Les paquebots transatlantiques, la fin d'une époque !

Jusque vers le milieu des années 1950, la majorité des voyages Europe-Amérique se faisait par bateau. Mais, inexorablement, les avions, beaucoup plus rapides, nettement moins chers et de plus en plus surs, ont rapidement mis à la ferraille ces magnifiques bâtiments. L'exemple du "France" est criant : venu trop tard, il ne pouvait inverser la tendance...

Jusque vers le milieu des années 1950, la majorité des voyages Europe-Amérique se faisait par bateau. Mais, inexorablement, les avions, beaucoup plus rapides, nettement moins chers et de plus en plus surs, ont rapidement mis à la ferraille ces magnifiques bâtiments. L'exemple du "France" est criant : venu trop tard, il ne pouvait inverser la tendance...

Envoyé par le-long-brick le 31 octobre 2023 à 10h06

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BonPublic Vermisseau

C'est l'aviation qui les a coulés ?
Je croyais que c'était un iceberg !
On nous cache tout.
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GruikMan En réponse à BonPublic Vermisseau

Il lui dit "regardes mes mains"...
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yosegaman Jeune lombric

alors que maintenant, il y a plus gros juste pour aller faire une ballade :)
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GruikMan En réponse à yosegaman Vermisseau

Et bien polluer au passage....
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BonPublic En réponse à yosegaman Vermisseau

Des porte-con… teneurs.
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Ced Lombrik

Je ne suis pas si sûr qu'on puisse comparer de façon aussi unilatérale l'ancien France avec les autres paquebots transatlantiques britanniques et étasuniens comme l'Indépendance (le premier en partant du bas), l'America et le United States (deuxième et troisième) ou même l'Olympia ou le Queen Elizabeth qui rentre au port (celui ci deviendra d'ailleurs un bateau de croisière pour richissimes dès la moitié des années 1960, et non plus vraiment de transport de passagers). En fin de compte, le France a plutôt été très rentable tout au long de sa vie de paquebot transatlantique comparativement à ses comparses, et ce même s'il a subit à la fin de sa vie une rude compétition de la part du Queen Elizabeth 2, lui même en compétition avec les bateaux américains, mais les services proposés à bord, dits "à la française", faisaient qu'il était vraiment vu différemment. Ce qui l'a achevé est surtout la façon dont était gérée la Compagnie Générale Transatlantique à la fin des années 1960 puis au moment du choc pétrolier de 1973/1974, ce qui a fait qu'il a subit un presque total abandon lié au désengagement de l'Etat. Mais, à son rachat pour devenir le Norway, il a quand même eu une assez belle histoire maritime et ce même si cela comportait de sacrées dégueulasseries vis à vis de l'environnement et du régime de classes : c'est un un peu l'adage "autre époque, autre mœurs" encore que ça ressemble énormément à l'avion aujourd'hui!

Dans tous les cas, c'est une histoire très complexe, alliant décisions politiques, économie et révolutions technologiques dans un monde en totale globalisation et avec des individus devenant de plus en plus riches et des batailles internationales de pouvoirs énormes. A cette époque, il faut quand même aussi voir que l'avion sur les voyages longues distances étaient vraiment réservés à une élite alors que les transatlantiques proposaient des classes très différentes. Et, aujourd'hui, il y a aussi de nouveau des projets plus ou moins aboutis de traversée de l'Atlantique par bateau qui sont ouverts à beaucoup plus de monde, certains même à la voile.
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Damutse67 Vermisseau

Rassurez-vous, dans quelques années on n'aura plus assez de pétrole pour prendre l'avion, ça reviendra à la mode le bateau transatlantique
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Henry_Hill En réponse à MuletPower Ver macht addikkkt

Oui mais il n'y aura plus d'eau pour faire de l’hydrogène.
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Whismerhil En réponse à Henry_Hill Vermisseau

Ben si, de l'eau il y en aura de plus en plus justement...c'est juste qu'elle sera salée.
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yosegaman En réponse à Damutse67 Jeune lombric

on mettra des écologistes / wokes pour pédaler à la place de moteurs polluants :p
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h4x0r Lombric Shaolin

J'ai pas lu tout les commentaires mais il y a des lignes transatlantique avec Cunard
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