Soit c'est sérieux et auquel cas ça revient à dire que cette femme comme surement beaucoup d'autres pense réellement que nous somme faits pour être rangés dans des petites boites:
Si c'est bien ça, ça soulève un problème de société, à propos des valeurs conservatrice qui si elles étaient rependues nous mèneraient droit vers une société dystopique sans libertés ou choix... ou alors c'est juste une troll au milieu d'une manif de liberticides.
Aaaaah ! La problématique soulevée par le genre et par le féminisme ! Pour changer, on est encore dans le pur concept intellectuel d'une rare indigence et si prisé dans les salons chics où on se délecte de ce genre de débats complètement stériles, se résumant par : la femme est l'égal de l'homme. La merdasse complète, c'est que les exigences sociales envers l'ouvrière et la cadre supérieure de chez Renault (ou toute autre multinationale) sont les mêmes : faut qu'elle soit une mère, une amante, une maîtresse, une gagnante, indépendante et si possible svelte et pas trop conne. Sauf que, dans le deuxième cas, celui de la cadre sup, on aura un peu plus d'oseille pour financer ce grand projet de vie, quitte à payer une autre personne (généralement une autre gonzesse) pour gagner du temps et s'occuper plus activement de soi. L'ouvrière de notre exemple ... ben ... Faut qu'elle se démerde. Alors, pour l'aider notre ouvrière, on trouve des astuces, vu que l'ensemble des valeurs véhiculées, c'est de gagner un max de pognon pour arriver à répondre à ces attentes sociales qui ne se résume qu'à de la consommation. Par exemple, Pierre Berger (découvreur de talent par le coïte anal) proposera à cette même ouvrière de louer son utérus pour la GPA, comme son con de mari qui loue ses bras à l'usine (à moins qu'elle ne soit divorcée et mère célibataire du fait même de l'échec social que constitue le mariage hétérosexuel depuis des décennies. Vu la liste qu'elle doit se taper en terme d'attentes sociales, l'ouvrière doit charbonner plus et gagner moins, tout comme son mari, mais en même temps, être au top !). Ou encore Elisabeth Badinter, grande féministe devant l'éternel, qui nous explique que pénaliser la prostitution, c'est pas bien, du fait que certaines femmes se prostituent occasionnellement pour arrondir leur fin de mois ou pour financer leurs études. Perso, au risque de passer pour un macho, je l'inviterais bien à vendre le sien de cul, histoire de voir si elle peut arrondir ses fins de mois.. Dans la continuité, on formera conceptuellement une catégorie appelée "Les femmes" qui gagnent moins que la catégorie "Les hommes" (encore faut-il déterminer dans cette masse hétérogène d'un point de vue socio-professionnel, le nombre de femmes travaillant à mi-temps), qui est moins représentée dans les différents postes étatiques à responsabilités (comme si le fait d'être une femme résoudrait tous les maux de la société. Contre une représentativité de 50% féminine, je propose 100% de compétence et d'intégrité, femmes ou hommes confondu. C'est pas une idée qu'elle est chouette ça ?) et on étiquettera tout ce grand concept de "féminisme". A partir de ce concept auquel on pourra également appliquer le terme de "minorité", on en arrivera à la même volonté constante : intégrer des systèmes qui sont déjà pourris de l'intérieur. C'est d'ailleurs l'apanage des dites "minorités" en tout genre, conceptuelles elles aussi : vouloir faire partie de ce qui a déjà montré ses limites, ses dérives et ses failles. De plus en plus de divorce ? Mariage pour tous ! Les musulmans mangent pas assez de merde ? Quick Halal ! Les femmes gagnent pas assez ? Toi aussi, loue ton utérus ou prostitue toi ! Ce qui a de beau dans toutes ces revendications, c'est le sucre qu'on saupoudre sur un bel étron pour le faire passer pour de la mousse au chocolat. Ce sucre, on lui donnera le nom de "Liberté". Très franchement, je trouve plus de dignité et de courage chez une femme au foyer, faisant la vaisselle et prenant soin de ses gosses, que le grand projet social de l'égalité entre les hommes et les femmes.
Je pense au contraire que signe d’une faculté d’abstraction en construction, cette topologie spatiale révèle le désir de s’appuyer sur des points remarquables de la feuille, d’installer les personnages dans toutes les dimensions du terrain de jeu matérialisé, en convoquant parfois des modélisations inventives. Ordonner, hiérarchiser, c’est trouver des ressources techniques afin d’investir l’espace graphique dans lequel peut se développer le monde imaginé mentalement, tout en sélectionnant, selon des critères variés, les aspects qui méritent d’être représentés dans le dessin. Dans le cas des croquis configuratifs, il s’agit donc moins de représenter le réel avec des intentions mimétiques, que de résoudre la question difficile de la hiérarchie des éléments du texte (Qui sera mon héros ? Qui l’accompagnera pendant son parcours ?, etc.), et ce faisant, contribuer à une prise de conscience empirique sur les contraintes de tout langage narratif : écrire, c’est choisir, c’est faire entrer le monde infini dans le texte fini. Enfin, le cadrage et le centrage sont tous deux pris en charge par le mode énonciatif iconique, qui règle le regard du scripteur-observateur. Si le tiers des dessins opte radicalement pour un point de vue de face, montrant les lieux en élévation ou en transparence, les autres, majoritaires, choisissent un point de vue surplombant aboutissant à un plan schématique. Un petit nombre combine des vues selon des focalisations complémentaires qui testent diverses façons de voir et s’adaptent aux visées discursives qui enchaînent le choix des points de vue multiples : dessiner, de face, pour décrire ou d’en haut, pour déplacer, selon l’histoire inventée, sans que l’enseignante ait délivré antérieurement un savoir spécifique sur les usages du croquis. Ce savoir faire est empirique mais convoque toute la culture et les schèmes d’action construits par l’enfant au fil de sa scolarité.
Ces choix de figuration amènent à s’interroger sur la culture des enfants. Pourquoi ramener le dessin d’un château à une maison canonique ? Est-ce une économie graphique, est-ce un manque de compétence liée au geste, est-ce plutôt un manque de connaissance historique ? Ce sont autant d’indices qui permettent d’évaluer la compréhension du sujet de rédaction (Fradet, 2006), soumis à l’élève et sa capacité à induire un cahier des charges sous-jacent (question d’anachronisme, scènes typiques, inscription dans l’Histoire, etc.). Dans le troisième cas, l’enfant vise à reproduire les lieux au moyen d’une stylisation géométrique précise du signifiant graphique : l’accent est mis sur la matérialité des tracés, souvent effectués à la règle et à l’équerre, selon des rayures, des entrecroisements de lignes qui reproduisent un escalier, un mur d’enceinte, les rayons du grand magasin... Cette technique « industrielle » du dessin passe avant le signifié ou le référent du lieu. De fait, la question qui se pose est celle des liens qui s’établissent dans les trois cas avec l’écriture narrative. Dans quelle mesure la fonction référentielle surexploitée ou l’absorption dans le signifiant graphique peuvent-elles entrer en concurrence avec le projet d’écriture rédactionnelle qui est l’ultime but du dispositif ? Dans la mesure où le dessin n’est pas réalisé pour lui-même mais dans le cadre d’une interaction avec l’écriture, il est nécessaire de tenir compte, tant pour notre analyse que pour l’exploitation pédagogique en classe, du contrat grapho-verbal que noue l’enfant avec lui-même, et avec l’enseignant qui a expliqué le projet d’écriture, contrat actualisé ou mis à mal, afin de mesurer deux aspects : les connivences et les concurrences entre les langages graphique et verbal au sein du processus génétique d’une part, et entre l’enfant-scripteur et l’enfant-dessinateur d’autre part.
Véronique Courjault, maman exemplaire mais ayant eu quelques petits soucis d'inattention.
Il lui est arrivé de confondre ses gamins avec la glace à la fraise.
"Un papa, une maman (et un congélo), c'est le mieux pour les enfants!"
C'est quand même paradoxal, ça se dit anti-système mais ça soutient la définition de la famille éditée par le système lui-même depuis des siècles... C'est fou !
La question qui en découle et qui me paraît pertinente étant : Alors qu'il perdurait depuis des lustres, quels sont les éléments déclenchant qui ont rendu ce modèle séculaire de la famille obsolète ? Et pour quelles raisons concrètes et objectives ? ... Parce que j'ai dans l'idée que signifier qu'il est juste question du "bien" éthique et moral de l'humanité, c'est plus ou moins du même acabit que de m'expliquer que la démocratisation de l'Irak était le seul but de l'intervention américaine dans cette région du globe.
J'vois pas quoi te dire écoute. Le vilain lobby LGBT ne veut pas simplement l'égalité, il veut faire des usines à enfants comme en Inde et détruire la famille par pure plaisir de voir les honnêtes gens pleurer des larmes de sang en voyant leur monde s'écrouler ? J'vois pas quoi te dire autre que : "lutter pour l'égalité entre les sexualités me paraît un combat suffisant en soit", du coup je préfère essayer de te donner des arguments que j'ai vu sur internets contre les LGBTs...
Certains LGBT le veulent, oui.
Va faire un tour sur internet avec dans ta poche les mots clé "Cis scum".
Particulièrement sur Tumblr et les forums LGBT.
Oui c'est tous des gros vilains, et c'est exactement l'objectif des gros méchants lobbys LGBT de France : détruire la famille. C'est pas du tout vouloir être considéré comme des citoyens comme les autres (et qu'on ne vienne pas me dire que c'est le cas, même légalement ils sont considérés comme des sous-citoyens, c'est concomitant au fait de n'avoir pas accès à tous les droits des hétéro-sexuels) sans considération de leur sexualité, c'est pas du tout vouloir s'intégrer à une société qui continue de les rejeter (là aussi qu'on ne vienne pas me dire que ce n'est pas vrai sans déconner...). Ils n'aiment pas la famille et veulent la ruiner, voilà, on va dire ça puisque apparemment quoiqu'on dise, quoiqu'on fasse, c'est ce qui finit par sortir du débat, ça et les viols d'enfants par des gays pédophiles.
Les manifs pour tous n'ont pas soulevé l'existence de sexualités autres que l'hétérosexualité. Des homosexuels, des transgenres, etc. il y en a toujours eu depuis l'aube des temps (enfin, je suppose). Qui plus est, des schémas familiaux différents ont également été connus de tout temps.
Le réel problème soulevé, c'est ce qu'induit une loi permettant à deux personnes de même sexe d'avoir une filiation. D'un point de juridique, ça permet déjà la possibilité de faire appel à une mère porteuse pour des raisons évidentes d'immanence et de ce qu'est ontologiquement un homme ou une femme dans ce couple homosexuel. On peut tortiller du cul pendant des heures mais on aura toujours cet état de fait qu'il existe des différences biologiques, physiologiques et hormonales qui, en complémentarité, permettent de faire un enfant.
Perso, ce qui me préoccupe grave, c'est de vivre dans un monde où on marchandise un peut plus l'Humain (http://www.libe...teuse_1074131).
Ha mais on prend des cas extrêmes et ça en fait une généralité ? Ha ok. Des gens battent leurs enfants, du coup on fait quoi ? On enlève tous les gosses aux couples hétérosexuels ? Ben ouais, faudrait pas prendre de risque. Je te dirais de plus que là on parle pas vraiment de GPA, toujours putain d'INTERDITE en France (ouais à force ça m'énerve je l'écris en GROS), mais du MARIAGE pour tous contre lequel sont plein de gens en brandissant le spectre de "ho mon dieu regardez ça va faire des usines à gosse on instrumentalise les enfants", c'est juste tellement n'importe quoi que je vois pas quoi te dire, à ce niveau de généralisation à partir de cas extrêmes on est plus dans le raisonnement logique.
C'est très justement ce qu'on appelle l'immanence : un homme et une femme qui ont un enfant, et même si cet enfant est mal traité, ont la capacité physiologique de l'avoir. Ce qui vient après cette conception n'est pas de l'ordre de l'immanence puisque produit à posteriori. Et cette conception n'est pas issu d'un rapport marchand, même si cette enfant est mal traité.
Je pense humblement que tu confonds quatre choses :
1) Structures familiales ne répondant pas au schéma dit "classique" (père-mère-enfants). Et moi même, je ne mets pas en question que, de tout temps, il y a eu et il y aura différents schémas familiaux
2) Le type de sexualité inscrite dans ces différents schémas familiaux (et qui n'induit pas forcément un principe de reproduction). La perversion se définit rationnellement comme l'absence de consentement et de désir chez l'autre et la vision d’asservissement qu'on peut avoir sur cet autre, uniquement en terme d'objet sexuel. En dehors de ce cadre et en d'autres termes, si Monsieur aime que Madame lui fouette le bout du cul en lui déféquant dans la tronche, c'est leur rapport à la sexualité, statut de parents ou pas. La pédophilie, par exemple, est une perversion du fait même qu'elle répond à cette définition et que chez l'enfant, il n'y a pas ce point de maturation lié à des processus biologiques, hormonaux et physiologiques pouvant lui donner cette volonté de désir sexuel. C'est d'ailleurs ce qui m'amène au troisième point ...
3) L'immanence propre à l'être humain, soit ce qu'il est ontologique dans cet espèce animale bien définie. Dans le cadre de cette discussion, l'ensemble des processus biologiques (et uniquement ça) qui l'identifie comme être-humain et qui lui permettent ou non de se reproduire.
4) Le mariage et ses implications légales : le mariage, tout comme les lois et la justice, sont de purs produits de la volonté humaine, à la limite et à la hauteur de celle-ci. Mais il se fait que le mariage, d'un point de vue légal et juridique, permet de prétendre à la filiation. Si pas dans les tribunaux français, il restera la cours européennes des droits de l'homme pour revendiquer ce droit, et ce quelque soit le moyen mis en place pour l'obtenir. Enfin, tu noteras que le mariage ne définit pas non plus un couple, ni les limites que ce couple se fixe dans son intimité sexuelle.
Dans cette conséquence que peut être la volonté de filiation, faire autrement qu'à partir de cette immanence occasionnera de fait un rapport marchand. Même si je suis profondément athée, je ne peux faire l'économie de la morale et de l'éthique au nom de la liberté. Et, vision matérialiste oblige, l'idée d'avoir cette liberté implique des répercussions sur des réalités concrètes et sociales, notamment que celles et ceux qui pourront se payer une GPA se fera, dans la majorité des cas, à partir de la misère matérielle des plus démunis. Dans l'exemple que je t'ai donné, et même si exemplifier n'est pas expliquer, le couple hétérosexuel australien qui a les moyens financiers de faire appel à la GPA passe par une jeune thaïlandaise vivant dans la misère ou, dans "le meilleur des cas" pour elle, avide d'argent. C'est la que le principe éthique et moral est mis à mal, et même si il est question d'un couple hétérosexuel. Quoi qu'il en soit, cette volonté d'enfant est aussi égoïste que de ne pas en vouloir : on le fait pour soi. On fait abstraction des moyens à mettre en place, par déni de cette immanence, et seul le but compte : avoir un enfant, sans pour autant se poser de questions éthiques et morales sur les moyens, le but étant complètement dissocié de ceux-ci. Comme tu peux le constater, l'idée d'avoir un enfant ne résous pas à elle seule la question de la validité matérielle et nécessaire pour concrétiser celle-ci.
Sinon, inutile de t’énerver. Ni toi, ni moi ne changerons le monde. Il est ce qu'il est. Qui plus est, penser à partir de ses sentiments sur tel ou tel événement ne participe en rien à des conclusions rationnelles et sensées. ;)
Et après on m'accuse de vouloir manipuler les gens, par contre mettre des photos de pancartes de contre manif, c'est pas de la manipulation ? Si tu veux à la prochaine manif je te sors des dizaines de pancartes allant dans mon sens.
T'as rien compris. Toi tu es un réac de droite nauséabond, un cerveau malade et un enfant du Ventre Fécond. Tu ne devrais pas avoir le droit de poster ta propre propagande.
Seuls les éclairés, les justes et les bons doivent pouvoir le faire.
rayek Lombric fautif
Personne En réponse à rayek
Glloq En réponse à rayek Lombric Shaolin
Ezellar En réponse à rayek Lombric Shaolin
TheMetroidPrime Verxit
Sphax LoMBriK addict !
Henry_Hill Ver macht addikkkt
Super_King En réponse à Henry_Hill Lombric Shaolin
Xahendir En réponse à Super_King
Xonort Lombric Shaolin
Femme: vaisselle bébés cuisine ...
Homme: ramène l'argent supérieur génétiquement...
Couple: Homme + Femme
Si c'est bien ça, ça soulève un problème de société, à propos des valeurs conservatrice qui si elles étaient rependues nous mèneraient droit vers une société dystopique sans libertés ou choix... ou alors c'est juste une troll au milieu d'une manif de liberticides.
Daddy En réponse à Xonort Vermisseau
Ced En réponse à Xonort Lombrik
Pedopsychiatre En réponse à Ced Lombric Shaolin
Thiche En réponse à Ced Colonel Chat-Ver
- DSK
Thiche Colonel Chat-Ver
Xahendir En réponse à Thiche
Tezarus En réponse à Xahendir Lombric Shaolin
Thiche En réponse à Xahendir Colonel Chat-Ver
Marbot En réponse à Thiche LoMBriK addict !
Ces choix de figuration amènent à s’interroger sur la culture des enfants. Pourquoi ramener le dessin d’un château à une maison canonique ? Est-ce une économie graphique, est-ce un manque de compétence liée au geste, est-ce plutôt un manque de connaissance historique ? Ce sont autant d’indices qui permettent d’évaluer la compréhension du sujet de rédaction (Fradet, 2006), soumis à l’élève et sa capacité à induire un cahier des charges sous-jacent (question d’anachronisme, scènes typiques, inscription dans l’Histoire, etc.). Dans le troisième cas, l’enfant vise à reproduire les lieux au moyen d’une stylisation géométrique précise du signifiant graphique : l’accent est mis sur la matérialité des tracés, souvent effectués à la règle et à l’équerre, selon des rayures, des entrecroisements de lignes qui reproduisent un escalier, un mur d’enceinte, les rayons du grand magasin... Cette technique « industrielle » du dessin passe avant le signifié ou le référent du lieu. De fait, la question qui se pose est celle des liens qui s’établissent dans les trois cas avec l’écriture narrative. Dans quelle mesure la fonction référentielle surexploitée ou l’absorption dans le signifiant graphique peuvent-elles entrer en concurrence avec le projet d’écriture rédactionnelle qui est l’ultime but du dispositif ? Dans la mesure où le dessin n’est pas réalisé pour lui-même mais dans le cadre d’une interaction avec l’écriture, il est nécessaire de tenir compte, tant pour notre analyse que pour l’exploitation pédagogique en classe, du contrat grapho-verbal que noue l’enfant avec lui-même, et avec l’enseignant qui a expliqué le projet d’écriture, contrat actualisé ou mis à mal, afin de mesurer deux aspects : les connivences et les concurrences entre les langages graphique et verbal au sein du processus génétique d’une part, et entre l’enfant-scripteur et l’enfant-dessinateur d’autre part.
N'est-ce pas ? :)
Ced En réponse à Marbot Lombrik
Le premier commentaire m'a fait penser à ça:
Sha-ka En réponse à Ced
Thiche En réponse à Marbot Colonel Chat-Ver
Zgru La voix de son ver
Croque En réponse à Zgru Vermisseau
Zgru En réponse à Croque La voix de son ver
Il lui est arrivé de confondre ses gamins avec la glace à la fraise.
"Un papa, une maman (et un congélo), c'est le mieux pour les enfants!"
sandrine65100 En réponse à Zgru
Croque En réponse à Zgru Vermisseau
babausse Asticot
Thiche En réponse à babausse Colonel Chat-Ver
babausse En réponse à Thiche Asticot
TheMetroidPrime En réponse à babausse Verxit
Va faire un tour sur internet avec dans ta poche les mots clé "Cis scum".
Particulièrement sur Tumblr et les forums LGBT.
babausse En réponse à TheMetroidPrime Asticot
TheMetroidPrime En réponse à babausse Verxit
Thiche En réponse à babausse Colonel Chat-Ver
Le réel problème soulevé, c'est ce qu'induit une loi permettant à deux personnes de même sexe d'avoir une filiation. D'un point de juridique, ça permet déjà la possibilité de faire appel à une mère porteuse pour des raisons évidentes d'immanence et de ce qu'est ontologiquement un homme ou une femme dans ce couple homosexuel. On peut tortiller du cul pendant des heures mais on aura toujours cet état de fait qu'il existe des différences biologiques, physiologiques et hormonales qui, en complémentarité, permettent de faire un enfant.
Perso, ce qui me préoccupe grave, c'est de vivre dans un monde où on marchandise un peut plus l'Humain (http://www.libe...teuse_1074131).
babausse En réponse à Thiche Asticot
Thiche En réponse à babausse Colonel Chat-Ver
Je pense humblement que tu confonds quatre choses :
1) Structures familiales ne répondant pas au schéma dit "classique" (père-mère-enfants). Et moi même, je ne mets pas en question que, de tout temps, il y a eu et il y aura différents schémas familiaux
2) Le type de sexualité inscrite dans ces différents schémas familiaux (et qui n'induit pas forcément un principe de reproduction). La perversion se définit rationnellement comme l'absence de consentement et de désir chez l'autre et la vision d’asservissement qu'on peut avoir sur cet autre, uniquement en terme d'objet sexuel. En dehors de ce cadre et en d'autres termes, si Monsieur aime que Madame lui fouette le bout du cul en lui déféquant dans la tronche, c'est leur rapport à la sexualité, statut de parents ou pas. La pédophilie, par exemple, est une perversion du fait même qu'elle répond à cette définition et que chez l'enfant, il n'y a pas ce point de maturation lié à des processus biologiques, hormonaux et physiologiques pouvant lui donner cette volonté de désir sexuel. C'est d'ailleurs ce qui m'amène au troisième point ...
3) L'immanence propre à l'être humain, soit ce qu'il est ontologique dans cet espèce animale bien définie. Dans le cadre de cette discussion, l'ensemble des processus biologiques (et uniquement ça) qui l'identifie comme être-humain et qui lui permettent ou non de se reproduire.
4) Le mariage et ses implications légales : le mariage, tout comme les lois et la justice, sont de purs produits de la volonté humaine, à la limite et à la hauteur de celle-ci. Mais il se fait que le mariage, d'un point de vue légal et juridique, permet de prétendre à la filiation. Si pas dans les tribunaux français, il restera la cours européennes des droits de l'homme pour revendiquer ce droit, et ce quelque soit le moyen mis en place pour l'obtenir. Enfin, tu noteras que le mariage ne définit pas non plus un couple, ni les limites que ce couple se fixe dans son intimité sexuelle.
Dans cette conséquence que peut être la volonté de filiation, faire autrement qu'à partir de cette immanence occasionnera de fait un rapport marchand. Même si je suis profondément athée, je ne peux faire l'économie de la morale et de l'éthique au nom de la liberté. Et, vision matérialiste oblige, l'idée d'avoir cette liberté implique des répercussions sur des réalités concrètes et sociales, notamment que celles et ceux qui pourront se payer une GPA se fera, dans la majorité des cas, à partir de la misère matérielle des plus démunis. Dans l'exemple que je t'ai donné, et même si exemplifier n'est pas expliquer, le couple hétérosexuel australien qui a les moyens financiers de faire appel à la GPA passe par une jeune thaïlandaise vivant dans la misère ou, dans "le meilleur des cas" pour elle, avide d'argent. C'est la que le principe éthique et moral est mis à mal, et même si il est question d'un couple hétérosexuel. Quoi qu'il en soit, cette volonté d'enfant est aussi égoïste que de ne pas en vouloir : on le fait pour soi. On fait abstraction des moyens à mettre en place, par déni de cette immanence, et seul le but compte : avoir un enfant, sans pour autant se poser de questions éthiques et morales sur les moyens, le but étant complètement dissocié de ceux-ci. Comme tu peux le constater, l'idée d'avoir un enfant ne résous pas à elle seule la question de la validité matérielle et nécessaire pour concrétiser celle-ci.
Sinon, inutile de t’énerver. Ni toi, ni moi ne changerons le monde. Il est ce qu'il est. Qui plus est, penser à partir de ses sentiments sur tel ou tel événement ne participe en rien à des conclusions rationnelles et sensées. ;)
MsieurJacky En réponse à Thiche Vermisseau
Thiche En réponse à MsieurJacky Colonel Chat-Ver
MsieurJacky En réponse à Thiche Vermisseau
Sekstoy LoMBriK addict !
Xahendir En réponse à Sekstoy
Thiche En réponse à Xahendir Colonel Chat-Ver
S = Satan. Donc excommunication du "S".
sandrine65100
Offerus En réponse à sandrine65100 Ne pas prendre au sérieux
sandrine65100 En réponse à Offerus
Sha-ka
TheMetroidPrime En réponse à Sha-ka Verxit
Seuls les éclairés, les justes et les bons doivent pouvoir le faire.
Offerus Ne pas prendre au sérieux