Espionnage de la populace ...

... après le flicage généralisé de la période COVID, ça va passer comme une lettre à la poste ;)

On se demande bien toutefois pourquoi cela est nécessaire ... GJ anyone ? ^^

... après le flicage généralisé de la période COVID, ça va passer comme une lettre à la poste ;)

On se demande bien toutefois pourquoi cela est nécessaire ... GJ anyone ? ^^

Envoyé par Libel le 23 mai 2023 à 15h12

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punk80sBIS Vermisseau

et si 3 ans plus tard, on passait a autre chose?
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Libel En réponse à punk80sBIS Vermisseau

Heu, tu as loupé un épisode je crois ...

https://twitter...529053164609537

Ou bien tu as mal lu ou compris. Mais c'est là maintenant. Et c'est ton téléphone qui intéresse Macron.
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punk80sBIS En réponse à Libel Vermisseau

ben le truc, c'est que si je voulais aller regarder des merdes conspiratioànnistes sur twitter, je serais sur twitter. c'est pas le bon site, tes posts.
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le-long-brick En réponse à Libel Longbric

Macron... et les autres, ceux d'avant et ceux qui viendront après lui.
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Olili Vermisseau

Je suis vraiment curieux de voir comment ils comptent faire.
Forcer Google a ajouter ça dans le code d'Android ? Une application qu'on sera obligé d'installer ?
Et pour ceux qui ont un vieux smartphone ? Ou une rom custom ?
Dans tout les cas si c'est légale ce sera "identifiable" et on pourra bloquer la demande et / ou l'envoie dans données...
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Cochonnier En réponse à Olili Vermisseau

Arte - Pegasus, un espion dans votre poche
https://www.art...ns-votre-poche/
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ErickMav En réponse à Cochonnier Vermisseau

Oui, en effet... Il faudra recourir à l'installation d'un soft espion type Pegasus.
Or, les tweets alarmistes laissent entendre qu'avec cette loi, la justice française pourrait activer n'importe quel téléphone au bon vouloir du demandeur. Ce qui est techniquement faux.
Il faut une intervention manuelle sur le téléphone pour le pirater. Et cette loi ne change pas cet état de fait mais donne un cadre légal plus précis à ces pratiques.
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Cochonnier En réponse à ErickMav Vermisseau

toi tu penses que c'est les chefs d'etat eux-meme qui ont installé pegasus?
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ErickMav En réponse à Cochonnier Vermisseau

Je dis juste que pour pouvoir techniquement espionner le téléphone d'un tiers, il est nécessaire d'installer un soft type Pegasus (mais il en existe beaucoup d'autres). Je ne dis rien de plus.
Et la diatribe que Libel partage laisse croire qu'il est possible d'espionner un smartphone sur une simple activation de je ne sais quelle fonctionnalité. Ce qui est factuellement faux.
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Libel En réponse à ErickMav Vermisseau

Quand le source est fermé, tu sais ton "factuellement" ... ;)
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_pepe_ En réponse à Libel

Sauf qu'il n'est pas nécessaire de disposer du code source pour constater qu'on peut déjà activer, localiser et écouter ces appareils. C'est donc la possibilité technique (et non pas son impossibilité) qui est factuelle.

Sans compter le fait que des entreprises vendent des kits d'espionnage aux autorités de nos « démocraties », ce genre d'exercice a assez souvent été reproduit durant les sessions de hacking des chercheurs en cybersécurité.
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_pepe_ En réponse à ErickMav

Non. Il est déjà possible actuellement d'activer n'importe quel téléphone ou smartphone « au bon vouloir du demandeur », notamment (mais pas seulement) au moyen de logiciels du type Pegasus, installés grâce à des techniques connues d'infection à distance permises par ces matériels communicants et programmables. Ces moyens sont déjà disponibles et utilisés par les États.

Il suffit par conséquent qu'un appareil soit allumé à un moment (ce qui arrive fatalement quand on s'en sert même très provisoirement) pour qu'on puisse par la suite l'activer ou déclencher une écoute furtive à distance.

Par ailleurs, la localisation et l'identification de certains appareils éteints par leur propriétaire est également possible sans qu'il soit nécessaire d'y injecter un logiciel spécifique ni même de les réactiver.


En fait, la situation que tu contestes, en plus d'être déjà prévue par la loi sous certaines conditions, est techniquement possible et déjà effective.


Le problème qui se pose est l'aggravation attendue des dispositions légales du point de vue des droits des citoyens, concernant leur défense lorsqu'ils sont mis en cause (notamment de façon injuste par la police, comme cela se produit de plus en plus souvent).

En bon communiquant au service du pouvoir, Grably grossit le trait sur un sujet qui n'est pas *exactement* celui dont il est question. Ainsi, il parvient à tromper les gens sans avoir à mentir vraiment.
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Olili En réponse à Cochonnier Vermisseau

oui mais la c'est illégal; si ça devient légale il devrait y avoir un controle de l'utilisation du truc et donc un moyen de savoir non ?
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Ced Lombrik

Sinon, ne pas prendre de téléphone en manif, c'est un peu la base en fait...
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feyfey En réponse à Ced Lombrique girafe cougar chienne poule y dort

Ça et le num d’un avocat sur le bras. :)
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ErickMav Vermisseau

J'avais commencé à préparer une réponse mais au final, le site de BFM précisé dans le tweet initial (https://www.bfm...de%20loi%20tend,%C3%A9tait%20jusqu'ici%20pas%20encadr%C3%A9e.), avait mis les mêmes articles que ci dessous. Donc allez lire cet article et vous verrez que c'est encore une grosse tempête dans un verre d'eau.
Le conseil de l'ordre du barreau de Paris a fait part de ces craintes mais comme il le fait tres fréquemment et est dans son job (allez jeter un coup d'oeil à leur site).

Mais pour résumer, la modification de l'article serait la suivante :

L'article de loi en question (Art 230-34 - https://www.leg...TI000038311473) serait amendé avec l'article 234-30-1 qui serait rédigé de la manière suivante : Art. 230-34-1. – Lorsque les nécessités de l’enquête ou de l’instruction relative à un crime ou un délit puni d’au moins cinq ans d’emprisonnement l’exigent, le juge des libertés et de la détention, à la requête du procureur de la République, ou le juge d’instruction peut autoriser, dans les mêmes conditions que celles mentionnées aux 1° et 2° de l’article 230-33, l’activation à distance d’un appareil électronique à l’insu ou sans le consentement de son propriétaire ou possesseur aux seules fins de procéder à sa localisation en temps réel. La décision comporte alors tous les éléments permettant d’identifier cet appareil.

Donc, oui, il serait alors inscrit dans la lois la possibilité de tracker la localisation d'un appareil électronique. Mais on ne parle nullement de captation de son ou d'images. Pour cela, il y a déjà l'article 700-96 (https://www.leg...53/2023-05-22/) pour gérer ces cas de figure.

Mais dans tous les cas, il faudra recourir à l'installation d'un soft espion sur l'appareil. Et comme le disait Olili, c'est aujourd'hui compliqué sans installation au préalable d'un soft espion. Et techniquement pas possible directement via une backdoor qui serait mise à disposition par Google ou Apple pour leurs OS respectifs

Et par ailleurs, Art. 706-96-2. – Le juge des libertés et de la détention, à la requête du procureur de la République, ou le juge d’instruction, après avis du procureur de la République, peut autoriser l’activation à distance d’un appareil électronique à l’insu ou sans le consentement de son propriétaire ou de son possesseur aux seules fins de procéder aux opérations mentionnées à l’article 706-96. La durée d’autorisation mentionnée au premier alinéa de l’article 706-95-16 est alors réduite à quinze jours renouvelables une fois. Celle mentionnée au deuxième alinéa de ce même article est réduite à deux mois, sans que la durée totale d’autorisation des opérations ne puisse excéder six mois.

Donc, ordonné par un juge et libertés ou juge d'instruction avec une procédure enregistrée.
Finalement, le fait que soit inscrit dans la loi des procédures qui existaient déjà mais un peu borderline est plutôt une bonne chose. Cela permet aussi de mieux faire valoir ses droits.
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_pepe_ En réponse à ErickMav

Tu cites BFM-TV, autrement dit télé-Macron, qui dit en substance « circulez, il n'y a rien à voir » et « le Conseil de l'Ordre parle pour ne rien dire »...

T'es-tu seulement interrogé sur les raisons des modifications d'une loi qui, soi-disant, consisteraient juste à redire la même chose que ce qui y serait déjà inscrit ?

Et si la loi est déjà « borderline », penses-tu que ces modifications devraient marquer ses défauts dans le marbre, ou au contraire les en ôter, dans l'intérêt de la vie privée des citoyens et de la préservation des moyens qui garantissent leur défense face à un appareil répressif de plus en plus incontrôlable et violent, agissant souvent pour des motifs purement politiques ?

Ce que déplore le Conseil de l'Ordre, ce sont des évolutions insensibles de la loi dont il mesure les conséquences délétères pour nos droits fondamentaux. Il est très certainement le mieux placé pour en parler. Et on imagine sans mal les raisons qui poussent BFM-TV à convaincre son audience de ne pas y prêter attention.


Par ailleurs, contrairement à ce que tu suggères, il n'est absolument pas « trop compliqué » de mettre les appareils sur écoute. Il y a même depuis longtemps des entreprises qui vendent les moyens nécessaires aux autorités de nombreux pays. Sans parler de ce que font les constructeurs et les éditeurs de logiciels étrangers pour faciliter le travail de leurs services de renseignement.
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ErickMav En réponse à _pepe_ Vermisseau

Interessante cette interprétation tronquée de ce que j'ai dit.

Perso, que BFM soit pro-macron ou pro qui tu veux n'a pas d'importance dans la discussion actuelle. Je fais uniquement référence à un de leur article qui cite les articles de loi qui sont concernés par ce buzz. Vous voulez buter le messager ? Libre à vous mais lisez au moins le message.

Concernant le conseil de l'Ordre du barreau de Paris, je n'ai jamais dit qu'il parlait pour ne rien dire mais qu'il faisait état de craintes. Et j'ai ajouté qu'il était dans son job. Donc, ce n'est pas inutile mais si vous lisez la déclaration du conseil de l'Ordre, ils craignent surtout pour la confidentialité client-avocat si l'un d'eux étaient sur écoute. C'est une crainte légitime et le conseil a présenté cette crainte publiquement. Rien à ajouter sur ce sujet !

Les raisons de la modification d'une loi ? Elles sont multiples et des modifications, il y en a, en permanence. L'objectif étant bien souvent d'adapter un cadre légal à l'évolution de la société.
Je n'ai pas dit que la loi était borderline mais qu'elle ne reflétait pas des pratiques actuellement en vigueur. L'introduction de dispositifs permettant la localisation en temps réelle est déjà couverte par l'article 230-32 du code de procédure pénale. Donc rien de nouveau sous le soleil. La modification de l'article 230-34 indique qu'il serait désormais possible de réaliser cette activation à distance d'un appareil électronique à des fin de localisation.
De plus l'article 230-33 précise les conditions et cadre pour laquelle une telle opération serait autorisée. Donc, ce n'est pas de l'activation au bon vouloir de n'importe qui pour n'importe quel sujet.
Bref, l'article 230-34 qui fait tant frémir ne concerne que la partie localisation.

Concernant la partie captation d'image ou de son, ceci est déjà en vigueur depuis 2019 avec l'article 700-96 (https://www.leg...53/2023-05-24/. Rien de nouveau sous le soleil. La modification porterait sur le caractère "activation à distance"

Tout cela pour dire que le fait de localiser un dispositif électronique ou capter le son et l'image sont déjà dans la loi depuis de nombreuses années. Les modifications portent sur une possible capacité d'activation à distance. Donc, si ces moyens technique autorisés par la loi pour espionner des personnes soupçonnées de délits ou crime passibles de plus de 5 ans de prison te gène, ce n'est pas cette modification de loi que tu devrais combattre mais les articles de loi déjà présents depuis un bon moment.

Quant à la mise sur écoute d'un appareil, je réitère mes propos : il n'est pas possible de mettre sur écoute un appareil iphone ou android sans disposer soit des identifiants dudit appareil soit en installant un soft espion. Tu indiques que des entreprises permettent de le faire pour des gouvernements ? Quelle entreprises stp ?
Quand aux constructeurs, je t'invite à relire cette histoire du terroriste de San Bernardino (https://www.lej...2C%20Apple%200.,lundi%20par%20les%20autorit%C3%A9s%20am%C3%A9ricaines.) où le FBI a du se passer de l'aide d'Apple qui a toujours refuser de fournir des moyen d'accéder aux téléphones de ses clients.
Ne soyons pas dupe, Apple ne l'a pas fait pour protéger ses clients mais uniquement parce qu'un cas comme celui ci créerait un précédent qui risquerait de voir une partie des clients Apple fuir la marque si ils savaient leurs données potentiellement accessibles.

Pour conclure, il faut effectivement s'interroger sur une modification/création de la loi et le conseil de l'Ordre est, comme je l'ai dit, dans son rôle. Mais il ne faut pas pour autant faire croire que cette modification du code de procédure pénale introduit cette capacité à espionner tout citoyen sans discernement ni contrôle. Cette capacité d'espionnage existe depuis un moment avec des gardes fous et organes de controle judiciaires.
En revanche, si à l'avenir des abus étaient constatés, ils seront alors tout autant répréhensibles et les auteurs devront s'en expliquer devant la justice.
Après, si vous n'avez pas confiance en la justice, c'est autre chose.
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_pepe_ En réponse à ErickMav

Tes opinions sur ces sujets semblent fondés sur ton ignorance de ce qui se pratique sur le terrain depuis des années et que tu aurais pu apprendre de sources fiables ou dans la presse professionnelle spécialisée (qui en a assez régulièrement parlé).

Je pense notamment aux policiers qui ont fait état de leurs pratiques de récupération d'informations durant les manifestations de rue, aux entreprises qui vendent les moyens d'écoute aux États, aux groupes de recherche en cybersécurité qui trouvent régulièrement des « anomalies » dans les matériels et les logiciels, aux compte-rendus des correctifs des constructeurs et des éditeurs de logiciels après chaque découverte de failles, aux affaires qui ont défrayé la chronique (comme celle du logiciel espion Pegasus), etc..


S'agissant plus particulièrement des iPhone, ils avaient notamment suscité l'émoi d'une partie de leurs utilisateurs quand on avait découvert qu'ils transmettaient durant la nuit à Apple le détail des itinéraires empruntés par leurs propriétaires durant la journée (e.g. https://www.zat...ous-le-sachiez/ ).

Depuis lors, on n'a pas cessé de relever de nouveaux « défauts », dont certains susceptibles de servir à tracer les appareils, à observer leur contenu ou à écouter ou regarder leur environnement immédiat. Puisque j'évoquais le logiciel Pegasus, les iPhone en sont justement l'une des principales cibles. Des études récentes ont également mis en évidence qu'indépendamment du logiciel, la conception particulière des circuits et l'impossibilité de mettre hors tension certains d'entre eux autorisait des modes d'infection et de réactivation à distance (e.g. https://www.rad...ai-2022-8669807 ).

La littérature sérieuse sur le sujet ne manque pas, il suffit de se donner la peine de la chercher.


Concernant le soi-disant refus d'Apple d'aider le FBI dans l'affaire que tu as citée, je te renvoie au Patriot Act, et plus particulièrement à l'obligation faite à tous aux USA de communiquer les informations réclamées par les services dans les affaires de terrorisme (réel ou supposé) et à l'interdiction totale d'en faire état sous peine de tomber également pour terrorisme, avec les conséquences qu'on connaît (emprisonnement sans limitation de temps, sans avocat ni procès, possibilité de torture, etc.). Ce que la presse a pu rapporter sur cette affaire est donc très certainement une fake news à destination des gogos.


Quant aux lois, leur évolution qui nous fait passer d'une quasi-démocratie à un État policier est lente et insensible. Les gens sont comme les grenouilles : il suffit d'augmenter progressivement la température de l'eau dans laquelle on les a plongées pour les cuire sans qu'elles s'en rendent compte. Le fait est que le basculement vers le contrôle massif et la dictature brutale des populations procède principalement par une accumulation de retouches législatives et administratives dont chacune peut, isolément, faire figure de détail sans importance. C'est pour cette raison que toutes les évolutions qui vont dans le mauvais sens, aussi infimes soient-elles, sont importantes. Particulièrement quand aucun retour en arrière n'est admis.

Comme je l'avais rappelé dans un précédent commentaire sur le sujet, les mises sur écoute (notamment légales) ne sont pas nouvelles. Sur le GSM, elle est pratiquement aussi ancienne que la mise en service du réseau en France (à l'époque, une modification technique avait été exigée afin de la rendre possible), et l'activation à distance des téléphones éteints pour déclencher des écoutes furtives était déjà connue (et employée alors de façon illégale par les services) il y a plus de vingt ans.

Il suffit de comparer ce qui était possible et autorisé avant le début de ce millénaire et ce qui l'est aujourd'hui pour se rendre compte de tout le chemin parcouru sur le plan technique et sur le plan juridique et répressif. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il est difficile de voir cela comme un progrès de la démocratie.


La problème n'est donc pas de savoir ce qui se passerait *si* les gens découvraient que les fabricants de téléphones et de smartphones et des éditeurs de logiciels mettaient à la disposition des États les moyens techniques nécessaires à leur surveillance et que la police et les services de renseignement utilisaient déjà (légalement ou pas) ces moyens, mais plutôt *pourquoi* les gens persistent dans le déni d'une situation qui, par la force des choses, devrait leur être connue depuis longtemps.
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Dathys Vermisseau

Moi je croyais que c'était déjà possible avec la puce que j'ai dans le bras
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Ombreloup Lombric Shaolin

On arrive plus à recruter de policiers, de militaires, de personnel hospitalier, de prof, etc. Le ministère de la justice a le pire parc informatique de France. Mais y'a des gens qui pensent qu'on va pouvoir faire de la surveillance de masse XD
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Antubis En réponse à Ombreloup Vermisseau

Ils ne sont pas même foutus de faire parvenir dûment les professions de foi lors de présidentielles, évènement un tant soit peu attendu, prévisible, planifiable.
Comment peut-on les croire capables de comploter quand on voit leurs compétences et organisation?
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Leyriane En réponse à Antubis Vermisseau

Simple: parce qu'aucunes actions sociales depuis les années 90, voire 80's n'as aboutit depuis?
Parfois ce n'est pas la technologie mais la psychologie de masse qu'il faut manipuler et sur ce point, désolé de le dire, ils ont parfaitement réussi !
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liadghorit Vermisseau

Ils n'ont pas besoin de le faire, les GAFAM le font pour eux
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Libel En réponse à liadghorit Vermisseau

Les GAFAM n'ont pas la matraque. Ni les prisons.
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liadghorit En réponse à Libel Vermisseau

Ça change rien, ce que je voulais dire c'est qu'ils ont déjà accès à toutes ces données.
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Libel En réponse à liadghorit Vermisseau

Le flic et le juge, eux non. Du moins jusqu'à présent.
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