Mais OSEF que vous êtes en sous-effectif, quelle tentative de culpabilisation de merde...
"partir sans prévenir", bah oui, ça servirait à quoi de prévenir à l'avance pour se faire traiter comme de la merde pendant des semaines ?
La rupture conventionnel se conclut lorsque les deux parties se mettent d'accord. Si l'entreprise n'est pas au courant, il y a un loup ...
Quand à la "tentative de culpabilisation" c'est surtout pour amorcer le fait que l'entreprise ne va sans doute pas accepter la demande.
En l'occurrence, l'entreprise EST au courant, puisque la personne au téléphone dit qu'elle vient de recevoir la demande de rupture conventionnelle.
Il s'agit juste d'une procédure légale qu'on engage par principe, même quand elle a toutes les chance d'échouer, du fait de son caractère amiable, et du droit à une indemnité spécifique et à l'accès au chômage dans le cas où elle aboutirait (on ne sait jamais !).
A priori, il n'y a aucune obligation de se mettre d'accord AVANT de faire cette demande, d'autant qu'elle est censée ne contenir que des références administratives connues et les desiderata de l'employé qui souhaite partir. Cette demande marque le début de la procédure, dont la deuxième étape est un entretien qui permet justement d'en discuter. Ce n'est qu'après cet entretien qu'une convention de rupture conventionnelle pourra être établie, laquelle devra ensuite être validée avant que la fin de contrat sous ces conditions puisse survenir.
L'idéal serait bien évidemment d'avoir affaire à un employeur conciliant et qui traite ses employés avec égard, avec qui il serait possible d'organiser un départ à l'amiable, dont l'enclenchement de la procédure serait l'aboutissement. Mais dans les faits, ça n'arrive pas souvent.
Et justement, ça ne semble pas être le cas dans la vidéo. La « surprise », la « tentative de culpabilisation » et l'allusion aux « problématiques» suggèrent plutôt une entreprise peu à l'écoute de ses employés et qui ne voit que ses propres intérêts, ce qui laissait a priori peu d'espoir au gars d'obtenir gain de cause. Dès lors, on comprend mieux pourquoi il part et pourquoi il s'est abstenu de mettre son employeur au courant (quoique, peut-être l'a-t-il fait sans que celui-ci l'écoute).
Et en effet, comme tu dis, il y a de grandes chances qu'il n'y ait pas d'accord pour la rupture conventionnelle.
Pour le coup, tu présentes la rupture conv comme un sujet qui pourrait facilement être attribué, pour avantager le salarié dans ses indemnités.
Mais dans les faits, si l’entreprise n’a pas envie qu’il parte à la base, et que ça va lui compliquer la vie, pourquoi lui prévoir une indemnité plus élevée, et « griller » une cartouche de rupture ?
Dans les faits, on a chez nous déjà eu des retours de l’inspection du travail sur des « taux » anormalement élevés de ruptures conventionnelles, en incitant l’entreprise à les limiter.
Je serai curieux de savoir dans quel secteur tu travailles, pour mieux comprendre ton point de vu. Du côté salarié, je suis plutôt de l’avis de la « tenter », mais je pense qu’un dialogue en amont a plus de chance d’aboutir qu’une demande par courrier. Sur le même principe que je préfère un voisin qui vient me parler, plutôt que de recevoir un courrier de sa part.
Non, je ne présente pas la rupture conventionnelle comme pouvant être *facilement* attribuée, mais comme une façon devenue habituelle de présenter son départ de l'entreprise, dans un contexte où les employeurs sont déjà peu enclins à respecter les lois qui protègent les droits de leurs employés, et encore moins à accepter ce genre de démarche quand leur refus ne risque pas de nuire à leurs propres intérêts.
De son côté, l'employé aurait tort de ne pas en faire la demande, compte tenu des bénéfices qu'il est susceptible d'en tirer s'il dispose d'arguments pour convaincre son employeur d'accepter (notamment en réglant avant son départ les problèmes causés par sa future absence) ou si le fonctionnement erratique ou déshumanisé de l'administration de l'entreprise a quelques chances de lui donner gain de cause. Dans tous les cas, dès lors qu'une discussion honnête et désintéressée avec l'employeur n'est pas envisageable, prévenir ce dernier assez tôt (et lui permettre ainsi de prendre d'autres dispositions) ne peut être que dommage pour la réussite de la démarche.
Pour ma part, j'ai travaillé dans de nombreuses entreprises, de tailles très différentes et dans des secteurs d'activité assez variés. Et je n'ai JAMAIS rencontré aucun employeur qui ait accordé une faveur à un employé (à plus forte raison qui serait sur le départ) sans y avoir été contraint par les risques que le mécontentement de ce dernier aurait fait peser sur ses intérêts.
"partir sans prévenir" ça s'appel un abandon de poste ça donc au bout de 15j sans revenir c'est considérer comme une démission, donc osef de la rupture conventionnel
J'adore la nana qui demande au mec de justifier son départ et qui souligne à 00:48 :
..." Y'a eu plusieurs problématiques au sein de l'entreprise ça tu le sais très bien...."
Mais apparemment elle aussi, donc elle ne souhaite pas connaitre les motivations mais juste lui mettre un coup de pression et lui annoncer que la rupture conventionnel, c'est mort.
Ce qu'elle veut dire entre les lignes :
Soit cela va se finir en abandon de poste , soit en démission, mais nous ne reconnaitrons pas nos manquement qui n'ont pas permis ton épanouissement au sein de l'entreprise et le billet que tu essaies de gratter, tu peux te la carrer au cul !
Beaucoup de RH sont des sous merdes, tout comme celle ci apparemment ....
Si, mais seulement si le sujet de base est assez cohérent pour avoir un débat. Sinon, ca ouvre la porte a toute les hypothèses et ca deviens du grand n'importe quoi. Ouais j'chuis très chiant quand je regarde un film.
Ben là le propos c'est les entreprises qui après avoir licencié sans vergogne car elles savaient qu'il était facile de retrouver de la main d'œuvre en cas de besoins, se retrouve bien embêté quand des employés s'en vont sans vergogne car ils savent qu'il leur est facile de retrouver une entreprise.
Et bien sur les pires arguments sont sorti pour les faire culpabiliser.
Ben la, dans la cadre de cette extrait, avant de juger et de prendre partis pour l'un ou l'autre, ca manque de contexte et d'informations.
Autant on peut reconnaitre que la voix qu'on entend est relativement désagréable, autant il est probable que cela soit joué et participe a la diabolisation de la personne au téléphone. De même, en considérant que c'est une vrai conversation téléphonique entre un employé et un DRH, j'aimerait être sur qu'il n'y a pas eu de montage dans les propos permettant de déformer le sens de ce qu'elle dit.
De plus, en cas de demande de rupture a l'amiable, c'est une forme d'entente sur le départ d'un employé. ( j'en ai déja fait une ), entente qui permet de faire sauter le préavis de départ, seulement si les deux partie sont d'accord.
Donc, la procédure a faire si un quelqu'un veut partir à l'amiable :
=> il préviens sa hiérarchie de sa demande de rupture a l'amiable ( oral ou écrit )
=> Si l'entreprise est ok pour l'amiable, elle organise un entretien avec la salarié pour en discuté, et se mettre d'accord sur les dates de fin de contrats, les indemnités, etc.
Ici, de ce que j'en comprends ( la encore, manque d'info ) la gars a envoyé une demande par courrier, et basta, donc, abandon de poste ? Ou c'est le week end ? Manque d'infos.
A coté de cas, un exemple, elle parle de divers probléme qu'il connait déjà. Quel sont ses problèmes ? Est il impliqué ? Pourquoi la vidéo coupe quand elle aborde le sujet de maeva ?
Je prendrais ce genre de vidéos au sérieux quand j'aurait la conversation intégral, sans montage, et avec le contexte précis derrière.
Magret Vermisseau
BonPublic En réponse à Magret Vermisseau
Ombreloup En réponse à Magret Lombric Shaolin
glurp LoMBriK addict !
"partir sans prévenir", bah oui, ça servirait à quoi de prévenir à l'avance pour se faire traiter comme de la merde pendant des semaines ?
Enderion En réponse à glurp Vermisseau
Quand à la "tentative de culpabilisation" c'est surtout pour amorcer le fait que l'entreprise ne va sans doute pas accepter la demande.
le-long-brick En réponse à Enderion Longbric
_pepe_ En réponse à Enderion
Il s'agit juste d'une procédure légale qu'on engage par principe, même quand elle a toutes les chance d'échouer, du fait de son caractère amiable, et du droit à une indemnité spécifique et à l'accès au chômage dans le cas où elle aboutirait (on ne sait jamais !).
A priori, il n'y a aucune obligation de se mettre d'accord AVANT de faire cette demande, d'autant qu'elle est censée ne contenir que des références administratives connues et les desiderata de l'employé qui souhaite partir. Cette demande marque le début de la procédure, dont la deuxième étape est un entretien qui permet justement d'en discuter. Ce n'est qu'après cet entretien qu'une convention de rupture conventionnelle pourra être établie, laquelle devra ensuite être validée avant que la fin de contrat sous ces conditions puisse survenir.
L'idéal serait bien évidemment d'avoir affaire à un employeur conciliant et qui traite ses employés avec égard, avec qui il serait possible d'organiser un départ à l'amiable, dont l'enclenchement de la procédure serait l'aboutissement. Mais dans les faits, ça n'arrive pas souvent.
Et justement, ça ne semble pas être le cas dans la vidéo. La « surprise », la « tentative de culpabilisation » et l'allusion aux « problématiques» suggèrent plutôt une entreprise peu à l'écoute de ses employés et qui ne voit que ses propres intérêts, ce qui laissait a priori peu d'espoir au gars d'obtenir gain de cause. Dès lors, on comprend mieux pourquoi il part et pourquoi il s'est abstenu de mettre son employeur au courant (quoique, peut-être l'a-t-il fait sans que celui-ci l'écoute).
Et en effet, comme tu dis, il y a de grandes chances qu'il n'y ait pas d'accord pour la rupture conventionnelle.
Neox En réponse à _pepe_ Vermisseau
Mais dans les faits, si l’entreprise n’a pas envie qu’il parte à la base, et que ça va lui compliquer la vie, pourquoi lui prévoir une indemnité plus élevée, et « griller » une cartouche de rupture ?
Dans les faits, on a chez nous déjà eu des retours de l’inspection du travail sur des « taux » anormalement élevés de ruptures conventionnelles, en incitant l’entreprise à les limiter.
Je serai curieux de savoir dans quel secteur tu travailles, pour mieux comprendre ton point de vu. Du côté salarié, je suis plutôt de l’avis de la « tenter », mais je pense qu’un dialogue en amont a plus de chance d’aboutir qu’une demande par courrier. Sur le même principe que je préfère un voisin qui vient me parler, plutôt que de recevoir un courrier de sa part.
_pepe_ En réponse à Neox
De son côté, l'employé aurait tort de ne pas en faire la demande, compte tenu des bénéfices qu'il est susceptible d'en tirer s'il dispose d'arguments pour convaincre son employeur d'accepter (notamment en réglant avant son départ les problèmes causés par sa future absence) ou si le fonctionnement erratique ou déshumanisé de l'administration de l'entreprise a quelques chances de lui donner gain de cause. Dans tous les cas, dès lors qu'une discussion honnête et désintéressée avec l'employeur n'est pas envisageable, prévenir ce dernier assez tôt (et lui permettre ainsi de prendre d'autres dispositions) ne peut être que dommage pour la réussite de la démarche.
Pour ma part, j'ai travaillé dans de nombreuses entreprises, de tailles très différentes et dans des secteurs d'activité assez variés. Et je n'ai JAMAIS rencontré aucun employeur qui ait accordé une faveur à un employé (à plus forte raison qui serait sur le départ) sans y avoir été contraint par les risques que le mécontentement de ce dernier aurait fait peser sur ses intérêts.
Let Vermisseau
torbale Lombric Shaolin
MuletPower Vermisseau
..." Y'a eu plusieurs problématiques au sein de l'entreprise ça tu le sais très bien...."
Mais apparemment elle aussi, donc elle ne souhaite pas connaitre les motivations mais juste lui mettre un coup de pression et lui annoncer que la rupture conventionnel, c'est mort.
Ce qu'elle veut dire entre les lignes :
Soit cela va se finir en abandon de poste , soit en démission, mais nous ne reconnaitrons pas nos manquement qui n'ont pas permis ton épanouissement au sein de l'entreprise et le billet que tu essaies de gratter, tu peux te la carrer au cul !
Beaucoup de RH sont des sous merdes, tout comme celle ci apparemment ....
Oblivionis Taret
Z'etes au courant que c'est probablement un faux message et un montage pour une merde sur instagram ?
Ptilupus En réponse à Oblivionis Lombric Shaolin
Bellus En réponse à Oblivionis
Oblivionis En réponse à Bellus Taret
Bellus En réponse à Oblivionis
Et bien sur les pires arguments sont sorti pour les faire culpabiliser.
Oblivionis En réponse à Bellus Taret
Autant on peut reconnaitre que la voix qu'on entend est relativement désagréable, autant il est probable que cela soit joué et participe a la diabolisation de la personne au téléphone. De même, en considérant que c'est une vrai conversation téléphonique entre un employé et un DRH, j'aimerait être sur qu'il n'y a pas eu de montage dans les propos permettant de déformer le sens de ce qu'elle dit.
De plus, en cas de demande de rupture a l'amiable, c'est une forme d'entente sur le départ d'un employé. ( j'en ai déja fait une ), entente qui permet de faire sauter le préavis de départ, seulement si les deux partie sont d'accord.
Donc, la procédure a faire si un quelqu'un veut partir à l'amiable :
=> il préviens sa hiérarchie de sa demande de rupture a l'amiable ( oral ou écrit )
=> Si l'entreprise est ok pour l'amiable, elle organise un entretien avec la salarié pour en discuté, et se mettre d'accord sur les dates de fin de contrats, les indemnités, etc.
Ici, de ce que j'en comprends ( la encore, manque d'info ) la gars a envoyé une demande par courrier, et basta, donc, abandon de poste ? Ou c'est le week end ? Manque d'infos.
A coté de cas, un exemple, elle parle de divers probléme qu'il connait déjà. Quel sont ses problèmes ? Est il impliqué ? Pourquoi la vidéo coupe quand elle aborde le sujet de maeva ?
Je prendrais ce genre de vidéos au sérieux quand j'aurait la conversation intégral, sans montage, et avec le contexte précis derrière.
Zobilamouch En réponse à Oblivionis Vermisseau
ouchdinw Vermisseau