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Ptoncule
Ced En réponse à Ptoncule Lombrik
Bon, plus sérieusement et pour ceux que ça intéresse, l'article a été uploadé par ses auteurs (normalement, ce n'est pas autorisé) au format PDF (et en anglais, donc!) ici:
https://www.aca...ebsite_comments
Boozy En réponse à Ced LoMBriK addict !
Sinon, je me demande, à force de ne pouvoir te sortir de cette spirale de votes rouges, vas-tu finir par aimer ça et te convertir doucement au masochisme?
Boozy LoMBriK addict !
Je commence à comprendre pourquoi tu es celui ayant le plus sourcé ce site cette année, Ced..
Edit: je viens juste de voir la catégorie dans laquelle tu l'as posté, tu esquives le -1 de peu! (Et ça me démange encore)
Ced En réponse à Boozy Lombrik
Et je ne pense pas être celui qui ait le plus sourcé le site cette année, non - ni même les autres années d'ailleurs. Bien loin de moi ce pouvoir ou alors il est assurément indépendant de ma volonté.
Henry_Hill Ver macht addikkkt
Ced En réponse à Henry_Hill Lombrik
Henry_Hill En réponse à Ced Ver macht addikkkt
Ced En réponse à Henry_Hill Lombrik
Même constat avec le groupe Dassaux (qui comporte le Groupe Figaro et le Groupe Hersant qui ne sont plus séparés).
Ce sont surtout des histoires de gros sous (ça se saurait si la plupart était des journaux d'opinion!), en particulier dans la crise de la presse actuelle. Il n'en reste pas moins qu'il y a des articles factuels et, donc, intéressants.
Henry_Hill En réponse à Ced Ver macht addikkkt
Mais bien sûr... Alors tu m'explique pourquoi Pierre Bergé, propriétaire du journal Le Monde, menace les employés qui ont accepté une publicité contre le "mariage pour tous" dans le journal et demande des explications ? http://www.lepo...-1653335_52.php
Tu sais très bien que les proprios de médias placent à leurs têtes des directeurs de publication proches d'eux, leurs amis et que les journaux ont des lignes de conduites, politiques et morales, à tenir. Les journaux et magazines spécialisés étant bien sûr moins contraints, du fait des sujets abordés.
Ced En réponse à Henry_Hill Lombrik
http://fr.wikip..._Vie_-_Le_Monde
Il ne dirige pas le Monde mais le co-dirige - et les faits sont qu'il a ouvert sa gueule a posteriori (c'est-à-dire en étant mis face aux fais accomplis). Grosses nuances.
Henry_Hill En réponse à Ced Ver macht addikkkt
Donc pour toi le fait qu'il ait gueulé sur un fait après qu'il se soit passé et non avant (comment aurait il pu le savoir ?) prouve qu'il est impartial dans la ligne de conduite du journal ? Alors là je ne sais même plus si tu es sérieux ou non.
Offerus En réponse à Henry_Hill Ne pas prendre au sérieux
Sha-ka
Ced En réponse à Sha-ka Lombrik
Je n'aime pas (ni ne lis) Rue 89 - ce n'est pas franchement un journal de gauche non plus. Mais l'article reste très factuel, d'où le partage.
Offerus En réponse à Ced Ne pas prendre au sérieux
Ced En réponse à Offerus Lombrik
On repassera (encore une fois!) sur des 'faits' somme toute bien à toi.
Ca ressemble aux statistiques gouvernementales ton commentaire! ;-)
TheMetroidPrime Verxit
Offerus En réponse à TheMetroidPrime Ne pas prendre au sérieux
MaxiTroller Lombric hué
Offerus Ne pas prendre au sérieux
Pour ceux qui sont sur le site depuis un moment, vous connaissez mon genre de troll: imiter la dialectique et le phrasé des bonnes âmes sur des sujets aussi débiles que le racisme anti-gros ou anti-moche ou le respect des différences (comme ceux qui se font tatouer le visage ou font de la chirurgie esthétique à outrance). Bon, il est vrai que ça marche moins bien depuis la V2 et mon statut "ne pas prendre au sérieux". Au moins, ça fait rire quelques chenapans (et chenapines) du moins je l'espère.
Il est très facile de faire partie des bonnes âmes puisque ça ne demande pas de connaissances particulières, pas besoin de lire ou simplement de s'exposer à la vie. Il suffit de s'indigner, (indignez-vous! indignez vous! ^^) gratuitement, sur à peu près tout, et de traiter ses adversaires par la calomnie ("tu es fasciste") le mépris ("un jour tu comprendras si tu lis des livres", ils devraient d'ailleurs s'y essayer) et la menace ("le racisme n'est pas une opinion mais un délit").
En tenant ce discours, tu pètes dans le vent de la morale dominante, promue par l'éducation nationale, les MJC et le monde culturel, les journalistes (n'en déplaise à Bruno Roger-Petit), bref, c'est s'installer dans le confort douillet des rebellocrates, comme ces communistes qui vomissaient le pays si fachissss mais en étaient fonctionnaires, et tes adversaires sont d'autant plus emmerdés qu'ils ont baigné exactement dans le même monde durant leur jeunesse et que donc, à moins d'une formation personnelle (par la lecture et/ou l'expérience du réel) ils ont du mal à te rembarrer. D'autant qu'avec la posture inquisitrice des bonnes âmes (tu es raciste, antisémite, homophobe, etc.) l'adversaire passe plus de temps à tenter de se justifier de ce qu'il n'est pas au lieu d'exposer ses idées.
La tradition est toujours plus difficile à défendre que la subversion. Il est plus difficile de construire que de détruire, parce que construire requiert des connaissances tandis que détruire ne nécessite qu'un bulldozer. Prenons l'orthographe, qui fut un temps considérée comme "fasciste" par les soixante-huitards. Effectivement, l'orthographe enferme tes mots et ta pensée dans la limitation de la culture bourgeoise (brrrr!) et fait culpabiliser le prolétaire qui n'a pas eu la chance d'avoir accès à un tel savoir. Si jé envi décrir kom sa, 2 kel droua peuton men voulouar? Tu m'empéch pa, sal nazi! Or, avec un peu de bon sens, on me répondra que pour faciliter la compréhension mutuelle, il est nécessaire de convenir d'un code commun, sous peine de ne plus pouvoir discuter et avancer.
La multiplication des codes ethniques, religieux, sexuels, culturels que nous connaissons actuellement en France découle de cette logique: plus on fracture la société en myriades de sous-groupes différents, moins elle est à même de se défendre contre diverses puissances prédatrices, puissances d'argent notamment. Ce n'est pas un hasard si le MEDEF et les patrons du CAC40 chantent les bienfaits du libre-échange et de la disparition des frontières. Les prolétaires n'ont pas de patrie, les banquiers non plus. No Borders, no nations!
Mais cette multiplication des codes est difficilement conciliable avec le réel. Si je me met en coloc avec Ced, Barney et Henry-Hill, chacun va devoir faire un petit effort et mettre certaines de ses habitudes en veilleuse, pas vrai? Pour ma part, j'arrêterai de faire sécher mes slips dans le frigo, Ced tâchera de ne pas péter à table, Barney baissera le son quand il regarde du hentai-tentacle-guro et Henry-Hill ne fera plus de salut nazi pour dire bonjour. Et ce qui est vrai pour une coloc l'est aussi pour une nation.
Enfin bref, on partait sur les trolls et je me lance dans des diatribes haineuses, voyez un peu comme je suis. Tout cela rappelle les heures les plus sombres.
Sha-ka En réponse à Offerus