Rappel des réservistes de l’armée iranienne

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OSEA Vermisseau

le genre de poste qui ne devrait pas s'étonner d'un "vas bien niquer ta mère sale colon de merde !!!"

Il y a 3 semaines

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GruikMan En réponse à OSEA Vermisseau

Nadine Mamelouk !!

Il y a 3 semaines

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Flaneur Ver TikToké

Capacités militaires d'Israël (soutenu par les États-Unis et l'Occident)
Israël possède une armée technologiquement avancée, avec environ 340 avions de combat, dont des F-35 furtifs et des F-15 à long rayon d'action, capables de frappes de précision dans toute la région. Son aviation est complétée par une flotte de drones, dont des modèles comme le Hermes 900 et le Elbit Skylark, utilisés pour la reconnaissance et les attaques ciblées. Israël dispose également d'un système de défense multicouche comprenant le Dôme de Fer (interception de roquettes), la Fronde de David (missiles à moyenne portée) et la Flèche (missiles balistiques). Son armée compte environ 170 000 soldats actifs et 400 000 réservistes, avec un budget de défense de 27,5 milliards de dollars en 2023. En termes de missiles, Israël possède des Jericho III d'une portée de 6 000 km, offrant une dissuasion stratégique. La production de drones est robuste, avec des capacités industrielles permettant de fabriquer des centaines d'unités par an, notamment des modèles tactiques et des drones kamikazes utilisés pour des opérations clandestines, comme récemment en Iran.

Capacités militaires de l'Iran (soutenu par la Russie, la Chine et l'Orient)**
L'Iran mise sur un arsenal massif de missiles et de drones, compensant son aviation vieillissante (environ 350 avions obsolètes). Il possède le plus grand stock de missiles balistiques du Moyen-Orient, avec environ 3 000 unités, dont des Khorramshahr (portée de 3 000 km) et des Fattah-1 hypersoniques. Sa force réside dans ses drones, comme le Shahed-136, produit en grand nombre (estimé à plusieurs milliers) et exporté vers des alliés comme la Russie. L'Iran peut produire des centaines de drones par mois, grâce à des usines clandestines et une chaîne d'approvisionnement décentralisée. Son armée compte 600 000 soldats actifs et 350 000 réservistes, mais son équipement est hétéroclite, mêlant technologies russes, chinoises et locales. La stratégie iranienne repose sur des proxies (Hezbollah, Houthis) et des attaques asymétriques, évitant les confrontations directes. Les drones jouent un rôle clé, avec des capacités de saturation des défenses ennemies, comme démontré lors de récentes attaques.

Il y a 3 semaines

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BBZ En réponse à Flaneur Vermisseau

Tu as oublié de préciser qu'Israël produit et essaie des bombes nucléaire sans l'accord international depuis plus 50 ans, n'a pas signé le traité de non diffusion des armes nucléaires et en posséderait entre 80 et 200. Israël est en position offensive au delà de ces frontières depuis plusieurs années.

l'Iran est supposé avoir enrichies des isotopes à plus de 60% en plus de 10 ans (ils faut atteindre plus de 90% pour espérer commencer à produire une arme avec). Devrait maîtriser la production, la technologie d'enrichissement isotopique de trés haut niveau, la fabrication d'ogive, les essais nucléaires en moins de 2 semaines d'après les services secret américains là où les autres pays autorisé prennent plusieurs décennies à le faire. l'Iran a signé un décret religieux (fatwa) contre la production, la possession et la diffusion d'armes nucléaires.

Il y a 3 semaines

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gloupi En réponse à Flaneur Lombric Shaolin

Sans oublier que ces capacités militaires ne doivent pas seulement être évaluées en termes quantitatifs ou technologiques, mais aussi à travers le prisme stratégique, diplomatique et psychologique dans lequel elles s’inscrivent.

Israël, avec un soutien occidental fort, bénéficie d’un accès direct à des technologies de pointe, d'une coordination étroite avec les États-Unis (exercices conjoints, partage de renseignement, transferts d’armes), et d’un réseau de satellites et de cyber-capacités avancées renforçant son efficacité opérationnelle. Sa doctrine repose sur la supériorité aérienne, la rapidité de réaction, et une capacité à frapper en profondeur, y compris contre des cibles stratégiques à longue distance.

Sans oublier que l'Iran, bien qu’en retrait sur le plan technologique conventionnel, a développé une doctrine fondée sur la guerre hybride et l’attrition. Ses forces s’appuient sur la quantité, la redondance et l’effet de surprise, utilisant des groupes armés partenaires pour mener des opérations indirectes, dans des zones où Israël ne peut ou ne veut pas intervenir directement. L’Iran profite aussi d’un réseau régional (du Liban au Yémen en passant par la Syrie et l’Irak), lui permettant de maintenir une pression constante et multidirectionnelle.

Il y a 3 semaines