Casquette Alstom... Le bonhomme ne manque pas d'air, quand on sait qu'il a vendu la branche énergie de l'entreprise aux Américains, qu'il a ainsi privé la France de brevets stratégiques et de moyens pour assurer la maintenance de sa dissuasion nucléaire, de sa force de projection militaire et de sa production d'électricité (turbines nucléaires Arabelle), et que le rachat de cette entité nous coûte maintenant une fortune, rachat dont par ailleurs la finalisation n'en finit pas d'être retardée par les Américains au nom des sanctions imposées à la Russie.
Tu oublies que cette vente n'a pas été faite de gaieté de cœur, ça faisait plusieurs année que les amerlocks voulaient faire main base dessus et trouvaient tout les prétextes possible pour défoncer cette boite, grâce aux lois exta-territoriales américaines qui leur donne tout pouvoirs judiciaire sur les transactions faites en dollars à travers le monde.
Pour faire bref, ils ont pris l'ancien dirigeant d'Alstom en otage "légal" dans leurs prisons contre rançon, et la rançon, c'était la boite elle-même. Macron est "juste" celui qui a baissé son froc et celui de la France face aux états-unis.
La contrepartie de la prise d'otage n'était pas la vente d'une partie d'Alstom, mais la fabrication d'un dossier juridique contre des dirigeants de l'entreprise.
Ce n'est pas parce qu'on subit des attaques de la part d'un (soi-disant) allié qu'il faut y succomber de bonne grâce. Ce n'est pas non plus parce que des ressortissants français sont menacés ou pris en otage qu'il faut les abandonner à leur sort. Encore moins si, dans le même temps, on choisit d'abandonner les intérêts supérieurs de la Nation.
Cette situation n'avait rien d'inédit, puisque c'est une habitude déjà très ancienne chez nos « amis » américains de nous faire des coups fourrés de cet acabit. Notamment, la deuxième moitié du XXe siècle a été riche en exemples ; nos gouvernants avaient alors suffisamment de répondant et de sens patriotique pour ne pas se laisser faire.
Mais là, ce sont justement ceux qui étaient censés protéger les intérêts stratégiques du pays, et qui en avaient à la fois le pouvoir et les moyens, qui se sont chargés de faire sale boulot. Du reste, cela n'a rien d'étonnant de la part de pro-américains atlantistes convaincus.
Au final, c'est en pure perte que l'otage français a refusé de céder au chantage qu'on exerçait sur lui dans les geôles américaines. Il a pu constater qu'il était vain de se battre et de se sacrifier pour son pays quand nos propres dirigeants servent nos ennemis.
Cette trahison est d'autant moins pardonnable que c'était les Américains qui étaient en situation de faiblesse. Si notre banquier de chez Rothschild n'avait pas baissé *notre* froc, c'est probablement Alstom qui aurait racheté GE pour une bouchée de pain, et pas l'inverse.
BonPublic Vermisseau
Jakarta Lombric
KukuLele Vermisseau
PEM1977 En réponse à KukuLele Vermisseau
_pepe_
Boozy En réponse à _pepe_ LoMBriK addict !
Pour faire bref, ils ont pris l'ancien dirigeant d'Alstom en otage "légal" dans leurs prisons contre rançon, et la rançon, c'était la boite elle-même. Macron est "juste" celui qui a baissé son froc et celui de la France face aux états-unis.
_pepe_ En réponse à Boozy
La contrepartie de la prise d'otage n'était pas la vente d'une partie d'Alstom, mais la fabrication d'un dossier juridique contre des dirigeants de l'entreprise.
Ce n'est pas parce qu'on subit des attaques de la part d'un (soi-disant) allié qu'il faut y succomber de bonne grâce. Ce n'est pas non plus parce que des ressortissants français sont menacés ou pris en otage qu'il faut les abandonner à leur sort. Encore moins si, dans le même temps, on choisit d'abandonner les intérêts supérieurs de la Nation.
Cette situation n'avait rien d'inédit, puisque c'est une habitude déjà très ancienne chez nos « amis » américains de nous faire des coups fourrés de cet acabit. Notamment, la deuxième moitié du XXe siècle a été riche en exemples ; nos gouvernants avaient alors suffisamment de répondant et de sens patriotique pour ne pas se laisser faire.
Mais là, ce sont justement ceux qui étaient censés protéger les intérêts stratégiques du pays, et qui en avaient à la fois le pouvoir et les moyens, qui se sont chargés de faire sale boulot. Du reste, cela n'a rien d'étonnant de la part de pro-américains atlantistes convaincus.
Au final, c'est en pure perte que l'otage français a refusé de céder au chantage qu'on exerçait sur lui dans les geôles américaines. Il a pu constater qu'il était vain de se battre et de se sacrifier pour son pays quand nos propres dirigeants servent nos ennemis.
Cette trahison est d'autant moins pardonnable que c'était les Américains qui étaient en situation de faiblesse. Si notre banquier de chez Rothschild n'avait pas baissé *notre* froc, c'est probablement Alstom qui aurait racheté GE pour une bouchée de pain, et pas l'inverse.