Le syndrome de l’anus sans repos (parfois appelé restless anal syndrome en anglais) est un trouble extrêmement rare, décrit comme une variante du syndrome des jambes sans repos (SJSR).
???? Concrètement :
Il se manifeste par une sensation désagréable au niveau de l’anus ou du rectum (picotements, besoin irrépressible de bouger, gêne interne).
Comme dans le SJSR, les symptômes sont périodiques, souvent le soir ou la nuit, et soulagés temporairement par le mouvement (dans ce cas, aller aux toilettes ou contracter/décontracter les muscles).
Cela peut provoquer insomnie, agitation nocturne et fatigue diurne.
???? Ce syndrome a été décrit dans quelques cas cliniques très isolés, notamment après une infection par le COVID-19 ou chez des patients souffrant de troubles neurologiques. Les médecins considèrent que c’est une manifestation atypique du SJSR, mais localisée à la région ano-rectale.
???? Le traitement repose sur les mêmes approches que pour le SJSR classique :
médicaments dopaminergiques (comme la pramipexole ou le ropinirole),
éventuellement des anticonvulsivants ou benzodiazépines,
hygiène du sommeil et réduction des facteurs aggravants (caféine, alcool, certains médicaments).
LeFreund Versecuté
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Bellus
???? Concrètement :
Il se manifeste par une sensation désagréable au niveau de l’anus ou du rectum (picotements, besoin irrépressible de bouger, gêne interne).
Comme dans le SJSR, les symptômes sont périodiques, souvent le soir ou la nuit, et soulagés temporairement par le mouvement (dans ce cas, aller aux toilettes ou contracter/décontracter les muscles).
Cela peut provoquer insomnie, agitation nocturne et fatigue diurne.
???? Ce syndrome a été décrit dans quelques cas cliniques très isolés, notamment après une infection par le COVID-19 ou chez des patients souffrant de troubles neurologiques. Les médecins considèrent que c’est une manifestation atypique du SJSR, mais localisée à la région ano-rectale.
???? Le traitement repose sur les mêmes approches que pour le SJSR classique :
médicaments dopaminergiques (comme la pramipexole ou le ropinirole),
éventuellement des anticonvulsivants ou benzodiazépines,
hygiène du sommeil et réduction des facteurs aggravants (caféine, alcool, certains médicaments).