Crème caramel, un court-métrage de CANADA

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"Devoooouuur" (ils auraient dû caster Julie Gayet)

Envoyé par yoyoyoyoyo le 30 décembre 2014 à 20h47

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Bellus

Je comprend rien à l'anglais, mais fap fap fap fap.
Je crois que je vais revoir black swan ce soir.
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yoyoyoyoyo En réponse à Bellus Lombrik de Pandore

Il trouvait que son corps était une meirveilleuse suite de détails.
Il aimait ses [??? Ced] quand elle s'agenouillait, parce qu'elles [????].
Et il aimait assez que ses pieds propres soit parfois un peu sales.
Il adorait regarder sa poitrine quand elle faisait quelques chose, en fait, il aimait regarder sa poitrine en général.
Il y avait d'autres détails qui le rendaient fou :
la demi-lune qui se dessinait en-dessous [de son sein], quand elle portait un débardeur.
Il aimait comme elle resserrait ses fesses avant de remettre sa culotte en place.
Il aimait aussi la caresser par dessus ses vêtements, et soudainement, sentir sa peau, plus douce et plus chaude.
Ils aimaient ses lèvres parce qu'elles étaient chaleureuses [si qq un a mieux], durs et douces à la fois.
Et, évidemment, il aimait regarder son cul, passer un moment à juste regarder son cul.
Souvent, son regard se perdait sur sa nuque, particulièrement quand elles attachaient ses cheveux.
Il aimait absolument chaque marques laissées sur sa peau, celles des chaussettes par exemple, la marque de sa culotte ou de son bronzage.
Il aimait voir ces quelques poils qui dépassaient de sa culotte.
Il aimait aussi la voir allongée, et fixer les mouvements de sa respiration, et ses iles juste sous ses hanches.
Il était hypnotiser quand elle retirait son t-shirt, et que ses seins étaient secoués comme une crème caramel pendant un séisme.

...

Mais la vérité, c'est que ce qu'il préférait, ce n'était pas de la regarder, ni de penser à elle, ni de la faire jouir.
Ce qu'il préférait, c'était la sensation d'être dévorer par elle, affamée, en un coup, et le plus important, sans les mains.



P.S: Pitié Alix, mets en place un avertissement quand on quitte une page sans avoir poster le commentaire en rédaction, j'ai perdu trois fois le commentaire en poussant sur retour en arrière au mauvais moment. Toute ma gratitude.
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Bellus En réponse à yoyoyoyoyo

1000 merci grace à toi j'ai pu venir sur la vidéo.
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galdius LoMBriK addict !

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Dezerty En réponse à galdius Asticot

Un grand merci pour m'avoir fait découvrir l'existence de cette chaîne d'un grand intellect.
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Pendragon Asticot

Il trouvait que son corps était une merveilleuse suite de détails.
Il aimait ses hanches quand elle s'agenouillait, parce qu'elles tremblaient.
Et il aimait assez que ses pieds propres soit parfois un peu sales.
Il adorait regarder sa poitrine quand elle faisait quelques chose, en fait, il aimait regarder sa poitrine en général.
Il y avait d'autres détails qui le rendaient fou :
la demi-lune qui se dessinait en-dessous [de son sein], quand elle portait un débardeur.
Il aimait comme elle resserrait ses fesses avant de remettre sa culotte en place.
Il aimait aussi la caresser par dessus ses vêtements, et soudainement, sentir sa peau, plus douce et plus chaude.
Ils aimaient ses lèvres parce qu'elles étaient voluptueuses, durs et douces à la fois.
Et, évidemment, il aimait regarder son cul, passer un moment à juste regarder son cul.
Souvent, son regard se perdait sur sa nuque, particulièrement quand elles s'attachait les cheveux.
Il aimait absolument chaque marques laissées sur sa peau, celles des chaussettes par exemple, la marque de sa culotte ou de son bronzage en été.
Il aimait voir ces quelques poils qui dépassaient de sa culotte.
Il aimait aussi la voir allongée, et fixer les mouvements de sa respiration, et les deux îlots juste juste au dessus de sa culotte.
Il était hypnotisé quand elle retirait son t-shirt, et que ses seins étaient secoués comme une crème caramel pendant un séisme.

...

Mais la vérité, c'est que ce qu'il préférait, ce n'était pas de la regarder, ni de penser à elle, ni de la (dessiner ?)
Ce qu'il préférait, c'était la sensation d'être dévorer par elle, affamée, en un coup, et le plus important, sans les mains.
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