Enfoncez des vagins ouverts

La Cour suprême du Royaume-Uni vient de statuer que la loi définit les femmes comme des personnes nées biologiquement de sexe féminin.

La Cour suprême du Royaume-Uni a récemment statué que, dans le cadre légal britannique, le terme "femme" désigne une personne née biologiquement de sexe féminin. Cette décision est intervenue dans un contexte de tensions croissantes entre les mouvements féministes dits "critiques du genre" et les militants transgenres. Les opposants à cette décision estiment qu’elle exclut les femmes transgenres de certains droits et reconnaissances légales, notamment dans des domaines sensibles comme les refuges pour femmes, les prisons ou le sport. Du côté des partisans de l’arrêt, il s’agit de protéger des espaces non mixtes et de garantir des droits acquis sur la base du sexe biologique. Dans la vie quotidienne, cette décision pourrait influencer l’accès à certains services, les politiques de diversité au travail, et les débats éducatifs ou médicaux sur le genre. Elle relance un débat plus large sur l'équilibre entre droits des femmes et reconnaissance des identités de genre.

Envoyé par Flaneur le 16 avril 2025 à 18h35

+ 6 -

le-long-brick Longbric

Beaucoup de ces femmes ont assuré : "On s'en ballec' !"
+ 20 -

Trucusation Vermisseau

On vit une sacrée époque : c’est fou de devoir en passer par la justice pour rappeler des bases scientifiques établies depuis des millénaires
+ -9 -

Tandy En réponse à Trucusation Vermisseau

Toi, au XVIIe, tu aurais envoyé direct Galilée au bûcher...
+ 4 -

Grand_Ma En réponse à Tandy Vermisseau

Galilée aurait été taxé de complotisme de nos jours.
+ 0 -

coraumonts En réponse à Tandy Vermisseau

Après le point Godwin, le point Galilée.
http://www.owni...ilee/index.html
+ 4 -

Procrastinateur En réponse à Trucusation Vermisseau

Non la science n'a pas défini ça, la science à répertorié les situations, et c'est largement plus complexe que l'interprétation culturelle binaire issue d'une époque où justement, la science n'était pas suffisamment développé pour rendre compte de toutes ces variations
Le simple fait qu'il existe des hermaphrodite vient démontrer que la science n'a pas établi cette dualité
Après cette simplification à outrance culturelle reste pratique car comme son nom l'indique elle simplifie et ça aide à s'organiser
Mars son ne vienne pas prétendre que c'est "de la science"
+ -3 -

Trucusation En réponse à Procrastinateur Vermisseau

Non, la science suit des règles bien définies. La science ne repose pas sur l'humeur du moment. Quelqu'un se prétendant flaque d'eau semi libanaise ne créer pas un nouveau sexe/genre. Pour l'hermaphrodisme: extrait de https://www.mnh...-hermaphrodisme
Au sein du règne animal, tous les mammifères et les oiseaux sont « gonochoriques ». Cela signifie qu'ils sont en principe femelle ou mâle, tout au long de leur vie.

C'est donc le cas de l'espèce humaine. Chez nous, la différence entre les sexes est déterminée génétiquement par la forme que prend la paire de chromosomes n° 23 dans les cellules. Si c'est une paire XX, l'individu présentera des organes sexuels femelles, si c'est une paire XY, des organes mâles.

Il n’y a pas, dans l’espèce humaine, d’individus hermaphrodites, c'est-à-dire qui produiraient à la fois des ovules et des spermatozoïdes. Mais ce terme est parfois improprement utilisé pour désigner des personnes intersexuées, présentant un développement sexuel ambigu, c'est-à-dire des variations génétiques, chromosomiques, anatomiques, gonadiques ou hormonales qui ne coïncident pas avec la catégorisation traditionnelle mâle/femelle.
+ 1 -

Tandy En réponse à Trucusation Vermisseau

Tu confonds tout et tu as encore des choses à découvrir, en sciences en particulier. Tu confonds effectivement genre et sexe (comme le dit plus bas un autre lombrik) et tu refuses que cela puisse s'inscrire dans une démarche scientifique. Victime de tes idéologies ?
+ 0 -

Trucusation En réponse à Tandy Vermisseau

Définition de ce qu'est la science : Système de connaissances portant sur un objet déterminé, qui est élaboré de façon méthodique et qui vise à en rendre compte objectivement et rationnellement, à en dégager les lois, les principes.
Comment être objectif et rationnel lorsque chacun peut choisir son "genre" et du coup ne suivre aucune logique ? Pour qu'une chose soit scientifiquement vérifier, il faut que celle-ci puisse être répétée via un protocole et obtenir le même résultat
+ 0 -

OSEA En réponse à Trucusation Vermisseau

Tu veux dire que par exemple l'hypnose fonctionnerait soit sur personne soit sur tout le monde (alors que c'est plus complexe dans la réalité), la notion d’androgyne est t'elle valable chez les animaux autant que chez les humains ? Toutes les espèces n'ont pas autant le choix que l'humain pour plein de raison physique et prétendre comme tu le fais que choisir son "genre" c'est n'avoir aucune logique est absurde, il y a au contraire plusieurs logique qui peuvent arriver à ce même résultat c'est pour ça qu'au lieu de faire des généralités il faut chercher à comprendre de manière scientifique, spécifique donc complexe ! Dire comme Orme qu'il y a eu des abus ne veux pas dire que toute les personnes transgenre le feront, donc légiférer pour des abus oui, généralisé en prétendant une responsabilité scientifique alors que c'est une influence politique non !
+ 0 -

john5 En réponse à Procrastinateur

Les délires actuels sur le genre n’ont strictement aucun rapport avec une quelconque évolution scientifique, elles sont plutôt la résultantes d’une conjonction de courants sociétaux : la libération sexuelle, la popularité de la "french theory" dans les universités américaines et le développement des différentes gender theory, le militantisme queer, l’émergence des "culture wars" etc.

Que la binarité du caractère sexuel chez beaucoup d’espèces repose sur des critères qui sont beaucoup plus fluctuants, versatiles et complexes lorsqu’on essaie d’avoir une approche rigoureuse que lorsqu’on essaie simplement de dessiner les grandes lignes de la logique biologique et comportementale d’une espèce ne remet pas en cause la vision "traditionnelle" des sexes dans la vie de tous les jours. Comme on dit, l’exception confirme la règle, et aucune concept un minimum abstrait (comme ceux d’homme et de femme par exemple) ne synthétise parfaitement toute la diversité et la complexité du réel, c’est la définition même "d’abstrait".

En fait, chercher à conceptualiser "parfaitement" le réel par le moyen du langage est un projet qui est voué à jamais à l’imperfection puisque nommer c’est théoriser et théoriser c’est abstraire ; et que comme je disais, toute abstraction est une simplification. Une abstraction est utile pour classifier la réalité en regroupant certains phénomènes sous le même terme ou le même concept en établissant leurs points communs, mais encore une fois, c’est une abstraction, on extrait des aspects en laissant d’autres de côtés. Les abstractions sont à double tranchant : elles permettent de tracer les grandes lignes de quelque chose, d’avoir une vision globale, mais toujours au détriment de la granularité fine de l’analyse, des petits détails, des exceptions. Mais on s’empêche de faire des abstractions, on s’empêche toute réflexion puisqu’on ne peut plus abstraire, donc plus nommer donc plus étudier ni réfléchir... Les abstractions, les stéréotypes, sont les briques imparfaites mais nécessaire de toute réflexion...

D’un point de vue utilitariste, la finesse sémantique d’un lexique est à mettre en corrélation avec les besoins contextuels dans lesquels on utilise ce vocable. Qu’un biologiste ne se contente pas de "masculin" et "féminin" est compréhensible si justement dans ses recherches ils essaie de comprendre de façon plus fine les déterminismes biologiques d’une espèce.

Mais on peut se demander le sens et la pertinence de détruire (pardon, "déconstruire") des concepts de genre qui ont toujours suffi depuis très longtemps sans que ces changements lexicaux aient été induits par des changements réels. Les 78 genres de facebooks ne sont certainement pas la conséquence d’une mutation soudaine de l’expression et de la conception du genre dans les pays occidentaux mais ont plutôt été amenés par de l’idéologie. En fait, on peut même arguer que c’est potentiellement l’existence même de ces nouveaux concepts qui ont exacerbé la dysphorie généralisée, sans doute aidés (c’est mon opinion) par une crise très occidentale de l’identité dans un monde en plein bouleversement. ..
+ 10 -

Bellus En réponse à Trucusation

Le genre n'a pas de base scientifique mais sociologique. Ne confond pas genre et sexe.
+ -7 -

Trucusation En réponse à Bellus Vermisseau

La sociologie relève davantage de la discipline que de la science
+ 5 -

Orme Dresseuse de lombriks

Good. Le LGBTBBQ++!!!!1!LOL!! woke ça devenait n'importe quoi, il est temps de poser des limites claires.
+ 0 -

MartyMcFly En réponse à Orme Vermisseau

Ouais, ils commençaient a avoir peur de manquer de lettres de l'alphabet....
+ -3 -

Tandy En réponse à Orme Vermisseau

Je sens bien et régulièrement que le wokisme empoisonne ton existence au quotidien ma chère Orme. Moi, en rien, surtout que je défie qui que ce soit de définir ce terme (bien diffusé dans les esprits de droite, voire très à droite) et de m'expliquer en quoi certains seraient wokes, d'autre moins et d'autre pas du tout. Sache toutefois que j'imagine ta souffrance et que je compatis.
+ 1 -

Orme En réponse à Tandy Dresseuse de lombriks

Image de Orme
+ -1 -

Tandy En réponse à Orme Vermisseau

Je suis pris jusqu'à cette fin de semaine et loin de chez moi. Je reviendrai avec, moi aussi, une analyse menée par une IA. On verra bien si tout est vu de manière égale. Mais, les fachos qui n'aiment pas qu'on les qualifie ainsi, se délecte avec une variété d'appellations (islamogauchisted, bien-pensants...,wokes) dont ils abusent, dévient le sens et la portée. Les fachos et certain.e.s ici...
+ -1 -

Boozy En réponse à Tandy LoMBriK addict !

Erf, c'est marrant, c'est ce que j'allais te dire, le mot woke est un genre de terme miroir du mot facho, c'est balancé à toutes les sauces, à n'importe qui et c'est ceux qui abusent de l'un qui réclameront le plus aux autres de définir l'autre.
+ -1 -

g012 En réponse à Tandy Asticot

Il s'agit notamment des gens qui ne sont pas d'accord avec cette décision de justice.
+ 1 -

Quark Lombric

Je ne comprends pas, au RU les personnes nées biologiquement "féminin" n'étaient pas forcément désignées comme des femmes?
Elle étaient désigné comme quoi alors?
Un bien matériel appartenant au père et futur mari?
+ 5 -

Ptitequequette En réponse à Quark Vermisseau

Non, mais disons qu’avec cette "loi", les personnes trans ne pourront plus se dire femmes au même titre que celles qui sont nées biologiquement femmes. Cela permettrait de préserver les espaces réservés aux "vraies" femmes. Par exemple, si tu es une personne trans (femme trans), tu continuerais d’utiliser les toilettes pour hommes, de participer aux catégories masculines dans le sport etc
+ -1 -

Tandy En réponse à Ptitequequette Vermisseau

Bien sûr... Raisonnement rétrograde.
+ 0 -

Ptitequequette En réponse à Tandy Vermisseau

j'explique seulement le contexte de la vidéo. je n'ai pas donné mon avis.
+ 6 -

Orme En réponse à Quark Dresseuse de lombriks

C'est parce qu'il y a eu plusieurs abus sur les lois d'égalité de genre que cette légifération est devenue nécessaire.

• Des athlètes masculins qui se sont déclarés femmes afin de profiter de leur entraînement musculaire masculin dans des catégories 'plus faciles' pour eux ;

• Et plus graves, des obsédés sexuels masculins qui se déclarent femmes afin d'avoir accès aux lieux réservés aux femmes alors qu'ils ont encore leurs bites.
+ 0 -

Quark En réponse à Orme Lombric

D'accord, donc c'est à la fois une clarification et surtout, une protection pour celles "nées femmes"
À ce sujet, où en est la loi française?
+ 3 -

coraumonts Vermisseau

Extraits du magazine Cerveau & Psycho de mars.
Image de coraumonts
+ -2 -

Nainbierophile Lombric

Ça sert surtout à envoyer les personnes trans dans les prisons correspondant à leur sexe biologique, ce qui équivaut à des peines de morts pour les femmes trans dans les prisons pour homme. La plupart préfèrent le suicide aux viols à répétition. C'est le fascisme.
+ 1 -

magnussoren En réponse à Nainbierophile Ver (re-)cyclable

c'est aussi pour éviter que les détenues femmes se fassent violer par des femmes trans en prison...
+ 1 -

Toto769 En réponse à magnussoren Vermisseau

Il faudrait créer des prisons trans, mais les femmes trans pourraient se faire violer par des femmes trans.
Il faudrait donc créer des prisons pour les femmes trans violées et d'autres prisons pour les femmes trans violeuses...
+ 0 -

belnea En réponse à Nainbierophile Vermisseau

c'est facile. il suffit de respecter la loi pour ne pas se retrouver en tôle
Inscrivez-vous ou Connectez-vous pour envoyer un commentaire
47