Le nom **Coldplay** vient d’une inspiration assez simple et poétique. À l’origine, le groupe s’appelait autrement, mais un ami leur a donné ce nom en se basant sur un livre de poèmes intitulé *"Child’s Reflections, Cold Play"* qu’il avait trouvé. Le mot **Coldplay** évoque une sorte de contraste entre la froideur et la douceur, un mélange d’émotions mélancoliques et d’espoir, qui correspond assez bien à l’univers musical du groupe. En somme, le nom suggère cette idée de sentiments profonds, parfois tristes mais porteurs d’une certaine lumière ou d’une chaleur intérieure malgré tout.
Ce nom n’a pas de signification littérale précise, mais il capte une ambiance, un état d’esprit, un peu à la fois sensible et introspectif, qui reflète bien le style et les thèmes récurrents de leurs chansons.
Envoyé par Flaneur le 18 juillet 2025 à 21h01
Ascaris Vermisseau
Le groupe Coldplay a accidentellement révélé une tromperie entre le PDG d’Astronomer et sa collègue DRH lors de leur concert cette nuit.
Ils sont tous les deux mariés, mais pas ensemble !
Flaneur En réponse à Ascaris Ver TikToké
Lors d’un concert de Coldplay à Boston le 16 juillet 2025, le PDG de la société technologique Astronomer, Andy Byron, a été filmé en train d’enlacer sa directrice des ressources humaines, Kristin Cabot, sous l’objectif d’une « Kiss Cam » géante. Le couple a tenté de se cacher après avoir réalisé qu’ils étaient filmés, mais la scène a déjà été diffusée à des millions de spectateurs présents sur place et a rapidement envahi les réseaux sociaux. En quelques heures, la vidéo est devenue virale, suscitant un immense buzz et des réactions en chaîne. Des dizaines de millions de vues ont été recensées sur TikTok, accompagnées de milliers de commentaires, de détournements humoristiques et de critiques plus sérieuses.
L’affaire a pris une ampleur médiatique inattendue. Des internautes ont partagé ce qu’ils présentaient comme une lettre d’excuses officielle signée par Andy Byron, évoquant un moment « profondément personnel » exposé en public. Cependant, l’entreprise a rapidement démenti l’authenticité de cette lettre, tout comme d’autres rumeurs, notamment celle d’un employé soi-disant licencié pour avoir offert les billets au couple. Cette dernière s’est avérée être une pure invention virale.
Selon plusieurs informations croisées, Andy Byron serait marié. Après l'incident, la femme de Byron aurait supprimé son nom marital de ses profils sur les réseaux sociaux, suggérant un impact personnel immédiat. La polémique a également relancé d’anciennes critiques internes contre le PDG, certains anciens employés ayant décrit un comportement managérial autoritaire ou toxique. Kristin Cabot, quant à elle, s'était récemment mise en avant dans des articles professionnels, affirmant sa capacité à « construire une culture de confiance avec les PDG ». Ni Byron ni Cabot n’ont fait de déclaration publique à ce jour, et l’entreprise s’est contentée d’un court message affirmant que les messages diffusés en ligne sont faux.
Sur le plan financier, l’affaire pourrait avoir des conséquences plus lourdes. Astronomer, qui s’apprêtait à lancer une nouvelle levée de fonds d’environ un milliard de dollars, serait désormais confrontée à un climat d’incertitude. Plusieurs investisseurs institutionnels, selon des sources proches du dossier, envisageraient de repousser ou de revoir leur participation à cette opération, en raison de l’instabilité médiatique et du doute autour du leadership actuel. Bien que la société n’ait pas commenté officiellement l’impact de cette affaire sur sa stratégie de financement, le timing de la controverse suscite de fortes tensions internes et pourrait retarder l’opération. L’affaire, surnommée par certains « Coldplaygate », continue de faire couler beaucoup d’encre entre moqueries, spéculations sur les relations professionnelles internes à Astronomer, débats sur l’éthique en entreprise, et désormais, inquiétudes économiques.
ZPI En réponse à Flaneur Vermisseau
BigGus En réponse à Flaneur Vermisseau
sheitan177 En réponse à Flaneur Alcolombrik
Novacreat Lombric
Une histoire avec 6 personnage. je vous propose de les classé par ordre de responsabilité.
Une jeune femme mariée, delaissée par un mari trop pris par son travail, se laisse séduire et va passer la nuit chez son séducteur, dans une maison située de l'autre côté de la rivière.
Pour rentrer chez elle, le lendemain au petit matin, avant le retour de son mari, qui va rentrer de voyage, elle doit retraverser le pont. Mais un fou menaçant et dangereux lui en interdit le passage.
Elle court alors trouver un passeur qui lui indique le prix du passage. Elle n'as pas d'argent.
Elle explique, supplie. Il refuse de travailler sans être payé d'avance. Elle va alors trouver son amant et lui demande de l'argent. Il refuse. Elle va trouver un ami célibataire qui habite du même côté et qui lui voue depuis toujours un amour idéal, mais à qui elle n'a jamais cédé.
Elle lui raconte tout et lui demande de l'argent. Il refuse : elle l'a déçu en se conduisant si mal.
Elle décide alors, après une nouvelle tentative vaine auprès du passeur, de passer le pont.
Le fou la tue.
Lequel de ces six personnages peut-il être tenu pour personnellement responsable de cette mort ?
Classez les par ordre de responsabilité décroissante.
Le plus responsable en 6, le moins responsable en 1.
Tout le monde a une note, pas d'exaequo.
L'idée est de voir la logique de chacun, et d'être capable de défendre son point de vue.
( le but du jeu a la base, est de chacun faire sa liste, et débattre jusqu'à avoir la même liste en commun. je l'utilise au travail pour apprendre a certaine personne a communiquer et mettre en avant leur idée/point de vue. et aussi remarquer ceux qui ecrase les autres. )
GruikMan En réponse à Novacreat Vermisseau
BonPublic En réponse à GruikMan Vermisseau
Novacreat En réponse à GruikMan Lombric
n'étant pas précisé, je dirais : Rien. a Mains nues.
Flaneur En réponse à Novacreat Ver TikToké
Le mari s’il avait été présent, les choses auraient été différente
Le célibataire c’est pas cool qu’il aide pas, mais il a rien à voir avec toute cette histoire
Le passeur non-assistance à personne en danger
L’amant c’est pour lui qu’elle est venue, c’est vraiment pas classe
Le tueur fou
Post-scriptum: j’espère que c’est pas une histoire vécue et j’espère que t’es pas le tueur fou
coraumonts En réponse à Novacreat Vermisseau
La seule responsable est la folie du fou. Et, dans une moindre mesure, le choix de la dame de rentrer avant son mari malgré la menace.
couscouss47 En réponse à coraumonts Vermisseau
Oui, il tue. Mais tous les autres le regardent faire sans bouger. Ils la laissent crever en pleine conscience.
Elle hurle qu’elle est en danger. Et elle n'a pour seules réponses :
– un passeur qui facture la survie
– un amant qui disparaît après usage
– et un ami en friendzone qui aime à condition que tu sois pure
Ils ne l’ont pas tuée de leurs mains, mais ils ont tous tenu le poignard à distance. (Je ne compte pas le mari, qui selon mes valeurs ne peut être tenu pour responsable des actes de tromperie de sa femme, mais je suis ouvert au débat).
Pour le reste, il y a non-assistance à personne en danger. Point barre.
Le fou est la lame. Les autres, c’est le manche.
GruikMan En réponse à couscouss47 Vermisseau
coraumonts En réponse à couscouss47 Vermisseau
Dans ma vision, elle n'est pas en danger. Elle n'est pas acculée à passer le pont tout de suite, elle a d'autres possibilités à condition d'accepter de se faire coincer par son mari. Son choix est donc : se faire coincer ou risquer la mort. C'est elle qui a fait le choix de risquer la mort.
Les autres ne l'ont donc pas laissée en danger. Ils n'ont aucune responsabilité morale. Comme dit Flaneur, ils sont au mieux pas classe, au pire pas cool.
Donc, pour récapituler :
- les autres ne sont pas responsables du choix de passer le pont, qui a des alternatives.
- le mari n'a rien à voir dans l'histoire. Le fait qu'il soit négligeant et qu'elle ait pris un amant n'est que la toile de fond de la situation, le décor.
- le fou l'a tuée mais n'est pas responsable de sa folie. On peut le considérer comme une "catastrophe naturelle". Un peu comme une avalanche en montagne ou un lion dans la savane.
- la femme n'est pas responsable d'avoir été tuée, mais l'est d'en avoir pris le risque.
Avec cette analyse, j'en viens même à renforcer ma conclusion : la folie n'est pas responsable. La femme l'est en premier lieu. Selon la phrase bien connue des magistrats : nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude. En gros, si tu vas jouer volontairement avec les lions, tu es seul responsable de te faire bouffer.
Et ça ne doit pas masquer une autre question : comment un fou dangereux peut rester sur un pont aussi longtemps sans être arrêté ? Là est l'autre vraie responsabilité.
Ca, c'est ce que dicte la tête et la raison. Ce n'est donc pas très malin, car il faut savoir hurler avec la meute. Meute qui a besoin d'avoir un coupable, et qui dans son patriarcat systémique se sent obligé de déresponsabiliser la femme.
Donc, ma conclusion officielle est : ce sont tous des salauds, sauf cette pauvre femme et le fou.
Cyclomore En réponse à coraumonts Vermisseau
Parce que lui, il ne fera pas fatalement l'effort de t'expliquer qu'on parle bien de responsabilité morale. Et que la pesanteur qui fait tomber le truc qui à écrasé la victime on s'en fout dans ce jeu. On n'est pas sur un arbre des causes. On est plus sur c'est qui qui va en prison. Et l'asiles c'est pas une prison ok?
Boozy En réponse à Cyclomore LoMBriK addict !
De mon point de vue, :
Le fou responsable. Fou ou pas, c'est lui l'assassin.
Ensuite la femme. Elle connaissait clairement le danger, elle a tenté sa chance. Perdu.
Le passeur, vite fait. C'est son taf, mais risquer sa vie pour gratuit, c'est compréhensible qu'il dise non. Le contexte à l'air d'être le moyen-age, donc je suppose qu'il n'a pas de salaire fixe. Pas facile de se prononcer, dans son cas.
L'amant est un salopiot mais c'est pas sa faute.
Quand au mari et l'autre gars, je vois même pas ce qu'on peut leur reprocher.
@Couscouss47, je comprend l'argument de l'assistance à personne en danger mais tant qu'elle ne mettait pas un pied sur le pont, le seul danger, c'était qu'elle se fasse attraper pour adultère. Elle avait laaaargement l'option d'attendre que le fou s'en aille ou même d'aller chercher un autre pont et d'arriver plus (trop?) tard chez elle. Sa vie n'était pas irrévocablement en danger quand elle leur à demandé à chacun.
Cyclomore En réponse à Boozy Vermisseau
Par contre, d'expérience, pour avoir fait ce jeu en formation générale, dans un lointain passé, et dans une filière plutôt technique/scientifique, je sait ce que ça m'a couté de soutenir que la principale cause de l'assassinat c'était la présence du fou (qui aurais très bien pu assassiner quelqu'un d'autre si la femme n'était pas passée par là)
Boozy En réponse à Cyclomore LoMBriK addict !
Et puisqu'on parle d'autorité, l'autorité locale, maire, seigneur féodal, autre, peut effectivement être considéré comme responsable dans une certaine mesure, puisqu’elle n'arrive pas à assurer la sécurité de ses contribuables. Sauf qu'elle n'est pas dans la liste.
Mais j'aime beaucoup l'idée. Le passeur devrait devenir un service publique, représentant de l’autorité locale et remonter dans cette liste.
Au moins on est d'accord sur un point, en l'état, le responsable/cause principale c'est le fou qui est présent ici à ce moment là. Le comment il a pus arriver ici et y rester, j'ai le sentiment que c'est un autre débat.
Novacreat En réponse à coraumonts Lombric
trucmoi En réponse à Novacreat Ver d'os
C'est malheureusement le genre d'histoire ou j'ai la flemme de répondre, car généralement il manque des détails évidents et cruciaux. Autre exemple, est ce que cette femme à dit à son marie qu'elle en avait marre, et qu'elle risquait de le tromper si il continuait à la délaisser ? Si c'est oui, qu'a t'il répondu ?
GruikMan Vermisseau
Ascaris Vermisseau
GruikMan En réponse à Ascaris Vermisseau
Flaneur Ver TikToké
sandrine65100
GruikMan En réponse à sandrine65100 Vermisseau
coanocyte Lombric
Flaneur En réponse à coanocyte Ver TikToké
GruikMan En réponse à coanocyte Vermisseau