Allogreffe

C’est une avancée médicale d’une portée exceptionnelle : à Marseille, une femme atteinte du VIH a été potentiellement guérie grâce à une allogreffe de moelle osseuse, une prouesse qui n’avait jamais été réalisée en France. Ce traitement repose sur une approche révolutionnaire. Lors de l’allogreffe, la patiente a reçu la moelle osseuse d’un donneur présentant une mutation génétique rare, appelée CCR5-Δ32. Cette mutation rend les cellules immunitaires du donneur naturellement résistantes au VIH, empêchant le virus de s’y fixer et de se multiplier. En remplaçant progressivement les cellules de l’immunité de la patiente par celles du donneur, le virus perd son terrain d’action et ne peut plus se propager dans l’organisme.

C’est cette combinaison unique de traitement contre une autre maladie nécessitant une greffe (souvent un cancer du sang) et l’effet de la mutation CCR5-Δ32 qui permet une telle guérison. Seulement huit personnes dans le monde ont connu un tel succès, car cette méthode est extrêmement complexe et réservée à des cas très particuliers où la greffe est médicalement justifiée. Mais cette réussite symbolise un véritable espoir. Elle ouvre la voie à de nouvelles stratégies thérapeutiques, que ce soit pour reproduire cet effet à travers des greffes ou développer des traitements ciblés utilisant la mutation CCR5-Δ32. Ce n’est pas seulement une victoire médicale, c’est un message d’espoir vibrant : chaque étape franchie rapproche l’humanité d’une solution définitive au VIH.

C’est une avancée médicale d’une portée exceptionnelle : à Marseille, une femme atteinte du VIH a été potentiellement guérie grâce à une allogreffe de moelle osseuse, une prouesse qui n’avait jamais été réalisée en France. Ce traitement repose sur une approche révolutionnaire. Lors de l’allogreffe, la patiente a reçu la moelle osseuse d’un donneur présentant une mutation génétique rare, appelée CCR5-Δ32. Cette mutation rend les cellules immunitaires du donneur naturellement résistantes au VIH, empêchant le virus de s’y fixer et de se multiplier. En remplaçant progressivement les cellules de l’immunité de la patiente par celles du donneur, le virus perd son terrain d’action et ne peut plus se propager dans l’organisme.

C’est cette combinaison unique de traitement contre une autre maladie nécessitant une greffe (souvent un cancer du sang) et l’effet de la mutation CCR5-Δ32 qui permet une telle guérison. Seulement huit personnes dans le monde ont connu un tel succès, car cette méthode est extrêmement complexe et réservée à des cas très particuliers où la greffe est médicalement justifiée. Mais cette réussite symbolise un véritable espoir. Elle ouvre la voie à de nouvelles stratégies thérapeutiques, que ce soit pour reproduire cet effet à travers des greffes ou développer des traitements ciblés utilisant la mutation CCR5-Δ32. Ce n’est pas seulement une victoire médicale, c’est un message d’espoir vibrant : chaque étape franchie rapproche l’humanité d’une solution définitive au VIH.

Envoyé par Flaneur Hier à 21h59

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GruikMan Vermisseau

Si on pouvait soigner la connerie par une allogreffe !!!
Non mais allô quoi !!!
+ 2 -

BonPublic Vermisseau

A été potentiellement guérie…

OK, je retourne me coucher.
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Nioa Vermisseau

On greffe de tout aujourd’hui, des reins, des bras, un coeur. Sauf les couilles. Par manque de donneur
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