Zarathoustra cependant ne bougea pas et ce fut juste à côté de lui que tomba le corps, déchiré et brisé, mais vivant encore. Au bout d’un certain temps la conscience revint au blessé, et il vit Zarathoustra, agenouillé auprès de lui : « Que fais-tu là, dit-il enfin, je savais depuis longtemps que le diable me mettrait le pied en travers. Maintenant il me traîne en enfer : veux-tu l’en empêcher ? »
« Sur mon honneur, ami, répondit Zarathoustra, tout ce dont tu parles n’existe pas : il n’y a ni diable, ni enfer. Ton âme sera morte, plus vite encore que ton corps : ne crains donc plus rien ! »
L’homme leva les yeux avec défiance. « Si tu dis vrai, répondit-il ensuite, je ne perds rien en perdant la vie. Je ne suis guère plus qu’une bête qu’on a fait danser avec des coups et de maigres nourritures. »
« Non pas, dit Zarathoustra, tu as fait du danger ton métier, il n’y a là rien de méprisable. Maintenant ton métier te fait périr : c’est pourquoi je vais t’enterrer de mes mains. »
Quand Zarathoustra eut dit cela, le moribond ne répondit plus ; mais il remua la main, comme s’il cherchait la main de Zarathoustra pour le remercier.
Je préfère ma propre fin :
~
L’homme leva les yeux avec défiance. « Si tu dis vrai, répondit-il ensuite, je ne perds rien en perdant la vie. Je ne suis guère plus qu’une bête qu’on a fait danser avec des coups et de maigres nourritures.
« Lol, oui, répondit Zarathoustra, tu t'es fourvoyé toute ta vie avec des chimères ésotériques que l'on t'as inspiré pour mieux te soumettre, tel le bœuf courbant l'échine devant l'ombre menaçante du fouet.
La liberté qui t'as été offerte en seul tribut de ton existence, tu l'as troquée pour la promesse chimérique d'une utopie lointaine. Ô, ironie qui face à la mort t'impose sa rigueur ! Ô ironie, qui au long de ton vivant a accablé tes épaules de ses pécheresses balivernes et à l'imminence de ton trépas, de la cruelle vérité t’accables encor ! Je me ris ! Ô que je me ris ! Trollolol !
Et sur ce, l'homme poussa son dernier souffle et Zarathoustra se fit un Kébab. »
piwaille Vermisseau
Revoyez vos classiques !
Offerus Ne pas prendre au sérieux
« Sur mon honneur, ami, répondit Zarathoustra, tout ce dont tu parles n’existe pas : il n’y a ni diable, ni enfer. Ton âme sera morte, plus vite encore que ton corps : ne crains donc plus rien ! »
L’homme leva les yeux avec défiance. « Si tu dis vrai, répondit-il ensuite, je ne perds rien en perdant la vie. Je ne suis guère plus qu’une bête qu’on a fait danser avec des coups et de maigres nourritures. »
« Non pas, dit Zarathoustra, tu as fait du danger ton métier, il n’y a là rien de méprisable. Maintenant ton métier te fait périr : c’est pourquoi je vais t’enterrer de mes mains. »
Quand Zarathoustra eut dit cela, le moribond ne répondit plus ; mais il remua la main, comme s’il cherchait la main de Zarathoustra pour le remercier.
gobes En réponse à Offerus Jeune asticot
john5 En réponse à Offerus
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L’homme leva les yeux avec défiance. « Si tu dis vrai, répondit-il ensuite, je ne perds rien en perdant la vie. Je ne suis guère plus qu’une bête qu’on a fait danser avec des coups et de maigres nourritures.
« Lol, oui, répondit Zarathoustra, tu t'es fourvoyé toute ta vie avec des chimères ésotériques que l'on t'as inspiré pour mieux te soumettre, tel le bœuf courbant l'échine devant l'ombre menaçante du fouet.
La liberté qui t'as été offerte en seul tribut de ton existence, tu l'as troquée pour la promesse chimérique d'une utopie lointaine. Ô, ironie qui face à la mort t'impose sa rigueur ! Ô ironie, qui au long de ton vivant a accablé tes épaules de ses pécheresses balivernes et à l'imminence de ton trépas, de la cruelle vérité t’accables encor ! Je me ris ! Ô que je me ris ! Trollolol !
Et sur ce, l'homme poussa son dernier souffle et Zarathoustra se fit un Kébab. »
Zebulon En réponse à john5 Man Faye Gang Bang Addict
Offerus En réponse à john5 Ne pas prendre au sérieux