Et, non, le souci est que Free, Orange et je sais plus qui, brident délibérément Youtube.
Du coup faut contourner la France en passant via ProxFree pour réussir a voir la moitié des vidéos, et là miracle ça charge 10 fois plus vite alors que ça passe par d'autres pays.
Non, ce n'est pas du bridage (i.e. une limitation sélective), mais un embouteillage au niveau des nœuds de connexion avec les liaisons (payantes pour les opérateurs) qu'emprunte le trafic généré par YouTube.
Ce trafic connaît un inflation permanente depuis des années (les vidéos augmentent en taille et en nombre), et il ne semble pas y avoir de limites. Alors les opérateurs rechignent à payer des interconnexions de plus en plus grosses et de plus en plus chères, d'autant plus que la surcharge provient presque exclusivement d'une firme qui en tire d'énormes bénéfices sans rien débourser, et qui se refuse à contrôler son débit alors qu'elle le fait par ailleurs quand c'est pour son intérêt.
C'est un peu comme si une compagnie de bus devait payer des portes de plus en plus larges à un magasin où elle y dépose des clients.
Pour les clients, une solution consiste à entrer dans le magasin voisin et à emprunter une porte de communication. C'est ce qu'on fait en utilisant un VPN.
Ouinouindu17 LoMBriK addict !
kolamye Lombric
Orme En réponse à kolamye Dresseuse de lombriks
Et, non, le souci est que Free, Orange et je sais plus qui, brident délibérément Youtube.
Du coup faut contourner la France en passant via ProxFree pour réussir a voir la moitié des vidéos, et là miracle ça charge 10 fois plus vite alors que ça passe par d'autres pays.
wheatley En réponse à Orme Asticot
_pepe_ En réponse à Orme
Ce trafic connaît un inflation permanente depuis des années (les vidéos augmentent en taille et en nombre), et il ne semble pas y avoir de limites. Alors les opérateurs rechignent à payer des interconnexions de plus en plus grosses et de plus en plus chères, d'autant plus que la surcharge provient presque exclusivement d'une firme qui en tire d'énormes bénéfices sans rien débourser, et qui se refuse à contrôler son débit alors qu'elle le fait par ailleurs quand c'est pour son intérêt.
C'est un peu comme si une compagnie de bus devait payer des portes de plus en plus larges à un magasin où elle y dépose des clients.
Pour les clients, une solution consiste à entrer dans le magasin voisin et à emprunter une porte de communication. C'est ce qu'on fait en utilisant un VPN.