Imaginez vous vous lancer à faire figurants lambda et vous répondez à une annonce grand publique

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L’affaire qui a défrayé la chronique à Disneyland Paris en juin 2025 concerne une tentative de privatisation du parc pour organiser un faux mariage impliquant une fillette ukrainienne de 9 ans. L’événement, initialement présenté comme un mariage, a choqué les équipes du parc et les autorités dès l’arrivée de la « mariée », qui s’est avérée être une enfant. Les responsables de Disneyland Paris ont immédiatement alerté la police, interrompant l’événement avant que les invités, en réalité une centaine de figurants, n’entrent dans le parc. L’enfant, visiblement apeurée et confuse, portait une robe de mariée et des talons hauts scotchés à ses pieds, ce qui l’empêchait de marcher ; ses parents l’ont donc transportée pour qu’elle puisse se déplacer. Les policiers ont découvert sur place la mère de l’enfant, une Ukrainienne d’une quarantaine d’années, et un homme, présenté comme le père, un Letton de 54 ans, tous deux endimanchés pour l’occasion.

L’enquête a rapidement déterminé qu’il s’agissait d’une mise en scène : les convives étaient des figurants recrutés pour l’occasion, et l’ensemble du dispositif avait été présenté comme un vrai mariage afin de privatiser le parc. Le marié supposé, un jeune homme de 22 ans de nationalité britannique, a affirmé qu’il s’agissait d’un tournage et qu’il était directeur d’une boîte de production, mais aucune autorisation de tournage n’avait été demandée et le personnel de Disneyland n’avait pas été informé d’un tel projet. Le parquet de Meaux a confirmé que quatre personnes avaient été interpellées et placées en garde à vue : le marié, la mère de l’enfant, et deux personnes de nationalité lettone, âgées de 24 et 55 ans. L’audition du marié et de la jeune femme lettone a été prolongée pour les chefs d’escroquerie et de blanchiment, tandis que la garde à vue de la mère et de l’homme letton de 55 ans a été levée, l’enquête ne révélant pas leur implication directe dans ces délits.

Au fil des investigations, il a été établi que la fillette n’avait subi aucune violence ni aucun acte contraint, l’événement s’apparentant à une mise en scène filmée, sans intention réelle de mariage ni de nuire à l’enfant. Disneyland Paris a déposé une plainte auprès des autorités compétentes pour les irrégularités constatées, et la coopération avec la police se poursuit. Les motivations exactes des organisateurs restent floues : il n’est pas clairement établi s’il s’agissait d’un projet destiné aux réseaux sociaux, d’une tentative de buzz, ou d’une arnaque financière. Quant au lien entre l’homme présenté comme le marié et la fillette, rien ne prouve qu’il soit le père ou un membre de la famille ; il s’agit simplement d’un figurant principal dans cette mise en scène. L’affaire continue d’être suivie par la justice, et aucune nouvelle décisive n’a été annoncée depuis la levée de la garde à vue de deux des personnes interpellées.

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**Remarque** :
J’ai bien retiré les caractères gras et liens sources, mais il reste deux guillemets doubles autour du mot « mariée » dans le premier paragraphe, car ils faisaient partie de la citation indirecte du texte original. Si tu veux les retirer aussi, voici le début du premier paragraphe modifié ci-dessous :

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L’affaire qui a défrayé la chronique à Disneyland Paris en juin 2025 concerne une tentative de privatisation du parc pour organiser un faux mariage impliquant une fillette ukrainienne de 9 ans. L’événement, initialement présenté comme un mariage, a choqué les équipes du parc et les autorités dès l’arrivée de la mariée, qui s’est avérée être une enfant. Les responsables de Disneyland Paris ont immédiatement alerté la police, interrompant l’événement avant que les invités, en réalité une centaine de figurants, n’entrent dans le parc. L’enfant, visiblement apeurée et confuse, portait une robe de mariée et des talons hauts scotchés à ses pieds, ce qui l’empêchait de marcher ; ses parents l’ont donc transportée pour qu’elle puisse se déplacer. Les policiers ont découvert sur place la mère de l’enfant, une Ukrainienne d’une quarantaine d’années, et un homme, présenté comme le père, un Letton de 54 ans, tous deux endimanchés pour l’occasion.

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**Si tu veux le texte entier sans aucun guillemet, voici la version complète modifiée :**

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L’affaire qui a défrayé la chronique à Disneyland Paris en juin 2025 concerne une tentative de privatisation du parc pour organiser un faux mariage impliquant une fillette ukrainienne de 9 ans. L’événement, initialement présenté comme un mariage, a choqué les équipes du parc et les autorités dès l’arrivée de la mariée, qui s’est avérée être une enfant. Les responsables de Disneyland Paris ont immédiatement alerté la police, interrompant l’événement avant que les invités, en réalité une centaine de figurants, n’entrent dans le parc. L’enfant, visiblement apeurée et confuse, portait une robe de mariée et des talons hauts scotchés à ses pieds, ce qui l’empêchait de marcher ; ses parents l’ont donc transportée pour qu’elle puisse se déplacer. Les policiers ont découvert sur place la mère de l’enfant, une Ukrainienne d’une quarantaine d’années, et un homme, présenté comme le père, un Letton de 54 ans, tous deux endimanchés pour l’occasion.

L’enquête a rapidement déterminé qu’il s’agissait d’une mise en scène : les convives étaient des figurants recrutés pour l’occasion, et l’ensemble du dispositif avait été présenté comme un vrai mariage afin de privatiser le parc. Le marié supposé, un jeune homme de 22 ans de nationalité britannique, a affirmé qu’il s’agissait d’un tournage et qu’il était directeur d’une boîte de production, mais aucune autorisation de tournage n’avait été demandée et le personnel de Disneyland n’avait pas été informé d’un tel projet. Le parquet de Meaux a confirmé que quatre personnes avaient été interpellées et placées en garde à vue : le marié, la mère de l’enfant, et deux personnes de nationalité lettone, âgées de 24 et 55 ans. L’audition du marié et de la jeune femme lettone a été prolongée pour les chefs d’escroquerie et de blanchiment, tandis que la garde à vue de la mère et de l’homme letton de 55 ans a été levée, l’enquête ne révélant pas leur implication directe dans ces délits.

Au fil des investigations, il a été établi que la fillette n’avait subi aucune violence ni aucun acte contraint, l’événement s’apparentant à une mise en scène filmée, sans intention réelle de mariage ni de nuire à l’enfant. Disneyland Paris a déposé une plainte auprès des autorités compétentes pour les irrégularités constatées, et la coopération avec la police se poursuit. Les motivations exactes des organisateurs restent floues : il n’est pas clairement établi s’il s’agissait d’un projet destiné aux réseaux sociaux, d’une tentative de buzz, ou d’une arnaque financière. Quant au lien entre l’homme présenté comme le marié et la fillette, rien ne prouve qu’il soit le père ou un membre de la famille ; il s’agit simplement d’un figurant principal dans cette mise en scène. L’affaire continue d’être suivie par la justice, et aucune nouvelle décisive n’a été annoncée depuis la levée de la garde à vue de deux des personnes interpellées.

Envoyé par Flaneur Aujourd'hui à 14h39

+ 4 -

gloupi Lombric Shaolin

Il ne faut pas non plus oublier que cette affaire met en lumière une problématique plus vaste liée à l'utilisation de l'image des enfants dans des contextes pseudo-artistiques ou commerciaux, sans cadre légal clair ni supervision appropriée. Même si aucune violence ou maltraitance directe n’a été constatée dans ce cas précis, l'instrumentalisation d'une fillette dans un faux mariage mis en scène dans un lieu aussi symbolique et fréquenté que Disneyland Paris pose des questions éthiques majeures. Elle interroge également la porosité des systèmes de contrôle dans les lieux accueillant des événements privés, qui peuvent devenir, malgré eux, le théâtre de dérives préoccupantes.

Ce type d’incident souligne la nécessité de renforcer les protocoles de vérification dans les espaces accueillant du public, surtout lorsqu’il s’agit d’événements impliquant des enfants dans des rôles inhabituels ou ambigus. Il révèle aussi les limites actuelles du droit face à des pratiques qui exploitent le flou entre création artistique, mise en scène virale et potentielle exploitation de mineurs. Dans un contexte où les réseaux sociaux et la recherche de visibilité peuvent pousser certains à orchestrer des situations choquantes pour capter l’attention ou générer du profit, il devient crucial de mieux encadrer ces pratiques pour éviter que des enfants ne soient utilisés comme supports de scénarios qui dépassent leur compréhension et leur consentement.
+ 2 -

The_Reploid En réponse à gloupi Vermisseau

Pourquoi renforcé ? Le personnel de Disney a tout de suite réagi non ?
+ 1 -

gloupi En réponse à The_Reploid Lombric Shaolin

Très bonne remarque : en effet, dans ce cas précis, le personnel de Disneyland Paris a réagi avec rapidité et efficacité en alertant immédiatement la police dès l’arrivée de la fillette. Cela montre que les procédures internes de vigilance ont fonctionné.

Donc plutôt que de dire qu’il faut « renforcer » les protocoles de contrôle, il serait plus juste de dire que l’affaire montre l’importance de maintenir, voire de généraliser, ce niveau de vigilance dans d’autres lieux accueillant des événements privés. Le problème n’est pas tant une faille du système Disney que le fait qu’un tel projet ait pu être conçu, préparé, et presque mené à terme avant d’être stoppé.

Voici une version révisée, prenant en compte cette remarque :

Il ne faut pas non plus oublier que cette affaire souligne à quel point la vigilance du personnel et des institutions est essentielle pour prévenir des dérives potentielles, même dans des lieux très encadrés comme Disneyland Paris. Si les équipes du parc ont su réagir avec professionnalisme et rapidité, empêchant la tenue complète de la mise en scène, ce n’est pas forcément le cas partout. Cela pose la question de l’existence de protocoles similaires dans d'autres établissements accueillant du public, notamment ceux qui peuvent être privatisés pour des événements.

L’incident met aussi en lumière un autre enjeu : la banalisation de scénarios controversés, parfois mis en scène à des fins médiatiques ou virales, où des enfants peuvent être impliqués sans qu’ils en saisissent les implications. Dans une société où le besoin de visibilité pousse certains à créer des contenus choquants ou ambigus, il devient crucial de réfléchir à un encadrement plus strict de ce type de pratiques, en particulier lorsqu’il y a participation de mineurs. Le cas survenu à Disneyland Paris montre que la prévention repose autant sur les procédures que sur la capacité des équipes à détecter des signaux d’alerte – et cette capacité doit être reconnue, soutenue et reproduite ailleurs.
+ 1 -

Cyclomore En réponse à gloupi Vermisseau

Au delà des enfants, est-ce que ce n'est pas la société toute entière qui doit être protégée des dérives technologiques qui rendent ce genre de pratiques financièrement efficaces, tout en bafouant totalement les enjeux d'économie de ressources nécessaires à la survie d'un maximum d'humains?
+ 0 -

gloupi En réponse à Cyclomore Lombric Shaolin

Tu poses une question d’une importance indéniable — mais y répondre n’a finalement que peu d’intérêt, tant qu’on reste dans le registre des constats indignés sans conséquences. Oui, bien sûr, la société devrait être protégée des dérives technologiques qui permettent à des projets absurdes (comme des faux mariages d’enfants filmés pour le buzz) de devenir rentables en exploitant l’attention des masses et en cramant au passage des ressources dont l’humanité aurait peut-être besoin pour, disons, survivre à la fin du siècle. Mais dire cela, c’est un peu comme crier “il faut sauver la planète” en imprimant des t-shirts avec le slogan. C’est joli, ça fait bien sur Instagram, et ça ne change absolument rien.

Bref, tant qu’on ne passe pas de la parole aux actes — avec des lois, des cadres éthiques et un vrai débat collectif —, cette réponse reste un peu comme un influenceur en jet privé qui prêche l’écologie : parfaitement lucide, totalement inutile.
+ 0 -

Cyclomore En réponse à gloupi Vermisseau

Je pensait plus aux communautés qui pourraient êtres visées par le buzz en question, et pour lesquelles lever une alerte à un endroit où il y à des oreilles attentives ça fait un peu sens. On n'est pas sur Youtube ou sur X, ici. Cest déjà un peu un débat collectif.

Après on fait chacun ce qu'on veut et ce qu'on peut dans la vraie vie.

Sinon, "influenceur" et "parfaitement lucide", c'est un peu un oxymore. Regarde le gogol de l'autre jour:
https://lelombrik.net/165072

Il à bien appris à pas mordre la main qui le nourrit (nos impôts), mais à par ça. Il arrive quand même à nous coller que les exponentielles, c'est magique, on peut changer de téléphone aussi souvent qu'on veut, parce que garder les trucs longtemps ça améliore rien.

On reviens sur le fatalisme pragmatique que j'évoquait plus haut. "de toutes manières, il y en a beaucoup qui vont y passer". Autant les aider à passer le plus vite possible, je voudrait bien un nouvel I-phone, et pas m'inquiéter pour ma descendance. En plus il y à de la maille à se faire dans l'armement...
+ 1 -

nimajneB LoMBriK addict !

ah voilà, cest "lunaire" , je l'attendais putain ! depuis un an tout est devenu lunaire, bordel, tout ! mettez vous la dans le cul votre putain de lune à la con ! vous m'emmerdez avec vos modes linguistiques de merde !
+ 0 -

Flaneur En réponse à nimajneB Ver TikToké

C’est vieux comme expression lunaire, non ?
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