de vie qui fonctionne pour tous les êtres-vivants et surtout pour tous les hommes.
Zebulon En réponse à nevaram Man Faye Gang Bang Addict
C'est peut-être bientôt notre tour, mais l'ironie du sort est que si la majorité des espèces disparues ont pour cause un manque d'adaptabilité ou une carence quelconque vis à vis de leur environnement devenu hostile ou face à des prédateurs trop efficace, nous ce serait plutôt l'inverse, on a "trop bien" réussi et nous sommes devenus des super-prédateurs incapables de s'auto-gérer.
Le mieux est l'ennemi du bien, nous en sommes la preuve, nous croulerons sous notre nombre et nous emporterons avec nous nombres espèces et la qualité de l'environnement naturel pour un bon bout de temps...
Cela dit, si nous disparaissions dans les décennies à venir, il est estimé que la Nature mettrait quelques 10 à 15 000 ans pour gommer quasiment toutes traces de notre société de la surface de la Terre (hors déchets nucléaires bien-sûr), les océans ne mettraient eux que quelques années pour reconstituer leurs bio-masses...
Donc... Pas de soucis, la Terre peut, là encore selon les estimations, héberger la vie dans des conditions encore très acceptable pendant environ 500 millions d'années, puis entre 500 et 750 millions d'années, notre soleil va commencer à chauffer de plus en plus la Terre, et ce phénomène va devenir un réel problème entre 750 millions et 1 milliard d'années, période à laquelle la vie telle que nous la connaissons deviendra graduellement impossible sur notre planète...
Pour relativiser, 1 milliard d'années, ça représente quand même 4 fois la période qui nous sépare de la plus grande des extinctions de masse recensée dans l'Histoire de la Terre, celle du Permien (≈ 90% des espèces vivantes avaient disparu... Out les Trilobites !).
Ça laisse encore donc beaucoup de place à la vie, et à de nombreux biotopes et ce, plusieurs fois d'affilée, et aussi à de futures autres extinctions et à d'autres renouveaux et pourquoi pas aussi à d'autres formes d'intelligences dite "supérieures ou évoluées" que la notre, pourquoi pas ?
Zgru En réponse à Zebulon La voix de son ver
Petite consolation, rien ne dit qu'avant ou après nous, la vie ne se développe pas ailleurs...
Frankfurt En réponse à glurp Lombric Shaolin
https://www.you...h?v=7W33HRc1A6c
tldr; du sketch: La terre va bien, c'est les humains qui sont baisés.
glurp En réponse à Frankfurt LoMBriK addict !
George Carlin, l'un des plus grands défonceurs du politiquement correct :-)
Orme Dresseuse de lombriks
Melloctopus En réponse à Orme Hiiîîîiiihuuuha sticot
Pirate63 En réponse à Orme LoMBriK addict !
Zebulon En réponse à Orme Man Faye Gang Bang Addict
Donc, pour la prochaine espèce dite "intelligente", les paris sont ouverts et tout est possible (y compris qu'il n'y en n'ait jamais d'autre, car l'intelligence ne semble pas être un trait évolutif plus déterminant que tout autre dans l'évolution, c'est juste un moyen comme un autre d'essayer d'assurer sa survie et de maintenir toute l'espèce en vie durablement dans le temps, le plus pérennement possible, d'autres espèces ont opté pour une progéniture nombreuse, d'autre pour des armes de prédateurs (dents, griffes, puissance musculaire, venin...)).
Orme En réponse à Zebulon Dresseuse de lombriks
Khajiit has more interesting ways.