Un bateau de garde-côtes chinois percute intentionnellement un bateau philippin

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Eaux territoriales contestées.
ça va péter un jour

Envoyé par Shoot le 1 septembre 2024 à 11h28

+ 12 -

Shoot Vermisseau

En termes de revendication , la Chine abuse un peu.
Image de Shoot
+ 11 -

Ced En réponse à Shoot Lombrik

Il y a ce type d'histoire au moins une fois par semaine en ce moment depuis quelques années...

Vue que c'est un peu un de mes terrains d'études depuis une dizaine d'années, je peux juste dire que c'est un "brin" plus complexe que ce qu'on peut entendre dans les médias occidentaux et qu'il faut absolument regarder la presse internationale (i.e. chinoise, vietnamienne, indonésienne, philippine, taiwanaise, etc...) afin de bien comprendre les choses. Et il faut aussi lire les livres sur le sujet, il y en a plein de passionnants sur la Mer de Chine du Sud, mais aussi sur celui de la Mer du Japon et toutes les mers autours également, tant des points de vue scientifiques qu'historiques, géographiques ou légalistes.

Ce genre de conflits existe depuis des années en Asie du Sud Est, et j'y suis confronté dans mon boulot tous les jours. Ca impacte énormément la façon d'exprimer les choses car on doit marcher systématiquement sur des oeufs suivant qu'on parle avec des Philippins, des Chinois, des Vietnamiens, des Japonais, etc... Dans le cas spécifique de la Mer de Chine, il y a d'un côté l'histoire des colonisations successives, d'un autre les revendications ethniques, d'un autre les demandes d'accès à des ressources naturelles (pétrole, gaz, pêche, terres rares, eau douce, etc...), et encore d'un autre la législation du droit maritime internationale rédigée en grande partie par... les Occidentaux! Et tu rajoutes par dessus les vues des dirigeants politiques des états concernés...

Au final, c'est un vrai casse tête qui peut arriver à des trucs aussi déconcertants que des interruptions de projets car, à un moment, tu as mis un petit nom vietnamien (par exemple) sur une carte alors que les Chinois ne le reconnaissent pas, et inversement... Alors, tu peux aussi adopter la solution binomiale, assez simple, mais elle n'est pas toujours souhaitée non plus. Au final, c'est très très compliqué et c'est parfois autant la faute de tous...

Ceci étant, beaucoup de spécialistes ne pensent pas que ça va péter militairement parlant, c'est à dire avec des bombes et autres. Par contre, il va y avoir une occupation passive de certains territoires, sans forcément un rejet des populations locales d'ailleurs dans l'absolu.
+ 3 -

Bidon85 En réponse à Shoot Vermisseau

Vu ta carte, il n'y a pas que la chine ...
+ 1 -

Shoot En réponse à Bidon85 Vermisseau

Vu la carte, la frontière rouge (Chine) pénètre vraiment sur les eaux des autres pays.
Ce que ne montre pas la carte ce sont les innombrables petites îles qui agrandissent les eaux territoriales.
La Chine avait même construit des îles artificielles dans ce but.

https://www.lat...ale-951709.html
"Îles artificielles : la stratégie risquée de Pékin en mer de Chine
15 févr. 2023 — Au titre de ces installations permanentes, la Chine occupe une vingtaine d'îles dans l'archipel des Paracels, dont six disposent d'un port"

D'où tout ce bordel.
+ -6 -

Bidon85 En réponse à Shoot Vermisseau

J'avais lu cette histoire d'îles artificielle.

Si les américains faisaient de même, je suis sur que beaucoup de gens trouveraient ça "normal" parce que tu es propriétaire de ce que tu construits
Et comme tu es automatiquement propriétaire des eaux qui sont autour à cause des vieilles règles colonialiste ...

Les chinois essayent d'utiliser les règles à leurs avantages et ça semble logique.
+ 0 -

Ced En réponse à Shoot Lombrik

Plus que les îles dont la définition peut changer en fonction du niveau de l'eau, c'est la nature de la croûte qui est en dessous qui peut poser problème. Selon le droit de la mer, une zone économique exclusive (ZEE) est un espace maritime sur lequel un état côtier exerce des droits souverains et économiques en matière d'exploitation et d'usage des ressources naturelles. Cette zone est située entre la ligne littorale (ligne de base définie par la moyenne des eaux à marée basse) jusqu'à 200 milles nautique (~370 km au large); au delà tu es en eaux internationales. Par contre, il y a une confusion qui est entretenue avec la limite du plateau continental qui peut aller au delà de cette zone et permettre éventuellement de pousser au large les limites de la ZEE en matière de sol et de sous-sol, ce qui n'est pas le cas pour la colonne d'eau.

C'est notamment le cas en Mer de Chine où il y a une limite encore mal connue entre la croûte continentale et la croûte océanique, en plus d'une revendication de petits îlots (parfois de la taille d'un rocher d'une dizaine de mètres de long découvert à marée basse dans les coefficients de marée les plus hauts) et où il n'y a pas même un palmier. Les marées en Mer de Chine ne sont pas énormes (~1.5 à 2m) mais cela suffit parfois à faire émerger des hauts fonds. C'est le cas des Spratleys, des Scarborough et des Senkaku où seulement quelques cailloux sont émergés à marée haute mais beaucoup plus à marée basse. Une conséquence de tout cela est que chaque pays en ce moment se presse de revendiquer les choses car le niveau de l'eau monte, et donc va faire échouer des bateaux, met un ou deux clampins en attendant sur l'île avec un drapeau, puis fait de l'exploration pour savoir quel est le caillou qui compose le substratum. La définition géologique de ces petits cailloux peut donc avoir des conséquences gigantesques par la suite.

A cela s'ajoute la notion de droit ancestral. Ca existe pour tout les pays autour de la Mer de Chine, qui font valoir l'histoire, parfois en montrant des cartes erronées ou sur des périodes mal-définies et avec des personnages historiques à qui on fait dire des choses différentes selon les traductions... Pour la Chine, c'est notamment le cas de Taïwan, qui a été colonisée au 17ème Siècle par les Chinois, puis par les Japonais en 1895. A la fin de la Seconde Guerre Mondiale, les Japonais se retirent, les Chinois revendiquent de nouveau l'île et Tchang Kei-chek du Parti Nationaliste Chinois y débarque avec des militaires, des maladies et un début de famine. Des conflits commencent, et c'est le début de la Terreur Blanche, une loi martiale introduite par Tchang Kei-chek. En 1949, Tchang Kei-chek perd les élections en Chine continentale face au Parti Communiste Chinois de Mao et se replie définitivement à Taïwan avec environ 2 millions de Chinois continentaux. La conséquence est le début d'une dictature appuyée par les Etats Unis. En 1978, Chiang Ching-kuo (fils de Tchank Kei-check) devient président, assouplit peu à peu la loi martiale avant de l'abroger définitivement en 1987. La première élection présidentielle au suffrage universel direct a lieu en 1996. Mais, pendant tout ce temps, les peuples autochtones de Taiwan, connus sous le nom de Yuanzhumin (littéralement "habitants originels") ou, en français, sous le nom d'Aborigènes de Taïwan, ont très peu de droits. Aujourd'hui, ils n'ont d'ailleurs toujours pas forcément les mêmes droits qu'ils avaient avant l'ère coloniale (d'abord européenne, puis japonaise puis chinoise).
+ -2 -

Shoot En réponse à Ced Vermisseau

A Taiwan, ils sont boudhistes chinois, ils parlent chinois, de culture chinoise, sont physiquement chinois.
Mao voulait éliminer Tchank Kei-check qui s'est réfugié à Taiwan, ce qui faisait l'affaire de Mao et l'a laissé tranquille (son St Hélène).
Taiwan a été rétrocédé à la Chine dans les années 90 comme Hong Kong.
Taiwan n'est pas reconnu par l'ONU comme étant un pays, c'est pour dire
Le coup des "Aborigènes" c'est de la propagande occidentale et c'est insultant pour les vrais d'Australie..
+ 0 -

Ced En réponse à Shoot Lombrik

Je pense que tu devrais aller à Taïwan et en Chine pour te rendre compte de l'inexactitude de ton commentaire. Et, par endroit, ton discours a vraiment des relents de racisme primaire...

Déjà, la Chine, c'est 18 fois la France en terme de territoire et, comme en France, il y a des particularités physiques qui sont fonction des régions (climats, concepts d'insularité, etc...) mais aussi des migrations de populations. Tout comme en France, avec toutefois une tendance au métissage moindre qu'en France du fait de la fermeture du pays jusqu'à la fin des années 1980. Mais elle existe pourtant, et elle est parfois très grande: par exemple, tu trouveras des Chinois qui ressemblent à des Turques d'Anatolie, à des Perses, à des Mélanésiens, à des Eurasiens, à des Japonais, etc... car ils sont issus de mélanges anciens (les 500 dernières années de la Chine sont quand même marqués par un grand nombre de périodes coloniales auxquelles se surimposent les échanges culturels et économiques). Et depuis que la génétique est rentrée dans ces études, on s'aperçoit que la diversité est encore plus vaste. Tu as cependant raison de dire que Taïwan est essentiellement chinoise, mais il faut préciser derrière de la civilisation Han (ce qui a son importance, tu en conviendras!) - à ceux là, s'ajoutent environ 600 000 aborigènes, qui est le terme officiel international pour désigner les populations anciennes de Taïwan (donc là, tu as tort) et dont la faible proportion reflète très bien la topographie du pays, en fait.

Pour la religion, c'est très compliqué car les définitions changent, tout comme les préceptes liés à la culture de parti unique (République Populaire de Chine) ou de multipartisme et de multiculturalisme (Taïwan). La religion en Chine est très diverse, avec tout d'abord la religion dite populaire (environ 70% de la population). La religion populaire correspond à un mélange de cultes des dieux anciens et des ancêtres (56%), de taoïsme populaire (13%) et de bouddhisme (~14%), avec du confucianisme et des traditions locales qui sont parfois tous deux classés dans la religion, la philosophie ou la culture. Tu peux aussi rajouter là-dedans 33 millions de Chrétiens, 21 millions de Musulmans et, surtout, 168 millions de sans religion mais qui ont des préceptes philosophiques bouddhistes, taoïstes, etc... Les Taïwanais sont à 70% bouddhistes et taoïstes (1/3 des Taïwanais pour cette dernière) et ont beaucoup de pratiques locales qui sont tantôt religieuses tantôt philosophiques.

Pour la reconnaissance de Taïwan à l'ONU, je ne vois pas trop en quoi ça fait avancer le schmilblick. Déjà, ce n'est pas une guerre d'indépendance qu'il y a à Taïwan mais un conflit sur la préservation des droits démocratiques qui sont aujourd'hui considérés comme inaliénables. En cela, les Taïwanais sont très attachés aux partis politiques et aux syndicats, à la liberté de création, à la liberté de religion, etc... Il y a donc un vrai refus de la République Populaire de Chine. Ca n'empêche pas Taïwan d'être reconnu par onze états membres de l'ONU ou d'avoir des relations diplomatiques avec presque soixante états membres autrement. En fait, le passeport taïwanais n'est pas reconnu dans quatre pays uniquement (République Populaire de Chine (et Hong Kong), Géorgie, Jamaïque, Maurice, si bien que le passeport taïwanais est reconnu partout ailleurs.

Quant à la rétrocession, ce n'est pas une adhésion à la République Populaire de Chine. Elle célèbre le 25 octobre 1945, date à laquelle Taïwan a été rétrocédé par les Japonais à la République de Chine. Ce nom est toujours le nom officiel de Taïwan. La République Populaire de Chine n'existait absolument pas à ce moment là, puisqu'elle est née en 1949 (avec Mao comme premier dirigeant suprême du pays et dirigeant du Parti Communiste Chinois). La diplomatie reconnait la République Populaire de Chine, mais ça ne veut pas dire qu'elle adhère à la politique de la Chine : c'est par exemple le cas des Etats Unis ou de la France qui, pourtant, soutiennent très largement Taïwan. Donc, l'angle d'attaque que tu prends pour argumenter l'absence de Taïwan est erroné.
+ 3 -

tametame En réponse à Ced Jeune lombric

Wow j'ai tout lu et je suis impressionné par ton argumentation. C'est tres propre, bravo
+ -3 -

Shoot En réponse à Ced Vermisseau

Tu me traites de raciste ? où ça ?
Bien sûr que l'occident soutient cette île chinoise.
TSMC, eaux territoriales qui les rapprochent du Japon, stratégie...
Raisonne par toi-même au lieu de copier/coller des articles qui vont dans ton sens.
+ 1 -

Ced En réponse à Shoot Lombrik

Je ne copie et ne colle rien du tout, ce sont juste des faits et rien que des faits qui font partie de la culture générale. Et j'ai pas de grand mérite non plus à dire cela : je suis allé plusieurs fois en Chine et à Taïwan où j'ai même manqué rester vivre, et je travaille sur l'Asie du Sud-Est depuis Taïwan à la Papouasie depuis une bonne quinzaine d'années.

Du coup, je peux te dire que c'est complètement inexacte de dire que les Chinois parlent chinois car "le chinois" en temps que langue est très bien défini : il s'agit du mandarin, qui est la langue la plus parlée en Chine et au monde (850 millions) mais elle est parlée dans la vie de tous les jours uniquement dans l'est et le nord-est de la Chine (par définition de ce que "beifang hua" (avec des accents) veut dire); par extension, le mandarin dit standard ("putonghua", avec des accents) est la langue officielle du pays. Vient ensuite le wu dans les régions de Shangai, Nankin et Hangzhou (77 millions de locuteurs) et le cantonais dans le Sud-Est de la Chine, ainsi qu'à Hong-Kong et Macao (70 millions de locuteurs) et dans plusieurs autres pays extérieurs à la Chine continentale. Tu peux aussi rajouter le min, parlé dans le Fujian, le Guangdong et à Taïwan (60 millions de locuteurs), partagé avec le hakka (34 millions de locuteurs). Enfin, il y a le xiang dans le Hunan (35 millions de locuteurs) et plein d'autres langues, plus petites. Si tu ajoutes l'ensemble, tu arrives peu ou prou à l'ensemble de la population chinoise, soit 1.3 milliard. Et pour revenir à Taïwan spécifiquement, il y a plusieurs langues officielles, le chinois étant la langue officielle, le chinois et l'anglais les langues de l'internet taïwanais, et le chinois, le taïwanais et le hakka pour les langues maternelles, les deux premières étant essentiellement celles de tous les jours.

Quant au racisme, il est dans ces mots : "physiquement chinois". Peux-tu définir ce que c'est que d'être "physiquement chinois" pour 1.3 milliard d'habitants? Quelque soit l'endroit où tu vas en Chine, il y a des particularités physiques et culturelles plus ou moins prononcées, tout comme c'est le cas dans les pays très étendus à l'histoire longue ou avec des territoires ultramarins. Par exemple, dans le Fujian, les personnes ont la peau brune (mixités mélanésiennes et Europe du sud-ouest, notamment l'Ibérie); dans le Nord-Est, elles sont plutôt eurasiatiques (mixités allemande et russe); dans le nord, elles sont typées mongoles; dans le le sud-est, elles sont typées indiennes, népalaises, pakistanaises, etc, etc, etc... Et tu rajoutes les cultures par dessus.

Tout ça, ça fait une putain de mixité qui fait que la définition de l'européen de base qui désigne les Asiatiques sous le nom de Chinois ou même les Chinois sous le nom de "chinois" est juste fausse et non-avenue, et donc complètement débile.
+ 0 -

g012 En réponse à Ced Asticot

Pour les langues c'est plus trop d'actualité... le mandarin remplace tout, l'école est en mandarin partout et dans tous les services. Les autres sont vouées à disparaître même en langue maternelle, un hakka qui se marie avec un hokkien, bah l'enfant parlera surtout mandarin. Ça va pas résister bien longtemps, même le cantonais finira par tomber.
+ 0 -

Ced En réponse à g012 Lombrik

C'est effectivement un risque, surtout avec la recherche d'unité nationale du gouvernement chinois actuel. Mais cela n'arrivera que si la Chine reste "stable", c'est à dire s'il n'y aura aucun changement dans les lignes de conduite gouvernementales futures. Par ailleurs, il y a aussi les autres endroits (Taïwan, Hong Kong, etc...) et, surtout, la mise en évidence du passé, qui prennent de plus en plus d'ampleur dans la vie des Chinois. Cette appréhension du passé fait partie de la construction nationale vraie, tout comme de la construction du roman national, et finit parfois même par être recherchée par le pouvoir actuel. Qu'en sera-t-il des pouvoirs ultérieurs, donc?
+ -8 -

KukuLele Vermisseau

J'ai un doute sur "qui percute qui"... parce qu'en bateau l'histoire de "la grenouille qui se prend pour un bœuf" ça ne marche pas... Quand tu percutes un bateau 2 à 3 fois plus grand que toi, t'es sûr à 90% que c'est toi qui y laissera des plumes...
+ 1 -

Ced En réponse à KukuLele Lombrik

Selon les règles de navigation (RIPAM), on a plusieurs configurations :
- étape 1 : le navire chinois arrive clairement de bâbord avec les deux navires en mouvement, il est donc en tort
- étape 2 : on est dans un situation inverse car le navire chinois arrive sur tribord mais la manœuvre est clairement fait pour éperonner l'arrière (cf. queue de bateau) et il est manifestement plus petit, il est donc en tort car plus manœuvrable et la situation d'abordage est voulue
- étape 3 : le navire chinois arrive sur tribord pour éperonner un navire manifestement à l'arrêt ou à vitesse très réduite, il est donc en tort si navire clairement rattrapant
- étape 4 : le navire chinois éperonne sur bâbord l'arrière du Teresa Magbanua (Philippin) qui semble à vitesse réduite voire à l'arrêt, il est donc navire rattrapant donc en tort. D'ailleurs, on voit que le navire philippin remet les gaz (cf remous et fumée) afin de s'extirper de la situation.

Bref, dans les quatre étapes, le navire chinois est en tort systématiquement. Un litige peut cependant exister dans l'étape 3 et le différentiel de vitesse fera l'affaire (données GPS et récupération de bord).

Tout est expliqué ici : https://www.cul...se3_cours.xhtml
+ -2 -

KukuLele En réponse à Ced Vermisseau

Ce n'est pas une question de toute la science que tu as déblatéré... mais juste un peu de bon sens. Avoir un navire 3 fois moins gros et percuter volontairement l'autre cela s'appelle ni plus ni moins du suicide. N'importe quel marin te le dira.
+ -1 -

Ced En réponse à KukuLele Lombrik

Sauf que c'est complètement l'inverse qui se passe : le plus gros percute le plus petit, et en plus,il le fait en abusant les règles générales de la navigation. S'ajoute à cela qu'un navire plus petit est en général (et je dis bien en général) plus maniable sur une mer peu agitée mais ce n'est pas forcément le cas sur une mer forte. Et le mode de propulsion voire ce qu'un des deux navires trainent ou s'il est en opération rentrent aussi en compte. Donc, non, rien n'est évident en fait...
+ -1 -

KukuLele En réponse à Ced Vermisseau

La "première partie" (puisqu'on peut distinguer 2 morceaux d'images sur la vidéo) : "China Coast Guard", un bateau plus petit que la vidéo qui semble être filmé sur la vidéo sur un navire "prétendument" percuté... Et qui est clairement plus gros que le "China Coast Guard" (d'où mon questionnement sur "suicide" et "petite taille de navire")... Et après... des images qui n'ont plus l'air d'avoir en commun, subitement un navire qui percute la poupe, alors que la première partie montrait une percussion au niveau de la proue ?!.

Petite question aux amateurs qui aiment dérouler leur science sur des sites comme LLB : vous en avez pas marre de déblatérer votre science sans raison et après jouer les innocents ?
+ -1 -

Nioa Vermisseau

Sont fort ces Chinois
+ 0 -

hoodoo Vermisseau

2026
+ 1 -

Taldwin Vermisseau

en vrai, ils doivent se faire chier sur leur bateau à patrouiller. Et imagine tu vois un autre bateau avec des gens qui se font chier à patrouiller... tu n'as pas le droit de tier et tu es fan de sea of thieves? et bah foooooonce dedans!!!! Qui osera contredire que des fois on fait aussi les cons au boulot dans nos boulots respectifs ?
+ 0 -

GruikMan Vermisseau

Qu'on donne des torpilleurs aux Philippines et au Vietnam et le problème il va être vite répondu...
+ 2 -

Ced En réponse à GruikMan Lombrik

On a bien essayé avec Taïwan, mais ça ne s'est pas très bien terminé!! :)
https://fr.wiki..._de_Ta%C3%AFwan
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