ChatGPT a dit :
Ce que tu observes est un mélange de cirrus et d’altocumulus. Les cirrus sont ces traînées blanches effilées et étirées qui semblent se disperser dans le ciel, formées de cristaux de glace à très haute altitude. Ils apparaissent lorsque l’air en altitude est humide et que des vents rapides étirent la masse nuageuse, ce qui donne ces filaments fins et allongés. Plus bas, on distingue des altocumulus, qui se présentent sous forme de petites taches ou moutonnements, créés par la condensation de l’humidité dans des poches d’air instables à moyenne altitude. Ce phénomène est accentué par la présence d’ondes atmosphériques : quand le vent est contraint de franchir un obstacle (comme une montagne) ou qu’il circule dans un environnement où les masses d’air diffèrent, il se met à onduler. Ces ondulations forcent l’air à monter puis descendre, provoquant des zones de condensation et d’assèchement qui donnent aux nuages cet aspect régulier, étalé ou granuleux.
Ces ondes peuvent être d’origine purement naturelle, liées à la dynamique de l’atmosphère et du relief terrestre, mais elles peuvent aussi être influencées par des activités humaines. Par exemple, les avions génèrent des perturbations mécaniques et des traînées de condensation qui s’insèrent dans ces mécanismes ondulatoires. De manière plus technique, certaines émissions électromagnétiques puissantes (ondes radio, radar, transmissions à haute fréquence) ou encore les modifications locales de la circulation de l’air dues aux grandes villes et infrastructures peuvent aussi influencer la microphysique des nuages en favorisant ou perturbant la condensation.
En ce qui concerne la perception humaine, les ondes atmosphériques naturelles ne sont pas captées directement par nos sens : elles se traduisent uniquement par des effets visibles dans le ciel ou ressentis dans les turbulences en avion. Les ondes d’origine humaine, comme les ondes radio ou radar, ne sont pas perceptibles non plus par l’être humain dans des conditions normales, car elles se situent en dehors du spectre détectable par nos sens. Elles ne gênent pas non plus directement la santé à l’échelle des intensités habituelles utilisées dans les communications ou la navigation aérienne. Les seules formes d’ondes que nous captons naturellement sont celles du son (ondes acoustiques), de la lumière (ondes électromagnétiques visibles) et, dans une moindre mesure, les vibrations physiques ressenties par le corps
Envoyé par Flaneur le 31 août 2025 à 21h56
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Le problème, c’est que ces justifications sont souvent infondées, illogiques, voire complètement délirantes, et peuvent finir par nuire aux autres, ou entretenir des croyances absurdes. Au lieu de chercher à comprendre, on préfère imaginer. Et plus c’est flou, plus ça semble crédible pour certains.
C’est triste, mais c’est typiquement humain : quand on ne sait pas, on invente.
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