La bas le consommateur est autorisé à posséder une petite quantité sur soi de coke et de canabis . Et les dealer sont quand à eux sanctionné par de la prison mais à mon avis seul les dealer qui sont pas des leur son sanctionné ça élimine la concurrence
Petite donc pas vraiment légalisé du coup. J'ai plus de 10 litres de bières trappistes dans ma cave, je n'ai jamais eu d'ennui avec la justice pour ça.
La France est l’un pays les plus consommateurs de canabis et cocaine, dans toute les couches de la société il y’a des drogués , de la classe populaire , en passant par la classe moyenne , la bourgeoisie et même chez les politiques. Le dealer comme c’est précaire c’est forcément le gars de la classe populaire qui s’y colle comme aux mcdo . Je pense que les autorités ne souhaitent pas réellement endiguer le trafic de drogues car s’il le faisait on ne pourrait plus acheter de drogues aussi facilement. Mais ils ne peuvent pas non plus légaliser car la majorité des gens sont contre la drogue . D’ailleurs ça se voit au faible sanction qui sont d’ailleurs plutôt symbolique et rarement appliquée sur les consommateurs 200€ d’amendes , on touche pas à nos gosses .
Pas de légalisation du cannabis (mais d'autres drogues aussi), soit parce que cela ne les intéresse pas (ils préfèrent conserver l'image de la lutte contre la drogue, profiter du blanchiment d'argent, etc.), soit par ignorance des avantages que cela pourrait apporter, aussi bien pour eux que pour la société. À mon avis, c'est un peu des 2. Mais certainement pas parce que les gens sont contre (26 fois le 49.3 sous macaroni ça veut tout dire...).
d'ailleurs pour les drogues douces, l'opinion est quasiment divisée à 50/50. Et si l'on expliquait réellement aux gens les bénéfices d'une légalisation, ça permettrait d'éliminer de nombreux préjugés. Non pas en prétendant que la drogue est "bonne", mais en montrant que la légalisation serait bénéfique pour tous. Sauf pour les dealos.
Le risque est que l’appétence pour l'argent facile fasse que les réseaux criminels recentreront leurs activités sur d'autres drogues plus nocive, plus addictive ... que celles qui viennent d'être légalisées et le vendront avec l'argument que les autres sont trop "has been".
Et ça serait le retour à la case départ.
Le seul moyen de se débarrasser du problème des trafics et de modifier le rapport bénéfice/risque donc d'offrir de vrais emplois à ceux qui en souhaitent afin de limiter la main d’œuvre recrutable, de favoriser la dénonciation du fournisseur et de condamner rapidement à de la prison ceux impliqués dans ces trafics.
Problème, vu les proportions que le problème a pris, il va falloir au moins tripler le nombre de place de prison le temps que le problème soit réglé.
Il y a une différence entre les risques potentiels et les faits. Or, les faits démontrent que c'est justement la prohibition d'une drogue ou son prix excessif qui entraînent l’apparition de substances alternatives, plus nocives ou non, ainsi que de nouveaux modes de consommation. (Par exemple le HHC semblable au THC, le 2C-B, ou si l'on parle de l’interdiction de d'alcool, on peut citer l'alcool frelaté.)
Tes solutions sont nobles mais irréalisables compte tenu de la situation actuelle. À choisir je préfère que les consommateurs achètent leurs drogues via des circuits légaux, plutôt que chez des dealers qui les coupent avec de la merde.
Si un pays avait réussi à annihiler le trafic de toutes les drogues en autorisant une ou deux d'entre elles, cela se saurait. Pour le moment, les résultats annoncées sont plutôt mitigé. Pas de vrais échec mais pas de franches réussite non plus.
Quant aux pays apparemment très sévère, beaucoup ne font que semblant en faisant des exemples donc la encore, c'est l'échec...
Ce qui s'est passé avec la prohibition aux USA et notamment les productions dangereuses est une combinaison entre l'absence de prise en compte de l'effet addictif, l'effet attractif de l'interdit et l'appât du gain.
S'il n'y avait pas eu d'addiction et la volonté de "braver l'interdit", il n'y aurai pas eu de montée des prix. Sans cette montée des prix, il n'y aurait pas eu de réseau criminel pour en tirer profits à tout prix (produits frelatés, tueries, règlements de compte ...).
Les réseaux criminels sont assez inventifs lorsqu'il s'agit de créer un marché captif. Si tu leur coupes les vivres sur un marché, ils vont tenter de se refaire ailleurs et vu qu'il existe déjà des produits plus dangereux et addictif, ils peuvent parfaitement réussir.
Ils sont capables d'utiliser l'effet de mode ou l'interdit pour inciter quelques consommateurs à utiliser de nouveaux produits ou d'avoir recours à des produits déguisés.
Une fois les premiers consommateurs attrapés, ils n'ont plus qu'à inciter ceux-ci à trouver de nouveaux consommateurs pour avoir leurs doses gratuites et ainsi multiplier les consommateurs.
Sauf que l'argument politique "ça cautionne le trafic et les morts" pour le cannabis, n'est pas la réalité, beaucoup de gens conscients préfèrent largement faire pousser chez eux pour leur conso car c'est simple et plus safe sur beaucoup d'aspect (santé entre autre). On va pas se mentir des consommateurs de stup il y en a dans la police et chez nos politique aussi, certain spécialistes des addictions prétendent que la pire drogue en france est l'alcool par ses effets et l'aspect légal (à voir si le fait d'en légalisé d'autre changerait le classement). Pour ce qui est du fait d'être influençable à passer d'une drogue douce à une drogue dure je doute vraiment du principe, cela est vrai que pour une minorité. Sinon on interdit l'alcool car dans le même délire ça peut te faire passer à la drogue douce puis à la drogue dur voir à la drogue dur direct. Dans la réalité des fait c'est le pognon qui gère le propos de nos gouvernant, pas la responsabilité sociétale.. Il y a aussi la réalité que l'argent du trafic saisi par les autorités est relativement traçable, ce qui l'est est la partie déclaré ;) des quantités d'argent disparaissent au profit de certain et son pas toujours utilisé comme prévu pour le budget général de l'État, à la mission interministérielle de lutte contre les drogues ou les les conduites addictives...
Oui, certains dirigeants politiques ont sûrement des intérêts plus ou moins directe avec les trafiquants ce qui ne les incitent à faire semblant d'agir
Mais je doute que ce soit la seule chose.
L'influence, c'est pernicieux. Beaucoup de gens ont envie d'être "conforme" avec ceux qu'ils fréquentent et tu le vois dans de nombreux domaine (mode, musique, voitures, ...).
Refuser une simple bière ou un verre de vin à tendance à provoquer un certain étonnement de la part de ceux habitués à consommer ce qui peut donner le sentiment de ne pas entrer dans le moule. Certaines personnes plus influençables finissent par accepter un verre pour "mieux s'intégrer".
Si les trafiquant perdent un marché, ils peuvent être tenté d'en crée un autre à côté.
Et ils vont sûrement exploiter ce mécanisme pour "placer leurs produits" et tenter de créer des marchés captifs en jouant sur l'addiction.
C'est la-dessus que le gros du passage "drogue douce" à "drogue dur" risque de se faire. Les quelques un qui se disent "maintenant que c'est interdit, ce n'est plus drôle" ne serviront que de catalyseur.
Oui c'est pas pour rien qu'il y a aussi un trafic et du vol sur des produits sucrés type sirop d'érable, ou l'influence du sucre ajouté dans beaucoup de produit dans les supermarché, le problème c'est que si il il y a pénalisation dans des notions idéologiques, généralise, et irresponsable, il n'y aura jamais de prévention possible responsable. L'interdit, l'influence de la peur dans des notions inconscientes n'est pas un moyen responsable il ne permettra pas autre chose que la répression débile sur des intérêts économiques et idéologique parce que face à l'interdit, y'a deux école soit tu l'affrontes et tu le juge soit tu le fuis et tu reste dans la croyance et l'inconscience et oui tout ceci n'est pas dénué d'influence extérieur et interne à ton passif. Au niveau de l’addiction beaucoup de scientifique te disent qu'il y a une forte part génétique et sociétales, et hélas si nos gouvernement font toujours les même choix c'est pas pour notre bien mais pour celui du pognon et du pouvoir ! Être soumit à des banques, des gouvernements qui on les mêmes intérêts que les trafiquants, ya pas de solution tant qu'on ne règle pas la notion de responsabilité supérieur https://www.you...h?v=5fqBzuPo1H0 Il a été placé par qui Macron déjà ? ;)))))
pyjman Vermisseau
Lanceleau En réponse à pyjman Vermisseau
Astre_radieux Ver luisant
Flaneur En réponse à Astre_radieux Ver TikToké
Astre_radieux En réponse à Flaneur Ver luisant
pyjman Vermisseau
Du coup, je pense que par mesure de précaution, il vaudrait mieux interdire l'eau :-D
nimajneB En réponse à pyjman LoMBriK addict !
Astre_radieux En réponse à nimajneB Ver luisant
Orme En réponse à pyjman Dresseuse de lombriks
https://www.cha...ihydrog%C3%A8ne
Bidon85 Vermisseau
BonPublic Vermisseau
En 2018, Gustavo Petro est nommé professeur honoraire à l'Université nationale de Lanús.
OSEA En réponse à BonPublic Vermisseau
Flaneur Ver TikToké
Ptitequequette En réponse à Flaneur Vermisseau
d'ailleurs pour les drogues douces, l'opinion est quasiment divisée à 50/50. Et si l'on expliquait réellement aux gens les bénéfices d'une légalisation, ça permettrait d'éliminer de nombreux préjugés. Non pas en prétendant que la drogue est "bonne", mais en montrant que la légalisation serait bénéfique pour tous. Sauf pour les dealos.
Bidon85 En réponse à Ptitequequette Vermisseau
Et ça serait le retour à la case départ.
Le seul moyen de se débarrasser du problème des trafics et de modifier le rapport bénéfice/risque donc d'offrir de vrais emplois à ceux qui en souhaitent afin de limiter la main d’œuvre recrutable, de favoriser la dénonciation du fournisseur et de condamner rapidement à de la prison ceux impliqués dans ces trafics.
Problème, vu les proportions que le problème a pris, il va falloir au moins tripler le nombre de place de prison le temps que le problème soit réglé.
Ptitequequette En réponse à Bidon85 Vermisseau
Tes solutions sont nobles mais irréalisables compte tenu de la situation actuelle. À choisir je préfère que les consommateurs achètent leurs drogues via des circuits légaux, plutôt que chez des dealers qui les coupent avec de la merde.
Bidon85 En réponse à Ptitequequette Vermisseau
Quant aux pays apparemment très sévère, beaucoup ne font que semblant en faisant des exemples donc la encore, c'est l'échec...
Ce qui s'est passé avec la prohibition aux USA et notamment les productions dangereuses est une combinaison entre l'absence de prise en compte de l'effet addictif, l'effet attractif de l'interdit et l'appât du gain.
S'il n'y avait pas eu d'addiction et la volonté de "braver l'interdit", il n'y aurai pas eu de montée des prix. Sans cette montée des prix, il n'y aurait pas eu de réseau criminel pour en tirer profits à tout prix (produits frelatés, tueries, règlements de compte ...).
Les réseaux criminels sont assez inventifs lorsqu'il s'agit de créer un marché captif. Si tu leur coupes les vivres sur un marché, ils vont tenter de se refaire ailleurs et vu qu'il existe déjà des produits plus dangereux et addictif, ils peuvent parfaitement réussir.
Ils sont capables d'utiliser l'effet de mode ou l'interdit pour inciter quelques consommateurs à utiliser de nouveaux produits ou d'avoir recours à des produits déguisés.
Une fois les premiers consommateurs attrapés, ils n'ont plus qu'à inciter ceux-ci à trouver de nouveaux consommateurs pour avoir leurs doses gratuites et ainsi multiplier les consommateurs.
OSEA En réponse à Bidon85 Vermisseau
Bidon85 En réponse à OSEA Vermisseau
Mais je doute que ce soit la seule chose.
L'influence, c'est pernicieux. Beaucoup de gens ont envie d'être "conforme" avec ceux qu'ils fréquentent et tu le vois dans de nombreux domaine (mode, musique, voitures, ...).
Refuser une simple bière ou un verre de vin à tendance à provoquer un certain étonnement de la part de ceux habitués à consommer ce qui peut donner le sentiment de ne pas entrer dans le moule. Certaines personnes plus influençables finissent par accepter un verre pour "mieux s'intégrer".
Si les trafiquant perdent un marché, ils peuvent être tenté d'en crée un autre à côté.
Et ils vont sûrement exploiter ce mécanisme pour "placer leurs produits" et tenter de créer des marchés captifs en jouant sur l'addiction.
C'est la-dessus que le gros du passage "drogue douce" à "drogue dur" risque de se faire. Les quelques un qui se disent "maintenant que c'est interdit, ce n'est plus drôle" ne serviront que de catalyseur.
OSEA En réponse à Bidon85 Vermisseau