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Y a des statues qui cranent...

La Frise légendaire, ou culte tétonique ?
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Y a des statues qui cranent...

La Frise légendaire, ou culte tétonique ?

Envoyé par GruikMan le 3 avril 2021 à 18h48

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GruikMan Vermisseau

*crânent
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decapeter Jeune asticot

Normal que je comprenne pas, c'est de l'art...
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Weng-Weng En réponse à decapeter Lombrico de la Cruz

C'est pourtant simple, il s'agit d' une critique acerbe et irrévérencieuse dela société de consommation.
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Thiche En réponse à Weng-Weng Colonel Chat-Ver

Plus précisément, une représentation du relativisme éthique dans la pensée matérialiste, ici sous la forme d'une sculpture. Tout étant question de point de vue, cette statue nous invite à penser la négation dans l'unicité éthique kantienne. Est-ce une femme avec une bite ? Ou un homme avec des nichons ? Mais surtout, qui sommes-nous pour juger ? Nul ne le sait. Il est également question de s'interroger sur la symbolique de l'oiseau au sommet du crâne rappelant sans nul doute la sagesse et le savoir en rapport avec cette perception matérialiste du "réel" plutôt que du "beau". Une femme est-elle belle avec une bite ? Ou un homme est-il beau avec des nichons ? Nul ne le sait. Interrogation qui déborde de son sens premier à partir d'une appréhension des formes, plutôt dans un style "art déco" dans le cas présent, en rupture totale avec les canons classiques de l'art. L'artiste nous prend au dépourvu à plusieurs titres. En dehors du sujet abordé figurativement, il y a dans ce souci du détail de forme une indéniable volonté d'abstraction surréaliste à partir d'une proposition paradoxalement réaliste et stylisée. Il y a également la présence incongrue de ce troisième avant-bras pourtant en lien avec cette proposition symbolique de l'oiseau préfigurant l'esprit : dialectique produisant l'action créatrice par essence, mais pourtant improbable tant cet avant-bras s'éloigne ( symboliquement et matériellement ) d'un état de norme et de nature. Tendu vers le champ du possible dans l'acte créatif, désirant et désireux d'échapper à une matérialité contraignante que constitue ce corps transfiguré, limitant par sa seule existence cet accès à l'impossible pourtant désiré. Cette dialectique entre la bite et les nichons représente quant à elle les contradictions constitutives et ataviques de l'être. Multiplicité des formes mais aussi des considérations que nous pouvons avoir sur celui-ci.

De rien.
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Weng-Weng En réponse à Thiche Lombrico de la Cruz

Résumé pour ceux qui n'ont pas eu le courage de lire: c'est une critique acerbe et irrévérencieuse de l société de consommation
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Thiche En réponse à Weng-Weng Colonel Chat-Ver

Mais plus précisément, une représentation du relativisme éthique dans la pensée matérialiste, ici sous la forme d'une sculpture. Tout étant question de point de vue, cette statue nous invite à penser la négation dans l'unicité éthique kantienne. Est-ce une femme avec une bite ? Ou un homme avec des nichons ? Mais surtout, qui sommes-nous pour juger ? Nul ne le sait. Il est également question de s'interroger sur la symbolique de l'oiseau au sommet du crâne rappelant sans nul doute la sagesse et le savoir en rapport avec cette perception matérialiste du "réel" plutôt que du "beau". Une femme est-elle belle avec une bite ? Ou un homme est-il beau avec des nichons ? Nul ne le sait. Interrogation qui déborde de son sens premier à partir d'une appréhension des formes, plutôt dans un style "art déco" dans le cas présent, en rupture totale avec les canons classiques de l'art. L'artiste nous prend au dépourvu à plusieurs titres. En dehors du sujet abordé figurativement, il y a dans ce souci du détail de forme une indéniable volonté d'abstraction surréaliste à partir d'une proposition paradoxalement réaliste et stylisée. Il y a également la présence incongrue de ce troisième avant-bras pourtant en lien avec cette proposition symbolique de l'oiseau préfigurant l'esprit : dialectique produisant l'action créatrice par essence, mais pourtant improbable tant cet avant-bras s'éloigne ( symboliquement et matériellement ) d'un état de norme et de nature. Tendu vers le champ du possible dans l'acte créatif, désirant et désireux d'échapper à une matérialité contraignante que constitue ce corps transfiguré, limitant par sa seule existence cet accès à l'impossible pourtant désiré. Cette dialectique entre la bite et les nichons représente quant à elle les contradictions constitutives et ataviques de l'être. Multiplicité des formes mais aussi des considérations que nous pouvons avoir sur celui-ci.

De rien.
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Astre_radieux En réponse à Thiche Ver luisant

Cela pourrait également être une très grande naine avec une bite ou encore un très grand nain avec des nichons.
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Thiche En réponse à Astre_radieux Colonel Chat-Ver

Nul ne le sait.
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GruikMan En réponse à eowyn Vermisseau

Non binaire... Analogique ?
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glurp En réponse à eowyn LoMBriK addict !

CA c'est de l'Art, avec une majuscule !
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Ombreloup Lombric Shaolin

Une statue d'hermaphrodite on en a une au Louvre, et assez ancienne. C'est plus le troisième bras qui m'interroge. Et ce qui semble être assis sur sa tête...
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GruikMan En réponse à Ombreloup Vermisseau

Le 3ème bras, c'est l’évolution liée au smart phone...
Sur la tête , un truc 5G + GPS?
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le-long-brick Longbric

Tu t'es vu quand t'as sculpté ?
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