Ce serait comme affirmer que les accidents de la route, c'est juste « la faute à pas de chance », en mettant sur le même plan ceux qui roulent vite, bourrés et dans une caisse pourrie et ceux qui se trouvent sur leur chemin.
Il semble qu'on entende beaucoup dans les médias, en ce moment, un mouvement féministe très actif qui, prenant pour prétexte les nombreux viols dont les victimes n'en sont la cause à aucun niveau, réclame de pouvoir librement attenter à la pudeur et racoler en rejetant toute responsabilité des éventuelles conséquences. Ça voudrait par exemple (résultat d'une discussion avec certaines des intéressées) faire passer l'idée que si une fille à poil à 95% allume et chauffe durant toute une soirée un mec bourré-défoncé et lui dit "stop" à la seconde de conclure, elle n'y serait été ABSOLUMENT POUR RIEN si le mec continuait sur sa lancée. Non, trop simple, décidément.
Tant va la cruche à l'eau, qu'à la fin elle se casse. Celui ou celle qui choisit de s'exposer volontairement à un danger connu et reconnu (celui de la nature humaine, en l'occurrence) n'est certainement pas un innocent... ou alors c'est un parfait idiot.
Il y a quelque chose de profondément abject dans ce que tu dis pepe. Alors oui une fille quasi nue qui allume un mec pour l'envoyer chier au dernier moment est assurément une imbécile (pour rester soft). Mais jusqu'à preuve du contraire, l'idiotie n'est pas un crime : le viol oui. La provocation, aussi outrancière soit t'elle, ne justifie à aucun moment le passage à l'acte du violeur. C'est comme si tu disais qu'un mec qui laisserait les clés de sa voiture sur le contact de celle ci te donnait l'autorisation de la voler.
Surtout que cet extrême de la fille nue qui allume des mecs pour d'autre il commence à partir du moment où la fille porte une jupe, un pantalon, se maquille ou laisse ses cheveux flotter librement. La seule chose que mérite une fille dans une tenue immorale c'est une plainte pour attentat à la pudeur, pas un viol.
Je ne remets pas en cause le fait que le viol soit un crime. Ce qui est abject en revanche, et que je dénonce ici, c'est son INSTRUMENTALISATION par certaines extrémistes féministes pour nous faire accepter leur prosélytisme déplacé.
Porter une jupe, un pantalon, se maquiller ou laisser ses cheveux flotter librement ne sont aucunement un motif de poursuite pour attentat à la pudeur, et ne constituent assurément pas une incitation au viol en situation normale. Il en va autrement quand les habits laissent voir la couleur des poils pubiens (ou leur absence), montrent la gorge depuis les aréoles jusqu'au nombril et les fesses jusqu'au bord de l'anus (je n'exagère pas, malheureusement). De même pour les discours à caractère sexuel crus ou très suggestifs et les attouchements répétés sur l'interlocuteur. C'est ça que j'appelle « allumer et chauffer ».
Ici la question n'est pas la justification morale du crime, mais ses CAUSES. Or, le graphique donne la présence du violeur comme la SEULE à retenir, ce qui est trop réducteur. Car hormis les cas rendus inévitables par la personnalité et la détermination du criminel, il existe des situations à risque et des facteurs aggravants que les victimes potentielles peuvent facilement ÉVITER en adoptant un COMPORTEMENT RESPONSABLE, au lieu d'attirer les loups puis de se jeter joyeusement dans leur gueule, par lubie ou par conviction, et de finir par le regretter.
C'est la raison pour laquelle il est important d'éduquer correctement nos filles.
Et moi je me demande si tu ne fais pas partie, toi aussi, des idiots qui censurent tout débat constructif et point de vue pragmatique, au profit de la seule expression d'une position, certes morale, mais uniquement affective, qui s'avère inutile, et finalement délétère car régressive.
Parce que face au danger du viol, dont il faut bien faire le constat (même si ça ne plaît pas), il vaut mieux continuer à informer et à tenir un discours de prudence (« fais gaffe, ma fille, ne mets pas les pieds là-dedans ») plutôt que de pousser à la dé-responsabilisation (« fais ce que tu veux, ce ne sera jamais de ta faute, vas-y, tu peux te permettre n'importe quoi »).
Les violeurs sont honnis et punis exemplairement (et ce n'est pas nouveau), mais après ? Si l'on empêche d'aller plus loin dans la réflexion en rejetant toutes les causes sur ces seuls individus, on ne réduira pas les viols.
Alors, à défaut de pouvoir éradiquer totalement ce crime, on peut au moins empêcher les cas évitables. Et il paraît abject de tenir une position dogmatique contraire.
Concernant l'idiotie, elle n'est pas interdite par la loi, mais elle n'est pas non sans conséquence.
Déjà, en dehors de toute considération morale, elle appelle potentiellement une sanction naturelle (comme par exemple, se faire écraser par un train quand on traverse un passage à niveau fermé). Et aussi, elle n'est pas tolérée socialement : le vol, que Potiche prend pour exemple, est bien répréhensible, mais l'assureur n'acceptera de rembourser sachant qu'on a délibérément laissé les clés sur la porte de sa maison ou sur le contact de sa voiture.
L'idiotie (qui se soigne heureusement par l'information, la réflexion et l'acceptation de conseils avisés) devraient certainement figurer pour quelques % dans le graphique parmi les autres causes à retenir.
[Errata dans mon post: "serait" ou "aurait été", mais pas un mix des deux - Ce serait bien de pouvoir éditer ses commentaires durant quelques minutes après les avoir postés]
_pepe_
Ce serait comme affirmer que les accidents de la route, c'est juste « la faute à pas de chance », en mettant sur le même plan ceux qui roulent vite, bourrés et dans une caisse pourrie et ceux qui se trouvent sur leur chemin.
Il semble qu'on entende beaucoup dans les médias, en ce moment, un mouvement féministe très actif qui, prenant pour prétexte les nombreux viols dont les victimes n'en sont la cause à aucun niveau, réclame de pouvoir librement attenter à la pudeur et racoler en rejetant toute responsabilité des éventuelles conséquences. Ça voudrait par exemple (résultat d'une discussion avec certaines des intéressées) faire passer l'idée que si une fille à poil à 95% allume et chauffe durant toute une soirée un mec bourré-défoncé et lui dit "stop" à la seconde de conclure, elle n'y serait été ABSOLUMENT POUR RIEN si le mec continuait sur sa lancée. Non, trop simple, décidément.
Tant va la cruche à l'eau, qu'à la fin elle se casse. Celui ou celle qui choisit de s'exposer volontairement à un danger connu et reconnu (celui de la nature humaine, en l'occurrence) n'est certainement pas un innocent... ou alors c'est un parfait idiot.
Potiche En réponse à _pepe_ Super vilain
Surtout que cet extrême de la fille nue qui allume des mecs pour d'autre il commence à partir du moment où la fille porte une jupe, un pantalon, se maquille ou laisse ses cheveux flotter librement. La seule chose que mérite une fille dans une tenue immorale c'est une plainte pour attentat à la pudeur, pas un viol.
_pepe_ En réponse à Potiche
Porter une jupe, un pantalon, se maquiller ou laisser ses cheveux flotter librement ne sont aucunement un motif de poursuite pour attentat à la pudeur, et ne constituent assurément pas une incitation au viol en situation normale. Il en va autrement quand les habits laissent voir la couleur des poils pubiens (ou leur absence), montrent la gorge depuis les aréoles jusqu'au nombril et les fesses jusqu'au bord de l'anus (je n'exagère pas, malheureusement). De même pour les discours à caractère sexuel crus ou très suggestifs et les attouchements répétés sur l'interlocuteur. C'est ça que j'appelle « allumer et chauffer ».
Ici la question n'est pas la justification morale du crime, mais ses CAUSES. Or, le graphique donne la présence du violeur comme la SEULE à retenir, ce qui est trop réducteur. Car hormis les cas rendus inévitables par la personnalité et la détermination du criminel, il existe des situations à risque et des facteurs aggravants que les victimes potentielles peuvent facilement ÉVITER en adoptant un COMPORTEMENT RESPONSABLE, au lieu d'attirer les loups puis de se jeter joyeusement dans leur gueule, par lubie ou par conviction, et de finir par le regretter.
C'est la raison pour laquelle il est important d'éduquer correctement nos filles.
alcarbone En réponse à _pepe_ Vermisseau
_pepe_ En réponse à alcarbone
Parce que face au danger du viol, dont il faut bien faire le constat (même si ça ne plaît pas), il vaut mieux continuer à informer et à tenir un discours de prudence (« fais gaffe, ma fille, ne mets pas les pieds là-dedans ») plutôt que de pousser à la dé-responsabilisation (« fais ce que tu veux, ce ne sera jamais de ta faute, vas-y, tu peux te permettre n'importe quoi »).
Les violeurs sont honnis et punis exemplairement (et ce n'est pas nouveau), mais après ? Si l'on empêche d'aller plus loin dans la réflexion en rejetant toutes les causes sur ces seuls individus, on ne réduira pas les viols.
Alors, à défaut de pouvoir éradiquer totalement ce crime, on peut au moins empêcher les cas évitables. Et il paraît abject de tenir une position dogmatique contraire.
Concernant l'idiotie, elle n'est pas interdite par la loi, mais elle n'est pas non sans conséquence.
Déjà, en dehors de toute considération morale, elle appelle potentiellement une sanction naturelle (comme par exemple, se faire écraser par un train quand on traverse un passage à niveau fermé). Et aussi, elle n'est pas tolérée socialement : le vol, que Potiche prend pour exemple, est bien répréhensible, mais l'assureur n'acceptera de rembourser sachant qu'on a délibérément laissé les clés sur la porte de sa maison ou sur le contact de sa voiture.
L'idiotie (qui se soigne heureusement par l'information, la réflexion et l'acceptation de conseils avisés) devraient certainement figurer pour quelques % dans le graphique parmi les autres causes à retenir.
doenhoj Vergeture
Alejotiko En réponse à doenhoj Lombric ® Paint
_pepe_
red01 Lombric Shaolin
Schloren
Orme Dresseuse de lombriks
alcarbone Vermisseau
alors quand un vieux viole une petite fille , c'est parce que la gamine est une allumeuse et une salope en plus !