Ton RSA tu peux te le mettre où je pense. ^^
Honnêtement, je préfère bosser pour me nourrir correctement, voyager un peu, être libre de faire ce que je veux (ou presque) dans ma vie, plutôt que galérer comme un mort (avec un gosse en plus par dessus le marcher) et profiter des aides de l'état comme un parasite :)
PS: "Tous le monde veux vire aux dépens de l'état", faux, pas moi. :P
Honnêtement, du boulot pour tous le monde, oui je pense qu'il y en a.
Exemple je suis inscrit dans plusieurs boîtes intérim depuis X temps. Je suis en CDI depuis 2018.
Et je reçoit presque tous les jours encore des offres de missions (prépa commande, manutention, autres) sérieusement, à moins d'être dans un coin moitié mort ou un grosse boîte a fermée et que c'était la seule à peu prêt à embaucher du monde sur 50Km à la ronde, du taf il y en a si on se donne la peine d'en chercher, si on se motive.
Nombre de chômeurs en France : ~6 000 000
Nombre d'offres sur Pole Emploi : 725 000
Je doute que les autres plates-formes d'offres d''emploi comblent les 5 275 000 chômeurs restants.
Et je n'aborde même pas la question de ceux qui sont hors-système.
Ce n'est parce que tu as l'impression qu'il y a du boulot pour toi, qu'il y a en pour tout le monde.
Et ca, sans parler de la qualité des jobs en question.
Parce que tu ne vis pas avec le SMIC, tu survis.
Ca fait partie des idées reçues, tout comme le fait que tu puisses vivre des aides d'états.
Je suis d'accord en ce qui concerne la SMIC on ne vis pas avec ça.
Pour le taf, comme je l'ai dis, à moins de vivre dans un lieu pommé sans trop d'activité, on peut quand même trouver des jobs si on s'en donne les moyens.
Y a aussi un truc qui permettrais d'avoir plus de taf à disposition, c'est si on revenais plus vers les petits commerces, l'artisanat etc... de plus petites structures, plutôt que de concentrer tout dans les grosses villes et proches banlieues :/
Honnêtement, je pense que tu ne te rends pas compte que ta situation est *relativement* privilégiée.
En France, un tiers de la population active est en situation de sous-emploi (j'y inclus les entrepreneurs et les employés qui n'entrent pas dans la catégorie officielle des « chômeurs »). Et encore, je me réfère à la conjoncture antérieure à la pandémie, et je ne compte pas la part de la population considérée comme non-active qui est forcée de courir après un boulot pour survivre.
Ceux qui occupent habituellement une place stable ou travaillent de façon régulière ont généralement l'impression qu'il y a toujours de l'activité et des emplois. Et le fait est qu'il y en a, mais pas assez pour tout le monde, et presque toujours pour les mêmes.
En effet, d'un côté les places sont chères et ne conviennent pas à tous les profits ni à tous les besoins, et de l'autre ceux qui peinent à trouver un travail tendent à accumuler des conditions handicapantes (souvent basées sur des préjugés) ou à tomber dans des cercles vicieux qui les en éloignent encore plus (âge, problèmes de santé, périodes d'inactivité, expérience jugée insuffisante ou dévalorisante, situation financière, judiciaire ou sociale, sur-qualification, etc.). De plus, parce qu'ils en profitent, nombre de donneurs d'ordre, d'employeurs, d'actionnaires, de financiers, de politiques et de professionnels de la recherche d'emploi et de la formation ont une certaine propension à entretenir cette situation.
J'ai dans mon entourage plusieurs personnes qui cherchent activement du travail depuis assez longtemps comme salariés ou comme entrepreneurs, et le moins qu'on puisse dire c'est que les propositions et opportunités, bien qu'apparemment nombreuses, sont loin d'être toujours réelles et susceptibles de se concrétiser. Il *semble* y avoir du boulot... mais manifestement pas pour eux.
Par ailleurs, il est à noter que la majorité des personnes en situation de sous-emploi ne perçoit aucune aide (notamment, environ la moitié des inscrits à Pôle-Emploi ne touche pas un centime d'indemnité).
Pour info l'argent circule. Si l’État dépense plus que ce qu'il gagne, alors c'est les citoyens qui sont gagnants ; que ça soit directement ou non par des aides, ou que ça soit par l'investissement (plus ou moins direct).
Si l’État arrêterait de s'endetter, alors l'économie pourrait ralentir et on serait tous perdants.
MarcusKhaine
Honnêtement, je préfère bosser pour me nourrir correctement, voyager un peu, être libre de faire ce que je veux (ou presque) dans ma vie, plutôt que galérer comme un mort (avec un gosse en plus par dessus le marcher) et profiter des aides de l'état comme un parasite :)
PS: "Tous le monde veux vire aux dépens de l'état", faux, pas moi. :P
BonPublic En réponse à MarcusKhaine Vermisseau
Y a-t-il du boulot pour tout le monde (en dehors des camps de rééducation) ?
MarcusKhaine En réponse à BonPublic
Exemple je suis inscrit dans plusieurs boîtes intérim depuis X temps. Je suis en CDI depuis 2018.
Et je reçoit presque tous les jours encore des offres de missions (prépa commande, manutention, autres) sérieusement, à moins d'être dans un coin moitié mort ou un grosse boîte a fermée et que c'était la seule à peu prêt à embaucher du monde sur 50Km à la ronde, du taf il y en a si on se donne la peine d'en chercher, si on se motive.
BonPublic En réponse à MarcusKhaine Vermisseau
MarcusKhaine En réponse à BonPublic
Par contre faut bien regarder à gauche et à droite avant de traverser :D
Greldynard En réponse à MarcusKhaine Vermisseau
Nombre d'offres sur Pole Emploi : 725 000
Je doute que les autres plates-formes d'offres d''emploi comblent les 5 275 000 chômeurs restants.
Et je n'aborde même pas la question de ceux qui sont hors-système.
Ce n'est parce que tu as l'impression qu'il y a du boulot pour toi, qu'il y a en pour tout le monde.
Et ca, sans parler de la qualité des jobs en question.
Parce que tu ne vis pas avec le SMIC, tu survis.
Ca fait partie des idées reçues, tout comme le fait que tu puisses vivre des aides d'états.
MarcusKhaine En réponse à Greldynard
Pour le taf, comme je l'ai dis, à moins de vivre dans un lieu pommé sans trop d'activité, on peut quand même trouver des jobs si on s'en donne les moyens.
Y a aussi un truc qui permettrais d'avoir plus de taf à disposition, c'est si on revenais plus vers les petits commerces, l'artisanat etc... de plus petites structures, plutôt que de concentrer tout dans les grosses villes et proches banlieues :/
_pepe_ En réponse à MarcusKhaine
En France, un tiers de la population active est en situation de sous-emploi (j'y inclus les entrepreneurs et les employés qui n'entrent pas dans la catégorie officielle des « chômeurs »). Et encore, je me réfère à la conjoncture antérieure à la pandémie, et je ne compte pas la part de la population considérée comme non-active qui est forcée de courir après un boulot pour survivre.
Ceux qui occupent habituellement une place stable ou travaillent de façon régulière ont généralement l'impression qu'il y a toujours de l'activité et des emplois. Et le fait est qu'il y en a, mais pas assez pour tout le monde, et presque toujours pour les mêmes.
En effet, d'un côté les places sont chères et ne conviennent pas à tous les profits ni à tous les besoins, et de l'autre ceux qui peinent à trouver un travail tendent à accumuler des conditions handicapantes (souvent basées sur des préjugés) ou à tomber dans des cercles vicieux qui les en éloignent encore plus (âge, problèmes de santé, périodes d'inactivité, expérience jugée insuffisante ou dévalorisante, situation financière, judiciaire ou sociale, sur-qualification, etc.). De plus, parce qu'ils en profitent, nombre de donneurs d'ordre, d'employeurs, d'actionnaires, de financiers, de politiques et de professionnels de la recherche d'emploi et de la formation ont une certaine propension à entretenir cette situation.
J'ai dans mon entourage plusieurs personnes qui cherchent activement du travail depuis assez longtemps comme salariés ou comme entrepreneurs, et le moins qu'on puisse dire c'est que les propositions et opportunités, bien qu'apparemment nombreuses, sont loin d'être toujours réelles et susceptibles de se concrétiser. Il *semble* y avoir du boulot... mais manifestement pas pour eux.
Par ailleurs, il est à noter que la majorité des personnes en situation de sous-emploi ne perçoit aucune aide (notamment, environ la moitié des inscrits à Pôle-Emploi ne touche pas un centime d'indemnité).
lebaud07 En réponse à BonPublic
Krogacihc En réponse à lebaud07 Vermisseau
le-long-brick Longbric
john5
Enderion Vermisseau
Si l’État arrêterait de s'endetter, alors l'économie pourrait ralentir et on serait tous perdants.
Astre_radieux Ver luisant
magnussoren Ver (re-)cyclable
Si la France devenait liberale ou libertariene dans le sens dans lequel Bastiat l'entend, tu serai gueri tiskell